Le constat est vite fait : à gauche, il n'y a plus personne. Et quand il y a quelqu'un, il n'a en général pas pigé la bonne ligne, à savoir un souverainisme social, ligne sur laquelle peu se risquent (à part Philippot à droite, pour ne parler que de la politique mainstream). Et pour cause : le Grand Orient et le CRIF pourraient les excommunier. À gauche, on n'a pas peur du chômage de masse, du néolibéralisme destructeur, du Great Reset mondialiste, de la pédophilie organisée, non : on a peur des - Février / Économie, Politique, Nationalisme, LRPS
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