jeudi 31 décembre 2020

Dans ses voeux, Didier Lallement cite Léon Trotsky, créateur de l'armée rouge

Alors que le Nouvel an approche, l’heure est aux cartes de vœux pour souhaiter la bonne année. C’est ce qu’a notamment fait Didier Lallement, mais le contenu de ses vœux a beaucoup surpris à cause d’une référence à Léon Trotsky, figure de la Révolution...
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Covid19 – Quand les médias Mainstream publient les chiffres de la mortalité en France…

Quand les titres ne correspondent pas, ils sont utilisé pour maintenir la peur et la pression sur le peuple. Partagez ! Volti ****** Par Profession gendarme En titre il est annoncé «�60 000 morts et mortalité record en France en 2020 Â» tout de suite après dans le préambule il est écrit : « Au 7 décembre, 46 703 décès de plus que l’an dernier à […]
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Covid-19 – La CNIL valide le fichage des personnes vaccinées

La Commission nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) promet des contrôles sur l’utilisation des données. Un fichier regroupant des informations appartenant à toutes les personnes vaccinées contre la Covid-19 va être créé à partir du 4 janvier....
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mercredi 30 décembre 2020

État d'urgence permanent et restrictions de circulation -- Nantes Révoltée

Une nouvelle offensive contre les libertés à la veille de Noël ? En procédure accélérée, le gouvernement a déposé le lundi 21 décembre au soir, à l'Assemblée Nationale, un projet de loi pour créer un « régime pérenne de gestion des urgences sanitaires ». Cette mesure ferait entrer l'état d'urgence sanitaire dans le droit commun, et permettrait notamment de restreindre l'accès à certains lieux aux personnes non vaccinées. Passage en revue : L'état d'urgence sanitaire permanent. Censé être une mesure « (...) Nos lecteurs proposent / France , Dictature
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La Charte de Munich pour les oublieux -- PERSONNE

Déclaration des devoirs et des droits des journalistes (Munich, 1971) Comment séparer le bon grain de l'ivraie, comment distinguer le « journaliste digne de ce nom » du pseudo-journaliste embarqué, stipendié ? Il suffit d'appliquer la grille que constitue la Charte de Munich, « signée le 24 novembre 1971 par plusieurs syndicats européens et adoptée par la Fédération européenne des journalistes au début des années 1990 ». Il semblerait que cette charte soit ignorée des milieux médiatiques (*) : ceci (...) Nos lecteurs proposent / Liberté d'expression , Liberté de la presse
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Energies renouvelables et droits humains : un divorce gênant pour les prétentions écologiques -- Chachou23

Les rapports d'ONG se multiplient pour dénoncer les graves atteintes aux droits humains qui découlent de l'extraction, du transport et de l'exploitation des matériaux nécessaires à la fabrication des technologies utilisées dans les énergies renouvelables. Le silence public qui entoure ces pratiques est assourdissant : il traduit le malaise de personnels politiques et médiatiques à assumer certaines contradictions de l'écologie politique. Car les éoliennes, les panneaux solaires et les batteries de (...) Nos lecteurs proposent / Environnement, écologie
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mardi 29 décembre 2020

Les mythoneries de Darmanin !

Rien à ajouter si ce n’est la lecture des captures écran ci-dessous :
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Covid19 – Quand les médias Mainstream publient les chiffres de la mortalité en France…

En titre il est annoncé « 60 000 morts et mortalité record en France en 2020 » tout de suite après dans le préambule il est écrit : « Au 7 décembre, 46 703 décès de plus que l’an dernier à la même date avaient été recensés – un excès de mortalité essentiellement...
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Le seul vaccin qui compterait : contre la lâcheté et la débilité humaine, car la sagesse antique est morte

«�VACCINER – Un acte de charit酠» « Ils ne veulent plus être soignés ou guéris, mais vaccinés. Ne sous-estimez pas la télé. Le seul vaccin qui compterait : contre la lâcheté et la débilité humaine, car la sagesse antique est morte. … Lire la suite →
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lundi 28 décembre 2020

Mauricette découvre une minute avant qu'elle va se faire vacciner contre le COVID

Petit couac dans les images de propagande du gouvernement relayées en direct par les chaines de télé. Mauricette, 78 ans et première vaccinée contre le COVID de France, dit au début de la vidéo: "ah, il faut faire un vaccin?". ça commence bien. Covid-19...
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Comment Bill Gates met des millions d’Indiens sous surveillance

Depuis 2015, la Fondation Gates soutient Khushi Baby, un projet basé sur la micropuce en Inde qui permet de suivre la vaccination des enfants grâce à des colliers à micropuce NFC Source ICI via:https://lilianeheldkhawam.com/
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Résistance au colonialisme : 5ème AG du Conseil National Indigène CNI/EZLN

�     Convocation à la 5ème assemblée générale du Conseil National Indigène    CNI / EZLN   22 décembre 2020   Source de l’article en français:https://www.lavoiedujaguar.net/Convocation-a-la-Cinquieme-Assemblee-nationale-du-Congres-national-indigene   Nous, peuples, nations, tribus et quartiers originaires qui constituons le Congrès national indigène, le Conseil indigène de gouvernement et l’Armée zapatiste de libération nationale, alors que nous […]
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dimanche 27 décembre 2020

L’État français de plus en plus brutal et autoritaire

Par Claude Robert. Il est assez consternant qu’Emmanuel Macron déplore « la contestation de toute forme d’autorité, y compris de l’autorité académique et scientifique�» (L’Opinion, 22/12/20). La récente flambée protestataire est parfaitement concomitante des démonstrations d’autoritarisme de son gouvernement. Fidèle à ses tours de passe-passe rhétoriques, le président tente un parallèle avec la contestation de l’autorité académique et scientifique. Mais cette contestation semble dépendre de causes qui n’ont pas grand-chose à voir. Il s’agit bien sûr, pour le Président, de faire diversion de ses propres fautes. La présidence d’un quasi despote même pas éclairé La présidence de Macron est une longue et douloureuse succession d’atteintes aux libertés individuelles. Tout a commencé dès sa prise de pouvoir par la tentative de choisir les journalistes autorisés à suivre ses déplacements et son actualité présidentielle. Faut-il une solide inculture humaniste pour oser pareil coup, sans même s’en cacher ? La réaction des médias ne s’est pas fait attendre, avec une pétition intitulée « Monsieur le Président, il n’appartient pas à l’Elysée de choisir les journalistes Â». Pétition à laquelle, fidèle à ses acrobaties dialectiques, le président a répondu qu’il s’agissait au contraire d’une « démarche d’ouverture Â» de sa part (Femmes Actuelles 19/05/17). L’anachronique limitation à 80 km/h fournit le second exemple patent du dirigisme compulsif de son gouvernement. Cette mesure a été le principal déclencheur d’un mouvement de révolte de très grande ampleur, les Gilets jaunes, contre lequel Macron déploiera sans la moindre honte un dispositif d’une violence inconsidérée. Ce qui amènera, excusez du peu, Amnesty International et le Conseil de l’Europe à émettre un avertissement, respectivement pour « usage de la violence Â» et « utilisation abusive des LBD Â» ! Rien d’étonnant à ce que le mouvement se soit durci et ne poursuive qu’un seul objectif : obtenir la tête du président. N’est-ce pas une réaction naturelle après les cent-quarante blessés graves parmi lesquels quatorze qui ont perdu un Å“il ? L’arrêt du mouvement n’est bien évidemment que temporaire, simplement dû aux contraintes imposées par la pandémie de coronavirus. La première vague de cette pandémie fournit également une autre preuve de la violence du gouvernement, celui-ci décrétant le plus brutal des confinements du monde libre, tout simplement pour enrayer les conséquences de son inaction. L’obligation d’un formulaire de sortie, à remplir comme pendant les heures sombres de l’occupation, est révélatrice de cet autoritarisme centralisateur d’un autre âge. Tout aussi malodorante est l’incroyable directive émanant du ministère de l’Intérieur qui en mars 2020 interdisait aux gendarmes le port du masque, tout simplement parce qu’aucune commande n’avait été passée suffisamment tôt. Cette mesure liberticide et dangereuse a tout naturellement déclenché l’ire de plusieurs syndicats de policiers, ceux-ci menaçant le gouvernement de leur « droit de retrait ». À côté de ces violences gratuites et injustifiées vis-à-vis des Gilets jaunes et des policiers, la clémence dont ont bénéficié les manifestants de Notre-Dame-des- Landes, les Blackblocs ou encore les grévistes de la SNCF (qui ont pourtant pris en otage la population dans son ensemble) s’additionne au malaise général. Tout comme les multiples tentatives pour réglementer les échanges sur Internet et les réseaux sociaux. Elles procèdent de cette même pulsion dirigiste et centralisatrice de nature à soulever l’esprit de rébellion parmi les citoyens. Car le gouvernement n’apparait plus comme le garant de l’État de droit, capable de protéger les libertés individuelles, mais au contraire comme une espèce de Léviathan aussi partial que despotique ! La science et la culture face à l’inculture et aux affects Dans l’essai Conditions de l’éducation, M. Gaucher, M.C. Blais et D. Ottavi abordent entre autres sujets le recul de l’autorité académique et scientifique. Celui-ci est analysé comme multi-causal. À la baisse lente et progressive du prestige de l’enseignant, induite par l’affaissement des deux piliers : impératif du savoir et légitimité de l’institution, s’ajoutent aux excès d’autoritarisme scolaire d’antan des difficultés plus récentes liées à l’émergence des moyens numériques de connaissance, à la chute du niveau d’instruction ainsi qu’à un retour du religieux. Toutes ces raisons se cumulent. Il en résulte une société qui semble se détourner de l’esprit scientifique, des raisonnements logiques, en un mot, de l’esprit des Lumières. Une évolution que l’on pourrait qualifier de régressive, la secondarité d’une société nourrie d’objectivité scientifique et de culture humaniste cédant progressivement le pas à la primarité, c’est-à-dire aux instincts, aux impressions purement subjectives et émotionnelles, tout ce qui hélas la rapproche des sociétés dites primitives. Or, de ces tendances constatées dans de nombreuses régions du monde, seule la chute du prestige des institutions scolaires et universitaires semble commune à la contestation du pouvoir politique que dénonce Macron. Le reste apparaît bien spécifique à la France, et particulièrement lié à la tournure de démocrature violente qu’a subitement imprimé sur notre pays l’actuel président socialiste ! Le plus triste dans cette histoire est qu’il déplore lui-même les conséquences de ses propres dérapages. Tel un pompier pyromane, il s’étonne ou feint de s’étonner de l’incendie. Et comme s’il s’adressait à un peuple de demeurés, il fait miroiter un « monde d’après » tout en imposant au pays une régression autoritariste digne d’une autre époque. Tout cela en dit long sur ses penchants totalitaires, et sur les révoltes qu’il est en train d’alimenter malgré lui contre l’État et ses institutions les plus représentatives. Institutions parmi lesquelles l’ENA, la matrice infernale capable d’enfanter des diplômés dénués du respect démocratique, la matrice à l’origine de la démocrature qu’est devenu notre pays. — Sur le web Ces articles pourraient vous intéresser: Quand Macron voulait rendre la vie des Français plus facile… Emmanuel Macron et le lyrisme ambigu des forces de la France Macron acte 2 : le total triomphe du tout État La dérive autoritaire de Macron
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Métropoles : inutiles et onéreuses

Par Aymeric Belaud. Un article de l’Iref-Europe Le 15 décembre dernier, la Cour des comptes a présenté son rapport annuel sur les finances publiques locales. Dans le fascicule numéro 3, consacré à l’examen de la mise en place des métropoles, elle rend un verdict qui n’est hélas guère étonnant. Selon la loi de modernisation de l’action publique territorialeet d’affirmation des métropoles (MAPTAM) du 27 janvier 2014, la création de métropoles devait permettre une gouvernance plus efficiente, une meilleure coordination des fonctions sociales, économiques, urbanistiques et environnementales, la mutualisation et la mise en commun de services et d’équipements. Tout cela entraînant, en principe, de substantielles économies soulageant tant les budgets et finances des communes de ces métropoles, que le porte-monnaie des contribuables locaux. Or, à l’arrivée�: rien. La Cour des comptes juge que « la mise en place des métropoles n’a pas eu les effets bénéfiques attendus et qu’aucun des objectifs ayant motivé leur création n’a été pleinement atteint. Â» Un échec, encore… Des métropoles inutiles Une métropole, c’est une intercommunalité (une association de communes) qui concerne des territoires fortement urbanisés. Sa création fait suite à la loi de réforme des collectivités territoriales de 2010 (RCT), dont le statut a été remanié par la loi MAPTAM de 2014 et la loi portant sur la nouvelle organisation territoriale de la République (loi NOTRe) de 2015. On dénombre 22 métropoles en France dont 19 de droit commun, deux à statut particulier (Grand Paris et Aix-Marseille) et Lyon, qui est une collectivité territoriale à statut particulier et non une intercommunalité. Dès 2017, la Cour des comptes alertait sur le fait que les métropoles se multipliaient sans jouer pleinement le rôle qui devait être le leur. Le rapport 2020, premier bilan d’étape, confirme cette crainte : les métropoles actuelles ne répondent pas aux objectifs qui devaient être les leurs. On peut donc affirmer qu’elles sont inutiles. Preuve de cette faiblesse, la Cour affirme que le périmètre d’intervention des métropoles est flou et qu’elles n’arrivent pas à définir clairement ce qui relève de l’intérêt « métropolitain Â». De même, leurs compétences et le système de gouvernance interne sont inadaptés par rapport aux ambitions ayant motivé leur création. Ces nouveaux établissements publics devaient renforcer la « compétitivité Â» et la cohésion sociale, en mettant fin aux divergences des intérêts entre communes d’un même territoire urbain. Cet objectif est passé à la trappe. La Cour des comptes dénonce également un système électif qui, hormis pour la métropole de Lyon, rend les élus métropolitains moins légitimes que les conseillers municipaux élus au suffrage universel direct. Des métropoles à tout-va Les sages financiers notent que la France est le pays européen qui a le nombre le plus élevé de métropoles, et que ce statut a été attribué trop facilement à des collectivités qui en ont fait un label de promotion du territoire plus que l’outil efficient d’une meilleure gestion. La loi du 28 février 2017 relative au statut de Paris et à l’aménagement métropolitain rend possible la création de métropole à toutes les intercommunalités de plus de 400 000 habitants, à celles qui sont des centres d’une zone d’emplois de plus de 400 000 habitants, et à celles de plus de 250 000 habitants ou comprenant dans leur périmètre le chef-lieu de région, centres d’une zone d’emplois de plus de 500 000 habitants. Ces critères, sans cesse revus à la baisse au fil du temps, posent question. En effet, est-ce que des villes comme Brest, Clermont, Metz, Nancy, Orléans, Dijon et Tours, avec une population de moins de 300 000 habitants, peuvent être considérées comme des métropoles ? De même, quel est l’intérêt que Saint-Étienne soit une métropole alors que Lyon, ville d’envergure européenne, est à 60 km ? Et cela coûte cher… La Cour des comptes exprime donc à demi-mot ses réticences. En revanche, elle note la bonne santé financière de ces nouvelles intercommunalités… mais qui se fait au détriment des finances du contribuable urbain. Les recettes de fonctionnement ne font qu’augmenter, + 18,2 % entre 2015 et 2019 pour l’ensemble des métropoles françaises ; soit annuellement, 4,3 %. L’argent du contribuable coule à flot pour financer ce qui s’apparente à un gadget inutile. Avec la revalorisation des bases des impôts locaux, sur la période 2015-2019 les métropoles ont bénéficié d’une augmentationde 4,9 % du produit de la taxe d’habitation, des taxes foncières, ainsi que de la cotisation foncière des entreprises (CFE). Pour sa part, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) a progressé de 8,8 % entre 2014 et 2018. Des compétences floues mais bien financées… Comme pour la fusion des régions, les résultats et les objectifs visés ne sont pas au rendez-vous. Une fois de plus, une réforme territoriale crée des mastodontes peu efficaces mais onéreux et financés par des hausses d’impôts. Il serait temps que la France propose une réforme territoriale ambitieuse, qui supprime divers échelons de compétences. Communes, intercommunalités, départements, régions, tant de divisions qui ne font que multiplier le nombre d’élus et d’impôts. C’est l’ensemble de ce modèle qu’il convient de revoir. Sources : https://www.ccomptes.fr/system/file … https://www.courrierdesmaires.fr/92 … https://www.vie-publique.fr/fiches/ … — Sur le web Ces articles pourraient vous intéresser: Une démocratie assistée est-elle encore une démocratie ? L’échec de la fusion des régions doit nous servir de leçon Nouvelles régions : où sont passées les économies ? Dépenses publiques : l’art de faire payer les autres
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Néolibéralisme, le libéralisme autoritaire ?

Par Vilfredo Burgess. Le terme de «�libéralisme autoritaire Â» n’est pas neuf1, mais jouit d’une nouvelle actualité avec la parution d’un ouvrage traduit et présenté par Grégoire Chamayou aux éditions Zones intitulé Du libéralisme autoritaire, qui met face à face les textes de deux juristes de la République de Weimar, Carl Schmitt et Hermann Heller. Grégoire Chamayou considère que ces deux auteurs que tout oppose, l’un fasciste, l’autre antifasciste, l’un catholique et raciste, l’autre juif et antiraciste, pourraient éclairer la genèse du néolibéralisme, qu’il nomme « libéralisme autoritaire ». Un terme qui peut sembler oxymorique, car on s’est habitué, peut-être à tort, à identifier le libéralisme avec une réduction de la taille et du domaine d’intervention de l’État. Grégoire Chamayou souligne pourtant que cette réduction de la taille de l’État n’est pas incompatible avec une société répressive, qui dépolitise la société (par exemple en luttant contre les mouvements de grève et les syndicats) pour repolitiser l’État, réduit à ses fonctions régaliennes, et il croit en voir le modèle dans l’œuvre de Carl Schmitt, un modèle que personne, sauf la Nouvelle Droite et l’ultra-gauche, ne voudrait assumer. Pourtant, il nous paraît que ce rapprochement fait état d’une mécompréhension des conceptions divergentes de l’État dans la philosophie et plus encore dans le cadre de pensée intellectuel du néolibéralisme. Un terme vague, mais dont on croit comprendre qu’il se réfère au renouveau libéral qui a traversé les années 1970 et 1980 dans le contexte de l’ère Reagan-Thatcher, que l’on entend également parfois désignée sous le nom de « révolution conservatrice Â», ce qui ne fait qu’ajouter au flou conceptuel qui entoure la caractérisation politique de cette période récente en la rapprochant de l’autre période désignée généralement sous ce nom, à savoir les mouvements intellectuels de droite réactionnaire sous la république de Weimar (Oswald Spengler, Arthur Moeller van den Bruck, Ludwig Klages, Ernst Jünger et Carl Schmitt). Rappelons brièvement qui est Carl Schmitt. Nous renvoyons le lecteur à l’édition française de La Notion de politique, son ouvrage séminal, et à la préface qu’en a fait Julien Freund, pour une présentation plus exhaustive2. Carl Schmitt est, comme le rappelle du reste Grégoire Chamayou, un des plus importants juristes allemands du XXe siècle. Il est impliqué dans des débats politiques autour de la question de la sécularisation : en 1921, il défend dans Théologie politique que les concepts politiques sont tous des concepts théologiques sécularisés, et revendique une conception décisionniste de la souveraineté (« Est souverain celui qui décide en situation exceptionnelle. Â») qui le sépare nettement de la tradition libérale qu’il n’aura de cesse d’attaquer. Le politique (défini comme une « substance » qui innerve l’ « instance » de l’État) prend racine dans une situation extrême de conflit entre des « amis » et des « ennemis » qui a une valeur existentielle et qui prend forme dans la guerre. L’État libéral, note Schmitt, est un État pour lequel plus personne n’est prêt à mourir. Inspiré par l’anarcho-syndicaliste admirateur du léninisme Georges Sorel et ses Réflexions sur la violence, il voit dans ce phénomène la disparition du « mythe » de l’État3 dans une conception libérale, dépassionnée de l’État, envahi, selon lui, par d’autres dimensions secondaires (à commencer par l’économie). Ce désengagement de l’État de sa fonction mythique et existentielle se traduit par l’invasion de la morale dans la politique, par « la » politique en tant que pratique parlementaire, par opposition à la substance « du » politique. Cette perte du politique s’identifie pour Schmitt à la transformation du droit à la lumière des guerres du XXe siècle, la moralisation de la guerre par le pacte Briand-Kellogg et l’invention du concept de « crime contre l’humanité » après la Seconde Guerre mondiale, qu’il vilipende dans Le Nomos de la Terre comme des tentatives antipolitiques : il ne peut y avoir d’ennemi de l’humanité car l’humanité n’est pas un concept politique (elle ne saurait avoir d’ennemis hors d’elle-même). Les droits de l’Homme et le « droit-de-l’hommisme » sont la quintessence de cette tendance. Grégoire Chamayou reconnaît que l’État libéral fait une distinction entre État et société alors que l’« État total » prôné par Schmitt repose sur la fusion des deux. L’« État total » s’oppose radicalement à l’État de droit, qui considère des individus là où l’État total ne voit que des groupes, des unités organiques, le Volk. L’État de droit fonctionne à partir de règles abstraites. Il est fondé sur un type de pensée juridique articulé à la conception décisionniste schmittienne, et qu’il appelle la « pensée de l’ordre concret », dénoncée par Hayek comme une forme de constructivisme irrationnel dans Droit, législation et liberté4. L’État de droit, en résumé, garantit la séparation et la protection des attributions respectives des domaines de l’État et de la société civile. Cette distinction maintenue suppose aussi qu’on sépare ce qui est légal (et relève du droit positif) de ce qui est légitime (qui relève du droit naturel), selon un rapport des gouvernants au gouverné qui est régi par le consentement et plonge ses racines dans l’œuvre de Locke plutôt que de Hobbes. Hobbes est le modèle de Schmitt. Il lui a consacré un ouvrage en 1938, car il admire dans l’œuvre du philosophe anglais la résolution de cette dichotomie dans le décisionnisme dont fait preuve le souverain dans le Léviathan : aucune loi ne peut être injuste, tout ce qu’exprime le Léviathan fait droit. Cela ne revient pourtant pas à dire que Hobbes renie toute place au droit naturel : il maintient l’existence d’un droit de résistance individuelle, et l’analyse offerte entre autres par Yves Charles Zarka du processus de représentation dans Hobbes, où le souverain incarne la volonté du corps politique qui l’institue par le contrat comme un acteur dit un texte dont il n’est pas l’auteur, relativise grandement la lecture schmittienne. Mais Schmitt, qui n’est pas homme à s’embarrasser des subtilités du système de Hobbes, ayant érigé l’universalisme, le normativisme et le libéralisme en « fourberies de l’esprit juif »5, est tout à fait prêt à oblitérer tous les aspects individuels et libéraux de l’œuvre de Hobbes, certes contradictoire et parfois mal comprise ou lue sans attention, et toute possibilité de désobéissance civile, de résistance à l’oppression, qui sont des caractéristiques propres à l’État de droit, des mécanismes propres à le sauver de ses propres dérives6. Quand on a lu les auteurs libéraux et qu’on en vient à la critique violente (et parfois mensongère, au sujet de Hobbes) qu’en fait Schmitt, on ne comprend donc vraiment pas comment celui-ci peut avoir inspiré les penseurs du néolibéralisme. Dans Le Libéralisme conservateur. Trois essais sur Schmitt, Hayek et Hegel (éd. Kimé, 1993), Renato Cristi avait déjà fait un rapprochement qui va peut-être nous permettre d’y voir plus clair. Il y fournit une curieuse interprétation de Hayek : dans la mesure où les lois doivent être « abstraites et générales Â», elles ne sont pas incompatibles avec la coercition, pourvu que les individus soient informés des lois en vigueur. Dans l’abstraction de la norme peuvent se nicher toutes les inégalités (on voit venir les inégalités économiques) concrètes : elles ne touchent pas au droit. C’est assez cocasse de lire une telle critique de l’abstraction de la philosophie de Hayek comme la porte ouverte à toutes les fenêtres coercitives, car c’est exactement celle que fournit Rothbard dans L’Éthique de la liberté7. C’est pourtant mal comprendre l’œuvre de Hayek, qui entend abstraction comme la propriété émergente d’un processus évolutionniste de complexification de la société, dans laquelle la dispersion de l’information rend tout interventionnisme direct inefficace et illégitime. Inefficace parce que l’information est trop dispersée pour être centralisée, illégitime parce que la majorité ne peut donner son consentement, faire consensus, que sur des règles très abstraites et générales et non sur des commandements particuliers (on retrouve presque là, de façon très ironique, un argument de Rousseau). Faire de Hayek un défenseur des travaux publics et de la réduction de la société en esclavage sous couvert de règles abstraites est donc un contresens que les libertariens comme Rothbard et Hoppe sont les premiers à faire, mais qu’on n’attendait certes pas de la gauche, plus habituée à dénoncer le gouffre entre la garantie des libertés formelles (abstraites) et réelles, les premières permettant d’éviter de garantir les secondes, d’où la compatibilité possible entre un État libéral en principe et un État autoritaire dans les faits. Le tour de passe-passe est élégant mais il n’est pas fidèle aux textes et à la pensée des auteurs contre lesquels il est dirigé. C’est précisément la tentative d’imposer une égalité concrète qui serait autoritaire et coercitive8. Dans son ouvrage, Renato Cristi rapproche Schmitt et Hayek dans leur dénonciation du positivisme juridique. Selon lui, la cible principale de Schmitt n’est pas le libéralisme, mais la démocratie, et les critiques libérales de la démocratie formulée par Hayek ne serait que le miroir, et non le contraire, de la critique schmittienne. Nul doute que Grégoire Chamayou a mis ses pieds dans les chaussons d’une telle analyse. Le problème de la démocratie, selon Schmitt, est d’avoir politisé la société, d’avoir dépris l’État de son monopole de la politique, concentrée dans le domaine régalien. Ce n’est pas du tout la critique de Hayek. En passant, il est comique de vouloir faire de Hayek un partisan d’un État strictement régalien et autoritaire à la Schmitt alors que le mérite des critiques libertariennes est au moins de nous avoir pourvus d’une liste de tous les domaines non-régaliens dans lesquels Hayek croyait que l’intervention de l’État était légitime. La critique que Hayek fait de la démocratie, telle qu’elle est exprimée dans son Å“uvre la plus achevée, Droit, législation et liberté, est que « le pouvoir illimité est la conséquence fatale de la forme établie de démocratie Â» (Hayek 2007 : 620), qui résulte d’une forme de démocratie où règne la dictature des partis et où la politique devient un marché de droits-créances toujours plus invasifs pour l’individu, dans la mesure où chaque parti courtise minorité après minorité pour constituer son électorat et les arrose d’argent public une fois parvenu au pouvoir, au mépris des diverses procédures de limitations du pouvoir qui entravent cette course socialisante, laquelle bafoue l’intérêt public en faveur de son électorat, créant une « incitation Â» à la déresponsabilisation et à l’interventionnisme. L’analyse, grandement influencée par sa formation d’économiste, que Hayek fait de l’État, est plus voisine de l’école du Public Choice qui propose d’analyser l’État comme un acteur économique ayant ses préférences et ses « incitations » (nous traduisons le terme du vocabulaire économique incentive) comme un consommateur, et des ouvrages de James M. Buchanan, que de l’analyse irrationnelle, « mythique », « existentielle » de Schmitt. Dans son esprit comme dans sa lettre. L’irrespect de la suprématie du droit et de la limitation du pouvoir gouvernemental (la tradition de la rule of law) ont donc mené à une « démocratie totalitaire Â» (terme que l’on retrouve également sous la plume de Bertrand de Jouvenel), une forme de « dictature plébiscitaire Â» que Hayek dénonce comme une tyrannie des minorités alors que c’est cette dissolution de l’équilibre des pouvoirs parlementaires qu’appellent de leurs vÅ“ux Schmitt et ses thuriféraires de droite et de gauche. Quitte à trouver à Schmitt un autre ennemi que le libéralisme, il s’agit moins de la démocratie que du parlementarisme. Les universitaires, chercheurs, théoriciens qui cherchent à plaquer Schmitt sur Hayek commettent une confusion sur le sens de « démocratie Â», car ce qui est dénoncé dans la « démocratie Â» par les libéraux n’est pas le cache-sexe d’une défense de l’autoritarisme : au contraire, c’est bien parce que la démocratie se pervertit dans une forme de dictature de la masse que les libéraux la regardent avec une suspicion justifiée. La démocratie est moins considérée comme un processus de représentation que comme une procédure de sélection non-violente des gouvernants : Hayek n’a pas inventé cette idée, il la reprend à ses compatriotes Mises et Popper9, respectivement dans L’Action humaine et La Société ouverte et ses ennemis. Hayek souligne que ce danger de la démocratie était assurément bien compris des pères fondateurs américains et des auteurs des Cato’s Letters, qui ne sauraient être ni affiliés aux « néolibéraux Â» ni à une quelconque forme d’autoritarisme sans tomber dans le ridicule argumentatif complet. Cette crainte des pères fondateurs a encore récemment été analysée par Randall Holcombe dans Liberty in Peril et c’est un contresens sur le libéralisme, sur la démocratie et sur ce que Arendt appelle l’« esprit des lois américain » que d’y voir le cheval de Troie de l’autoritarisme. Il s’agit au contraire de protéger l’individu de la volonté générale, de lui faire sa place dans la vie de la société, au lieu de le dissoudre dans des collectifs. Nous serions donc bien surpris de voir comment l’individualisme de Hayek peut se réconcilier avec le holisme schmittien. On ne pourrait pas mieux dire que Hayek lui-même : « Ce n’est pas la démocratie, ni le gouvernement représentatif proprement dits, qui sont nécessairement corrompus ; ils sont rendus tels par l’institution que nous avons choisie, d’une ‘législature’ unique et omnipotente. » (Hayek 2007 : 636). La critique de Renato Cristi s’appliquerait sans doute mieux à certains conservateurs comme Erik von Kuehnelt-Leddihn et son Liberty or Equality. The Challenge of Our Time (The Caxton Printers, 1952) et peut-être à la dérive droitière de Hans-Hermann Hoppe (From Aristocracy to Monarchy to Democracy, Mises Institute, 2014) mais certainement pas à Hayek, qui a toujours, et à raison, renié cette étiquette. Peut-être serait-il, dans le même esprit, grand temps de rappeler la parenté bien plus grande de Pinochet, et même de Thatcher, avec le conservatisme, qu’avec le libéralisme, afin de mettre un terme à cette confusion. Renato Cristi (1993 : 73) critique la critique hayékienne de Schmitt, qui rapproche la « pensée de l’ordre concret Â» du positivisme juridique, alors que c’est ce positivisme que Schmitt critique. Il y voit un contresens. Pourtant, Hayek voit très bien dans Schmitt un travers commun à la « pensée de l’ordre concret Â» et au normativisme positiviste qu’il critique, à savoir la tentation identique d’imposer le primat du droit positif. Et il faut bien reconnaître que ce qui rapproche Kelsen et Schmitt est leur rejet, certes antithétique, du droit naturel. La critique de Hayek est donc parfaitement fondée, et prend place dans une critique plus large des perversions de la raison qui sort de son ordre en voulant prescrire ses lois à une société qu’elle ne peut comprendre (au sens étymologique) et qui mène, ultimement, à une forme d’irrationalisme parfaitement incarné par le « mysticisme Â» schmittien et son culte de l’Etat. Et nous citons encore cet auteur que personne ne semble lire correctement : « C’est ainsi que le constructivisme rationaliste, en cherchant à tout soumettre au contrôle de la raison, en donnant la préférence au concret et en refusant de se plier à la discipline des règles abstraites, se trouve marcher main dans la main avec l’irrationalisme. Â» (Hayek 2007 : 117-118). Voilà Schmitt et Kelsen contestés dans une seule phrase très claire. Dire ensuite, comme le fait Renato Cristi, que Hayek et Schmitt partagent une vision dépolitisée de la société, jouer sur des nuances de la pensée de Schmitt qui aurait cessé d’être décisionniste en 1933 (le moment où il publie un article intitulé « Le Fûhrer protège le droit Â», drôle de façon de s’éloigner du décisionnisme), consiste donc à sortir les textes de leur contexte et à lancer la signification des mots si haut dans les airs qu’on ne voit même plus de quoi on parle. Prétendre par exemple que Schmitt et Hayek partagent une vision purement négative du rôle de l’État est faux. Faux pour Hayek qui n’est pas un libertarien (contrairement à la vision biaisée que les intellectuels français en ont qui consiste à voir dans tout anticommuniste un libertarien et à mélanger dans cette appellation minarchistes et anarcho-capitalistes sous le terme fourre-tout et péjoratif « ultralibéral »), faux pour Schmitt, dont les passages les plus enflammés célèbrent l’État fort qui a le pouvoir de faire mourir pour lui les jeunes hommes dans la guerre, ce qui, on nous l’accordera, ne cadre pas parfaitement avec l’image d’un État n’intervenant pas dans la vie des individus. On veut faire de Schmitt un défenseur du pouvoir qui « laisse vivre Â» (selon la distinction de Foucault) des monarques, contre le pouvoir « biopolitique Â» qui s’immisce dans la vie sociale, méconnaissant la cohérence profonde de son engagement philosophique conservateur (et absolument pas libéral) et de son engagement politique nazi. Quant à savoir s’il s’agit de dénazifier Schmitt ou de nazifier Hayek, cela n’est pas très clair. Les élucubrations de Grégoire Chamayou prolongent, avec beaucoup moins de brio, les mêmes confusions et les mêmes sophismes. On continue allègrement de mélanger la critique hayékienne à la critique schmittienne de la démocratie et de faire innocemment comme si le terme de « politique Â» avait le même sens chez les deux auteurs. Mais l’objectif est plus clair : en ralliant Schmitt et Hayek sous la bannière des opposants à l’État-providence, remplacé par un « État total » super-régalien, Grégoire Chamayou transforme ses adversaires en nazis. L’argumentation qui consiste à dire qu’un État trop étendu fonctionne mal, ce qui n’est pas plus schmittien ou novateur que « l’eau mouille », est immédiatement nazifié, de même qu’il devient suspect d’écouter Rammstein le jour où l’on apprend qu’un criminel célèbre adorait ses chansons. C’est le procédé classique de la reductio ad hitlerum, saupoudré de respectabilité intellectuelle par des intellectuels toujours si rétifs au libéralisme qu’ils n’ont même pas la décence de lire et de citer les auteurs qu’ils critiquent (en l’occurrence Hayek, car les atomes crochus de l’ultra-gauche avec Schmitt sont plus qu’évidents). C’est pourtant un fait économique et historique qu’un État trop étendu fonctionne mal et détruit la société qu’il régit. Son extension10 croît en proportion de son inefficacité à intervenir partout, l’élévation du fardeau fiscal augmente la pression sur la classe productive, fait obstacle à la production de richesses, diminue en retour le revenu fiscal de l’État (selon l’effet Laffer que les lecteurs du contributeur Philippe Lacoude connaissent bien11) et incite à une production déchaînée de lois et de règlements pour donner une illusion de contrôle et de puissance (toute ressemblance avec une situation et des événements actuels est pure coïncidence). Les divergences économiques entre Hayek et Schmitt crèvent les yeux : le libéralisme nazi est un contresens complet, il s’agit d’un capitalisme d’État que défend Schmitt (et que Hayek, dans La Route de la servitude, renvoie justement dos à dos avec le capitalisme d’État soviétique), un monopole de la production laissé aux industriels. Autant dire que Mussolini était libéral parce que les squadristes brisaient les grèves, exactement comme Margaret Thatcher, n’est-il pas vrai ? Comme le dit l’universitaire Eddy Malou, « mais oui, c’est clair Â». Et comme ajoutait Georg Wilhelm Friedrich Hegel, « je vous l’avais bien dit Â». Le texte de Grégoire Chamayou est d’autant plus troublant qu’il retranscrit fidèlement l’antilibéralisme de Schmitt, écrivant par exemple avec justesse au sujet de la critique schmittienne de la démocratie : « Mais que reste-t-il alors au concept d’une démocratie authentique, non adultérée par le libéralisme ? Eh bien la dictature, avec Mussolini pour modèle. Â» Et il cite Schmitt écrivant que renoncer aux élections n’est pas anti-démocratique mais antilibéral, ce qui est en opposition complète avec la définition hayékienne de la démocratie comme mode de sélection pacifique des gouvernants. Grégoire Chamayou continue en montrant comment Schmitt refuse la tradition du « laissez-faire Â» en économie (l’économie doit aussi être soumise à la décision souveraine). On ne peut s’empêcher d’opiner du chef en lisant cette paraphrase, mais qu’est-ce que ça peut bien avoir à faire avec Hayek ? Grégoire Chamayou effectue un lien entre cette remise en cause du libéralisme classique et les racines de l’ordolibéralisme allemand. Pour ne rien arranger à la macédoine conceptuelle, il les appelle néolibéraux  allemands. Ça commence à devenir n’importe quoi. Puis son analyse de la crise de 1929 nous précipite dans le décor : ainsi donc les néolibéraux allemands des années 1930 ont analysé la crise de 1929 comme l’effet d’une intervention de l’État dans l’économie. Ils ne sont pas les seuls, a-t-on envie d’ajouter : c’est en fait l’analyse fournie par tous les économistes libéraux de la planète, qu’ils soient allemands ou américains, des années 1930 à aujourd’hui, et qui plus est, cette analyse s’applique tout aussi bien à la crise de 2008. Grégoire Chamayou écrit que cette analyse revient à parler d’une cause non-économique de la crise économique, comme si l’État n’était pas une entité économique, comme si les monopoles étaient des aliens dans la théorie économique. Et..
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samedi 26 décembre 2020

Salutations de Noël à nos frères et sœurs en cette Terre… - Par Ghaleb Kandil

Salutations de Noël à nos frères et sœurs en cette Terre… Au Levant arabe nous célébrons la naissance du Seigneur Jésus, nos pays étant fiers de la bénédiction que sont la diversité et le vivre ensemble, en dépit de toutes les souffrances et tragédies qui nous frappent depuis la Palestine jusqu'au Liban, la Syrie, l'Irak et le Yémen. Mais nous, nous tirons du message d'espoir de cet anniversaire les valeurs de sacrifice et de solidarité communs à l'humanité ainsi que les valeurs qu'implique notre appartenance à une même patrie et à un peuple arabe qui, en ce Noël, endure des souffrances venues de toutes directions, à commencer par les conséquences de l'occupation et agressions perpétuelles en terre de Palestine, tandis que notre Levant est assailli par un Occident arrogant à l'origine de toutes sortes de crises, témoignant de son inimitié par une série de sanctions économiques et de blocus politiques marquant une agression mondiale notamment sur la Syrie, le Liban et le Yémen. Par notre célébration de la naissance du Christ, nous affirmons notre fidélité à nos frères et sœurs chrétiens en cette terre et sur chaque grain de terre arabe, en Irak, en Syrie, en Palestine, au Liban et au Yémen ; cette fraternité étant notre destin et notre destinée. Source d'une magnifique créativité partagée, elle est aussi promesse d'endurance, de résistance et d'unité. Et, en cette occasion bénie, nous adressons nos meilleurs vœux aux chrétiens arabes vivant à nos côtés ou expatriés et, en particulier, à Celui dont nous célébrons la naissance pour son message d'amour et de fraternité. Un appel qui résonne encore aujourd'hui et qui dit : « Laissez les pauvres venir à moi ». Les infortunés ne sont-ils pas le sel de la terre ? N'ont-ils pas toujours été et ne sont-ils toujours pas la force qui lutte pour la justice et contre l'esclavage, pour tous les hommes et en tout lieu ? En ce Levant arabe, notre fraternité est un pacte de résistance contre l'oppression et l'esclavage par des envahisseurs et des colonisateurs visant à nous humilier en nous imposant leur hégémonie et en nous dépouillant de nos biens. Elle est aussi un pacte de lutte pour la renaissance et l'unité de tous nos pays ; le sens essentiel de cette fête de Noël s'incarnant dans notre solidarité avec la Palestine, berceau du Christ et symbole de l'oppression coloniale pour tous les Arabes libres et honorables. Une fête que nous célébrons dans un esprit d'unité avec nos frères chrétiens, accompagné d'une volonté de résistance et de persévérance jusqu'à ramener sur le sol de ce cher Levant tous ceux qui ont dû le quitter sans jamais avoir abandonné leur identité et leur appartenance, qu'ils soient chrétiens ou musulmans. Une fête dont nous profitons pour renouveler notre attachement à notre vivre ensemble ainsi qu'à notre lutte pour la libération et l'indépendance. Tel fut le pacte respecté par nos martyrs et tel est notre pacte indéfectible à leur égard ; un pacte de résilience et de résistance. En mon nom et au nom du New Orient News, je me réengage à respecter ce pacte en souhaitant le meilleur à nos frères chrétiens arabes pour l'année qui vient et bien d'autres à venir qui les verront libres, résistants et fiers de ce qu'ils sont. Ghaleb Kandil Directeur du Centre New Orient News (Liban) 25/12/2020 Traduit de l'arabe par Mouna Alno-Nakhal Source : New Orient News https://www.neworientnews.com/index.php/news-analysis/86614-2020-12-24-08-59-09
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Un Stonehenge allemand livre de nouveaux secrets

D’importantes découvertes archéologiques ont été faites cette année dans le village allemand de Pömmelte qui abrite un sanctuaire préhistorique ressemblant à Stonehenge. Des chercheurs ont notamment mis au jour des restes d’habitations humaines à proximité...
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De l’Atlantide et autres lieux

ALLAN ERWAN Berger� — Chronologiquement, l’Atlantide, ses habitants, ses rapports avec le voisinage, son ingenium (ses puissances et ses impuissances), c’est d’abord un ensemble de faits strictement africains (Hérodote, Diodore). Puis elle est utilisée comme une métaphore dans le conflit qui oppose l’Athènes antique et vertueuse à l’Athènes moderne et impérialiste – c’est cette Athènes prédatrice que l’auteur de la métaphore, le malicieux Platon, nommera « Atlantide ». À l’époque, les lecteurs comprenaient que Platon, à mots couverts, leur parlait de sa ville puissante et sourcilleuse, et qu’il avait déplacé son sujet dans les sables libyens par souci de ne pas avoir d’ennuis. Son récit fera même l’objet d’un pastiche par Théopompe, qui en avait saisi les vertus dénonciatrices. De l’Atlantide et autres lieux Mais très rapidement, l’humour et le second degré ne sont plus détectés. Philon d’Alexandrie, s’appuyant sur Platon, donnera à l’Atlantide ses lettres de noblesse en appuyant sur le côté spectaculaire de l’engloutissement dont elle fut victime. Alors se lève, prodigieuse aurore, le soleil du mythe atlante. C’est Tertullien, puis Amobe, qui énumèrent les catastrophes qui ont ensanglanté le monde. Parmi elles, voici l’Atlantide racontée par Platon, dont la métaphore n’est plus comprise, et prend maintenant deux rôles : celui de récit historique, certes, mais aussi, et c’est là que tout se complique, de sujet allégorique. C’en est trop, la culture populaire chrétienne n’est absolument pas capable de suivre, et voici un Cosmas Indicopleustès, barbouilleur de phrases officiant en Alexandrie, qui affirme que l’Atlantide, ennemie d’Athènes, a été engloutie tout simplement par le Déluge, et il invoque Moïse pour confirmer ses dires. ÃŽle gigantesque située dans l’océan, l’Atlantide fera fortune après la Renaissance. La découverte des Amériques lui conférera un crédit peu rencontré ailleurs : c’est armés de Platon et de la Bible que les explorateurs vont regarder ce nouveau continent, et Las Casas, l’homme de la fameuse controverse de Valladolid, pensera que l’Amérique est la preuve sur pied qu’une partie au moins de l’Atlantide n’a pas sombré. Du reste, si l’on en croit Frascatore (1530), les Indiens sont descendants de Noé, et l’on est bien certain qu’une au moins des dix tribus perdues d’Israël s’est établie sur ces rivages. Peu à peu l’Atlantide en vient à ne plus avoir sombré, tandis que ses observateurs dérivent de plus en plus haut dans la stratosphère, malgré un Acosta, malgré un Montaigne, tous deux plus que sceptiques et vaguement goguenards sur l’ampleur que prend tout ce fatras. Et ce n’est pas fini, car le délire empire avec l’émergence de diverses mouvances de ce que Pierre Vidal-Naquet nommera le « national-atlantisme Â» : espagnol (le Mexique est atlante, et appartient de droit à l’Espagne, de même que les Antilles qui sont les véritables Hespérides, d’ailleurs Atlas régnait du côté de Cádiz), puis suédois (Uppsala est la capitale des Atlantes, cela ne fait aucun doute, et la péninsule scandinave est le berceau de la postérité de Japhet, fils de Noé et père d’Atlas). La France n’est pas en reste : le véritable nom de Noé est Gallus, mais oui, ce qui démontre tout, et l’Atlantide fut donc française. Ou génoise. Plus tard, on situera l’Atlantide du côté de Petersbourg, ce qui vaut bien Madère ou les Canaries, en prenant toutefois la précaution de bien préciser que par « Mer rouge Â» il faut entendre « Océan atlantique Â» et que Platon est un penseur d’Inde. Vers le premier tiers du vingtième siècle après Jésus-Christ, qui était Atlante et non point Juif comme le vulgaire le croit, le mythe se national-socialise en se germanifiant un bon coup avec un certain Herrmann. Encore un peu et la ville d’Heligoland sera la capitale du seul et véridique peuple élu. Enfin, enfin ! après toutes ces inepties en quatre, huit, douze in-folio, voici un simple livret d’opéra : Der Kaiser von Atlantis, composé à Theresienstadt (actuelle République Tchèque) en janvier 1944 par un certain Peter Kien, musique de Viktor Ullmann. Le kaiser, qui répond au doux nom d’Overall, a tout d’Hitler, avec un peu du grotesque d’Ubu. L’Atlantide y est utilisée comme le symbole d’un empire totalitaire qu’il ne faut pas citer, mais Himmler, qui identifiait cette nation mythique à l’Allemagne, ne s’y trompe pas : Ullmann et Kien disparaissent à Auschwitz en octobre. C’est à peu près la dernière fois qu’on manipule l’Atlantide et, par un juste retour des choses, c’est pour lui faire endosser le costume de ses premières années, du temps où Platon la voulait métaphore. Pierre Vidal-Naquet nous retrace cette histoire dans un charmant petit livre édité aux Belles Lettres, et qu’il intitule, tout sobrement, L’Atlantide. Mais qu’en est-il, au juste, des Atlantes ? Peuple habitant l’Atlas marocain (Hérodote) ; peuple de Libye voisin et victime des Amazones d’Afrique, à ne pas confondre avec les Amazones du Pont (Diodore de Sicile). Les Amazones d’Afrique, nous dit ce dernier auteur, « sont plus anciennes que les autres et les ont surpassées par leurs exploits. Â» Qu’on en juge : « Vers les extrémités de la terre et à l’occident de l’Afrique habite une nation gouvernée par des femmes, dont la manière de vivre est toute différente de la nôtre, car la coutume est là que les femmes aillent à la guerre, et elles doivent servir un certain espace de temps en conservant leur virginité. Quand ce temps est passé elles épousent des hommes pour en avoir des enfants, mais elles exercent les magistratures et les charges publiques. Les hommes passent toute leur vie dans la maison, comme font ici nos femmes et ils ne travaillent qu’aux affaires domestiques, car on a soin de les éloigner de toutes les fonctions qui pourraient relever leur courage. Dès que ces Amazones sont accouchées, elles remettent l’enfant qui vient de naître entre les mains des hommes qui le nourrissent de lait et d’autres aliments convenables à son âge. Si cet enfant est une fille, on lui brûle les mamelles de peur que dans la suite du temps, elles ne viennent à s’élever, ce qu’elles regardent comme une incommodité dans les combats et c’est là la raison du nom d’Amazones que les Grecs leur ont donné. On prétend qu’elles habitaient une île appelée Hespérie parce qu’elle est située au couchant du lac Tritonide. Ce lac prend, dit-on, son nom d’un fleuve appelé Triton, qui s’y décharge. Il est dans le voisinage de l’Éthiopie au pied de la plus haute montagne de ce pays-à, que les Grecs appellent Atlas et qui domine sur l’océan. L’île Hespérie est fort grande et elle porte plusieurs arbres qui fournissent des fruits aux habitants. Ils se nourrissent aussi du lait et de la chair de leurs chèvres et de leurs brebis dont ils ont de grands troupeaux, mais l’usage du blé leur est entièrement inconnu. Les Amazones, portées par leur inclination à faire la guerre, soumirent d’abord à leurs armes toutes les villes de cette île, excepté une seule qu’on appelait Méné et qu’on regardait comme sacrée. Elle était habitée par des Éthiopiens Ichtyophages, et il en sortait des exhalaisons enflammées. On y trouvait aussi quantité de pierres précieuses comme des escarboucles, des sardoines et des émeraudes. Ayant soumis ensuite les Numides et les autres nations africaines qui leur étaient voisines, elles bâtirent sur le lac Tritonide une ville qui fut appelée Cherronèse à cause de sa figure. Ces succès les encourageant à de plus grandes entreprises, elles parcoururent plusieurs parties du monde. Les premiers peuples qu’elles attaquèrent furent, dit-on, les Atlantes. Ils étaient les mieux policés de toute l’Afrique et habitaient un pays riche et rempli de grandes villes. Ils prétendent que c’est sur les côtes maritimes de leur pays que les dieux ont pris naissance, et cela s’accorde assez avec ce que les Grecs en racontent ; nous en parlerons plus bas. Myrine, reine des Amazones, assembla contre eux une armée de trente mille femmes d’infanterie et de deux mille de cavalerie, car l’exercice du cheval était aussi en recommandation chez ces femmes à cause de son utilité dans la guerre. Elles portaient pour armes défensives des dépouilles de serpents, l’Afrique en produit d’une grosseur qui passe toute croyance. Leurs armes offensives étaient des épées, des lances et des arcs. Elles se servaient fort adroitement de ces dernières armes, non seulement contre ceux qui leur résistaient, mais aussi contre ceux qui les poursuivaient dans leur fuite. Ayant fait une irruption dans le pays des Atlantides, elles vainquirent d’abord en bataille rangée les habitants de la ville de Cercène, et étant entrées dans cette place pêle-mêle avec les fuyards, elles s’en rendirent maîtresses. Elles traitèrent ce peuple avec beaucoup d’inhumanité afin de jeter la terreur dans l’âme de leurs voisins, car elles passèrent au fil de l’épée tous les hommes qui avaient atteint l’âge de puberté et elles réduisirent en servitude les femmes et les enfants ; après quoi, elles démolirent la ville. Le désastre des Cercéniens s’étant divulgué dans tout le pays, le reste des Atlantes en fut si épouvanté que tous, d’un commun accord, rendirent leurs villes et promirent de faire ce qu’on leur ordonnerait. La reine Myrine les traita avec beaucoup de douceur. Elle leur accorda son amitié et en la place de la ville qu’elle avait détruite, elle en fit bâtir une autre à laquelle elle fit porter son nom. Elle la peupla des prisonniers qu’elle avait faits dans ses conquêtes et des gens du pays qui voulurent y demeurer. Cependant les Atlantes lui apportant des présents magnifiques et lui décernant toutes sortes d’honneurs, elle reçut avec plaisir ces marques de leur affection et leur promit de les protéger. Â» Les Amazones tourmentaient jadis les Atlantes. N’est-ce pas merveilleux ? Mais dites donc, puisqu’elles habitaient les montagnes courant du nord du Maroc jusqu’en Algérie, en trouverait-on des traces aujourd’hui ? Eh bien d’après moi, oui. Improprement appelés Libyens, Maures, Gétules ou Garamantes, les Berbères se nomment eux-mêmes les Imazighen, ou peuple Amazigh, et leur langue, le tamazight, est parlée jusque chez les Berbères de Kabylie, région où Hérodote voyait jadis les tribus des Maces ou Mazices, qui comprenaient les Atlantes, dit-il. Bref. Joyeux Noël. Ci-dessous, portrait d’une jeune Amazone de Kabylie, auteure d’un joli ouvrage sur l’intégration que je vous recommande. FIN
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vendredi 25 décembre 2020

Covid : Quand le Gouvernement veut pérenniser un régime carcéral généralisé pour la population

N’oublions pas que ce n’est qu’apparemment abandonné. Ce texte pourrait bien être remanié de façon plus digeste mais néanmoins contraignant. Il ne faudrait que le recul annoncé, soit pour prendre un nouvel élan. Merci Confucius. Partagez ! Volti ******* Par Karine Bechet-Golovko pour Russie-Politic Le Premier ministre a déposé à l’Assemblée nationale un projet de loi pérennisant la gestion de […]
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Un autre modèle de données erroné de l’Imperial College est à l’origine du dernier confinement au Royaume-Uni

La source derrière l’affirmation qu’une nouvelle souche COVID-19 au Royaume-Uni est 70% plus contagieuse, le Dr Erik Volz de l’Imperial College, admet que le modèle qui a produit cette statistique est défectueux et qu’il est « trop tôt pour dire » si...
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L’image du jour…

Principe de précaution ? Puisque ce principe n’est appliqué pour ce vaccin expérimental, qui devrait être évalué avant d’être mis sur le marché, s’attendent-ils à des chocs anaphylactiques nombreux ? Nos anciens ont «�une vie résiduelle Â», d’après Laurent Alexandre, présumé médecin. D’autant que CNN, média non complotiste, avertit « Ne vous alarmez pas si des personnes commencent à mourir après avoir […]
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jeudi 24 décembre 2020

Le Conseil pour un capitalisme inclusif avec le Vatican, une nouvelle alliance de dirigeants d'entreprises mondiales, démarre aujourd'hui

A tous ceux qui recherchent la vérité. LE CONSEIL RÉPOND AU DÉFI LANCÉ PAR LE PAPE FRANÇOIS D'APPLIQUER LES PRINCIPES DE MORALITÉ AUX PRATIQUES COMMERCIALES ET AUX PRATIQUES D'INVESTISSEMENTS LES ORGANISATIONS S'ENGAGENT À PRENDRE DES MESURES CONCRÈTES POUR CRÉER UN SYSTÈME ÉCONOMIQUE PLUS ÉQUITABLE, PLUS DURABLE ET PLUS FIABLE NEW YORK, 8 décembre 2020 Le Conseil pour un capitalisme inclusif avec le Vatican (« le Conseil »), un nouveau partenariat historique entre certains des plus grands leaders (...) - Guerres impériales
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La NASA réalise une téléportation quantique à longue distance pour la première fois

La première téléportation quantique à longue distance a récemment été réalisée par un groupe de chercheurs nord-américains. Selon eux, cette avancée promet de révolutionner le stockage et le transfert des données et ouvre la voie à une nouvelle ère de...
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Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19

Encore des arguments contre ce vaccin ARNm. Partagez ! Volti ****** Source Jean Dominique Michel A n’en pas douter, c’est envers et contre tout Noël ! Après le texte remarquable du Dr Frédéric Badel, qu’il m’a donné à publier hier sur ce blog, c’est aujourd’hui la contribution de mon confrère anthropologue Jacques Pollini, chercheur associé à l’Université Mc Gill de […]
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mercredi 23 décembre 2020

Impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants: un constat clinique alarmant selon une quarantaine de psychologues

Résumé Des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie dressent un constat alarmant au sujet des impacts traumatiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants. Décrivant leurs observations, ainsi que les symptômes...
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Interdiction des drones : victoire totale contre le gouvernement (LQDN)

Le Conseil d’État vient d’exiger que la préfecture de police de Paris cesse sa surveillance par drones des manifestations (voir sa décision). Allant encore plus loin que son interdiction de mai dernier, la plus haute juridiction administrative est particulièrement virulente contre l’utilisation de drones en manifestation, laissant peu de place au gouvernement pour autoriser ceux-ci dans sa PPL Sécurité Globale. Le rapport de force s’inverse enfin�: engouffrons-nous dans la brèche ! Comme nous le racontions, à la suite de la première interdiction exigée par le Conseil d’État en mai dernier, la préfecture de police de Paris a continué à utiliser les drones pour surveiller, notamment, les manifestations. Nous avons été donc forcé·es de former un nouveau recours contre cette surveillance illégale, recours que nous venons donc de gagner devant le Conseil d’Etat. La préfecture de police avait tenté, pour contourner l’interdiction faite par le Conseil d’État d’utiliser des drones, d’ajouter un dispositif de floutage par intelligence artificielle. Aujourd’hui, le Conseil d’État a entièrement rejeté cette tentative grotesque d’esquiver la loi. La préfecture de police est donc enjointe d’arrêter immédiatement le déploiement de drones en manifestation. Le Conseil d’État va même plus loin et dénonce le dispositif dans son essence : « le ministre n’apporte pas d’élément de nature à établir que l’objectif de garantie de la sécurité publique lors de rassemblements de personnes sur la voie publique ne pourrait être atteint pleinement, dans les circonstances actuelles, en l’absence de recours à des drones Â». En droit des données personnelles, si l’utilité d’un dispositif de surveillance n’est pas clairement démontrée, il ne peut jamais être autorisé (en matière de données sensibles, telles que les opinions politiques captées en manifestation, il faut même que le dispositif soit « absolument nécessaire Â» au maintien de l’ordre). En dénonçant l’absence d’une telle preuve, le Conseil d’État prive donc l’article 22 de la proposition de loi Sécurité Globale de tout fondement. Cette décision du Conseil d’État est une double claque pour le gouvernement : non seulement les drones sont interdits, mais le gouvernement a perdu toute légitimité juridique à vouloir les autoriser dans la loi (à moins d’apporter l’impossible preuve d’une « nécessité absolue Â»). Après de longues semaines douloureuses à subir une série de projets autoritaires et de violences en manifestation, il se pourrait que le rapport de force commence enfin à s’inverser, le camp sécuritaire connaissant sa première défaite majeure. L’année 2021 commencera dans cette optique et, avec vous, nous vaincrons ! Pour documenter la lutte, nous détaillons ci-dessous l’ensemble du débat juridique contre le gouvernement qui, commençant il y a 6 mois, a conduit à la victoire d’aujourd’hui. Premier confinement : le déploiement sauvage de drones déclaré illégal En avril 2020, alors que la France connaissait un premier confinement , nous documentions comment les différentes forces de police en profitaient pour mettre à l’essai un usage totalement sauvage et opaque des drones. La tentation sécuritaire derrière cette initiative était très forte et assumée : celle de surveiller tout, tout le temps, par des moyens toujours plus intrusifs. C’est début mai, suite à un article de Mediapart qui avait obtenu des détails sur les drones parisiens, que nous attaquions en urgence cet usage aux côtés de la Ligue des droits de l’Homme dans la ville de Paris. Au-delà de ce cas particulier, le but de ce recours était d’obtenir une décision de justice démontrant l’illégalité de l’ensemble des déploiements de drones. Le Conseil d’État nous a donné raison. Par une ordonnance de mai 2020, il enjoignait ainsi à la préfecture de police de Paris de cesser d’utiliser ses drones pour faire respecter les mesures sanitaires. Le juge estimait que les drones, en l’absence de tout encadrement, portaient atteinte aux libertés fondamentales et devaient être interdits. Si la décision de mai ne concernait que les drones utilisés à Paris pour faire respecter les règles propres au confinement, le raisonnement affiché par le Conseil d’Etat pouvait être utilisé de façon plus large et s’appliquer contre tout type d’usage. Ce qui n’a pas empêché le préfet Lallement de l’ignorer de façon délibérée. Les manifestations : nouveau terrain de surveillance par drones Avec l’assouplissement des mesures sanitaires et la ré-autorisation des manifestations, la préfecture de police ne s’est pas privée d’utiliser les drones pour surveiller ces rassemblements. Cet usage n’était pas nouveau (les manifestations de gilets jaunes ont quelquesfois été surveillées par drones avant le confinement), mais il venait cette fois-ci violer frontalement la décision du Conseil d’État qui venait de déclarer leur utilisation illégale quelques semaines plus tôt. C’est grâce à votre aide que nous avons pu documenter cet usage par la préfecture de police : en juin, juillet, septembre, octobre. Lors de la procédure, la préfecture de police n’a jamais contesté cette utilisation systématique des drones en manifestation. Surtout, si cette surveillance des manifestations restait illégale, elle questionnait l’usage des drones sous un angle nouveau : les opinions politiques n’ont pas à être surveillées. C’est pour cela que nous avons déposé un nouveau recours en urgence devant le Tribunal administratif de Paris. Le floutage des personnes : un artifice dangereux Grâce à cette nouvelle procédure, il nous a été révélé que la préfecture de police de Paris a tenté de contourner la première ordonnance de mai en mettant en place un dispositif de floutage par intelligence artificielle : une fois captées, les images des drones étaient transmises à un serveur chargé de flouter les personnes, avant de retransmettre les informations (images floutées et non-floutées) au centre de commandement de la police. Mediapart analysait en novembre les documents de la préfecture tentant de justifier et d’expliquer ce procédé. Ce dispositif de floutage, réversible et soumis au seul bon vouloir de la police, était une tentative grossière de la préfecture de police de tromper les juges. Le Conseil d’État, contrairement au tribunal administratif de Paris, n’est pas tombé dans le piège : le rapporteur public1 estimait à l’audience que la préfecture de police avait commis une erreur de lecture de l’ordonnance de mai et que le fait de flouter les personnes souligne le problème intrinsèque aux drones : ce genre de dispositif a bien une capacité très importante de surveillance et un floutage a posteriori n’enlève rien à cela. La CNIL doit mettre fin à la mauvaise foi de la police Cette affaire met en lumière l’incroyable mauvaise foi de la préfecture de police qui, durant toute la procédure, a tenté de sauver son dispositif à l’aide d’indignes pirouettes, faisant ainsi évoluer sa doctrine d’utilisation des drones au gré des débats1, ou n’hésitant pas à contredire de manière éhontée ses propres documents quand nous les retournions contre elle pour appuyer l’illégalité du déploiement des drones. La préfecture de police est en roue libre et il est fondamental de mettre fin à cette impunité. Le préfet de police a par exemple attendu près de deux mois pour appliquer (faussement vient de dire le Conseil d’État) la décision de mai. Combien de temps lui faudra-t-il cette fois-ci ? La CNIL doit passer à l’action et sanctionner les forces de police nationale et de gendarmerie qui continuent d’utiliser des drones ou des hélicoptères pour surveiller les manifestations ou faire appliquer les règles sanitaires. Nous lui avons mâché le travail, à elle de prendre le relais. Cette nouvelle interdiction des drones intervient alors que la proposition de loi Sécurité Globale a déjà été votée en première lecture à l’Assemblée nationale et arrivera à la rentrée devant le Sénat. Après les critiques des rapporteur·es des Nations Unies de la Défenseure des droits et de 188 organisations, et les manifestations qui ont eu lieu partout en France contre ce texte, son rejet est d’autant plus important. Non seulement cette loi légalise les usages policiers de drones et accentue une fois de plus la pression sécuritaire sur les citoyen·nes, mais elle fait également fi de la protection la plus élémentaire des libertés fondamentales.   Source : Laquadrature.net   Informations complémentaires : Crashdebug.fr : Une réforme discrète et hop ! la France est revenue à l’Ancien Régime (Reporterre.net) Crashdebug.fr : Crise du Covid-19 : la technopolice profite de la stratégie du choc (LQDN) Crashdebug.fr : Loi sécurité globale : surveillance généralisée des manifestations (LQDN) Crashdebug.fr : Identité numérique : des députés appellent l'Etat à accélérer (Les Echos.fr) Crashdebug.fr : Des Français toujours plus fichés ? (DECRYPTAGE)          
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L'exécutif renonce à imposer la vaccination obligatoire (Le Figaro.fr)

Ce n'est que reporté, espérons qu'à l'occasion de ce couac, les français(es) comprendront enfin les vraies motivations de notre gouvernement. Olivier Véran, le ministre de la Santé, sur la plateau de TF1 ce mardi soir. GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP Par�Marion Mourgue Face aux protestations suscitées par un texte qui réservait au premier ministre la possibilité d'imposer une obligation vaccinale de fait, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a reporté sine die l'examen du projet. C'est un projet de loi - surprise pour beaucoup, y compris au sein du gouvernement - qui a créé la polémique. Présenté en Conseil des ministres, lundi, par le premier ministre, Jean Castex, le texte instituant « un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires Â» a été déposé quelques heures plus tard, en procédure accélérée, à l'Assemblée nationale. L'objectif du texte, selon le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, était de « nous préparer à la fin de l'état d'urgence sanitaire, le 1er avril 2021 Â» et d'« établir un cadre juridique durable face aux crises sanitaires Â». À lire aussi :Le projet de loi présenté par Jean Castex pouvait-il rendre le vaccin contre le Covid-19 obligatoire? Mais face à la levée de boucliers des oppositions, de droite comme de gauche, le gouvernement, par la voix d'Olivier Véran, le ministre de la Santé, a décidé de retirer le projet de loi controversé. Il l'a annoncé mardi soir, sur le plateau du «20 Heures» de TF1. « La vaccination ne sera pas obligatoire. C'est une mauvaise polémique venue du Rassemblement national (…). Dans le contexte que nous connaissons, le gouvernement va proposer de reporter le texte de plusieurs mois », a déclaré le ministre. Source : Le Figaro.frInformations complémentaires : Crashdebug.fr : Faisons reculer le gouvernement (NDA) Crashdebug.fr : Le Défi de la vérité : François Asselineau, président de l'UPR (FranceSoir) Crashdebug.fr : Libertés et vaccin contre le Covid-19 : « C’est la dictature sanitaire ! » et « les Français doivent se réveiller » (Sputnik) Crashdebug.fr : Mesures de rétorsion envers ceux qui refusent le vaccin : Marion Maréchal met en garde contre le projet liberticide du gouvernement (VA) Crashdebug.fr : Quel sera le véritable coût des vaccins pour la France ? (UPR) Crashdebug.fr : Comment fonctionne l'hypermarché médiatique pour orienter vos votes ? (UPR) Crashdebug.fr : Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés (Bastamag.net) Crashdebug.fr : Le Défi de la vérité : Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine (FranceSoir) Crashdebug.fr : Le Défi de la vérité : Christian Perronne, ses premiers mots après sa mise à l'écart (FranceSoir) Crashdebug.fr : Mal traités - Covid-19, le documentaire choc Crashdebug.fr : Covid-19 : une députée du Nord propose "un passeport vert" pour les vaccinés (BFMTV) Crashdebug.fr : Prise d'otages de nos libertés fondamentales (FranceSoir) Crashdebug.fr : Une réforme discrète et hop ! la France est revenue à l’Ancien Régime (Reporterre.net) Crashdebug.fr : Loi sécurité globale : surveillance généralisée des manifestations (LQDN) Crashdebug.fr : Identité numérique : des députés appellent l'Etat à accélérer (Les Echos.fr) Crashdebug.fr : Des Français toujours plus fichés ? (DECRYPTAGE) Crashdebug.fr : Faisons reculer le gouvernement (NDA) Crashdebug.fr : Europe : « J'accuse », par Philippe de Villiers (Le Figaro) Crashdebug.fr : Reiner Fuellmich, avocats et médecins contre l'arnaque du Covid-19 Crashdebug.fr : Résistance Mondiale (Silvano TROTTA) Crashdebug.fr : Richard Boutry, ancien présentateur TV | La désinformation et la perte de nos libertés (NTDF) Crashdebug.fr : C'EST CASH ! - Licenciements, chômage : est-ce vraiment la faute du Covid ? (RT) Crashdebug.fr : Bourse au Quotidien - Mais arrêtez ce complotisme anti-vaccin ! (Publications Agora) Crashdebug.fr : Grand Reset : Christine Lagarde lance l'euro numérique - Politique & Eco 278 avec Olivier Delamarche (TVL) Crashdebug.fr : Vont-ils piocher dans L’ÉPARGNE des gens ? (Grand Reset et discours de Bruno Le Maire) Crashdebug.fr : LA SOCIÉTÉ SANS NUMÉRAIRE de 2020 : Le coronavirus fait basculer la société vers l'identification numérique « sans contact » et la monnaie numérique (Activistpost.com) Crashdebug.fr : [VOSTFR] Le grand reset et le forum économique mondial Crashdebug.fr : L’anticomplotisme, nouvel opium des intellectuels (France-Soir) Crashdebug.fr : Forum économique mondial : Le "Davos numérique 2021" va révéler l'"Initiative de la Grande Réinitialisation" (Great Reset Initiative)        
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mardi 22 décembre 2020

Covid-19: Ces scientifiques assassinés ou morts dans des circonstances étranges

La mort récente du scientifique russe Alexander « Sasha » Kagansky, s’ajoute à la liste croissante des personnes engagées dans la recherche sur les coronavirus qui meurent dans des circonstances mystérieuses. Alexander Kagansky travaillait sur un vaccin...
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Opération "Crossword", 1945 : quand les Alliés voulaient collaborer avec les Nazis contre l'armée soviétique - par Karine Bechet-Golovko

Opération "Crossword", 1945 : quand les Alliés voulaient collaborer avec les Nazis contre l'armée soviétique Alors que la Seconde Guerre mondiale est devenue un enjeu géopolitique, devant permettre 75 ans plus tard aux Etats-Unis, après la chute de l'URSS, de réécrire l'histoire pour devenir les "sauveurs" exclusifs du monde libre, la Russie publie régulièrement des documents d'époque rappelant les faits, rappelant l'histoire. Dernier en dates, un télégramme chiffré rendu public par le Renseignement extérieur prouvant la tentative par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne de signer une paix séparée et de collaborer avec l'Armée nazie, qui devait en contrepartie continuer le combat contre l'Armée soviétique. L'Opération "Crossword", appelée "Sunrise" par les Américains, a été connue par les Soviétiques grâce au Renseignement et court-circuitée. Mais cela fait des épisodes peu glorieux, dont les Alliés préfèrent ne pas se souvenir. Et ne pas trop parler. Car, finalement, la collaboration de l'Occident avec les SS était tout à fait acceptable lorsqu'elle servait les intérêts politiques. A l'occasion des 100 ans du Renseignement extérieur russe, un ouvrage est sorti mettant à disposition du public un certain nombre de documents déclassifiés, notamment en ce qui concerne l'Opération "Crossword" menée par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne au printemps 1945, visant à sortir du jeu, en soutenant l'armée nazie contre les Soviétiques. Alors que le Renseignement surveillait les tentatives des nazis d'entrer en contact avec les Alliés, au printemps 1945, ce sont les Etats-Unis, avec le soutien des Britanniques, qui initient en Suisse à Zurich des négociations avec certains représentants de l'armée nazie. Ainsi, le 6 mars 1945, Allen Dulles, qui est à la tête du réseau de renseignement de l'Unité des services stratégiques (avant la CIA), rencontre le général SS Karl Wolff, qui commande l'armée allemande en Italie. Il s'agit de négocier une paix séparée en Italie, sans l'URSS. Ce plan est soutenu par Harold Alexander, qui commande l'armée alliée en Italie. Bien que la volonté de se rendre ait été largement surévaluée, des signes avant-coureurs existaient. Notamment, la réserve d'or prise par l'armée américaine à Bruxelles, avait été déposée dans une mine protégée par les nazis, 36 heures avant l'arrivée de l'armée américaine, par le vice-directeur de la Banque du Reich. Le 12 avril, le Renseignement soviétique informe par télégramme chiffré la direction du pays, et des tentatives de pour-parlers séparés visant à cesser les combats en Italie tout en utilisant l'armée nazie pour empêcher l'entrée de l'Armée soviétique à Berlin, et des "transferts de fonds". Un échange de courriers s'en est suivi entre Staline et Roosevelt, qui d'abord niait les faits, bien que lorsque Molotov ait demandé à ce que l'URSS soit inclue dans ces pour-parlers, il ait reçu une fin de non-recevoir. Mais lorsque Staline a fait comprendre que le Renseignement possédait des preuves, la discussion fut close, autant que les tentatives. Il serait bon que ces éléments soient également diffusés en anglais, français, etc., afin de compenser la propagande active, qui se développe en Occident. Car finalement, la collaboration avec les Nazis n'a jamais été perçue, alors, par les Alliés, comme une ligne rouge à ne pas dépasser. Et l'utilisation, ensuite, des anciens nazis dans le combat contre l'URSS est une preuve, en plus des accords passés avant la guerre. Karine Bechet-Golovko mardi 22 décembre 2020 Russie politics
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Covid-19: Jean Castex dépose un projet de loi visant les libertés des non-vaccinés

L'horreur est en marche Le premier ministre Jean Castex a déposé ce 21 décembre un projet de loi n 3714 qui affecterait la liberté et l’égalité si d’aventure ce projet était voté. Quelques députés LREM gênés sans doute par l'obscurantisme de ce projet...
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lundi 21 décembre 2020

« les séquences VIH dans le SARS-CoV-2 ne sont pas un hasard »… Le professeur Luc Montagnier persiste et signe dans un entretien avec France-Soir …

� « Ce sont des apprentis-sorciers Â» Luc Montagnier   Résistance 71   21 décembre 2020   Le prix Novel de médecine 2008  l’avait déjà dit il y a 6 ou 7 mois ; de nouvelles recherches, notamment avec une équipe de mathématiciens, viennent renforcer ses convictions précédentes ; il y a eu manipulation génétique du SARS-CoV-2 […]
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Le Billet du LUPUS : Le calendrier de l’Avent ne nous dit rien sur l’Agenda de l’Après.

Le calendrier de l’Avent ne nous dit rien sur l’Agenda de l’Après.1918 Vous connaissez tous, mes deux aphorismes préférés : «�Si le Présent éclaire le Passé, le contraire n’est pas vrai, alors […]
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Sécession US : Mise à jour de la situation, 20 décembre – Le stratagème de mauvaise direction – Comment tout saisir sans utiliser l’armée

Mise à jour de la situation, 20 décembre – Le stratagème de mauvaise direction – Comment tout saisir sans utiliser�l’armée Posted le 20 décembre 2020 par mirastnews  Faits saillants du podcast Mise à jour de […]
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dimanche 20 décembre 2020

“Très inquiet”, le Syndicat National des Médecins Hospitaliers demande la levée de la sanction contre le Pr Perronne

“Le SNMH-FO est très inquiet de ce qui se passe, en ce moment, au regard de questions aussi fondamentales que la liberté de pensée, la liberté d’expression. Et, particulièrement pour ce qui nous concerne, dans le domaine de la médecine, la liberté de...
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Vaccin: Le prix Nobel de médecine Luc Montagnier met sérieusement les gens en garde

Le professeur Luc Montagnier, co-lauréat du prix Nobel de médecine en 2008 pour avoir découvert le virus du sida, au micro de Richard Boutry (FranceSoir). « Si les gens acceptent le vaccin à ARNm, c’est une erreur. On risque d’avoir des effets absolument...
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Le patron de Pfizer fête Hanoukka après avoir reçu le feu vert final pour distribuer son vaccin contre le covid à travers les USA

“Le PDG de Pfizer, fils de survivants de la Shoah, allume les bougies de Hanoukka”, titre fièrement Times of Israël. Le Monde Juif en fait également l’objet d’un article. Avant d’être reprise par des médias alternatifs et sites dissidents que la police...
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samedi 19 décembre 2020

La charte de confidentialité sur les différents prix des vaccins a sauté. Voici les prix à l'unité

Les prix des vaccins anti-Covid et met la Commission européenne dans l’embarras « Je voulais être transparente, peut-être un peu trop transparente », a déclaré Eva De Bleeker, alors que ce tableau des prix était censé rester confidentiel. Une ministre...
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Lettre ouverte aux journalistes de France et d’ailleurs

Proposé par Le Passeur que je remercie. Partagez ! Volti ****** Auteur Le Passeur pour Urantia-Gaïa-Info Je m’adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d’ailleurs, mais surtout à celles et ceux d’entre vous qui se sentent très mal à l’aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître […]
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Un Exécutif vraiment trop positif !

Un petit sourire avec ce texte acidulé et ô combien d’actualité. Partagez ! Volti ****** Par H16 pour Hastable ( Petites chroniques désabusées d’un pays en lente décomposition…) Il ne reste plus qu’une paire de semaines pour achever cette année 2020 fort pénible, mais ce n’est pas une raison pour échapper à quelques nouveaux rebondissements�: on apprend soudainement qu’Emmanuel Macron, […]
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vendredi 18 décembre 2020

L'horreur: Une députée propose « un passeport vert » pour les personnes vaccinées !

Valérie Six, députée UDI, a proposé le 16 décembre 2020 la mise en place d’un « passeport vert » pour les personnes vaccinées, qui leur permettrait de pouvoir aller au restaurant ou d’entrer dans des lieux culturels. Selon elle, imiter cette mesure prévue...
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« Report du rapport du DNI au centre de toutes les tractations! » L’édito de Charles SANNAT

À quoi allons nous assister d’ici le 20 janvier 2021 ? Ça s’agite fortement et, à vouloir éviter le pire, il n’est pas certain que ça aboutisse au meilleur tant les enjeux sont importants. Partagez ! Volti ****** Par Charles Sannat pour Insolentiae Mes chères impertinentes, chers impertinents, Je vous disais hier, que Trump, ne faisait pas et ne ferait […]
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jeudi 17 décembre 2020

Ils se moquent de vous – L’UNICEF utilise la symbolique de la femme écarlate apocalyptique pour « promouvoir » le vaccin Covid-19

« Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. » (Apocalypse 17:5) Et voilà que … Lire la suite →
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Covid-19: une députée du Nord propose "un passeport vert" pour les vaccinés (BFMTV)

De la fiction il y a 6 mois, à la réalité aoujourd'hui, ce que ne dit pas cette députée, c'est que si vous voulez travailler il faudra aussi certainement cette carte verte, ou le 'passeport' ce que vous voudrez. Le discours étant : la vaccination n'est pas obligatoire mais si vous voulez exercer une activité professionnelle, voyager ou aller au restaurant on pourra vous demander de prouver que vous avez été vacciné. La députée Valérie Six a évoqué ce mercredi à l'Assemblée nationale un "passeport vert" qui permettrait aux personnes vaccinées de fréquenter restaurants ou lieux de culture. Un passeport pour accéder aux activités culturelles et au restaurant. C'est l'idée qu'a avancée ce mercredi à l'Assemblée nationale la députée de la 7ème circonscription du Nord, Valérie Six, s'inspirant de ce qui se pratique en Israël. "Nous pourrions prendre exemple sur l'Israël, qui octroie à chaque personne vaccinée, un passeport vert leur permettant de se rendre dans les lieux de culture, au restaurant, en définitive de retrouver une vie normale", a-t-elle ainsi déclaré. La députée du groupe UDI estime que cela inciterait les Français à se faire vacciner et ferait "prendre conscience que la vaccination permet de se protéger soi-même, mais également autrui". "Transparence" et "confiance" Le Premier ministre Jean Castex a annoncé ce mercredi que les premières vaccinations contre le Covid-19 auraient lieu "dès la dernière semaine de décembre", mais pas avant "la fin du printemps" pour la population non prioritaire, et promis la "transparence" pour susciter la "confiance". Un sondage Elabe pour BFMTV publié le 9 décembre dernier, a indiquait que 52% des Français déclaraient qu'ils ne se feraient pas vacciner contre le coronavirus. La France a entamé mardi 15 décembre un prudent déconfinement tout en maintenant ou ajoutant des restrictions sanitaires. Un couvre-feu est ainsi entré en vigueur à partir de 20h tous les jours. Et les cinémas, théâtres et musées resteront fermés au moins jusqu'au 7 janvier. Source : BFMTV.com Information complémentaire : Crashdebug.fr : L'avenir de votre « passeport d'immunité » commence à se concrétiser alors que les compagnies aériennes réclament des systèmes de suivi des identités numériques (TLAV) Crashdebug.fr : COVI-PASS : Bientôt un passeport santé pour pouvoir circuler ou se rassembler ? (Nexus.fr) Crashdebug.fr : Ça commence : Essai pour le passeport COVID chez United Airlines au Royaume-Uni (Dailymail.co.uk) Crashdebug.fr� : Une agence de voyage britannique boycotte Qantas en raison de sa politique "Pas de vaccin, pas de vol" (Summit.news) Crashdebug.fr : L'Afrique va devenir un terrain d'essai pour le système d'enregistrement des vaccins et de paiement « Trust Stamp » (Mintpressnews.com) Crashdebug.fr :  Identité numérique : des députés appellent l'Etat à accélérer (Les Echos.fr) Crashdebug.fr : Malgré le recours déposé par la Quadrature du Net le système de reconnaissance faciale Alicem verra bien le jour (Siecledigital.fr) Crashdebug.fr : L'esclavage en cours décrit par Kennedy jr Crashdebug.fr : CRISE : "Ils sont complètement cinglés" (Planetes360) Crashdebug.fr : L’Unité 8200 a pris le contrôle de la planète…
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