Que les choses soient claires : cette crise financière n’a strictement rien à voir avec la pandémie de #Coronavirus mais plutôt avec une gestion catastrophique totalement débridée et sans aucun garde-fou depuis la dernière grande crise des subprimes de 2008. Les banksters vont essayer de camoufler leur faillite via le prétexte de la pandémie alors qu’il n’en est rien. KRACH – Les bourses vivent une nouvelle journée noire, enregistrant des chutes records.
Le spectre d’une récession affole les marchés, malgré les décisions prises par les banques centrales pour amoindrir l’impact économique du nouveau coronavirus. Vers un second krach boursier en moins d’une semaine : les places boursières dévissent une à une ce lundi, les marchés accueillant avec scepticisme les décisions prises par les pouvoirs publics aux quatre coins du monde pour essayer d’enrayer l’impact économique de la crise sanitaire. La panique est telle qu’à la bourse de New York, les échanges ont été suspendus peu après l’ouverture. En cause : la dégringolade du S&P 500, cet indice qui représente les 500 plus grandes entreprises de Wall Street.Au moment de la suspension, le S&P 500 s’effondrait de 8,14%, le Dow Jones de 9,71% et le Nasdaq, à forte coloration technologique, de 6,12%. La cotation a fini par reprendre, dans l’après-midi, sans que cela ne freine la chute du Dow Jones, qui atteignait 11,84% en début d’après-midi.« Même en 2008 où nous étions proches d’un cataclysme, les mouvements étaient différents » La bourse de New York n’est pas un cas isolé : la Bourse de Francfort a plongé à 10% en séance, avant de finir la journée à 5,31%.À Paris, c’est un lundi noir qui se dessine : vers 13h35, l’indice CAC 40 s’effondrait de 471,88 points à 3.646,48 points… Photo d’illustration : capture écran
La rédaction de LCI 16/03/2020
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