mardi 1 novembre 2016

Nucléaire : La France choisit de multiplier par 100 le taux de référence en cas d’urgence !

Nucléaire : La France choisit de multiplier par 100 le taux de référence en cas d'urgence !

GRAVISSIME ! Lisez bien ce communiqué de presse de la CRIIRAD, c’est sidérant ! Vous verrez l’importance qu’ont nos vies pour le pouvoir et  ces autres salopards qui sont en train de vous faire de l’œil pour accéder au trône en mai 2017.

Mettez-le vous bien dans le crâne, cette information vous le prouve par A+B :  Nous ne sommes rien pour eux que des matricules, des statistiques, des chiffres dans des colonnes. Nous ne sommes vivants que lorsqu’ils ont besoin soit de nous flatter ou de nous manipuler pour obtenir notre consentement, soit de nous écraser lorsque nous leur crions que nous existons.

Nos existences, nos souffrances, nos problèmes : ils s’en foutent. Ils se foutent que ces ploucs sans-dents vivent ou meurent, vous en avez la preuve ci-dessous :

BON SANG, RÉVEILLEZ-VOUS !

La France choisit les niveaux de risque les plus élevés possible pour la gestion des urgences radiologiques et de leurs conséquences

EXTRAITS

La France est en train de transposer en droit national les dispositions de la directive 2013/Euratom.
Pour la gestion des situations accidentelles et post-accidentelles, la directive européenne demande aux États de fixer des niveaux de référence. Il s’agit de déterminer quel niveau d’exposition aux rayonnements ionisants sera pris en référence pour décider de la nécessité d’engager (ou pas) telle ou telle action pour protéger la population.

Par exemple, à partir de quel niveau de risque, les habitants des zones contaminées pourront espérer être indemnisés et relogés dans un environnement sain ? Et donc, en deçà de quelle valeur seront-ils condamnés à vivre en zone contaminée… ou à partir en abandonnant tous leurs biens et sans bénéficier d’aucune aide ?
…/…

Pour chacune de ces phases, les autorités françaises ont retenu la borne supérieure de l’intervalle :100mSv pour la phase d’urgence et 20 mSv pour les 12 mois suivants (et pour les années suivantes rien ne garantit que ce niveau de référence ne sera pas reconduit). Ces valeurs s’appliquent à tous, y compris les nourrissons, les enfants et les femmes enceintes !

Rappelons qu’en situation normale, la limite maximale de dose applicable au public est de1mSv/an et que cette valeur correspond déjà à un niveau de risque élevé : si 66 millions de Français recevaient une dose de 1 mSv, cette exposition provoquerait en effet, à terme,plus de 11.000 cas de cancer (sur la base du facteur de risque de la CIPR) et probablement plus de 22.000 cancers radio-induits (sur la base du facteur de risque non pondéré de la CIPR)1, sans compter toutes les pathologies non cancéreuses, les malformations et les maladies génétiques.

Si l’on multiplie ces chiffres par 20 ou par 100, les niveaux de risque retenus par les autorités donnent le vertige.

Et il faut ajouter que ces valeurs ne sont pas des limites de dose, c’est-à-dire des valeurs à ne pas dépasser, mais de simples références de dose, beaucoup moins contraignantes : une partie de la population pourra être exposée à des doses supérieures sans que cela constitue une infraction.

ACCÉDER AU COMMUNIQUE DE PRESSE INTÉGRAL (pdf) :

http://www.criirad.org/euratom/16-09-27_cp_consult-transposition.pdf

 

Source : Lesbrindherbes.org

Informations complémentaires :

 

 

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