mardi 23 août 2016

Des sénateurs de gauche déposent une proposition de loi en faveur du cumul des mandats

Des sénateurs de gauche déposent une proposition de loi en faveur du cumul des mandats

Quoi que l'on fasse, ils détournent la loi à leur avantage, voir vidéo ci dessous. La solution, vous la connaissez... N'attendez pas de « leader », le pouvoir corrompt, et le pouvoir total corrompt totalement...

Petit rappel :

Le terme démocratie (du grec ancien δημοκρατία / dēmokratía, aujourd'hui souvent interprété comme « souveraineté du peuple », combinaison de δῆμος / dêmos, « peuple » et κράτος / krátos, « pouvoir », ou encore kratein, « commander ») désigne le régime politique dans lequel le peuple a le pouvoir (avec la distinction à faire entre la notion de «peuple» et celle plus restrictive de « citoyens » : en effet la citoyenneté n'est pas forcément accordée à l'ensemble de la population). La première démocratie connue est la démocratie athénienne avec comme bases primordiales l'assemblée générale des citoyens et le tirage au sort en politique.

Alors, où est-ce que vous avez vu que le peuple avait le pouvoir dans nos sociétés ? Le pouvoir d'élire tout les sept ans des pantins qui sont pré-sélectionnés par les élites ?

Ils changent jusqu'à la définition des mots pour que l'on ne puisse pas nommer le mal, c'est comme dans le roman de George Orwell 1984.

Prenez-vous en mains.

Amicalement,

f.

Fini, le cumul des mandats. C'était une promesse de campagne de François Hollande. Promesse tenue, depuis le vote d'une loi interdisant le cumul des fonctions exécutives locales avec un mandat de député ou de sénateur en 2014. Mais pour son application, il faudra attendre 2017. Le temps pour certains élus de tenter de la faire passer à la trappe. A droite, Nicolas Sarkozy a ainsi fait déposer une loi annulant le non cumul. Une position qui dépasse visiblement les frontières partisanes, puisque le 8 août des sénateurs de gauche (PS et PRG) ont eux aussi déposé un texte allant dans ce sens. Sur la liste des signataires, on compte notamment Luc Carvounas, proche de Manuel Valls, ou encore Jean Noel Guerini (sénateur des Bouches-du-Rhône depuis 17 ans, président du conseil général pendant 16 ans). Selon eux, la réforme territoriale entreprise depuis le vote de la loi sur le non-cumul, a changé la donne. Pour ne pas perturber la mise en œuvre des réformes qui vont chambouler la carte de France, mieux vaut que chacun reste à sa place. Ils proposent ainsi qu'un parlementaire élu à une fonction exécutive locale après la loi sur le cumul puisse continuer à cumuler jusqu'à la fin de son mandat local. Et ils précisent, rassurons-nous, que leurs indemnités seraient alors plafonnées.

 

Source : Libération.fr

Informations complémentaires :

 

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