Plus c'est gros, plus ça braque ?
L'article du Figaro est assez ironique, utilisant le conditionnel pour son titre « Le Brexit pourrait 'appauvrir pour toujours' le Royaume-Uni ». La suite du papier est du même tonneau, notant que le gouvernement a « choisi d'adopter l'hypothèse la plus pessimiste de développements, qui reposent largement sur l'inconnu ». En effet, même un rapport de PricewaterhouseCoopers, commandé par un organisme patronal unanime contre la sortie, conluait qu' limpact pourrait atteindre 3,1 à 5,5% du PIB d'ici à 2020. Mieux, « après cette date, l'étude prévoit une disparition des effets de turbulences engendrés par un Brexit et un rattrapage progressif d'ici à 2030 d'une large partie du manque-gagner par rapport au maintien dans l'UE ». En clair, à horizon 2030, l'impact négatif serait finalement très limité !
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