« Merci patron ! » : le film qui fait vaciller l'homme le plus riche de France
Bonjour, j'espère que vous allez bien. Pour ma part, j'ai beaucoup lu et posé pas mal de questions à droite et à gauche, et j'ai isolé deux choses qui peut-être pourraient expliquer notre faible présence sur Google. Je ne peux jurer de rien, mais j'ai corrigé, on verra dans les jours et les semaines qui viennent si cela à un impact positif. En attendant, voici un film que je voulais vous présenter. On en a parlé dans la Revue de presse, mais je profite de ce dimanche pour vous passer l'article de Basta en pleine page. Si notre contributeur anonyme fait une Revue de presse, je vous la passe plus tard, En attendant, bon dimanche à vous toutes et tous, ; ) Amicalement, f.
David peut-il encore l'emporter contre Goliath ? Des pieds nickelés picards faire tanguer la multinationale LVMH, premier groupe de luxe au monde, et effrayer son PDG, Bernard Arnault, l'homme le plus riche de France ? Le premier film de Fakir, « Journal fâché avec tout le monde ou presque », sort en salle le 24 février. Un film-remède à la morosité ambiante, à gauche, dans les syndicats, les entreprises, les villages, les chaumières... Qui redonne un peu de sourire, d'espoir, donne l'exemple et libère la parole. Jocelyne et Serge Klur fabriquaient des costumes Kenzo à Poix-du-Nord, près de Valenciennes. Mais leur usine délocalisée en Pologne, ils se sont retrouvés au chômage, criblés de dettes… « On doit vivre avec 4€ par jour pour nous trois, c'est l'assistance sociale qui a calculé le budget ! » Une intervention en assemblée générale des actionnaires suffira-t-elle à régler leurs soucis ? Du suspense, de l'émotion, de la rigolade, et même de l'espionnage pour ce thriller social…
A l'automne 2012, François Ruffin, rédac' chef du journal Fakir, s'est lancé dans une course poursuite humoristique avec Bernard Arnault, l'homme le plus riche de France. Presque par inadvertance, ça a tourné au film d'espionnage. Des quiproquos incroyables. Au vu de cette récolte, l'équipe de Fakir a alors fait le choix de sortir de son « ghetto », de démarcher un producteur « normal », Mille et Une Productions (« Le Cauchemar de Darwin », « Les Chèvres de ma mère »). Puis un distributeur « normal », Jour2Fête (« Free Angela », « Les Rêves dansants », « Des abeilles et des hommes »). Mais pour la première fois en quinze années d'existence, Mille et Une Productions a vu son dossier refusé par le Centre National du Cinéma, le CNC, et 80.000 euros d'aides leur être refusées. Grâce à une collecte réussie sur une plate-forme de financement participatif, le film a pu être achevé. Et tourne désormais dans les salles ! Pour être informés des avant-premières et projections, c'est par là.
Source : Bastamag.net
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