jeudi 26 novembre 2015

Comment Daech A Pris Notre Économie En Otage !


Evidemment la croissance va baisser et « c’est pas fini » !!


Insolentiae / Décryptage impertinent, satirique et humoristique de l’actualité économique

Selon une note du Trésor, le PIB français pourrait perdre à court terme 0,1 point, soit deux milliards d’euros (première évaluation réalisée par les services de Bercy).

Sauf qu’en réalité ce sera bien pire que cela et que le coût de ces attentats va être monumental car il va toucher directement la consommation des ménages qui représente entre 60 et 70% du PIB français en fonction des modes de calcul et va provoquer un carnage dans les rares secteurs pourvoyeurs d’emplois.

Pourquoi ?

Parce que cette « guerre » va durer et que pour le moment nous sommes sur une très basse intensité. Il n’y a pas d’émeutes en banlieues, pas d’explosions tous les jours, ou encore pas à ce jour une radicalisation massive ou une montée des haines entre communautés. Cependant si l’escalade n’est évidemment pas à souhaiter, elle est parfaitement envisageable tant nous dansons sur un volcan y compris idéologique.

Tout peut donc s’embraser. En clair, je pense qu’hélas, nous avons plus de « chances » de voir la situation s’aggraver que s’améliorer et voir la société française aller vers l’harmonie et la félicité entre ses différentes composantes.

Si j’espère de tout coeur que le meilleur sortira de ce drame, je suis plus qu’inquiet de la tournure que prennent les événements.

Je vous laisse imaginer la « tête » de notre croissance économique si les attentats devaient se poursuivre voire s’amplifier ce qui serait hélas logique au fur-et-à mesure que l’Etat Islamique subira les coups de boutoirs des aviations française et russe (surtout russe évidemment). A ce rythme les djihadistes seront plus à l’abri à Molenbeeck ou à Saint-Denis qu’en Syrie.

L’Etat Islamique n’est pas un Etat. Ses membres peuvent à tout moment se répartir dans les flots de migrants et semer une pagaille sans nom dans des pays occidentaux à 100% de leur capacités sécuritaires.
Dans un tel scénario, je vous assure que la croissance française déjà bien mal en point sombrerait aussi vite que le chaos s’installerait.

N’imaginez pas que ce soit impossible pour vous rassurer. Parce qu’il y a 15 jours, aucun de vous n’imaginait (et moi le premier) qu’aujourd’hui nous serions dans un pays sous « état d’urgence ».

Préparez-vous, il est déjà trop tard !

source : « Finalement les attentats font baisser la croissance!…» L’édito de Charles SANNAT / Insolentiae

lundi 23 novembre 2015

Naufrage Diplomatique : Le Front Al-Nosra (Allié anti-Assad de Fabius en Syrie) Approuve Les Attentats De Paris !



Al Nosra, l’étrange allié de la diplomatie française

Accueil - Mondafrique

Laurent Fabius est en ce moment très malheureux. Voilà que, pris d’un excès de lucidité, Hollande est en marche pour briser sa si jolie politique étrangère. Ne vient-il pas, comme on tire la poignée de secours, de demander au Conseil de Sécurité de fédérer la « Communauté internationale » contre Daech ?

La France, faisant semblant de ne pas perdre la face, pourrait alors faire un énorme pas de côté et rejoindre le camp du bon sens : les gens de Daech ne sont pas vraiment des types fréquentables. En revanche, pour Fabius, leurs collègues d’Al Nosra (petit nom d’Al Qaïda en Syrie) étaient jusqu’au aujourd’hui des gens admirables, des guerriers de la démocratie faisant du « bon boulot ». Patatras, voilà que ces admirables barbares, dans un communiqué, viennent d’approuver l’action exemplaire de leurs collègues de Daech engagés dans les attentats du vendredi 13. Laurent, il est temps de rendre ton tablier pour retourner faire du cheval. Pour le remplacer il semble que Guigou soit en selle… Ca ne peut pas être pire.

Pour les lecteurs curieux, voilà ce que Mondafrique a déjà publié sur Al-Nosra/Al-Qaïda et le ministre des Affaires étrangères de la France.



Fabius, un bombardier à géométrie variable.


Est-ce l’effet de son statut d’intermittent du sommeil -et par conséquence intermittent de l’éveil- que notre ami Fabius ne se souvient plus très bien de ce qu’il dit ? Qu’il a la mémoire qui flanche ? Un article du Monde, publié de 2 octobre nous en apprend une bien belle : Fabius Laurent approuve ce que Laurent Fabius réprouve, le bombardement des djihadistes d’Al-Nosra. Voilà comment Le Monde nous présente la chose. Aux Nations Unies, à New York, à l’occasion du sommet mondial des chefs d’Etats réunis pour l’Assemblée plénière, John Kerry discute avec son équivalent russe Sergeï Lavrov. Il s’agit de faire la police de l’air afin que les avions de chasse de la « coalition » ne se heurtent pas à ceux de Moscou, voire de Tel Aviv…

Mis au courant de la volonté de Poutine d’en finir avec les fous de Dieu, informé aussi de la conversation entre Kerry et Lavrov, Fabius ouvre un œil et lance « Si c’est Daech et Jabbat Al-Nosra qui sont visés, alors les frappes russes sont les bienvenues » ! Le réveil a-t-il sonné trop brutalement, faisant dérailler la langue diplomatique de « Fafa » ? Toujours est-il que nous voilà subitement loin de la ligne tenue pendant une longue période où il s’agissait à tout prix de faire passer Al-Nosra, autrement dit Al-Qaïda, pour des enfants du bon Dieu.


« Du bon boulot »


En guise de piqûre de rappel je vous suggère ce petit résumé de ce qu’était la position de la France jusqu’à ces bombardements russes. Nous sommes en décembre 2012 : « La décision des États-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, a été vivement critiquée par des soutiens de l’opposition. M. Fabius a ainsi estimé, mercredi, que « tous les Arabes étaient vent debout » contre la position américaine, « parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot ». « C’était très net, et le président de la Coalition était aussi sur cette ligne », a ajouté le ministre. »

La lecture de cet extrait du quotidien Le Monde –encore-là quotidien de référence, c’est le cas de la dire- indique que la France fait tout ce qu’elle peut pour empêcher qu’Al-Nosra, la branche d’Al-Qaïda en Syrie, soit inscrite sur la liste noire de l’ONU, celle qui désigne les organisations terroristes. Dès le « printemps » de Damas, Nicolas Sarkozy alors à l’Elysée, s’engage à fond pour que Bachar Al-Assad soit balayé. L’arrivée des socialistes au pouvoir, en mai 2012, augmente encore la haine de Paris pour le régime syrien : tout rebelle doit être considéré comme un saint. Peu importe s’il est le monstrueux enfant de Ben Laden. Ce qui est le cas de tous les combattants d’Al-Nosra.

Courrier marocain


Au grand dam de Fabius, Washington, qui ne peut faire moins dans un pays marqué par les attentats du 11 septembre, décide unilatéralement de déclarer terroristes ces djihadistes pourtant si utiles. En coulisse le Quai d’Orsay mobilise afin d’épargner l’infamie à cette composante « rebelle ». La preuve ? Nous la détenons par un courrier envoyé par la délégation marocaine à l’ONU à son ministère de tutelle à Rabat. La lettre du 29 avril 2013 est classée « Confidentiel/Très urgent », elle est signée de Mohamed Loulichki, l’ambassadeur du Maroc auprès des Nations Unies.

Le courrier fait état d’une demande de la Syrie auprès de l’ONU, intervention qui met visiblement la France dans tous ses émois : Damas vient de sommer l’ONU de placer Al-Nosra sur la liste des organisations terroristes… Le courrier diplomatique marocain rapporte l’embarras de Paris qui « considère politiquement inconcevable de s’opposer à l’inscription d’Al-Nosra sur la liste des sanctions. Toutefois il est important pour la France qu’une telle inscription s’opère à travers des canaux autres que la Mission syrienne et de couper l’herbe sous les pieds de la Syrie qui a toujours assimilé l’opposition syrienne à des groupes terroristes ».

Que faire pour éviter l’opprobre à Al-Nosra-Al-Qaïda, organisation bien vue de Fabius ? Toujours selon le courrier marocain, Paris a imaginé une réplique qui est le « résultat de plusieurs semaines de négociations ». La ruse, qui a été approuvée par le Royaume Uni, consiste à ajouter discrètement le nom d’Al-Nosra à la liste des sanctions qui frappe Al-Qaïda en Irak. Ainsi l’initiative de Bachar serait contrée et les « rebelles » aimés de Paris moins stigmatisés…

Cette lettre de l’ambassadeur du Maroc continue d’être instructive quand on li sous la plume de l’excellence la position de Riyad face à une mise au pilori d’Al-Nosra : « L’Arabie Saoudite nous a déjà communiqué ses craintes quant à la perspective de l’inscription d’Al-Nosra et son instrumentalisation pour établir un lien entre le terrorisme et les pays qui soutiennent les groupes armés de l’opposition syrienne ».  Cette phrase mérite une traduction un peu plus brutale, avec des circonvolutions Riyad dit  la chose suivante : « Impossible de stigmatiser Al-Nosra alors que nous soutenons, armons et finançons ce groupe. Impossible qu’il soit dit et écrit que nous sommes des alliés du terrorisme ».

Petits arrangements


Finalement, le 31 mai 2013, La France de Fabius va perdre le match, l’ONU couche Al-Nosra sur sa liste noire. Avec des sursauts encouragés par Paris les « rebelles » tentent en permanence d’en être rayés. Ainsi, en septembre 2014, quand Al-Nosra libère 45 Casques bleus qu’il détient en otage, le Quai d’Orsay appuie discrètement la demande des élèves de Ben Laden qui exigent, en échange, d’être retirés de la « Liste des sanctions ».

Le « deal » n’a pas marché. Mais le même John Kerry, bien longtemps après Fabius et le ministre des Affaires étrangères du Qatar, va finir à son tour par approuver « le bon travail d’Al-Qaïda en Syrie. Oublions donc tous ces moments d’égarement, Fabius comme le Secrétaire US a une ligne politique en béton. Ce ne sont pas les girouettes qui tournent. C’est le vent.

En attendant, comme on ne change pas une équipe qui gagne, Hollande a reçu ce mardi 17 novembre l’excellent premier ministre du Qatar, un homme qui connait parfaitement le terrorisme. Puisque son pays le finance.

Al Nosra, l'étrange allié de la diplomatie française - Mondafrique

jeudi 19 novembre 2015

De Charlie Aux Attentats De Paris : Christiane Taubira En "Demi-Fronde" Contre Hollande et Valls









Après les attentats de Charlie Hebdo Hollande jugeait C.Taubira "en dessous de tout"


Attentats Paris : Un Directeur Du Renseignement Dénonce "une intelligence avec l’ennemi"

Eric Denécé. Directeur du Centre français de recherche sur le renseignement


«Nos services n’ont pas reçu d’ordre contre les extrémistes français de retour de la Syrie»


Ancien officier des services de renseignement français et actuellement directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), Eric Denécé parle dans cet entretien des aspects qui ont favorisé le renforcement de la capacité de nuisance des terroristes. L’un de ces aspects, explique-il, est la politique française envers la Syrie.


Des extrémistes français se trouvent parmi Daech et Al Qaîda en Syrie et en Irak. Quelle menace pour la France ?

Eric Denécé : C’est une menace importante contre laquelle nous agissons trop timidement. Nos services n’ont pas reçus d’ordre des autorités pour agir contre ces ressortissants français qui sont au sens propre des criminels et des traîtres, collaborant avec des ennemis de la France, responsables d’attentats.

Il s’agit bien d’une intelligence avec l’ennemi et nous ne pouvons objectivement accepter que de tels individus reviennent en France commettre des actions ou répandre le fiel de leur idéologie haineuse.

Ne croyez-vous pas que la politique prônée par le président François Hollande envers la Syrie favorise la menace terroriste contre la France ?

Elle y contribue indéniablement. Mais les attentats d’hier à Paris montrent que malgré notre soutien irresponsable à l’opposition djihadiste de Bachar El Assad et notre silence sur la guerre d’agression de l’Arabie saoudite au Yémen, les terroristes frappent quand même la France. C’est l’illustration horrible mais parfaite des errements complets de notre politique étrangère qui est sans vision, sans compréhension.

En soutenant, finançant et armant les «rebelles» en Syrie, certains Etats ne sont-ils pas en train de renforcer la capacité de nuisance des terroristes ?

Bien évidemment. En particulier l’assistance que continuent à prodiguer aux djihadistes syriens l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie ne vont faire que prolonger le conflit et renforcer ces groupes qui connaissent de sérieux problèmes depuis le début de l’intervention russe. C’est une fuite en avant irresponsable de la part de ces trois Etats qui voient leur stratégie contrée par l’entrée en jeu de Moscou.

Bachar ne tombera pas, et ça, ils ne le supportent pas. Le jeu des Américains est aussi particulièrement ambigu. Récemment encore, Zbigniew Brzezinski, l’ancien conseiller à la sécurité nationale de Jimmy Carter disait, à propos de Jabhat Al-Nosrah « si les Russes continuent à bombarder nos gars, il faut qu’Obama riposte » !

Quelles conséquences sur la sécurité mondiale ?

Le risque principal est un durcissement de la position russe à l’encontre des acteurs régionaux, surtout si Moscou découvrait que des missiles antiaériens sont fournis délibérément aux Takfiris ou que le soutien aux islamistes radicaux du Caucase s’accroît.

Les Etats à l’origine de ce type d’action auraient alors du souci à se faire. Mais la vraie question est : comment réagirait ensuite les Américains. Pour le moment, les relations entre Moscou et Washington - malgré les discours destinés à l’opinion - sont moins antagonistes que les médias le disent. Le risque est donc pour l’instant mesuré.

L’ingérence militaire étrangère en Libye n’a-t-elle pas favorisé l’extension du terrorisme dans plusieurs pays, dont la France ?

Bien sûr, les erreurs n’ont pas commencé avec François Hollande, mais avec Nicolas Sarkozy et l’intervention en Libye, qui a crée le chaos en Afrique du Nord et au Sahel.

Rappelons également que l’Occident dans son ensemble, dont la France, a reconnu le régime illégitime si ce n’est illégal de Morsi et des Frères musulmans en Egypte et a initialement condamné l’intervention de l’armée pour les chasser du pouvoir.

Pour ce qui est de la guerre en Syrie, les projecteurs sont braqués sur les négociaitions de Vienne. Que peut-on attendre de cette rencontre ?

C’est difficile à dire, car plusieurs pays campent sur leurs positions. la France et le Royaume-Uni réclament toujours obstinément le départ de Bachar, et la Russie et l’Iran ne remettront jamais en cause leur soutien à Damas.

Les Américains eux-mêmes sont pessimistes à l’orée de ce nouveau round de discussions. Mais cela ne veut pas dire que des progrès vers une solution sont impossibles.

Sofiane Abi source:  «Nos services n’ont pas reçu d’ordre contre les extrémistes français de retour de la Syrie» - Actualité - El Watan

(cache google d'ElWatan qui a depuis retiré l'article...étrange)

dimanche 15 novembre 2015

Carnage À Paris : "ils nous ont dit que c'est à cause de François Hollande qu'ils nous tuaient!"

http://rmc.bfmtv.com/emission/attaques-a-paris-ils-nous-ont-dit-que-c-etait-a-cause-de-francois-hollande-qu-ils-etaient-la-930031.html



Nos morts sont insupportables, nous n’aurions pas du supporter vos guerres !


Le choc des barbaries mis en oeuvre partout dans le monde par des politiciens cyniques, n’épargne donc pas la France car elle y contribue ostensiblement.

Ces tragiques événements ne surviennent pas dans un ciel serein. Ils étaient parfaitement prévisibles et prévus. Les mises en garde ont été nombreuses mais elles n’ont pas été écoutées.

Ces attentats qui ont provoqué la mort et les blessures de tant d’innocents en France sont abominables, nous condamnons sans réserve tous les meurtres d’innocents, comme nous les condamnons partout où ils se produisent dans le monde, quelque soit la couleur de la peau ou la religion des victimes.

Les centaines des milliers de morts innocents en raison des guerres de tout type organisées par la France et ses alliés occidentaux, depuis des décennies ont des conséquences tout aussi dramatiques et insupportables.

Avec tous les hommes de bonne volonté, nous nos affligeons devant tant d’horreurs, nous les dénonçons mais sans en camoufler les causes comme le font les puissants et leur presse qui cherchent à occulter l’analyse et la compréhension des faits sous un flot d’émotions feintes.

Le terrorisme n’est pas tombé du ciel, il a été sciemment construit et nul n’ignore qui le met en scène, qui le manipule au gré de son intérêt et surtout qui le finance, hormis les ignorants volontaires.

Il n’y a jamais de paix sans justice.

Comme après « Charlie » nous allons assister à un déferlement de passions parmi lesquelles se feront entendre encore plus, le nationalisme, le racisme et l’islamophobie. Désigner, un ennemi commun, un bouc émissaire pour faire diversion est le projet de toute oligarchie qui veut faire corps autour d’elle en période de crise. Les fascistes de Daech sont le miroir des impérialistes et de leurs forces spéciales encore bien plus meurtrières.

Nous ne ferons pas de comptabilité macabre, nous n’exprimerons pas de compassion sélective avec les fauteurs de guerres. Les guerres sont toujours menées par des tyrans pour leurs intérêts de tyrans sur les dos des peuples.

Toutes sortes de méthodes sont mises en oeuvre, pour cacher aux peuples qui sont leurs véritables ennemis, elles ont fait la preuve de leurs efficacités dans un passé sinistre. Pourtant bien des apprentis-sorciers nous ressortent les vieilles rengaines de l’ennemi à combattre tous ensemble, le peuple uni derrière les multinationales et les politiciens qui les servent.

Les faux combats contre la violence par ceux qui veulent en ignorer la source tout en l’alimentant sont l’oeuvre de sinistres pompiers incendiaires. Ils sont les responsables de touTEs ces mortEs et blesséEs. Leurs mines défaites et leurs mains sur le cœur devant les caméras sont insupportables à voir, comme sont insupportables les nouvelles menaces de terroriser les terroristes, aussi inutiles lors de l’attentat de Charlie hebdo du 7 janvier, qu’elles le sont aujourd’hui. Elles sont tout juste utiles pour s’attaquer aux libertés et renforcer encore un état policier dans un tout autre but.

Ils n’empêcheront pas les attentats de demain si la même politique de chaos est poursuivie à l’identique que celle voulue et mise en place depuis des décennies par les impérialismes dont le français. Grand pourvoyeur en armes des dictateurs, il prend toute sa place dans ce dispositif des fauteurs de guerres.

Le peuple français, encore une fois, est victime d’un gouvernement impérialiste qui sème la misère et la terreur pour défendre le capital international sous les oripeaux d’un « socialisme » mille fois trahi. Et c’est la France qui est bien entendu une nouvelle fois frappée, en raison de ses interventions militaires directes ou indirectes qui suscitent des réactions de haine partout où elles sont menées.

la France paie cher les rodomontades guerrières du « socialiste » Hollande qui a voulu jouer au chef de guerre, tout comme son prédécesseur, tout aussi grotesque dans ses postures martiales.

Fauteur de guerres ailleurs, meurtrier d’innocents et responsable de la mort de nouveaux innocents ici, chez nous,  français ou immigrés de toutes générations. Et tout ça pour remonter dans les sondages … Hollande et toute sa clique, dégagez !

Sans doute, nous aurons des camarades, des amiEs, des proches parmi les victimes, même inconnuEs, elles et ils sont nos mortEs, nous les regretterons, nous les pleureront mais nous savons que c’est à cause de vos guerres et que vous êtes responsables de leur mort et de leurs blessures.

http://www.anti-k.org/2015/11/14/vos-guerres-nos-morts/

samedi 14 novembre 2015

Attentats Paris Témoignage Autour Du Bataclan

L’équipe d’ERTV s’est rendue aux alentours du Bataclan dans la nuit du 13 au 14 novembre 2015 et a recueilli des témoignages sur les attaques qui ont fait au moins 120 morts.


vendredi 13 novembre 2015

Visa Europe Vendue Aux USA : De La Vassalisation À La Perte D'indépendance



Derrière le rachat de Visa, la démission des pays européens


Une Europe satellite de Washington

Bien sûr, Visa Europe n’a pas toujours été indépendant puisque Visa avait donné son indépendance à son ex-filiale en 2007, en en faisant une association détenue par un ensemble d’environ 3000 établissements financiers continentaux. Mais, lors de cette opération, avait été mis en place un dispositif contraignant Visa à racheter son ancienne filiale. C’est ainsi que les deux entreprises se sont mises d’accord pour un rachat de 21,2 milliards d’euros. Naturellement, Visa met en avant les économies d’échelle que devrait permettre ce retour dans le giron commun. Et pour les banques européennes, cela représente une manne intéressante, à un moment où les taux d’intérêt sont très bas, la concurrence forte et où la « justice » étasunienne rackette les établissements bancairescomme le Crédit Agricole.

Comme le souligne bien Bertrand Chokrane sur le FigaroVox, cela pose un grave problème d’indépendance. En effet, les Etats-Unis mettent la main sur le co-leader des systèmes de paiement européens, plaçant notre continent sous une dépendance accrue à l’égard des Etats-Unis. Et cela pose d’autant plus problème à date, avec toutes les questions que cela soulève sur la question de la gestion des données privées, notamment de la part d’une justice étasunienne qui prend n’importe quel prétexte pour étendre sa jurisdiction sur toute la planète, comme même The Economist l’avait dit en parlant de « racket » pour BNP Paribas. Aujourd’hui, cet accord risque de mettre l’ensemble des transactions faites avec une carte Visa dans les pays européens sous la coupe juridique bien tentaculaire des Etats-Unis.

Vers la fin du service public de la monnaie ?

Mais cet accord pose également des questions sur le devenir de la monnaie, alors que les Etats semblent vouloir mettre fin, ou au moins marginaliser le liquide et les chèques, réduisant alors la monnaie à sa forme électronique. Cela montre aussi l’erreur stratégique des banques européennes, qui privilégient une rentrée d’argent occasionnelle au contrôle de leur destin sur le premier moyen de paiement ! Si cela a sans doute à voir avec les difficultés du secteur, difficile de ne pas aussi y voir les conséquences du caractère bien trop courtermiste de ce capitalisme actionnarial. En outre, ce sont les Etats-Unis qui récupèreront les mannes de ces « deux entreprises très lucratives », selon les mots du président de Visa Europe. Ne d’agit-il pas d’un transfert d’une rente privée, au détriment de l’intérêt collectif ?

En outre, ce laisser-faire est particulièrement inquiétant alors que des révolutions couvent sur la monnaie. Déjà, Bitcoin représente une remise en cause du monopole monétaire, largement abandonné par les Etats à des banques centrales « indépendantes », et de facto aux banques privées, puisqu’elles créent aujourd’hui l’essentiel de la monnaie. Mais le laisser-faire des Etats donne sans doute des ailes à de nombreux acteurs qui convoitent sans doute la gestion de la monnaie comme Apple, Facebook, Google ou Amazon, comme le note si bien Bertrand Chokrane. Cela peut donner l’impression que nous nous dirigeons vers un retour aux errements de la banque libre étasunienne du 19ème siècle, où chaque banque privée pouvait alors émettre sa propre monnaie, sans le moindre système monétaire central.


Il y a donc de nombreuses raisons pour lesquels ce rachat de Visa Europe par son ancienne maison mère Visa Inc. est inquiétant. Entre une perte d’indépendance vis-à-vis d’un partenaire envahissant, une perte de contrôle de données fondamentales etune évolution préoccupante de la monnaie.

gaullistelibre/derriere-le-rachat-de-visa-la-demission.html

Impôts Élections : L'exécutif En Mode Bateau Ivre

Seul Le FN peut sauver Hollande en 2017

Le très grand « n’importe quoi »



Les choses se sont brusquement éclaircies ces dernières 24 heures, c’est-à-dire qu’elles sont devenues totalement incompréhensibles pour le commun des mortels, le pauvre contribuable, le vulgaire électeur. Nous sommes entrés, à pieds joints, dans le très grand «n’importe quoi»

D’abord, Manuel Valls, Premier ministre et, par là-même, chef de la majorité dite « de gauche » qui règne sur ce pays depuis plus de trois ans et demi, nous a fait comprendre que, pour lui, la droite et la gauche c’était si ce n’est « kifkif bourricot » du moins « blanc bonnet bonnet blanc » pour reprendre la jolie formule de Jacques Duclos. Il souhaite désormais que les listes du PS et des Républicains fusionnent après le premier tour des régionales quand le Front National risque d’emporter la région.

Le fameux « Front républicain » qui voudrait que les candidats du PS ou de la droite traditionnelle se retirent avant le second tour pour éviter une triangulaire qui provoquerait une victoire de l’extrême-droite était déjà difficile à admettre pour bien des électeurs, de droite comme de gauche.

Ses partisans rappellent qu’au second tour de la présidentielle de 2002, les électeurs de gauche ont voté pour Jacques Chirac afin d’éviter la victoire de Jean-Marie Le Pen. Mais ils oublient : 

1) que Jospin ne pouvait pas se maintenir puisqu’à la présidentielle seuls les deux premiers du premier tour peuvent se maintenir, ce qui n’est pas le cas pour les régionales et 

2) que tout le monde savait que Jean-Marie Le Pen n’avait strictement aucune chance de l’emporter. Il y a donc une imposture à évoquer ce « front républicain » à propos de 2002.

D’ailleurs, aujourd’hui Valls propose beaucoup plus que « le Front républicain » puisqu’il ne s’agit plus seulement que le 3ème se retire mais bien que gauche et droite « fusionnent » après s’être étripées pour le premier tour ce qui signifie que, si cette liste « bâtarde » l’emporte, l’exécutif de la région sera partagé entre droite et gauche, autant dire totalement paralysé.

Valls se dévoile donc enfin. Pour lui, l’important n’est pas d’avoir telle ou telle conception de la politique, de défendre telle ou telle politique mais bien tout simplement d’être, de se maintenir ou de s’accrocher au pouvoir, quitte à mettre son drapeau dans sa poche et à avaler son chapeau. Les électeurs de gauche apprécieront.

Ensuite, on vient d’apprendre aussi que le ministre de l’Economie de ce gouvernement, c’est-à-dire le personnage-clé du régime, l’homme chargé, en principe, de faire redémarrer notre économie moribonde, de juguler le chômage galopant, de redonner un minimum de compétitivité à nos entreprises en faillite, n’était ni un socialiste, ni un social-démocrate, ni un social-libéral mais un libéral pur jus, sans rien de social ni de socialiste. Manuel Macron lui-même, en personne, vient de l’avouer, de le reconnaitre, de s’en vanter.

A dire vrai, on se doutait un peu que l’ancien banquier de Rothschild n’était pas un révolutionnaire préparant «le Grand soir» et « les aubes enchanteresses » avec un couteau entre les dents et que, contrairement au président de la République (qui l’avait pourtant nommé à Bercy), il n’avait pas comme « seul ennemi » la finance. Mais de-là à proclamer haut et fort qu’il est un libéral et fier de l’être, ce qu’aucun responsable de la droite la plus dure n’ose laisser entendre depuis des décennies, il y a un immense pas dans l’art de la provocation qui ne peut que surprendre très défavorablement la classe ouvrière dans son ensemble.

Certains feront, sans doute, remarquer que Marine Le Pen ayant, dans sa dédiabolisation du parti de son père, adopté un programme économique « plutôt de gauche », il est presque normal que, pour mieux la contrer, les héritiers de Jaurès, Blum et compagnie se présentent désormais en libéraux pur et dur. Mais cela devient bien compliqué pour l’électeur « de basse », celui qui fait les majorités.

Enfin, cerise sur le gâteau, François Bayrou, ce pitre attendrissant qui réapparait de temps en temps, sans électeurs ni programme mais avec encore un réel pouvoir de nuisance, vient de nous faire savoir que sa haine de Sarkozy était toujours telle qu’une fois de plus il préférait tenter de faire élire Hollande plutôt que d’apporter à l’ancien président le peu de voix qui lui reste dans sa gibecière.

En nous avouant que si Sarkozy l’emportait sur Juppé lors des primaires de la droite (et du centre) il se présenterait pour une énième fois à l’élection présidentielle en 2017, il ne vient pas en aide à son ami le maire de Bordeaux mais il proclame tout simplement : « Plutôt Hollande que Sarkozy ! » Car, avec les quelques pourcents qu’il grappillera à Sarkozy au premier tour, il risque de lui faire rater la qualification pour la finale. Comme Chevènement (ou Taubira) avait fait éliminer Jospin en 2002.

Cette fois, ce sont les électeurs centristes qui risquent de ne plus bien comprendre. Il est vrai que cela fait longtemps qu’ils ne prêtent plus aucune attention au patron solitaire du MoDem.

http://feedproxy.google.com/~r/thierry-desjardins/~3/HX8Fjo1kg9g/

Plus mauvaises audiences depuis 20 ans Et Désabonnement : La Chute De Canal+

Le grand journal à l'époque de Denisot sauvait encore les meubles...


Le portefeuille d’abonnés a reculé cet été, ce qui pourrait s’expliquer par le buzz négatif généré par la reprise en main de Vincent Bolloré.

Le buzz négatif généré par la reprise en main de Canal Plus par Vincent Bolloré semble avoir eu un effet sur le portefeuille d’abonnés. Entre début juillet et fin septembre, le nombre d’abonnés en France métropolitaine (en incluant CanalSat et Canal Play) a reculé de 38.000. À titre de comparaison, le recul était de seulement 6.000 abonnés lors de la même période de 2014. Entre septembre 2014 et septembre 2015, la baisse se chiffre à 88.000 abonnés.

En outre, à fin septembre, le taux de désabonnement (churn) s’établit à 14,9%, en hausse par rapport aux 14,2% de la même période de 2014.

Dans un communiqué, la chaîne justifie cette baisse par « un contexte économique et concurrentiel difficile », et précise : « la chaîne premium enregistre une légère hausse du nombre de ses nouveaux abonnés au 3ème trimestre, mais cette évolution ne compense pas le nombre de résiliations ».

Plus mauvaises audiences depuis 20 ans


Rappelons que, selon les études internes, un tiers des recrutements sont motivés par l’image de la chaîne. Or cette image a été écornée par le reprise en main musclée opérée par l’industriel breton.

Ces études montrent aussi que le recrutement de nouveaux abonnés est corrélé aux audiences des tranches en clair. Or celles-ci ont chuté de près de moitié à la rentrée. Globalement, la chaîne a vu son audience tomber à 2,4% en octobre, soit un recul de 0,7 point (le plus important de toutes les chaînes), et surtout le plus mauvais score depuis... 20 ans.

Obama Ou La Présidence Perdue


Obama : après moi, le déluge !


Alors qu’avec le départ de George W. Bush, le monde entier poussait un soupir de soulagement, aujourd’hui, tous les analystes compétents, y compris américains, soulignent la dérive inquiétante de la politique d’Obama, dont le règne est de plus en plus considéré comme une « présidence perdue ».
Le scandale des Drone Papers représente le témoignage visible d’une révolte en cours parmi les éléments les plus rationnels de l’institution de la présidence américaine contre un président narcissique et aveugle. Voici trois sujets supplémentaires qui complètent le tableau :

  • Bombarder sans frontières. Alors que Médecins sans frontières avait pris soin de communiquer les coordonnés GPS du site à tous les belligérants, dans la nuit du 3 octobre, l’aviation américaine a bombardé pendant plus d’une heure son hôpital de campagne de Kunduz en Afghanistan, faisant 22 morts. « Le récit [des Américains] sur l’attaque change sans cesse. Ce fut d’abord un dommage collatéral, puis un tragique incident, et maintenant ils essayent d’en faire porter la responsabilité au gouvernement afghan », s’est indigné le directeur général de MSF Christopher Stokes. « La réalité, c’est que ce sont les États-Unis qui ont largué ces bombes » et que « rien ne peut justifier une attaque aussi effroyable », a-t-il ajouté. MSF, qui n’a pas l’intention de se contenter d’un vague mot d’excuses d’Obama, a saisi la Commission internationale humanitaire d’établissement des faits (CIHEF), instance neutre qui dépend de la convention de Genève. Poursuivant la descente dans la barbarie, suite à l’affaire de Kunduz, les Saoudiens ont eux aussi bombardé un hôpital au Yémen…

  • Intervention en Syrie. L’intervention militaire russe en Syrie a fait voler en éclats bien des mensonges. Si, officiellement, Obama et ses alliés prétendent lutter contre le terrorisme islamique, en sous-main ils favorisent, avec l’aide de la Turquie, de l’Arabie saoudite et du Qatar, une myriade de groupes terroristes dont ils achètent le pétrole et à qui ils fournissent armes et drogues. Aujourd’hui, c’est bien pour protéger « nos terroristes » (les islamistes« modérés » d’Al-Nosra qui s’opposent à Bachar el-Assad) des foudres poutiniennes, qu’Obama a décidé d’envoyer en Syrie une cinquantaine de conseillers militaires. Que dira-t-il et que fera-t-il lorsque ces derniers tomberont sous les bombes russes ? Le ministre russe des Affaires étrangères Lavrov a souligné l’illégalité de cette intervention. Contrairement à celle de la Russie, elle ne répond à aucune demande du gouvernement syrien et représente donc une violation du droit international. En plus, Obama n’a jamais obtenu le feu vert du Congrès américain, condition sine qua non pour tout président américain pour pouvoir engager la force militaire.

  • Navire de guerre contre la Chine. Visiblement frustré d’avoir été mis en échec par Vladimir Poutine en Syrie, Obama se déchaîne contre la Chine. A peine deux semaines après la visite amicale de Xi Jinping à Washington, le destroyer USS Lassen s’est approché à moins de 12 miles des îlots artificiels construits par Beijing sur des récifs de l’archipel des Spratleys, en mer de Chine méridionale, une zone revendiquée depuis peu par le Vietnam, la Malaisie, le Brunei et les Philippines, un allié de Washington. Au journal Global Times, proche du Parti communiste chinois, le ton monte : « Face au harcèlement des États-Unis, Beijing devrait traiter avec Washington avec tact, mais aussi se préparer au pire. La Maison Blanche doit savoir que la Chine, même si elle ne le souhaite pas, n’a pas peur de faire la guerre aux États-Unis dans la région, qu’elle est déterminée à protéger ses intérêts et la dignité nationale. » Obama a réaffirmé son intention d’envoyer d’autres navires de guerre dans la même zone : « Nous continuerons à le faire, a averti un responsable à Washington. Nous naviguons dans les eaux internationales quand et où nous le décidons. »

Le MEDEF Sur Une Liste Du PS Aux Élections Régionales

 


La présidente du MEDEF régional en position éligible sur la liste « socialiste »

Le MEDEF dans la corbeille de la mariée.
La liste héraultaise est enfin dévoilée, après son dépôt en préfecture et les militants pourront apprécier toute l’importance de leur vote du 9 juillet !


Car elle réserve bien des surprises.

On connaissait les accords léonins passés avec le PRG local, pour cause de rotatives (la Dépêche du Midi, Midi libre). On ignorait que le MEDEF se trouvait aussi dans la corbeille de la mariée !
Ainsi, sous couvert de société civile, on découvre la présence de la présidente du MEDEF héraultais Marie-Thérèse Mercier sur la liste du PS. Celle qui est pudiquement présentée comme « présidente d’un syndicat patronal » se retrouve en 7° position, donc très éligible ! On comprend mieux les remous au sein de la liste qui ont amené certains à quitter la chaloupe. On imagine d’ores et déjà la difficulté des négociations avec la liste d’Onesta (Front de gauche) pour le second tour !


Liste du PS aux élections régionales en M-P.
« 7- Marie-Thérèse Mercier 51 ans Expert-comptable. Présidente d’un syndicat patronal, ancien membre du Bureau du Centre des Jeunes Dirigeants - Pignan (Société Civile) ».
Voir ici : http://partisocialistebezierscentre.midiblogs.com/media/02/01/1015027323.pdf
Vu sur le site du MEDEF (25 janvier 2012) :
« Marie-Thérèse MERCIER, nouvelle présidente du MEDEF Montpellier-Sète-Centre-Hérault.
Faisant suite au Conseil d’Administration du 16 janvier, Madame Marie-Thérèse MERCIER, a été élue Présidente du Medef MONTPELLIER-SETE-CENTRE-HERAULT.
Elle succède ainsi à André DELJARRY, à la tête du syndicat patronal.
Né à NARBONNE il y a 47 ans, diplômée de Sup de Co Montpellier, mariée et mère de trois enfants, Marie-Thérèse MERCIER dirige le Cabinet ERNST & YOUNG à Montpellier spécialisé dans les métiers de l’audit et du Conseil.
Membre du Medef depuis plusieurs années, elle a été membre du bureau et vice présidente de André DELJARRY et administrateur du MEDEF depuis 2009.
Elle est également référente EGALITE dans le cadre du projet EQUILIA, représentante du MEDEF auprès du Préfet dans le cadre du Comité de Suivi du Financement de l’Economie, participe à de nombreuses commissions du MEDEF et ancienne membre active du Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) de Montpellier.
Elle devient de fait, membre du bureau et administrateur du MEDEF Languedoc-Roussillon ».

http://www.medef-languedocroussillon.com/marie-therese-mercier-nouvell...
La candidate PS/MEDEF a prévenu : « Je me mets en retrait du Medef, mais je ne démissionnerai que si je suis élue ».
Si elle est battue, elle continuera à aider Gattaz dans sa guerre contre les salariés, les retraités, les chômeurs...
Contre tout ce qui ressemble à des « sans dents ».


*http://moissacaucoeur.elunet.net/le-medef-dans-la-corbeille-de-la-mariee/

Ukraine L'horrible Bilan Du "Maïdan" : Défaut De Paiement Amputation Territoriale Bourrage Des Urnes Et Guerre Civile



Élections truquées!


“l’inactivité délibérée et illégale de certains membres de la commission électorale locale”, d’après l’hebdomadaire Dzerkalo Tyjnia. En tout, ce sont quelque “1 118 infractions à la loi électorale qui ont été constatées en Ukraine. […] 

A Marioupol, des bulletins erronés et endommagés ont circulé, fait encore aggravé par l’attitude de la commission électorale locale qui a bloqué la distribution de bulletins dans certaines circonscriptions, ce qui a contraint les autorités à annuler le scrutin. […] 

Ce dernier devrait finalement avoir lieu le 15 novembre, si le Parlement vote une loi spéciale à cet effet.” 

Près de deux ans après le début de l’“eurorévolution”, les gens semblent lassés de la politique.

Rappel : en 2010  l'OSCE avait jugé le scrutin qui avait vu Viktor Ianoukovytch l'emporter «transparent et honnête».



Une fois de plus l'occident détruit un peuple!


Comment les diplomates français ont-ils pu méconnaître à ce point la réalité historique et humaine de l’Ukraine ? 


Comment les Occidentaux ont-ils pu croire que Viktor Ianoukovitch signerait l’accord d’association avec l’Union européenne, sans le prêt de 15 milliards de dollars qui lui avait été promis ?


 Comment les Occidentaux ont-ils pu croire que la Russie abandonnerait Sébastopol et la Crimée?


 Comment les Occidentaux ont-ils pu croire que la Russie continuerait à financer l’Etat ukrainien en lui accordant un prix du gaz préférentiel ? 


Comment les Occidentaux ont-ils pu croire que les habitants de l’Ukraine russophone accepteraient de renoncer à leur histoire et à leur langue ?



L’Ukraine en défaut de paiement


L’agence américaine de notation Fitch a abaissé la note de l’Ukraine en monnaie étrangère à long terme à D, équivalent au défaut de paiement. Cette nouvelle s’inscrit dans une tendance négative des pronostics internationaux sur l’économie de Kiev.


« Fitch considère l’introduction du moratoire temporaire des paiements extérieurs comme un défaut de paiement », lit-on dans un communiqué de l’agence, qui rappelle que Kiev a été investi de ce pouvoir par la Rada (Parlement ukrainien) en mai 2015.



Conformément à sa réglementation actuellement en vigueur, le Fonds monétaire international n’est pas en mesure de prêter de l’argent à un pays se trouvant en situation de faillite vis à vis d’une créance détenue par son secteur officiel. Pourtant, l’institution dit travailler à un assouplissement de cette règle, afin de pouvoir accorder un nouveau prêt à l’Ukraine.




Terrorisme intellectuel


Et tous ceux qui osent parler de la véritable histoire de cette crise sont immédiatement réduits au silence grâce à la simple riposte anti-intellectuelle : « Apologiste de Poutine ! » – tout comme en 2002 et 2003, lorsque quelqu’un doutait de la présence d’armes de destruction massive en Iraq était qualifié d’« apologiste de Saddam». 



Ukraine – Pourquoi la France s’est trompée (Xavier Moreau)

Ukraine : la théorie de la conspiration du « nouveau Hitler » et « Poutine a tout orchestré » - Investig’Action


mercredi 11 novembre 2015

Montebourg Prophétise La Défaite De Hollande En 2017 : "Les Hotels C'est Fini !"

La France A Visé Le Pétrole De La Syrie Et Non De Daesh ! Damas Menace Notre Porte Avions



Le Général Syrien, Mohammad Issa, l'un des hauts commandants de l'armée syrienne a menacé la France de viser directement son porte-avions s'il ose de s'approcher des côtes syriennes!

Le général syrien a déclaré: "L'annonce faite par la France de faire participer son porte-avions, Charles de Gaule, aux opérations militaires en Syrie, obligera l'armée du pays à prendre directement pour cible ce porte-avions". 

S'attardant sur les frappes aériennes françaises en Syrie, Issa a déclaré: 

"Ces frappes visent les puits pétroliers syriens et tout cela s'effectuent sans l'aval du gouvernement de Damas, ce qui signifie pour nous la violation de notre souveraineté" a-t-il dit. "La coalition occidentale n'a visé jusqu'à présent aucune position ou camp de Daech ou d'autres groupes terroristes. 

De par ses frappes la France cherche à bombarder nos puits pétroliers et à se venger de Damas qui ne lui a pas donné des concessions pétrolières."   a insisté le général syrien Mohammad Issa.



Le porte-avions français sera directement visé, s'il s'approche! (Général syrien) - SAHAR FRENCH

Allemagne : Une Dicothèque Vire Des Migrants Qui Suivaient Les Femmes Jusqu'Aux Toilettes Et Leur Proposaient 20 Euros Pour Une Nuit


Où l'on découvre que le problème n'est pas les réfugiés mais leur comportement inacceptable! (témoignage des videurs)


Chers clients,

À Leonhardi est survenu une situation désagréable sur laquelle nous aimerions revenir. 

En fin de soirée, deux jeunes hommes, deux clients de longue date, ont remarqué comment nos videurs ont rejeté un groupe de demandeurs d'asile dehors. Une vive discussion a surgi dans lequel nous, nos employés et nos amis ont été traités de porcs et de chiens de nazis . La situation dans son ensemble a dégénéré et nous avons du retirer notre personnel de sécurité temporairement de la porte pour empêcher une escalade!

Pourquoi le groupe de réfugiés a posé problèmes et voici notre dilemme: 

Pour nous,la  religion, l'origine, la couleur, l'orientation sexuelle ou le statut social, ne nous importe pas. Tout le monde vient "comme il est".

Il est devenu problématique que les femmes étaient suivies jusqu'aux toilettes par des migrants. Une de nos employée s'est même vu offerte 20 € pour une nuit! 

...



Que pouvons-nous faire?

Si nous ignorons les plaintes de nos clientes féminines, nous devons attendre à ce que de nombreux clients réguliers nous quittent. Nous avons des coûts mensuels qui représentent une somme à cinq chiffres. Combien de temps pouvons-nous faire face à une telle situation?

Nous accueillerons désormais un nombre limité de réfugiés dans le club. Ainsi, les femmes pourront se sentir plus à l'aise. 

Cependant, nous n'avons jamais été et ne seront jamais (des porcs nazis). 
Nous sommes conscients que les réfugiés innombrables qui atteignent chaque jour l'Allemagne viennent de l'enfer de la guerre et risquent leur vie pour vivre en paix.
Mais nous sommes actuellement le dos au mur.

Que feriez-vous à notre place?