1980 : Quand notre présent était de la science-friction!
A la fin du XXème siècle, la vie sur terre est menacée par les dérèglements de l’environnement dus aux excès humains.Les savants cherchent à établir une communication avec les savants du passé pour leur éviter les erreurs qui conduisent la planète vers sa fin.
Parallèlement, en 1963, un chercheur reconnait des perturbations inexplicables dans l’une de ses expériences...
Extrait :
Les États-Unis et l’Europe avaient atteint le degré de croissance zéro, et la courbe de population se rapprochait de l’âge de la retraite. Tous ces gens attendaient chaque mois un chèque confortable que l’on ne pouvait qu’extraire à coups d’impôts sur la population plus jeune et de plus en plus réduite. Ce qui conduisait inévitablement à un « syndrome d’obligation ». Les gens âgés considéraient qu’ils avaient payé des impôts énormes toute leur vie durant et qu’ils avaient été mis au rancart avant de bénéficier des salaires somptueux qui étaient désormais ceux des plus jeunes cadres. La société devait cracher, déclaraient les doyens du Mouvement, c’était une « obligation ». Les gens âgés votaient de plus en plus souvent dans le seul souci de leurs intérêts. Ils avaient un certain pouvoir et, en Californie, les cheveux gris étaient devenus le symbole de l’activisme politique.
...
« … pendant des semaines ils ne sortent pas, avec les complexes télévidéo qu’ils se payent. Ils n’ont même plus à faire leurs courses ni à aller à la banque. Ils ne voient plus que des gens de plus de soixante ans. Ils font tout électroniquement. Et ça, ça tue la ville... c'est vraiment une honte!»
source : Un paysage du temps
source : Un paysage du temps
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