dimanche 10 août 2014

Le Prochain Président Français Fera T Il Ouvrir Le Feu Sur La Foule?



Du sang, du labeur, des larmes,de la sueur et...du plomb!


Historiquement, on sait comment ça se passe. Les pays qui ont remis l’ordre en place l’ont fait en tirant dans la foule. (…)

« Le grand problème français, c’est une classe politique totalement clientéliste qui n’a aucune vision stratégique du pays.»

« Qu’est-ce qu’on fait à partir du territoire en France ? Aucune force politique en France n’est capable d’imaginer quelque chose en ce domaine. »

« Il faut qu’on sorte de tous les sentiers battus. Si on reste dans la configuration actuelle, on n’y arrivera pas. C’est une évidence, et on le voit déjà : des zones entières en France sont en pleine désertification, sans aucune chance de rebond économique. »

«La nouvelle élite politique naîtra de la situation de la France d’aujourd’hui , c’est-à-dire un pays qui est exsangue financièrement et qui n’a pas d’élite politique pour faire de la stratégie. Nous devons sortir de nos gonds, Nous n’avons pas d’autre alternative.»

« La France aujourd’hui, c’est encore un quart de France rurale, telle qu’elle a existé depuis des millénaires, et le reste c’est une France en mouvement avec des populations diverses et variées. On sent bien qu’il n’y a plus d’unité depuis longtemps.»

« Pendant des dizaines d’années, nous avons cru que le monde était guidé par une locomotive qui s’appelle les États-Unis, et qu’il suffisait d’être dans son sillage pour réussir sa vie. C’est fini ça. »

« La pseudo locomotive européenne est très poussive, plutôt inquiétante. On voit bien que la maison Europe a été construite n’importe comment, qu’on y a fait rentrer des gens qui n’étaient pas du tout au niveau pour y rentrer.»

« La population française va devoir, que ça lui plaise ou non, prendre son destin en main. Les gens qui vont peut-être remettre ce pays sur pied ne feront pas plaisir à tout le monde.»

« Historiquement, on sait comment ça se passe. Les pays qui ont remis l’ordre en place l’ont fait en tirant dans la foule. (…) Il y a un certain nombre de forces de l’ordre disponible. Si les tensions sociétales débordent ce cadre numérique, le pouvoir d’état fera ouvrir le feu sur la foule. C’est ainsi qu’un état survit à une situation de crise, quelle que soit la nature du régime. »

« La priorité est de redonner du sens, des valeurs collectives à un ensemble d’individus vivant sur un territoire, sachant que le monde est chaotique et qu’on ne nous fera aucun cadeau. »

Matignon et l'Elysée Déposent Le Bilan !



Les chiffres qui affolent Matignon et l'Elysée 


 Manuel Valls a livré ses dernières appréciations sur l'état de économique de la France, lors d'un déplacement à Madrid. La croissance, décidemment très capricieuse, a posé un lapin à François Hollande. Le "Premier sinistre" va devoir écoper à la rentrée. 

Dès le 22 septembre, direction Berlin pour demander à Angela Merkel (qui a, par avance, déjà dit nein) « plus de flexibilité», «plus de souplesse» dans l'application de la sacro sainte règle des 3%. 




Les dernières projections ont, il est vrai, de quoi envoyer le Premier ministre vers la sortie et donc le griller pour 2017. Alors que la France assurait il y a deux mois, à Bruxelles, pouvoir maintenir son déficit budgétaire à 3,6% du PIB fin 2014 et à 2,8 % fin 2015, Bercy et l'inénarrable Michel Sapin annoncent désormais que ces objectifs seront impossibles à tenir.

 Selon les dernières prévisions du portique éco-taxe géant, le déficit devrait encore avoisiner les 4,3 % du PIB en 2014, soit un dérapage de première classe. 

Charge à l'éxécutif de convaincre Angela Merkel et les commissaires européens d'autoriser la France à continuer de laisser filer son déficit budgétaire au delà des 4% et donc sa dette en route vers les 2000 milliards...


Depuis l'adoption de l' Euro (fort) la France s'est révélée incapable de tenir ses engagements budgétaires. Nos produits "made in France" ont doublé de prix en $ depuis 2001 (merci l'Euro!).


En "privé", Hollande aurait le blues car il n'a plus qu'une carte à jouer : supplier Bruxelles et les autres pays européens que la France n'est "pas un pays comme les autres". Bordel! Quand même! Pourrait s'exclamer un catalan de Matignon. 

L'argument qui tue serait que "la France doit être jugée non pas sur ses déficits mais sur les réformes structurelles mises en oeuvre".  Vous en avez vu des réformes de structure depuis 2012?

La tâche s'annonce ardue. Et le prix à payer élevé! (On n'obtient jamais rien sans rien).