De l'empathie pour Trierweiler
Le communiqué lapidaire de Hollande tombe sur le fil AFP. Dix-huit mots pour congédier celle qui a passé vingt mois à ses côtés à l'Elysée. "Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler." "Quelle goujaterie, ça en dit long sur le personnage!" souffle Sarkozy, intimement persuadé que cette scabreuse affaire causera le plus grand tort à son rival, surtout dans l'électorat féminin. "Les femmes, je sais ce qu'elles en pensent..." [...]
Pour lui, le seul responsable de ce fiasco, c'est son successeur et personne d'autre. "Il la fait venir à l'Elysée, il ne l'épouse pas, il lui envoie dix-neuf textos par jour pour lui dire qu'il l'aime et, pendant ce temps-là, elle s'aperçoit que c'est bidon et qu'il est avec Julie Gayet. Je ne dis pas que c'est bien ni que c'est mal. Mais jugez la souffrance, soyez humains. Elle est comme une bête blessée, elle est bouleversée."
En fin politique, Nicolas Sarkozy se doute que cette histoire n'est pas terminée. Que les confidences vipérines sur son rival distillées par son "ex" indélicate peuvent rythmer la fin du quinquennat. Que le supplice chinois ne fait que débuter pour Hollande. Comme des gouttes d'eau qui rendent fou. "Je pense qu'on n'en a pas fini avec Valérie Trierweiler... Elle attend de savoir si on la traite de menteuse. Je crains que cela ne soit pas pour répondre, mais pour donner des preuves", parie-t-il.
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