lundi 29 septembre 2014

Les Raisons D'un Retour : François Hollande A Besoin De Nicolas Sarkozy Pour Exister Politiquement

Reviens Nicolas! Sans toi je ne suis plus rien!

Encore des révélations d'un "très proche" de françois Hollande


François Hollande : "Nicolas Sarkozy est mon meilleur ennemi, mon rival de toujours, ma face cachée , mon faux frère, mon double inversé sans lui je n'existerai pas. Sans lui les français ne m'auraient même pas regardé! Au fond nous sommes un vieux couple!"

(Serge Raffy "Moi, l'homme qui rit" aux Editions Flammarion)




Sénatoriales : Ces Grands Électeurs De gauche Qui Ont Refusé De Voter PS! (Certains Ont Même Voté FN!)

François Hollande est très drôle mais la politique c'est du sérieux!



Le fief de François Hollande vote à droite!


Le fief de François Hollande, la Corrèze, a connu un mini-séisme politique : deux sièges de sénateurs détenus par le PS ont été récupérés par l'UMP. Le successeur de François Hollande à la mairie de Tulle, Bernard Combes, également conseiller à l'Elysée chargé des élus, a été battu au 2e tour

Sénat : ces grands électeurs qui ont voté FN - Le Point





François Hollande sera vu comme le Premier Président à Avoir Fait Entrer le FN Au Sénat!





Valérie Trierweiler "Interpellée" Par la Police Politique De François Hollande




A Chateau rouge les passants sécrient en choeur : Madame Trierweiler, merci pour ce moment de proximité!


"Vive la Reine!"


A château rouge quartier de Paris c'est l'émoi car les passant viennent de reconnaître Valérie Trierweiler. De nombreuses femmes saluent celle qui est devenue l'instant d'une infidélité, d'une répudiation par dépêche AFP et d'un livre témoignage, l'hégérie des femmes bafouées.

 Les badauds agréablement surpris de la présence de la célèbre "ex première dame", lui demandent de faire des selfies en guise de souvenir. Tout ému Samuel Massok crée un compte twitter pour l'occasion. Un rassemblement de soutien et de curiosité se crée, l'ambiance est bon enfant quand soudain...


La police certainement prévenue par quelque indicateur à gage fait irruption (certainement sur ordre du préfet), "évacue" Valérie Trierweiler qui n'a rien demandé! Elle affirmera plus tard (nous citons son compte twitter @valtrier ) :

"Mise au point. Non, je n'ai pas appelé la police. Non je n'ai pas été bousculée mais très bien accueillie. Pas de commissariat à chateau rouge!"

"oui je faisais volontairement mon marché (pas électoral) là-bas pour trouver du manioc et des bananes plantains. Oui j'y retournerai!"

"Merci pour l'accueil très très chaleureux à Barbes. Ni panique , ni commissariat, mais Manioc et bananes plantains. Et beaucoup de selfies."

Immédiatement les merdias justifiant leur réputation de caniches du pouvoir exécutif décrivent l'évènement comme étant une émeute. Nos scribouillards subventionnés racontent l'histoire d'une bourgeoise effrayée qui se réfugie au commissariat en demandant à la police de la sortir de ce mauvais pas. Or tout est faux, elle a été interpellé contre son gré car devenue une quasi dissidente de la chambre à coucher de notre sire.

Ainsi va la vie en hollandie, soi-disant patrie des droits de l'homme...



Quand aux aigris de la hollandie, reconvertis en racistes pour l'occasion, qui demandent sur twitter à Valérie ce qu'elle fiche "chez les noirs" nous leur recommandons agréablement de bien vouloir fermer le claque-merde qui leur sert de bouche en attendant les futures branlées électorales et la disparition de leur parti de sociaux traîtres bushistes!

Que ceux qui n'ont jamais fréquenté de quartiers exotiques ou mangé africain lui jettent la première svatiska!

samedi 27 septembre 2014

Comment Le Monde A Fait "Fuiter Mehdi Nemmouche" Pour Préparer L'opinion Publique Au Patriot-Act De Valls/Cazeneuve!

"Le Monde" journal  à  grand  tirage, tres  bon  pour  le barbecue  du  dimanche  ...

Depuis plusieurs mois, je ne peux plus lire "Le Monde" : il y a trop de mensonges, trop de propagande. En bref, une mascarade de journalisme.

 Il n'est pas normal que des informations «sensibles» se retrouvent dans les médias sur ordre d'un ministre! 


On comprend mieux avec le recul que la quasi-totalité de la rédaction en chef du «Monde» ait démissionné en mai 2014! 


Journal Le Monde Organe De Propagande Du Ministère De L'intérieur!


La tribune du photographe indépendant Pierre Torres est  venue s’inviter dans les débats de l'Assemblée nationale concernant la loi anti-terroriste défendue par Bernard Cazeneuve et préparée par son prédécesseur Manuel Valls


L’ex-otage français en Syrie y accuse les services antiterroristes français d’avoir «pour se faire mousser» organisé les fuites sur la présence de Mehdi Nemmouche parmi ses geôliers. 


Cette information était connue depuis juin par les services mais n'a été révélée dans Le Monde que le 6 septembre. Selon lui, cette fuite, qui mettrait en danger la vie des autres otages en Syrie, relève « évidemment de l'opération de promotion »


«Du point de vue des organisateurs de cette fuite, l'opération a bien fonctionné. "Jeune-délinquant-Arabe-Syrie-attentat-France-terrorisme-antiterrorisme", toute l'artillerie sémantique est déballée afin de finir de nous convaincre que nous avons toutes les raisons d'avoir peur», constate Pierre Torres. 


Face aux députés, Bernard Cazeneuve a démenti toute «instrumentalisation». «Les services ont été exemplaires», a-t-il répondu.


Selon que vous serez dans l'opposition ou la majorité...


P.S:  Cette loi liberticide a focalisé les craintes jusque dans les rangs de l’UMP ( le député Lionel Tardy a rappelé l’opposition des socialistes au blocage administratif des sites lors du vote de la loi Loppsi 2).


Les critiques les plus vives sont venues des députés les plus impliqués dans les dossiers numériques, quelle que soit leur couleur politique.


Examinée en procédure accélérée (une seule lecture dans chaque chambre), ce patriot-act à la française a très peu de chances d’être soumis au Conseil constitutionnel. (C'est plus pratique!).



en savoir plus : Le projet de loi antiterroriste vise Internet 

source: Terrorisme: droite et gauche au garde-à-vous à l'Assemblée 


Jean-Christophe Cambadélis Ses Diplômes De Complaisance Et Ses Justifications Qui Ne Tiennent Pas La Route


"Camba" (JC Cambadelis) souffre de phobie universitaire, et ceux qui compatissent avec les actes de cette oligarchie des médiocres souffrent de phobie démocratique.

En Allemagne ou dans des pays Scandinave cela ne sera jamais passé! Il y en a qui ont démissionné parce qu'on a découvert un simple plagiat dans leur thèse....

Extrait : Doctorat usurpé: Cambadélis s’enferre dans ses mensonges 19 Sep 2014 00:00:00 +0200 - (source)


....Résumons. Pour l’heure, Jean-Christophe Cambadélis, qui serait donc resté de 1970 à 1985 à l’université, ne fournit pas la preuve qu’il a obtenu un DEUG, et suggère qu’il aurait obtenu d’abord une licence puis une maîtrise par une « dispense ».

La suite de son cursus universitaire laisse tout aussi perplexe. Car dans son communiqué de mercredi soir, le premier secrétaire du PS omet de mentionner qu’après la maîtrise, il a eu à passer un DEA, passage obligé avant de pouvoir soutenir un doctorat de 3e cycle. « J’ai obtenu ma maîtrise puis j’ai passé mon doctorat de 3e cycle », écrivait-il. Décryptant ce communiqué, nous nous étions donc étonnés qu’il ne fasse pas état de l’obtention d’un DEA.
Or, voilà que sur son blog, Jean-Christophe Cambadélis se souvient soudainement jeudi soir qu’il a passé un DEA. Et il produit une « attestation de diplôme » en date du 3 décembre 1984 – on peut la télécharger ici. J’ai cherché à vérifier la réalité de cette attestation, et à comprendre dans quelles circonstances et sous quelles modalités Jean-Christophe Cambadélis aurait pu passer un tel DEA.

Vendredi en début de matinée, je lui ai donc adressé le mail suivant : « Jean-Christophe, je vais naturellement porter à la connaissance des lecteurs de Mediapart dans la journée les documents que tu as mis en ligne, retraçant ton parcours universitaire. Pour que mon article soit le plus rigoureux possible, je voudrais te poser une question complémentaire : Peux-tu m'indiquer quand tu as soutenu ton mémoire de DEA ? Quel en était le sujet ? Et avec qui l'as-tu fait ? Ce mémoire, puis-je le consulter ? Dans l'hypothèse où tu ne disposerais pas de ces pièces, peux-tu donner ton autorisation au directeur de cabinet de la présidente de l'université de Paris 7 pour qu'il me fournisse ces réponses ? En te remerciant. » Mais à l’heure où nous mettons cet article en ligne, samedi, l’intéressé ne nous a apporté aucune réponse.

On connaît la suite. Jean-Christophe Cambadélis s’inscrit ensuite en doctorat de 3e cycle, et rédige une thèse sous la direction de Pierre Fougeyrollas qui est, comme lui, un dirigeant de l’OCI. Le jury qui lui octroie le doctorat lui est aussi largement acquis puisque, outre Pierre Fougeyrollas, il comprend également un universitaire socialiste, Gérard Namer, avec lequel Jean-Christophe Cambadélis a cherché les mois précédents à créer des sections Force ouvrière dans l’enseignement supérieur. Dans les documents fournis par Jean-Christophe Cambadélis, on dispose d’une information complémentaire : on découvre (le document peut être téléchargé ici) que le rapporteur du doctorat est également le directeur de thèse Pierre Fougeyrollas, ce qui n’est jamais le cas en doctorat, où les rapporteurs sont externes.

Bref, l’opération « transparence » annoncée par Jean-Christophe Cambadélis vient en vérité confirmer nos informations. Car au total, voici ce que l’on peut retenir : on ne sait toujours pas si l’intéressé a ou non obtenu un DEUG ; on sait qu’ensuite il aurait eu une dispense d’abord pour la licence, ensuite pour la maîtrise, mais on ne dispose pas de la pièce en attestant dans le premier cas et on ne dispose pas des raisons de ces dispenses dans les deux cas ; Jean-Christophe Cambadélis refuse par ailleurs d’indiquer quel a été son mémoire de DEA ; et pour finir, il a obtenu un doctorat de 3e cycle supervisé par une personnalité qui était politiquement très proche de lui.

Notre enquête vient donc confirmer le récit que j’ai établi de l’histoire de cette génération – ou d’une partie de celle-ci – qui a gravité longtemps autour de l’Unef et de la Mnef, ayant une relation très distanciée avec la vérité, et jugeant que la fin justifiait perpétuellement les moyens. De l’histoire de quelques dirigeants étudiants qui, choisissant de faire carrière au parti socialiste, ont fini par ne plus défendre qu’une seule cause : la leur.

SOURCE : Doctorat usurpé: Cambadélis s’enferre dans ses mensonges 

A lire aussi sur le blog de Tuxicoman : Pourquoi Yahoo est contraint de livrer des données personnelles à la NSA

vendredi 26 septembre 2014

Mali Centrafrique Irak Syrie (Demain LIbye?) : François Hollande Le Président Le Plus Guerrier De La Ve République!


Mensonge honteux: quand Hollande fustigeait la droite et exigeait le retrait d'Afghanistan!


Trois guerres en deux ans!


Pour la troisième fois en deux ans seulement, en engageant militairement la France en Irak, François Hollande confirme son rôle de Président le plus guerrier de l'histoire de la Ve République en un temps si court. 

À chaque fois, c'est le même argument bushiste qui est avancé : lutter contre le terrorisme, que ce soit au Mali et en Centrafrique depuis 2013, aujourd’hui en Irak ou demain, probablement, en Syrie et en Libye. À tel point que le président français François Hollande est régulièrement taxé (à juste titre) de néoconservateur en s’alignant ainsi sur les États-Unis.

Lundi, à l’occasion de la conférence sur la paix et la sécurité en Irak, organisée à Paris avec une trentaine d’États représentés, le chef de l’État français a de nouveau défendu la nécessité de frapper militairement l’État islamique (EI), que les autorités françaises n’appellent plus désormais que par son acronyme en arabe, Daech, pour lui dénier le droit de constituer un État. « Les États-Unis ont agi pour former une large coalition. La France y prendra sa part », a-t-il expliqué.


Un peu plus tôt, Jean-Yves Le Drian avait indiqué dans un discours devant les forces françaises positionnées aux Émirats arabes unis : « Soyez donc prêts à devoir intervenir. » Il a également précisé que « dès ce matin (lundi, ndlr), de premiers vols de reconnaissance auront lieu avec l’accord des autorités irakiennes et émiriennes ». Depuis le mois d’août, la France a également « livré plus de 60 tonnes de matériel » dans le cadre de son opération humanitaire en Irak. Elle devrait prochainement fournir du matériel militaire aux combattants irakiens, notamment kurdes, qui luttent contre l’État islamique.

Sans surprise, François Hollande a surtout insisté lundi sur la nécessité de la lutte contre le terrorisme, qualifiée de « menace globale ». Même si la référence est involontaire, la rhétorique rappelle évidemment celle de George W. Bush et sa guerre globale contre le terrorisme. « Telle est la menace, elle est globale, la réponse doit donc être globale », a expliqué lundi François Hollande qui a rebaptisé la conférence « sur la paix et la sécurité en Irak, et contre le terrorisme ».

Il faut « punir tous ceux qui sont associés de près ou de loin » à l’EI, a-t-il également déclaré, avant de redire sa volonté de « punir les responsables ». « Punir », c’était déjà le terme, très contesté à l’époque, que le président français avait utilisé pour appeler à des frappes militaires contre le régime de Bachar al-Assad. Et comme il y a un an, Hollande est prêt à intervenir militairement sans mandat de l’Onu. Quant aux procédures françaises, il n’a, cette fois, même pas évoqué l’organisation d’un débat parlementaire.

Surtout, François Hollande a fait le lien entre l’intervention militaire en Irak et le risque terroriste qui pèse sur la France. « Alors que la France se tient prête dans ces moments décisifs pour sa sécurité, car c’est bien aussi la sécurité de la France que menace Daech, ce pseudo-État islamique », avait déjà déclaré depuis Abou Dhabi le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian. Une rhétorique déjà abondamment utilisée par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, qui défend à l’Assemblée son projet de loi antiterroriste. « Nous faisons face à une menace inédite, par sa nature et par son ampleur. (…) Face à ce phénomène inédit, notre riposte est globale : nous combattons les terroristes à l'intérieur et à l'extérieur »a-t-il expliqué au JDD.

Selon Cazeneuve, la France fait face à un risque d’attentat : « Cette menace est diffuse. Et d'autant plus dangereuse. » « Nous sommes obligés de nous défendre parce que nous sommes au bout du fusil »juge également Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères. Un des principaux responsables de la lutte antiterroriste en France, Loïc Garnier, à la tête de l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), a même affirmé lundi « Aujourd'hui, nous n'en sommes plus à nous demander s'il y aura un attentat en France, mais quand. » À tel point que certains médias en sont à dresser un pseudo-portrait-robot du « prochain attentat terroriste en France ».

Là encore, le parallèle avec les États-Unis interroge. Bush avait résumé le pilier de sa doctrine par la phrase suivante : « Mener le combat contre l’ennemi chez lui avant qu’il ne puisse nous attaquer chez nous. » Cela a mené les États-Unis durant les années 2000 à développer le concept des « frappes préventives », les interventions dans des pays qui ne représentaient pas une menace immédiate (Irak, Pakistan) et, d’une manière générale, la permanence d’actions militaires aux quatre coins de la planète, de la Somalie au Waziristan.

L’Élysée et le Quai d’Orsay réfutent de façon virulente tout parallèle entre leur politique et celle de Bush. Si les États-Unis ont attaqué l’Irak sous prétexte d’une menace imaginaire (les armes chimiques), il s’agit cette fois, a expliqué en privé Laurent Fabius, de frapper à la demande de l’État irakien une menace avérée. Pour le chef de la diplomatie française, on assiste actuellement à un changement de paradigme international dans un monde qui se décompose.

Reste que la France est déjà engagée sur de nombreux terrains, au maximum sur ses capacités militaires, avec des résultats très contestés. Au Mali, l’opération Serval est devenue l’opération Barkhane. Le changement n’est pas uniquement sémantique puisque le théâtre d’opération des militaires français n’est plus le seul Mali, mais aussi les pays alentour : Mauritanie, Niger, Burkina Faso et Tchad. Si la logique antiterroriste est évidente, les djihadistes et les trafiquants de tous acabits qui leur sont associés passant aisément d’un territoire à l’autre, la question du mandat est confuse et la question politique assez faiblarde.
Contrairement à l’intervention malienne de janvier 2013 (officiellement à la demande du président de l’époque et sous la menace des combattants venus du Nord), les soldats français de Barkhane opèrent au nom d’accords bilatéraux avec les cinq pays concernés et donc avec des règles d’intervention qui changent d’une nation à l’autre. Quant à la gestion politique de cette crise qui affecte le Sahel, elle semble toujours au point mort.

« La crise politique malienne, à l’origine de l’affaissement de l’État qui a suscité l’intervention française, n’est absolument pas résolue, soupire un diplomate européen en poste à Bamako. Le président Ibrahim Boubacar Keita s’est coulé dans les habits de ses prédécesseurs et il traîne des pieds pour entreprendre les réformes ou renouer le dialogue avec les Touaregs. Quant à la formation de l’armée malienne par les Européens, on nous dit que cela va durer des années… »

Sur France Info, le général Palasset, en charge de l’opération Barkhane, parle d’une durée minimum de trois ou quatre ans. Connaissant les prévisions généralement optimistes des militaires dans ce domaine, il faut admettre que la France est réengagée lourdement et pour très longtemps dans cette partie du Sahel.
De plus, le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian a récemment appelé à « agir en Libye », estimant que Barkhane pourrait être amené à « monter vers la frontière libyenne ». La Libye est pourtant l’exemple d’une intervention militaire décidée sans réel accompagnement sur le long terme, qui finit par se retourner contre ses initiateurs. À la dictature libyenne a succédé un état de chaos qui menace de basculer dans une « beyrouthisation » de la capitale Tripoli.
Depuis le début de son mandat, François Hollande donne en tout cas le sentiment de céder aux sirènes néoconservatrices, du moins de se laisser aller à l’air du temps (lire notre enquête). Ou à un « interventionnisme libéral » assez désidéologisé, comme l’estime le chercheur Christian Lequesneauteur d’un article récent sur la politique extérieure de la France« Il y a aujourd’hui un assez grand consensus chez les diplomates français, de gauche comme de droite, pour dire que la coercition militaire fait partie des outils de la diplomatie. Depuis Nicolas Sarkozy, et aujourd’hui avec François Hollande, le vieux paradigme gaullo-mitterrandien n’est plus l’état d’esprit », explique-t-il à Mediapart.







Un dernier diagnostic partagé par Yves Aubin de la Messuzière, ancien ambassadeur. « On est dans la gestion de crise, sans donner de perspectives plus lointaines. Et on n’est plus du tout dans la tradition gaullo-mitterrandienne. Il s’agit plutôt d’une tendance occidentaliste, celle d’un Occident qui devrait affirmer ses valeurs, comme sous Nicolas Sarkozy », décrypte-t-il. Selon lui, une partie de l’opinion publique des pays arabes risque de percevoir la France comme étant à la remorque des États-Unis, dans une coalition où elle n’aurait que peu d’indépendance. D’autant plus que, selon Aubin de la Messuzière, la France a abdiqué tout rôle dans le conflit israélo-palestinien.  

En Irak, et peut-être même en Syrie, « notre rôle sera modeste, il s’agit d’un rôle d’appoint par rapport aux États-Unis », dit aussi François Nicoullaud, ancien ambassadeur de France en Iran. Mais, insiste l’ex-diplomate, la France fait tout « pour se poser dans le champ médiatique comme une puissance motrice, à l’initiative ».
Selon plusieurs sources, Paris a demandé à Washington de conserver un minimum de marge de manœuvre. « Il y a deux choses qui inquiètent l’Élysée : la légitimité de l’intervention et le souci de ne pas trop dépendre des Américains », analyse un diplomate du Quai d’Orsay. Avant d’ajouter : « Pour la première, c’est réglé grâce à l’appel à l’aide du premier ministre irakien. Pour le deuxième, c’est plus compliqué : les Américains ont des moyens et des renseignements que nous n’avons pas. Il est donc délicat d’être complètement autonomes à leur égard, et en même temps, on ne veut pas se retrouver embarqué dans une guerre qu’on ne maîtrise pas» Une frappe française qui ferait des victimes civiles sur la base d’un renseignement américain aurait un effet dévastateur.

Mais sur le fond, précise encore ce diplomate qui se dit plus proche de l’UMP que du PS, « Hollande fait partie de cette génération de socialistes, comme Fabius, qui se veulent réalistes et décidés à dépasser ce qu’ils estiment être un vieux tropisme de gauche : le non-interventionnisme et le pacifisme ».

Si Barack Obama est apparu comme un « guerrier réticent », selon une expression que l’on retrouve de plus en plus dans la presse américaine, refusant de bombarder la Syrie en 2013 et se mobilisant contre l’État islamique sous la pression de la droite américaine, François Hollande semble même aimer se draper dans des habits martiaux. Il avait ainsi déclaré, peut-être submergé par l’émotion lors de sa visite au Mali en février 2013 : « Je viens sans doute de vivre la journée la plus importante de ma vie politique, parce qu'à un moment une décision doit être prise, elle est grave, elle engage la vie d'hommes et de femmes. »

« Hollande est comme tous les présidents de la Ve République qui arrivent à l’Élysée », confiait il y a quelques semaines un général en retraite à qui l’on demandait si l’actuel président ne se précipitait pas un peu trop pour intervenir à l’étranger. « Il découvre que l’armée est une institution qui fonctionne au quart de tour et sans poser de questions. Il suffit de prendre une décision et, 48 heures plus tard, des centaines de soldats français interviennent à l’autre bout du monde avec généralement la plus grande efficacité. C’est très grisant d’appuyer sur un bouton et d’obtenir un résultat immédiat. »

Le président français espère aussi que son interventionnisme à l’étranger lui permette de conserver ce qui lui reste de popularité en France. Il sert en outre à exercer une pression supplémentaire sur les députés rétifs, qui hésitent à voter la confiance que demandera mardi à l’Assemblée le premier ministre Manuel Valls.
Plusieurs responsables de la majorité expliquent aussi depuis plusieurs jours que les débats sur la politique économique ne sont pas à la hauteur, alors que la France est sous la menace d’un attentat terroriste et qu’elle s’engage en Irak.« Il faut sortir de l’hémicycle : la France s’engage en Irak ; le président a besoin d’appuis sur la scène européenne et le FN est le troisième parti de France. L’enjeu du vote de confiance est à cette hauteur-là », affirmait récemment un proche de François Hollande. Pas sûr que la ficelle, grossière, soit non plus à la hauteur.

BOITE NOIREUn vif débat sémantique fait rage sur le nom de l’État islamique (EI), d’abord appelé État islamique en Irak et au Levant (EIIL) et que les autorités françaises refusent désormais de désigner autrement que par l’acronyme en arabe Daech (ou Daesh, ou Da’ech). Quant au ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, il ne parle plus que des « égorgeurs de Daech ».

« Vous avez parlé d'un prétendu “État islamique” : permettez-moi de revenir, un instant seulement, sur cette expression. Le groupe terroriste dont il s'agit n'est pas un État. Il voudrait l'être, il ne l'est pas, et c'est lui faire un cadeau que l'appeler “État”. De la même façon, je recommande de ne pas utiliser l'expression “État islamique”, car cela occasionne une confusion entre l'islam, l'islamisme et les musulmans. Il s'agit de ce que les Arabes appellent “Daech”, et que j'appellerai pour ma part “les égorgeurs de Daech” ! », a justifié Laurent Fabius devant le Parlement, comme l’a relevé Marianne.

Mais ce choix sémantique – récent de la part de la France – est contesté, y compris par des chercheurs spécialistes de la région. C’est par exemple le cas de Romain Caillet, qui considère que « l’acronyme Daech est un terme impropre et péjoratif, utilisé par les opposants à l’État islamique ». « Si en langue arabe il peut y avoir une légitimité à l’employer, son utilisation en français est clairement idéologique »explique-t-il.

À Mediapart, nous continuons à parler d’État islamique (EI), évidemment pas en signe de soutien avec ce groupe terroriste, mais par souci de cohérence dans notre couverture journalistique.


source : Mali, Centrafrique, Irak: Hollande, le président qui aime faire la guerre - Autoblog du flux complet de Mediapart - France

Intervention Française En Irak Et En Syrie : L'incroyable Soumission De François Hollande!

Le choix funeste de Hollande : Merkel demandait l'austérité budgétaire, Obama demande du sang!



La France, nouvel état américain!


La France (enfin françois Hollande) ne cherche qu’à complaire, à Barack Obama, qui depuis le début de sa présidence suit son plan de restructuration de Moyen Orient annoncé dans le Discours du Caire.

L’intérêt des USA est de mettre à bas les dictatures socialo-arabes qui avaient elles même renversées les roitelets désignées lors de la mise en œuvre du partage Sykes-Picot. L’objectif en 1917 était de créer des états multi-culturels ingérables (sur la modèle africain) donc à la merci de l’occident. La réponse des arabes a été la mise en place de ces dictatures, qui imposaient la laïcité par la force... et s’imposaient à l’économie mondiale par l’OPEP... d’où la nécessité de les abattre.

La donne a changé quand les nouveaux démocrates de fantaisie se sont vus dépassés par des groupes comme l’EI (état islamique ou DAECH) , qui se donnait comme objectif de redessiner aussi le Proche Orient mais de façon viable.

Assad reste un obstacle au discours du Caire, il doit donc être détruit de toute façon et toute reculade dans ce domaine serait interprété comme un échec.

La France aujourd’hui n’a aucune stratégie si ce n’est le suivisme des USA jusque dans l’illégalité.


Obama le "chicago boy" a complètement dominé Hollande le correzien!


Bachar a bon dos!


Il faut répéter sans cesse que c’est la guerre d’Irak de 2003 qui est à l’origine de ce mouvement terroriste. Laurent Fabius devrait lire un peu plus de presse anglophone, là-bas ils l’expliquent plutôt pas mal, alors que c’est leur guerre, à laquelle la France n’avait pas voulu participer, à raison...

Bachar al Assad est coupable de certaines choses mais n’a rien à voir là-dedans, surtout si l’on se souvient qu’Hafez (son père) participa à la coalition de la guerre d’Irak de 1991.

Le terrorisme sunnite est l’ennemi de Bachar président alaouite, (branche de l'islam sauvé de l'hérésie par son rattachement à la minorité chiite), chiites contre lesquels saoudiens et qataris financent beaucoup de groupes armés, contre lesquels les Etats-Unis soutiennent beaucoup de choses et ont notamment armé Saddam pour envahir l’Iran.

Qu’on ne me fasse pas dire que je suis pro-Bachar, je ne le suis pas, mais je suis anti-propagande de l’OTAN par contre.

Si on suivait l’idée de ce cher Laurent Fabius, on pourrait donc se dire que la France reconnait que le terrorisme corse est imputable à l’état français. 

Ce qui est tout de même n’importe quoi, surtout lorsqu’on est ministre.


Plenel le nouveau Jaures?



Edwy Plenel porte un jugement sévère contre la position du ministre des Affaires étrangères

"J'entends George Bush junior en entendant Laurent Fabius. On décide la guerre sans les Nations Unies. Ayez peur et je m'occupe du reste. D'où il vient l'Etat islamique? Il vient du désordre que nous avons créé. Nous avons créé la guerre de religion entre sunnites et chiites".

Le président français Hollande espère ainsi que son interventionnisme à l’étranger (une guerre par an)  lui permette de conserver ce qui lui reste de popularité en France.

C'est se faire l'allié d'un "droitisme guerrier" le plus extrémiste. C'est une faute qui risque de ne jamais se réparer et sacrifier Hollande avant 2017 ne suffira pas pour un parti socialiste sur le point d'être durablement effacé du paysage politique français s'il ne se reprend pas énergiquement en excluant Hollande et Valls du parti. 

jeudi 25 septembre 2014

Une Guerre Par An ! François Hollande Et Le Complexe De Napoleon III



Napoleon "le petit"


Durant 45 ans, les pays occidentaux se sont préparés à une hypothétique guerre avec l’URSS, en accumulant les armements, en multipliant les kriegspiels, et tout cela en vain.

Depuis la disparition de l’URSS, non seulement les Occidentaux n’ont pas dissout l’OTAN mais ils ont continué à considérer la Russie comme un ennemi et un adversaire, ce qui a eu pour effet d’en faire effectivement un ennemi et un adversaire, ce à quoi elle n’était pas du tout disposée en 1991 !

Mais comme il est risqué - malgré son affaiblissement - de s’en prendre à la Russie, les Occidentaux préfèrent s’en prendre à des adversaires faibles : la Serbie, par exemple, mais surtout à cet ennemi fantasmé qu’est l’islamisme, et ça donne les expéditions coloniales en Afghanistan, en Irak, en Somalie, en Libye, au Mali, en Syrie...

A l’exposé de cet activisme, on se remet à penser au 19e siècle, à la fois à la Sainte Alliance - coalition des puissances conservatrices contre la Révolution - et à la politique extérieure brouillonne de Napoléon III, engagée chaque fois dans des entreprises où les intérêts de la France n’étaient nullement en cause, qui ne nous a apporté que des dépenses, des pertes en hommes et en prestige, des rancunes, des méfiances, et qui a débouché sur un désastre quand on est tombé sur un adversaire coriace.

Je crains que Hollande, qui, par certains traits, me fait penser à Napoléon III, ne nous entraîne dans une telle aventure, par faiblesse, par idéalisme et par nécessité de faire oublier les échecs intérieurs.


Sauver la France et l’Occident du désastre qui s’annonce



Il faut reconstruire la démocratie sur des bases de moralité universelle, remettre la citoyenneté au coeur du débat public. La France a un atout civilisationel majeur "La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen" et sa devise "égalité, liberté, fraternité". 

Cependant, nous vivons un effondrement moral sans précédent, l’argent des multinationales a fini par corrompre toute la société. Disposant des médias ils on mis en place un véritable totalitarisme de la pensée ; distillant leurs "valeurs décadentes", ils n’ont qu’un seul objectif un maximum de profit. 

Le prix a payé pour l’humanité est cosmique, il l’est plus pour la planète. Il faut un sursaut de tous les êtres épris de justice et de sagesse pour mettre en place une organisation citoyenne capable de reprendre l’outil médiatique et d’ y promouvoir les vertus des Anciens au coeur d’un citoyen responsable, pour sauver la France et l’Occident du désastre qui s’annonce.

Derrière L'alibi De L'État Islamique Une Longue Guerre Contre Bachar El Assad Et La Russie

DE 1914 À 2014 Tout Est Prêt Pour Une Nouvelle Grande Guerre!




Syrie les bombardements visent aussi Assad



Avant de sceller un nouveau partenariat avec Washington, les monarchies du Golfe ont posé « une condition très claire: pas de soutien à la politique américaine (contre) l’EI en Irak sans action militaire en Syrie », explique Mustafa Alani, analyste au Gulf Research Center basé à Genève.

L’alliance est devenue officielle le 11 septembre à Jeddah en Arabie saoudite) où dix ministres arabes ont engagé leur pays à prendre part chacun à la lutte globale contre l’EI.

Selon François Heisbourg, de la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS), la campagne en Syrie est un remake élargi  de la guerre de 2011 en Libye avec l’intervention d’avions émiratis et qataris.

La présence d’avions américains dans l’espace aérien syrien, particulièrement dans le nord, transforme cette partie de la Syrie en ‘No Fly zone’ Zone d'exclusion aérienne,  pour l’armée de l’air syrienne.


Syrie : la Russie se prépare à la guerre 



Un porte-avion et trois destroyers russes viennent d'accoster, au port de Tartous, en Syrie. 

Aucun autre détail n'a été communiqué par les sources d'information, qui établissent un rapport direct entre les frappes US/arabes contre la Syrie et ce nouveau déploiement de navires russes, sur la seule base navale que détient la Russie, en Méditerranée. Il y a quelques jours, déjà, un autre navire de guerre russe avait jeté l'ancre, à Tartous. 

Il s'agit d'un navire doté de batterie de défense anti-avion, de missiles de croisière, de missiles Tomahawk et d'autres engins du genre. 

Les observateurs politiques n'écartent pas la possibilité d'une confrontation directe entre les Etats Unis et la Russie, si les avions américains se mettent à bombarder des zones autres que celles sous  contrôle Daesh.


Les raids contre la Syrie pourraient durer des années (USA Today)



Les commandants américains parlent des opérations de longues années en Syrie, a écrit USA Today.

 Les  frappes aériennes contre la Syrie  sous la houlette des Etats-Unis sont une prélude à des opérations éventuellement des années, citant les commandants américains. 

La stratégie annoncée par les Etats-Unis, consiste à mener des raids aériens,  à former et à équiper les forces locales  pour lutter contre Daesh. 

L'application de cette stratégie durera des années,  a estimé le général William Melville, directeur de chambre d'opération de l'état-major  de l'armée américaine.

Irak, Syrie Ukraine Afrique : Au Bout De La Construction Européenne Une Guerre Sans Fin...




La construction volontaire de notre propre cage




Dans les années soixante, les Etats-Unis avaient impulsé la construction d'une Union européenne conçue pour servir leurs intérêts géopolitiques et économiques. 

L'instrumentalisation de l'Europe par l'Amérique allait se poursuivre. Ceux qui pensaient que la mise en place de l'euro serait un outil  permettant à l'Europe de commencer à s'affranchir de la domination du dollar, et par conséquent de Washington ont été les idiots utiles de cette vassalisation continentale!

Face à une Amérique devenue une hyper-puissance militaire, sous la pression des importateurs et de la grande distribution, l'objectif est en Europe de consommer toujours davantage de biens et services produits ailleurs. 


La fausse quiétude d'un continent resté sous le parapluie américain, à l'écart des conflits trouvait suffisamment de "douceur de vivre" dans sa zone commerciale de libre échange...Cette illusion est entrain de se dissiper. Guerre partout croissance nulle part!




Un scénario tragique



Avec la crise financière de 2008, principalement née à Wall Street, un scénario tragique s'est ouvert pour l'Europe. Celle-ci, s'est vue contrainte d'accepter la tutelle politique, économique et technologique de l'Amérique. Le moment est donc venu pour cette dernière d'obliger les Européens à rompre tous les liens qu'ils commençaient à esquisser avec l'Eurasie, et rentrer frileusement dans le bercail américain. Mais il faut pour cela un prétexte. Il faut pouvoir relancer une nouvelle guerre froide, faisant de l' « ogre russe » l'ennemi à combattre, quels qu'en soient les coûts pour l'Europe. 

Et comme si ça ne risquait de ne pas suffire on nous engage désormais dans une longue guerre sale et difficile avec promesses d'attentats sanglants sur notre sol!

La guerre civile est inévitable selon certains incendiaires subventionnés, alors c'est pas le moment de la ramener avec votre anti-américanisme primaire!

L'affaire de l'Ukraine, provoquée quasi exclusivement par le diplomatie américaine du dollar et des forces spéciales, a fourni l'occasion que l'on connait. Inutile d'y revenir. Mais il s'agit bien en effet d'un scénario tragique pour l'Europe. Elle s'est trouvée engagée dans une guerre-éclair contre la Russie, poursuivie par une guerre des sanctions dont elle est seule à supporter les conséquences. 

Les rêves d'euroBrics s'évanouissent, avec les perspectives de développement qui en découlaient. En effet, la Russie se trouve rejetée, pas toujours de bon gré d'ailleurs, vers l'Asie au détriment de ses affinités européennes. Mais une fois reconvertie dans le cadre d'un Brics musclé et dédollarisée, elle n'aura aucune incitation à retrouver ses liens naturels avec l'Europe. 


Ce qui est perdu restera perdu.


Coalition De Pompiers Pyromanes Autour d’Obama et Hollande En Irak Et En Syrie

François Hollande un sous préfet de Corrèze très facilement manipulable !


François Hollande avait tout d'un "René Coty" mais en réalité c'est Guy Mollet.

Car ce dernier avait également, en son temps, engagé la France dans une guerre coloniale d'arrière-garde sans espoir en Algérie. François Mitterrand (pas encore socialiste) y avait légalisé la torture et le régime militaire...

Par quelle aberration intellectuelle en est-on arrivé si rapidement à convaincre les français; et leurs députés qui se sont rassemblés dans une sorte d'union sacrée que la sécurité de la France était menacée?

Notre Président de la République «va-t- en guerre» depuis qu’il est élu n’a jamais rechigné à montre ses muscles, déployant nos forces armées partout « où ça pète » en AFRIQUE. Histoire sans doute de faire oublier, c’est classique, ses échecs économiques dans l’hexagone. D’autres l’ont fait avant lui…mais l'Irak c'est un sacré morceau que même les USA Bushistes n'ont pu digérer malgré leurs  6000 milliards dépensé en armement ultra sophistiqué!


La Norvège, le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Grèce... (la liste des pays non engagés est immense) ne sont aucunement décidés à entrer en guerre contre des illuminés qui, à des milliers de kilomètres, ont auto proclamés un califat.

Était-il indispensable de mettre en jeu la vie de nos soldats dans une opération incomplète et bancale De jouer les supplétifs des américains?

Une forte odeur de pétrole est sans doute la réponse?

Et la presse censure à présent les réactions des citoyens sur tous les sujets qui touchent à cette guerre. Difficile de s'exprimer. Les modos clouent le bec sur ordre!

"La première victime d'une guerre est la vérité" disait Rudyard Kipling. On le constate tous les jours.



Les médias invitent à s'exprimer tous les va-t-en guerre bushistes que comporte notre classe politique atlantiste.

Le but? rallier les citoyens comme un vulgaire troupeau de moutons avec quelques affirmations mensongères.

Les maladresses (pour ne pas dire plus) se succèdent chaque jour.


Quand des jeunes français musulmans se précipitent avec l'aval de Laurent Fabius pour combattre Bachar El Hassad on s'en étonne car ce sont des djihadistes. Mais qui a supprimé l'autorisation parentale de sortie du territoire pour les mineurs en arrivant au pouvoir en 2012?




Nos "soit disant" alliés dans le monde arabe ne sont souvent que des dictatures qui nous prêtent main forte officiellement tout en finançant en sous-main les combattants de l'EI.


Après le Mali et la Centrafrique Hollande a décidé sans vote au parlement de bombarder l'Irak. Par souci des populations locales ? Certainement pas car l'impérialisme américain (dont nous faisons partie) a laissé bien des peuples confrontés des dictatures tant que ses intérêts n'étaient pas menaçés.

On peut légitimement penser qu'au Proche Orient c'est avant tout pour protéger les champs de pétrole, dont la raffinerie nouvellement construite par Total à Bassorah en Irak que nous intervenons en catastrophe.

Les agissements des grandes puissances et de la France aujourd'hui, qui interviennent en fonction de leurs intérêts fabriquent des terroristes à la pelle. Hollande a beau jeu ensuite de vouloir les combattre...

Une fois encore, l'Opinion part joyeuse et déterminée au combat, comme d'ailleurs c'est le cas pour quasiment toutes les interventions néo coloniales.

Dans le même temps, le projet du "Parlement européen" d'isoler l'ensemble du système financier russe du reste du monde est une véritable déclaration de guerre à la Russie : https://www.les-crises.fr/deconnexion-swift-russie/

Le capitalisme néo libéral est dans une impasse, mais pour éviter la faillite totale il ira jusqu'au bout comme après 1929 !

samedi 20 septembre 2014

Merci pour Ce Moment Les "Bonnes Feuilles" De l'Inhumanité de François Hollande !

















vendredi 19 septembre 2014

Julie Gayet Outrée Par Les Révélations De Trierweiler Plaque Hollande Après L'avoir Cocufié Cet Été Avec Un Avocat Fiscaliste

VSD conseille à Trierweiler d'épouser Poutine, un homme "qui en a dans le pantalon"!


Julie Gayet : a officiellement "largué" Hollande d'après VSD


L'actrice de gauche n'a pas apprécié les révélations de Valérie Trierweiler. Sortir avec un Président qui n'aime pas les "salauds de pauvres" c'est pas bon du tout pour sa carrière.

Cet été, closer publiait des clichés sans ambiguité où l'on pouvait la voir en Corse à la plage embrasser sur la bouche un avocat spécialisé dans l'évasion fiscale! Un "spécialiste de la financière de l'échiquier" ça, se refuse pas pour éviter les hausses d'impôts de "moi-Président"!



Une rupture Hollande-Gayet à cause de Valérie Trierweiler?



Julie Gayet fatiguée des hésitations du chef de l'Etat la concernant a repris sa liberté. Elle compte d'ailleurs tourner la page indique VSD qui cite un proche selon lequel désormais "elle s'en fout" de Hollande

Julie Gayet a peu apprécié le grand déballage de la vie privée du chef de l'Etat dans le livre de Valérie Trierweiler, "Merci pour ce moment", à la rentrée. 

D'autant que Valérie Trierweiler affirme dans son ouvrage que François hollande a tout fait pour la faire revenir, lui envoyant des fleurs, la harcelant de SMS, lui proposant même le mariage, alors qu'il poursuivait sa relation avec Julie Gayet... 

L'actrice a être effrayée par cette fin d'été calamiteuse pour son couple, elle qui, dit-on, attendait plutôt une officialisation de sa relation avec le locataire de l'Elysée. L'actrice aurait affirmé à son entourage qu'elle souhaitait devenir la compagne officielle de François Hollande, pour se détacher de son étiquette de "maitresse". 

Désormais, avec le livre de Valérie Trierweiler, tout le monde sait que François Hollande a tout fait pour reconquérir l'ex-Première dame. Des révélations terribles mais il y a pire pour Julie Gayet, actrice de gauche convaincue. Elle aurait été sidérée en apprenant  les révélations de Valérie Trierweiler affirmant qu'en privé François Hollande méprise les handicapés et se moque des pauvres.


 Mélenchon à la Fête de L'Huma:"Hollande Le menteur, le fourbe, le servile. Dans la rue, il se ferait jeter des cailloux!"


Une rentré 2014 encore plus pourrie que celle de 2013 qui était déjà pire qu'en 2012!


Remaniement pour cause de fronde dans le gouvernement, impopularité jamais vu pour un Président, vie privée étallée commentée et débatue sur la place publique, majorité chancelante réduite à peau de chagrin, chômage astronomique, économie enlisée à 0%, retour annoncé de Nicolas Sarkozy...  François Hollande a vécu une rentrée dantesque (ça devient une habitude).

Reste à savoir s’il pourra tenir encore les deux ans et demi qu’il lui reste à la tête de l’Etat…



Julie Gayet : elle a "largué" Hollande selon VSD, nouveau coup dur pour le président