jeudi 26 juin 2014

DSK charge Hollande et le gouvernement Valls : Une équipe composée pour moitié de «brêles»

DSK à place de Hollande aurait su comment "prendre Merkel" (par derrière?)



DSK veut des "réformes profondes" (sans vaseline!)


L'ex-directeur général du FMI a livré à ses proches le fond de sa pensée. Autant dire que Dominique Strauss-Kahn n'est pas tendre du tout avec François Hollande et son gouvernement. Une équipe composée pour moitié de «brêles», dit-il, qui «aurait été parfait(e) pour le début des années 1980, quand la crise était encore gérable».

Le pacte de responsabilité, présenté en janvier par le chef de l'État, ne convainc pas le chantre de la social-démocratie. Les 50 milliards d'économies? «La moitié est bidon», tranche DSK, qui estime que tout cela n'est que pure stratégie politicienne de la part de François Hollande. «C'est un tacticien. A chaque instant, Hollande prend la position qui maximise sa situation en se disant: plus tard, on verra. Là, il occupe le centre parce que, fin 2013, Sarkozy envisageait de revenir par le centre.»



DSK  assure que s'il avait été élu en 2012, il aurait engagé sans attendre la France dans des réformes profondes. En échange, parce qu'elle avait confiance en lui, Angela Merkel aurait accepté de réorienter l'Europe vers la croissance et la régulation.



Sacré fan-club de DSK !



Le club DSK est un petit cercle quasiment entièrement constitué d'hommes, il est vrai qu'on voit mal une femme suivre un homme qui reste, quoi qu'on en dise, un violeur et un proxénète.

Quant à son immense culture économique, il faudrait demander aux grecs ce qu'ils en pensent quand ce monsieur était a la tète du FMI.

DSK devrait quand faire profil bas... Les 35h, c'est lui! Alors après, parler de "reformes profondes" ce n'est pas forcement rassurant! Il aurait fait les 32h peut-être?

De plus ne nous leurrons pas, DSK aurait suivi EXACTEMENT la même politique "social démocrate mondialisée", le même alignement avec les USA et Israël que le fait actuellement Hollande.

Il signerait le traite transatlantique des deux mains, et aurait très certainement bombardé la Syrie et insulté Poutine et les russes.

Critique vis-à-vis de Hollande, DSK pronostique une dissolution en 2015

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