mercredi 9 avril 2014

A Evry, Les Habitants Paient Encore La Gestion Peu Rigoureuse De Manuel Valls

Si t'es pas invité par BHL, t'as raté ta soirée et ta vie!



Une cohorte de crétins, il n’y a pas d’autre mot, dans son administration où dans sa ville répète bêtement et béatement, comme des moutons, le mythe de sa "soi-disant" popularité. Sorte de catéchisme télévisuel, communion de basse  propagande, preuve de soumission totale, gage d’une lâcheté grossièrement maquillée.


Quel est le bilan de Manuel Valls à Evry? 


Endettement et explosion des dépenses de communication, 
selon le magazine Capital


La presse raffole du storytelling, surtout quand les sondages confirment une surmédiatisation. Manuel Valls est ainsi surnommé le "Sarkozy de gauche" en raison de sa forte popularité dans un contexte où l’exécutif Hollande-Ayrault apparaît bien faible. Un schéma qui apparaît similaire à l’époque où Sarkozy était un populaire ministre de l’Intérieur quand le tandem Chirac-Raffarin plongeait dans les sondages. Alors forcément, la presse, qui ne peut s’empêcher de multiplier les articles "de contexte" s’interrogent : Valls sera-t-il le futur premier ministre? L’hypothèse, purement hypothétique, est relayée à longueur d’articles et de sujets dans les journaux télévisés.

Mais qu’y a-t-il derrière cette construction médiatique? Au-delà des sujets comme l’immigration où Valls cherche systématiquement à se démarquer de son propre camp, la politique économique version Valls est-elle différente des autres? Dans son numéro du mois de novembre, le magazine Capital a dressé le bilan de Manuel Valls à Evry, ville de l’Essonne dont il fut maire entre 2001 et 2012. Verdict? La ville est surendettée et les dépenses de communication ont explosé.


Hausse des impôts de 45% entre 2001 et 2012 ou le petit manuel du mauvais gestionnaire...



"Un simple coup d’oeil aux finances municipales donne une idée de son bilan : les caisses d’Evry sont vides, écrit Capital. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir fait… valser les impôts. Entre 2001 et 2012, la pression fiscale sur les ménages de la commune a explosé de 45,7%. Grâce à quoi la facture moyenne des foyers imposables, qui frôle aujourd’hui les 2100 euros annuels, est l’une des plus élevées de France pour une ville de cette importance. En dépit de ces coups de massue, la municipalité n’a pas réussi à boucler ses budgets, et il lui a fallu emprunter à tour de bras. Depuis 2007, son ardoise s’est envolée de 40%, presque autant que celle de l’Etat".

Comment expliquer une telle hausse de dépenses? Le magazine Capital pointe d’abord des dépenses de fonctionnement. Exemple? Dans une ville de 50 000 habitants, il n’y a généralement qu’une seule voiture de fonction. Or, "la Cour des comptes notait, dès 2006, que la commune en mettait 26 à disposition de ses agents, sans compter les 45 véhicules de service", relève Capital.


Quand je serai grande je serai Trierweiler! Vas-y Manuel 2017!


Hausse des frais de communication


Mais le poste de dépenses le plus surprenant est celui de la communication : ces frais ont "bondi de 825.6% entre 2001 et 2002, et ne semblent pas avoir diminué depuis", assure le mensuel. En 2012, les frais de communication se sont élevés à 800 000 euros. Sans compter les 400 000 euros de frais divers, qui pourraient inclure des dépenses de communication. Alors qu’il n’existait pas à son arrivée, le département de communication de la ville de Valls occuperait aujourd’hui un étage entier de la mairie. Conclusion assassine du magazine : "A Evry, les habitants paient encore sa gestion bien peu rigoureuse…"


Source : Politique.net via Le bilan du Manuel Valls gestionnaire | Le Petit Conservateur Palaisien


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