vendredi 13 décembre 2013

L'eurodéputé Britannique Godfrey Bloom promet la Pendaison à Ses Collègues!

Hang 'Em High!


"... quand les gens se seront vraiment rendu-compte de qui vous êtes, il ne leur faudra pas longtemps pour prendre cette Chambre d'assaut et vous pendre. Et ils auront raison."
Des promesses, toujours des promesses...


Malaise En Centrafrique : Ils Veulent Tuer Les Tchadiens Nos Meilleurs Alliés Au Mali

Un allié de première ligne désormais encombrant...


Le Tchad fournit le plus puissant contingent étranger au Mali derrière l'armée française, avec quelque 2000 militaires.
Le 22 février, au cours d'un engagement sérieux, l'armée tchadienne a perdu 26 hommes, les plus grosses pertes des armées de la coalition. 

Ce drame chez nos alliés démontre l'utilité du soutien tchadien dans nos opération africaines.

L'expérience des Tchadiens dans les terrains désertiques rend leur engagement précieux tout comme leur expérience de se coordonner avec notre armée.

L'ancien président François Bozizé, que le Tchad avait intronisé en 2003 a été balayé le 24 mars 2013  par la Séléka après que N'Djamena a ouvert la voie aux rebelles et donné un sérieux coup de pouce aux rebelles.
François Bozizé avait appelé Hollande "à l' aide" mais Paris l'avait alors lâché sous le prétexte suivant :
"Si nous sommes présents, ce n'est pas pour protéger un régime, c'est pour protéger nos ressortissants".


On imagine l'embarras de Paris ainsi que de "moi-Président" désormais obligés de mentir ainsi que de "traiter" avec le responsable de crimes de masse!






« Tuer » les Tchadiens


A Bangui, la population crie : « On ne veut plus d’eux dans le pays, ce sont des traîtres ». « Il faut que tous les Tchadiens partent ». En revanche, les Maliens et les Sénégalais « peuvent rester, mais les musulmans tchadiens dehors ». Il semble clair que les Tchadiens musulmans qui décident de rester ne sont pas en sécurité après qu’un contestataire ait lancé : « Il faut les tuer tous! ».

Des hommes justifient les pillages : « C’est normal. Les Séléka ont tué des gens, eux les aidaient. C’est normal, c’est juste. Ce sont les représailles », lance un habitant.

Les exactions exercées par les ex-rebelles de la Séléka ont généré une montée de haine entre chrétiens et musulmans qui, jusqu’à présent, vivaient en paix. Désormais, ce sont les musulmans centrafricains et tchadiens qui sont les premières cibles des représailles.

Ces violences ont surgi dans le vide de la stratégie de l'Elysée. 
Il n'aura fallu qu'une matinée aux centrafricains, peu soucieux de la communication élyséenne, pour souligner la réalité de massacres au quotidien. 

L'aéroport de Bangui devient un camp de réfugiés







Bangui : Impuissance Dans Le VAB Surchauffé "Quel merdier!"




En Centrafrique, François Hollande a décidé d'envoyer des soldats français risquer leur vie pour les intérêts des multinationales dépassées et effrayées  par le merdier qu'elles ont largement contribué à installer en Afrique post coloniale. 
Anatole France en parlait déjà après la Guerre de 14-18 : "on croit mourir pour la patrie on meurt pour les industriels"
Toute vérité se situe entre la propangande officielle et la réalité constatée sur place. Deux soldats sont morts pour la gloire d'un président de mèche avec l'impérialisme. Et c'est vraiment regrettable.

Quel merdier!


Une semaine après le début en fanfarre de l’opération Sangaris, gros plan sur « l’épuisante mission des soldats français ». 

Il fait chaud dans les blindés à Bangui. « Mais ces soldats français n’ont pas le choix, les ordres sont tombés : il faut y retourner (…) pour une énième patrouille dans un VAB », un véhicule d’avant blindé. « A l’intérieur du véhicule en acier règne une chaleur étouffante », relève le confrère. « Soudain, de nouveaux ordres grésillent. Il faut aller dans une église, où un colonel de la Seleka s’est réfugié. 

Aux abords, une foule compacte, exaltée. Le stress monte. Le gradé de la milice musulmane est caché dans un coin. Les soldats fouillent les lieux. Pas d’arme et donc de motif de le faire prisonnier. Ils le relâchent, sous le regard des habitants médusés. “Pourquoi vous ne nous aidez pas à les tuer ? ” gémit un chrétien. 

Les soldats n’osent pas exprimer leur sentiment d’impuissance. Il suinte dans leurs yeux. 

Dans le blindé, l’un se prend la tête entre les mains : “Quel merdier...” », dit-il, dans un très martial vocabulaire.

La Haine


La capitale centrafricaine est  minée par les haines depuis les crimes commis par la SELEKA (avec l' accord tacite de la France et du Tchad). 

Les tensions revanchardes ont atteint leur paroxysme. Le niveau de haine réciproque est tel que le moindre incident peut déclencher des massacres de grande ampleur, que l'armée française risque d’avoir bien du mal à stopper.

N'est pas Mandela qui veut, surtout qu'on est plus dans les années 90 et encore moins en Afrique du Sud!