lundi 13 mai 2013

Le mariage pour tous est tellement compliqué que le gouvernement va recourir aux ordonnances pour modifier la loi

Cette procédure  restée au garage pour le rapport Gallois trouve une application pour la loi Taubira

Tout homme politique est nécessairement opportuniste. Partant du fait que le mariage pour tous est un texte nettement plus complexe que prévu à insérer dans notre droit, le gouvernement a prévu de recourir aux ordonnances pour modifier de manière plus rapide et plus sereine les parties des 14 codes (code civil, code de la santé publique, etc.) qui doivent faire l'objet de modifications substantielles.

Rappelons que l'article 38 de la Constitution définit les ordonnances comme des mesures à valeur législative. Autrement dit, on retrouve l'esprit des décrets-lois de la IIIe République. Une loi d'habilitation est requise en amont et autorise ainsi le gouvernement à prendre "pendant un délai limité des mesures qui sont normalement du domaine de la loi". Puis, il y a retour devant le Parlement pour le vote solennel de ratification des ordonnances. Sans ce vote, elles sont caduques et ont une valeur administrative de même nature qu'un décret.

Au plan du contrôle constitutionnel, le Conseil est compétent pour examiner la loi d'habilitation et son étendue (voir le cas de "strictes réserves d'interprétation" par les décisions des 25 juin et 2 juillet 1986) et bien entendu il est reconnu de pleines compétences pour juger de la constitutionnalité du contenu des ordonnances (décision du 4 juin 1984).

C'est donc la loi relative au mariage de personnes de même sexe qui a contraint le Président et son équipe de juristes à recourir à l'idée-choc des ordonnances. C'est un choc pour le parti socialiste de culture parlementaire que de s'en remettre ainsi à l'exécutif. C'est un choc pour la gauche de la gauche au Sénat qui voulait "un vrai débat suivi" (Pierre Laurent). Dans ces conditions, et avec une opposition parlementaire dont le tonus est visible (Messieurs Poisson, Le Fur, Larrivé, etc.), il va y avoir des chocs de mots et de procédures lors des votes d'habilitation et de ratification. À noter que celui-ci est programmé, au mieux, fin septembre ce qui va continuer d'appesantir l'atmosphère politique au sein du Parlement et à ses abords...

Lors de sa conférence de presse du 13 novembre 2012, le Président Hollande évoquant le choc de compétitivité réclamé par l'auteur du rapport Gallois avait eu cette phrase : "L'économie n'aime pas les chocs". Depuis sa référence au "choc de simplification" (issu de son entretien télévisé du 28 mars 2013), il est clair que le mot "choc" est à la mode et que de surcroît l'idée de recourir aux ordonnances pour faire "passer" des réformes structurelles a fait son chemin. Cela peut concerner la réforme des retraites, celle de l'indemnisation du chômage, des intermittents du spectacle, de l'assurance-maladie. Bref autant de sujets sur lesquels le Président a une majorité parlementaire plus ébréchée qu'il n'y parait et donc moins fiable ou même moins aisée à convaincre sur des thèmes complexes.

Quand on songe au vide qui entoure l'application opérationnelle de certaines des réformes finement suggérées par Louis Gallois, la déception s'installe même si la précision conduit ici l'auteur à citer son propos du 5 novembre 2012 : "Puisqu’il s’agit de récupérer du temps au nom de l’intérêt économique général et de ne pas visiter certaines vasières de la vie parlementaire qui n’ont rien à voir avec la noblesse du légitime débat démocratique, nous suggérons aux Pouvoirs publics qu’ils aient recours à la procédure des ordonnances. Ceci éviterait bien des aléas et serait de surcroît compris de l’opinion" (site Atlantico : "Trucs et astuces : comment le gouvernement pourrait faire appliquer le rapport Gallois tout en sauvant les apparences politiques").

Nous maintenons nos propos d'alors et constatons que des mois se sont écoulés sans qu'une politique de l'offre n'ait été mise sur les rails. Sur ce point et sur l'absence de grand chantier sur la décentralisation dans les six premiers mois de son mandat, le Président est resté sous le choc de la crise et a laissé le pays s'enliser davantage.

Lors du récent séminaire gouvernemental du 6 mai 2013, le Président a dit attendre des résultats. Les Français sont de même. Pour y parvenir, les ordonnances sont un instrument constitutionnel parfaitement adapté à la vie des partis et à l'urgence des défis.

Cette procédure est restée au garage des idées perdues pour le rapport Gallois, mais trouve une application pour la loi Taubira. Dès lors, face aux chocs que la conjoncture économique nous réserve (non-inversion de la courbe du chômage pour 2013, etc.), il serait avisé que le Président laisse un marque-page devant l'article 38 de la Constitution.

Pour le Chef de l'État, ce recours aux ordonnances ne sera pas spontané et sera une sorte de choc intérieur. À ceux qui contesteraient ce recours à cette pratique, rappelons la loi N°60-101 du 4 février 1960 "autorisant le Gouvernement, à prendre, par application de l'article 38 de la Constitution, certaines mesures relatives au maintien de l'ordre, à la sauvegarde de l'État, à la pacification et à l'administration de l'Algérie". La durée de la délégation demandée par le gouvernement nommé par le Général de Gaulle fut d'un an (ndlr : Un an).

http://lecercle.lesechos.fr/politique/vie-politique/221172142/chic-remaniement-et-choc-ordonnances

Le MEGA Systême bancaire français : Un Monstre À 100 000 milliards d’euros


Les Megabanques françaises


Gros succès du “modèle de banque universelle”, lancé à la fin des années 1990… “Les faits sont têtus”… 

Le pompon est atteint avec le montant notionnel des instruments dérivés, qui flirte avec la bagatelle de 100 000 milliards d’euros, soit 50 fois le PIB (des fois que certains croient encore les fables de la FBF comme quoi cela sert à couvrir principalement des positions de l’économie réelle… – et elle faisait comment l’économie réelle en 1997 d’ailleurs ?).


Rappelons enfin que, outre leurs propres turpitudes, avec ces activités casino les banques sont aussi exposées aux turpitudes de leurs contreparties, même si elles étaient bien gérées.

Il suffit que la contrepartie fasse faillite pour mettre à genoux la banque sur ses produits dérivés, le développement de l’effet domino systémique amplifiant les problèmes.

Tous les profits du milieu des années 2000 ont eu de sévères conséquences par la suite sur le reste de l’économie…

Il est effrayant de voir que par exemple pour le crédit agricole (cf dossier récent) les fonds propres ne représentent que 2,5% du total du bilan.

Imaginons l’accueil qu’elles réservent à une entreprise qui vient leur demander un prêt en exhibant un tel ratio…..


Septembre noir


Les banques européennes ont dans leurs livres 1500 milliards d’euros d’actifs pourris.

Les banques européennes sont devenues des banques zombies.

Comment dézombifier les banques européennes ?

Réponse : en faisant subir des pertes énormes à tout le monde.

Les banques vont subir des pertes énormes, les épargnants aussi, les Etats européens aussi.

Lisez cet article :

“La restructuration des banques d’après le modèle chypriote pourrait débuter dès septembre”



La Syrie envahi par des étrangers des quatre coins du monde


La Syrie est devenue un fourre-tout, un terrain d'expérimentation


Plus de deux ans après le début des "évènements de Syrie", ce beau pays est aujourd'hui dévasté,ravagé et rien ne sera plus comme avant. Les Syriens ont vu leur pays être envahi par des étrangers des quatre coins du monde.

Ici un article qui nous apprend que des combattants et combattantes néerlandais pour participer au djihad...Une source de la Sûreté d'Etat belge affirmait qu'au moins 70 ressortissants belges parmi lesquels des anciens de Shariah4Belgium se battaient aux côtés des rebelles et malgré des mesures, leur nombre serait sans cesse en augmentation . 800 Tunisiens seraient aussi de la partie. Mieux, Les membres des groupes clandestins d'Al-Qaïda recherchés par l'Arabie saoudite, se battent avec les rebelles syriens. Le nombre de militants saoudiens s'étant infiltrés en Syrie dépasse et ayant été emprisonnés par les Syriens monte à 500 volontaires dont environ 300 mercenaires.

Selon le directeur du Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSKN) Viktor Ivanovjusqu’à 20.000 mercenaires opérant en Syrie sont financés avec l’argent provenant du trafic de drogue afghane.Récemment, le ministre allemand de l'intérieur, des djihadistes allemands combattraient en Syrie et d'après le coordinateur européen de la lutte contre le terrorisme Gilles de Kerchove, près 500 islamistes radicaux citoyens de l'UE combattent sur le sol syrien contre le régime de Damas.

Plusieurs enquêtes ont été diligentées concernant les filières de recrutement des djihadistes en Syrie.
Des sources concordantes affirment que le Qatar monnaie le «recrutement» des brigades de djihadistes étrangers. On parle même de cours pouvant aller jusqu’à 2000 euros par tête de combattant.Lesquels réseaux puisent essentiellement en Arabie, Libye et Tunisie.
Selon le ministre syrien de l'information, les groupes armés qui mènent des combats sur le sol syrien sont composés à 80% de mercenaires étrangers venus de 29 pays du monde.
Cette guerre est-elle encore celle du peuple syrien contre le dictateur Bachar el-Assad ? Quel pays accepterait de voir des mercenaires, payés par un pays étranger, faire une guerre qui n'est pas la leur ?

La Crise Des Subprimes à la française c'est maintenant...


Le gouvernement s’agite, les banques baissent leurs taux, pourtant rien ne se passe sur le marché de l’immobilier, désespérément immobile…


Le marché de l’immobilier ne bouge pas. Ni redémarrage « grâce » aux mesures politiques, ni embellie « grâce » aux taux des prêts, ni baisse de prix significative « grâce » à une baisse de la demande. Le marché de la région bordelaise est une illustration de ce phénomène,

Lu ici:

« Les professionnels sont heurtés de front par la promesse politique des élus de la CUB (Communauté Urbaine de Bordeaux) d’être en mesure de proposer, bientôt, des logements neufs à 2 500 euros le mètre carré dans le cadre de l’Opération des 50 000 logements. Ce qui mettrait l’appartement T3 de 65 mètres carrés à 162 000 euros, à Mérignac, Pessac, Bègles ou Cenon. Autant le dire tout de suite, ils n’y croient pas. On est aujourd’hui, il est vrai, très loin de ce compte-là, environ 1 000 euros de plus le mètre carré. [...] il s’est vendu dans l’agglomération 616 logements collectifs neufs au cours des trois premiers mois de l’année, soit 400 de moins qu’au premier trimestre 2010. Les promoteurs ont encore quelque 2 000 projets de logements sur les bras, à vendre mais non encore construits.[...] Sur toute la chaîne, l’heure est à la prudence. L’acheteur attend sans doute des jours meilleurs. Il a de surcroît de plus en plus de mal à décrocher un crédit. Le taux de désistement, faute d’accord de finance- ment, est aujourd’hui de 18 %. C’est élevé. Les promoteurs eux-mêmes ont mis la pédale sur le frein. « Nous ne souhaitons pas avoir de stocks de logements achevés mais sans occupants », explique Pascal Bertrand, le président de la Fédération des promoteurs d’Aquitaine…. »

Si certaines banques ont renforcé leurs critères d’attribution, le seul maintien des critères communs rend une part de plus en plus importante de la population insolvable à leurs yeux. La précarité de l’emploi, les perspectives noires de l’économie dans notre pays n’offrent aucune visibilité sur 15 ou 20 ans aux prêteurs.

http://maviemonargent.info/2013/limmobilier-atone/

La "boite à outils" de la zone euro : taxer à la chypriote


La restructuration des banques d’après le modèle chypriote pourrait débuter dès septembre

http://olivierdemeulenaere.wordpress.com

"La zone euro est en récession et elle doit encore s’attendre à deux ou 3 ans de récession suivie d’une relance molle, même si les politiciens de la zone euro prennent les bonnes décisions, estime Willem Buiter, l’Economiste en Chef de la Banque Citigroup dans le Financial Times.

Il explique que c’est l’endettement excessif qui est à l’origine de la crise : celui des banques « zombies » qui ont abusé de l’effet de levier, et se sont trop endettées pour accorder des crédits sans veiller à détenir une proportion suffisante de dépôts en contrepartie, celui des Etats souverains qui ont abusé de l’endettement et des déficits dans la périphérie de la zone, et celui des ménages surendettés dans beaucoup de pays.

Le retour à la croissance est conditionné par le désendettement de ces agents, mais il ne faut pas s’attendre à ce que la BCE accepte de générer de l’inflation pour le faciliter. Ce désendettement passera donc par des restructurations et la mutualisation des dettes, mais sans que celle-ci passe par des euro-bonds, qui nécessiteraient une intégration fiscale plus importante. Une partie sera réalisée par l’interruption du paiement d’intérêts sur la dette, une autre par la prise en charge par la BCE des pertes relatives à la faillite d’Etats et de banques insolvables, mais cela ne suffira pas.


Le reste proviendra donc probablement d’une restructuration selon le modèle chypriote, d’après lequel les grands épargnants sont mis à contribution, plutôt que les contribuables de la zone euro. Dès la mise en place d’un mécanisme de supervision des banques de la zone euro, le MES pourrait être utilisé pour recapitaliser directement les banques. Les dirigeants européens pourraient décider d’initier ce programme juste après les élections allemandes en septembre, pense Buiter.

« La BCE va bientôt commencer un examen de la qualité des actifs (AQR pour Asset Quality Review) de la zone euro, qui sera réalisée par des experts indépendants, sans l’interférence excessive de superviseurs prisonniers de l’avis de leur pays. D’ici la fin de cette année, la boîte à outils institutionnelle et informationnelle pour « dézombifier » le système bancaire de la zone euro pourrait être en place », écrit Buiter.

Les restructurations de dettes ne seront plus confinées à la Grèce, et l’on pourrait assister à la mise à contribution de créanciers privés à Chypre, au Portugal, en Espagne, mais également potentiellement en Italie, en raison de l’incapacité apparente de la classe politique à décider les réformes structurelles qui s’imposent.

Des banques, des ménages et des Etats subiront donc des pertes, mais ces pertes seront inférieures à celles qui pourraient survenir en cas de procrastination, conclut Buiter".


Audrey Duperron, Express.be, le 10 mai 2013

http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2013/05/13/la-restructuration-des-banques-dapres-le-modele-chypriote-pourrait-debuter-des-septembre/

Le Dircab d' Aurélie Phillipêtti Est Il Mort d' Overdose de Cocaïne ?


Mort du directeur de cabinet adjoint de A. Filippetti dans sa poche un sachet de cocaïne !


Si les media français ont bien annoncé la mort, à Venise, de Gilles Le Blanc, directeur adjoint du ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, ils ont jusqu’ici passé sous silence certaines informations pourtant diffusées par leurs homologues italiens, à l’image du quotidien Corriere Veneto : dans la poche de sa veste, les carabiniers ont trouvé un sachet de cocaïne d’un demi-gramme. Une quantité qui s’inscrit dans les limites de la consommation personnelle autorisée par la loi italienne.

Les carabiniers cherchent maintenant à savoir où Gilles Le Blanc s’était procuré cette drogue et si sa mort est due à une overdose ou si la drogue est pour quelque chose dans son décès. Hypothèse des plus vraisemblables si la cocaïne était coupée d’autres substances toxiques.

On cherchera en vain ces précisions sur la mort de Gilles Le Blanc dans la presse française.


Dimanche soir 20 janvier, M. Le Blanc était venu dîner avec sa compagne au café Troppo ai Frari de Venise où le couple était en vacances. À la fin du repas, impressionné par l’état de fatigue extrême de son client français, le serveur lui propose un café. Pour toute réponse, Gilles le Blanc s’effondre lentement. Une ambulance est immédiatement appelée sur les lieux. Mais il était trop tard.

Gilles Le Blanc était bien connu en France. Avant d’entrer au cabinet de Mme Filippetti, il avait occupé un poste de chercheur à la prestigieuse London School of Economics. Il était membre du CERNA et directeur du laboratoire d’économie industrielle de l’Ecole des Mines à Paris.

http://corrieredelveneto.corriere.it/veneto/notizie/cronaca/2013/22-gennaio-2013/funzionario-francese-muore-veneziain-tasca-aveva-bustina-cocaina-2113651942239.shtml


http://pasidupes.blogspot.fr/2013/05/mort-du-directeur-de-cabinet-adjoint-de.html

Syrie : Un "rebelle" mange le coeur d’un Syrien


VOIR, POUR Y CROIRE. VOIR L’INDICIBLE

http://www.silviacattori.net/?lang=fr

Syrie : Un "rebelle" mange le coeur d’un Syrien


"Comment peut-on arriver à un tel degré d’horreur et de sadisme ?! Comment les médias occidentaux peuvent-ils couvrir les atrocités de ces bourreaux assoiffés de sang, ces égorgeurs, ces dépeceurs, ces pillards, ces génocidaires de l’ASL/d’Al Nosra, et encore les qualifier de « révolutionnaires, résistants, opposition démocratique, libérateurs » ? C’est immoral. C’est criminel" s’indigne Bahar Kimyongür qui a diffusé cette vidéo.


Ces images sont trop dures mais il est impératif de les diffuser. Elles témoignent d’une réalité que les médias et les politiques n’ignorent pas mais cachent à l’opinion publique. On y voit un « rebelle » tuer un Syrien - fidèle au gouvernement de Bachar el-Assad - lui arracher le cœur, puis le manger avec plaisir.

Voilà avec quelle sauvagerie les mercenaires appuyés par l’Occident, armés par le Qatar et l’Arabie Saoudite, massacrent les Syriens qui s’opposent à leurs actions criminelles. Mercenaires que les correspondants de Radio France Jérôme Bastion et Valérie Crova, que j’écoute au moment où je rédige ceci, innocentent en les qualifiant sans vergogne de « rebelles, révolutionnaires ».

Silvia Cattori


L' Imprimante 3D Vendu En Ligne Pour moins de 1000 euros




La société de vente de fournitures de bureau, qui propose depuis l’an dernier l’impression 3D via plusieurs de ses magasins physiques, vend maintenant aussi en ligne une imprimante 3D.

Staples a annoncé vendredi 3 mai qu’elle vend à présent des imprimantes 3D. C’est une nouvelle illustration de l’arrivée de l’impression 3D dans le grand public, avec ce premier grand distributeur aux États-Unis à vendre des imprimantes 3D.

Pour 1299,99 dollars (992 euros), l’imprimante 3D Cube de 3D Systems est proposée en ligne pour les États-Unis et au Canada. Elle sera ensuite disponible dans un nombre limité de magasins nord-américains en juin – la compagnie ne précise pas de date pour les ventes dans les autres pays. Ces machines peuvent imprimer des objets de 14 cm x 14 cm x 14 cm en 16 couleurs.

« Staples est réputée pour présenter les dernières technologies en date et les imprimantes 3D sont l’exemple le plus récent de notre engagement à offrir tous les produits dont votre entreprise a besoin pour réussir », a déclaré Mike Edwards, vice-président de Staples, dans un communiqué.

Ce n’est pas nécessairement une exagération, au moins en matière d’impression 3D. L’an dernier, l’entreprise a lancé Staples Easy 3D en Europe pour permettre aux designers d’imprimer leur produit dans un certain nombre de magasins.

Cette dernière initiative, cependant, rend plus réaliste l’idée que l’imprimante 3D puisse bientôt être un objet banal dans nos domiciles.

Bien sûr, ceux qui trouvent la machine trop chère peuvent aussi la construire eux-mêmes pour un moindre prix

http://mashable.com/2013/05/03/staples-3d-printers/
http://www.smartplanet.fr/smart-business/staples-vend-des-imprimantes-3d-25358/

Cahuzac Réélu : Existerait-il pire scénario pour l’UMPS ?


C’est l'’histoire d’un électeur… à Villeneuve-sur-Lot

Cahuzac gate : après le scandale la veangeance !

http://www.voxnr.com/

Il fut un temps où un commerçant en faillite se tirait une balle dans la tête, moins pour échapper à ses créanciers que pour laver son honneur et préserver ce qu’il estimait primordial pour ses proches : l’honneur de son nom. Idem pour un militaire vaincu. Mais comme on dit actuellement : « Ça, c’était avant ! »

La preuve par Jérôme Cahuzac.

Certes, l’ex-député, ex-ministre, ex-membre du Parti socialiste, mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale pour avoir détenu et avoué avoir possédé un compte bancaire à l'étranger, n’est ni un ex-commerçant, et encore moins un ex-militaire. Un simple politicien. Mais quand même ! À défaut de se loger quelques centimètres de métal dans la tronche, on aurait pu s’attendre de sa part à un retrait de la vie publique… ou tout au moins à une discrétion, même passagère.

Que nenni ! Après avoir laissé durer le suspense sur la récupération – comme la loi le lui autorisait – de son siège de député auquel il a finit par renoncer, toujours avec la moue dédaigneuse qu’il affiche en permanence, il laisse désormais planer le doute sur sa possible candidature à la législative partielle des 16 et 23 juin prochain de sa circonscription du Lot-et-Garonne…

Et pour que tout un chacun comprenne bien ses intentions – en tout cas, celles de prouver qu’il est toujours là et bien là – il est venu samedi matin arpenter les allées du marché de Villeneuve-sur-Lot. Comme au bon vieux temps, celui où il était le tout puissant député-Maire. Serrant des mains, distribuant ses compliments et ses commentaires. Et Jérôme Cahuzac a prouvé qu’il ne volait pas seulement les contributions directes, mais aussi la vedette… au Front de gauche qui, inaugurant une permanence dans la ville, a vu les journalistes venus pour l’occasion, s’envoler dans sa direction, sitôt sa présence connue.

L’attitude du personnage soulève évidemment bien des questions… Qu’est-ce qui peut bien le pousser à pourrir ainsi la vie de ses anciens copains socialistes ? Le sentiment d’être lâchés par nombre d’entre eux tout aussi coquins que lui, voire même davantage… ou faire pression sur les mêmes afin de se négocier un avenir le plus confortable ou le moins désagréable possible ?

Ou alors la conviction que rien n’est encore perdu. Soit la possibilité d’être réélu dans un mois au nez et à la barbe d’un pays indigné, mais où il est de notoriété publique qu’« impossible n’est pas français. »

La circonscription, en effet, n’est guère « à droite » : depuis 1988, le Parti socialiste ne l’a cédé qu’a un centriste (de l’UDF à l’époque) entre 2002 et 2007… et Jérôme Cahuzac, après l’avoir emporté avec 52,08 % des suffrages, y a été réélu en 2012 avec 61,48 %.

Le candidat désigné par le Parti socialiste claironne, fort de ses chiffres, qu’il est confiant… Mais l’étiquette du parti à la rose est-elle vraiment si porteuse que cela depuis un an ? Outre le plongeon de la cote de popularité du locataire de l’Élysée et de son inexistant Premier ministre, le « scandale Cahuzac » n’a sans doute pas été sans répercussion sur l’électorat socialiste dont était tout de même issu la brebis galeuse qui n’entend pas se laisser clouer au pilori de l’infamie sans mots dire… et sans maux collatéraux.

Tout peut donc dépendre sur place de l’existence des réseaux d’influence de Jérôme Cahuzac… ou de ce qu’il en reste ! Que ses obligés soient nombreux – et pourquoi pas ! — et se mobilisent comme il faut, le personnage peut très bien décrocher au minimum un ticket de second tour. Ce qui serait déjà acquérir une légitimité pour reprendre pied sur l’échiquier politique français… et préparer un futur retour à l’Assemblée nationale, que ce soit dès le 23 juin prochain… ou plus tard.

Car l’électeur, dégoûté par la classe politique, toute étiquette confondue, peut créer la mauvaise surprise par simple esprit de représailles. Rappelons-nous le précédent Coluche… L’humoriste avait annoncé sa candidature, à poil et une plume dans les fesses… et avait persisté, soutenu à l’époque par l’équipe d’Hara Kiri, emmené par le défunt professeur Choron. Il fut rapidement crédité de 15 % des intentions de vote dans les sondages(1) et obtint sans difficulté plus de 500 signatures d’élus pour le parrainer.

Certes, le « mec » finit par retirer sa candidature, mais son « histoire »(2) avait tout de même soulevé un vent de panique dans la classe politique de l’époque : celle-ci avait bel et bien failli être ridiculisée.(3)

Imaginons qu’un Jérôme Cahuzac, voleur avoué, parjure devant ses pairs de l’Assemblée nationale et, bien plus grave pour le système, « les yeux dans les yeux » devant un procureur de la « Cour médiatique »(4) soit reconduit à l’Assemblée nationale par une majorité d’électeurs…

Existerait-il pire scénario pour l’UMPS ?

On se prend à rêver d’être électeur de Villeneuve-sur-Lot…

http://www.voxnr.com/cc/politique/EFylukVykypSrvqkwM.shtml

Californie : des maisons s'enfoncent lentement sur les collines où elles sont construites


La Californie est en train de s'éffondrer





 Oubliez les scènes apocalyptiques du film "2012", c'est à une catastrophe au ralenti à laquelle on est en train d'assister dans les collines du Nord de la Californie. 

En Californie des maisons s'enfoncent lentement sur les collines où elles sont construites. Dans un seul lotissement à Lakeport, en Californie, à environ 100 miles au nord de San Francisco, huit d'entre elles ont déjà étés détruites et beaucoup plus sont menacées. 

Parfois elles s'effondrent de plusieurs mètres en une seule journée, d'autres jours seulement de quelques centimètres mais le résultat final est que les maisons finissent par s'enfoncer dans le sol. Jusqu'à présent, rien n'a pu être fait pour y remédier.

Les maisons qui risquent de sombrer dans les sinkholes géants de Californie présentent des fissures dans les murs et les planchers ainsi que des fractures béantes.

Les autorités pensent que des remontées d'eau jouent un rôle dans ce processus. Certains responsables se demandent quel le rôle le volcan éteint, le Mont Konocti, pourrait jouer. Un géologue a averti que l'intégrité structurelle du sol pourrait être compromise jusqu'au substratum rocheux situé à une profondeur de 25 pieds. Des fissures sont récemment apparues sur les routes.

Alors que les autorités tentent de comprendre ce qui se passe, de plus en plus de maisons s'enfoncent dans la terre.

http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/
 http://www.examiner.com/article/california-homes-sinking-as-earth-swallows-an-entire-subdivision

L’ Espagne toujours dans la tourmente : La Sareb a besoin de cash...


source :http://sareb.org/

le prêt de 40 milliards de la BCE pour remettre à flot les banques du pays est nettement insuffisant

La banque de défaisance propriété de l’état ,mais exclue de ses comptes, la Sareb, ne s’en sort pas malgré une décote de l’immobilier de 63 % et des emprunts de 46 % à l’entrée dans ses comptes

Exclue et pour cause :cela augmenterait la dette de l’état de 5% !
Sur les 83 000 propriétés en stock seules 6 000 ont un locataire

Échec après échec ,tous les faillis se présentent à la Sareb

Il faut trouver du capital (capital emprunté bien sûr) pour recapitaliser ce machin
En fait il n’y a qu’une solution : la mise en faillite du système bancaire.

l’Espagne possède en De Guindos (président de Lehman Brothers Espagne au moment de la faillite ) un grand spécialiste des liquidations...

http://www.reuters.com/article/2013/05/06/us-spain-banks-idUSBRE94509020130506