mercredi 3 juillet 2013

Non Cumul Des Mandats : Le PS Déchiré Par Sa Promesse mensongère

Si cette loi passe, ce sera amusant de voir la proportion d'élus qui renonceront à leur siège pour rester maire.

La raison est simple : il est plus facile de toucher des pots-de-vin avec un poste de maire qu'avec un siège de député ou de sénateur.

Pour savoir comment ces "élus" pillent les caisses de l'État, lisez "On les croise parfois", de Cedric Citharel.


Non Cumul des mandats à la Sauce Solférino

Demander aux députés de s'auto sanctionner !

On devrait faire pareil avec les excès de vitesse les conducteurs décideraient de l'amende qui va leurs être infligée et puis dans les prisons on va confier les clefs aux détenus ils s'auto-surveilleront... 

Je n'imagine même pas une seconde que ce soit faisable, mais vous avec les députés ça gêne pas de penser qu'ils vont s'autoréguler sérieusement, c'est quoi le problème du PS, un excès de naïveté ? de la bêtise ? de la malhonnêteté ? 

J'ai bien du mal a comprendre !


La démocratie selon François "flanby" Hollande


« C'était hallucinant, narre un présent, dont le récit à été recoupé auprès d'autres élus de différentes sensibilités. Leroux nous a dit qu'on n'avait pas besoin de voter, que le débat se résumait à savoir qui était pour et qui était contre le gouvernement, puis a demandé qui était contre. A ce moment, lever la main semblait vouloir dire qu'on voulait la mort de François Hollande ». "

Le non-cumul dans le temps « torpillé au bazooka » par le groupe PS


Déjà enterré par Matignon lundi soir, l'amendement instituant la limitation du cumul à trois mandats successifs, voté la semaine dernière en commission des lois (lire notre analyse), a donné lieu mardi matin à « un grand moment de caporalisme », lors de la réunion du groupe PS à l'assemblée, selon le terme d'un participant. La trentaine de députés socialistes ayant soutenu l'ajout de la mesure ne se faisait guère d'illusions, après que le premier ministre a indiqué durant le week-end : « Nous n'accepterons aucun amendement. C'est une réforme qui doit être nette ». Mais le tour « très brutal » qu'a pris la réunion du groupe socialiste en a choqué plus d'un, pourtant peu suspects jusqu'ici de ne pas jouer le jeu de la majorité gouvernementale.


Après une sévère explication de gravure à l'encontre de Laurence Dumont, une des députées soutenant l'amendement et ayant reproché au premier ministre de dicter son comportement aux députés, le président du groupe Bruno Leroux, a mis fin aux débats. 

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