jeudi 21 mars 2013

Démocratie ? Quand le système français protège les pédophiles


Hollande, président illégitime d'un pays qui collabore à la pédocriminalité

 source : donde vamos
260176_233046003376862_7516393_nAujourd'hui, nous allons voir de plus près à quoi ressemble l'élection du président de la République française. Nos dirigeants nous disent que nous sommes dans un "Etat de droit", et ne cessent d'inventer de nouvelles lois, de nouveaux règlements, décrets, arrêtés... Et pourtant, le fait est que l'un des piliers de cet Etat de droit, l'élection du président de la République par le peuple, est complètement vermoulu.

De fait, les irrégularités sont légion. Celui qui, par idéalisme, par folie ou pour d'autres raisons, veut se présenter devant les citoyens et être candidat à l'élection, se voit opposer une résistance totale de la part des "institutions", depuis la préfecture jusqu'au Conseil constitutionnel, en passant par divers ministères, le CSA et d'autres encore.
Il s'agit d'un vériable chemin de croix, et les lois ne sont même pas respectées. Si bien que finalement, seuls des candidats cooptés par les partis politiques peuvent prétendre demander les 500 signatures. Le document que je vous propose est la plainte de Fabienne Amyot, dont on a déjà parlé ici, auprès du BIDDH (Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme), émanation de l'OSCE (Organization for Security and Co-operation in Europe). 
Fabienne Amyot est cette femme qui recherche ses enfants, nés de viols par un ami de sa famille, politicien influent, et placés dans des familles "amies" également, sans que rien ne soit légal dans tout le processus. Fabienne Amyot a choisi comme stratégie d'alerter les instances nationales et internationales au sujet de ce qu'elle qualifie, elle qui a vécu les pires barbaries, de "massacre" des enfants par des groupes pédocriminels. Quand on lui répond, ce qui est rare, c'est pour l'envoyer voir ailleurs, mais où? Ca, on ne le lui dit jamais.
Eh bien il lui est arrivé la même chose quand elle a voulu se présenter à notre chère "présidentielle", histoire d'agir pour que les choses changent, au moins à ce niveau là. Pour que le "massacre" cesse. Mais bien sûr, on ne l'a pas laissée faire. 
Le document complet de 48 pages est téléchargeable ici:RECOURS_BIDDH_comm_1

Et ici, quelques extraits pour tenter de comprendre l'illégalité totale de cette élection, et par conséquent l'illégitimité de celui qui occupe ce poste aujourd'hui. 

284879_499256201926_nFabienne Amyot demande l'intervention des chefs d'Etat européens pour:
- Coup d’Etat
- Haute Trahison
- Livraison de la France à des organisations ultra criminelles
- Dévoiement général des institutions pour le crime
- Crimes massifs sur les enfants et sacrifices humains
- Extermination des victimes et des témoins par les institutions
"Je demande à l’OSCE de s’enquérir des moyens mis en oeuvre par l’ONU pour contraindre la CPI à procéder à une élection légale, prévue au Statut de Rome".
"La Constitution elle-même ne prévoit pas les programmes des partis politiques, et les interdit puisqu’en son article 27, elle stipule : « tout mandat impératif est nul »".
"Or, j’ai été privée de tous les moyens octroyés par la loi pour me présenter, y compris par violation de ma vie privée et ma déclaration de candidature a été écartée d’office de la liste des candidats, bien que légale".
"Dans le processus électoral qui vient d’être mise en oeuvre, en pratique, les institutions et les candidats imposteurs ont éradiqué le suffrage universel direct, instaurant un suffrage indirect drastique, avec des moyens manifestement occultes réservés à eux seuls pour parvenir à être inscrit sur la liste électorale, géré par des acolytes. Ils ont ainsi réduit l’ensemble des citoyens en état d’inéligibilité par un coup de force, ont privatisé l’ensemble des moyens institutionnels"

En tant que candidate, j’ai constaté et j’ai été confrontée aux faits que :
Ce processus électoral du Président de la République , fondé sur la loi de 1962, a donné lieu à des centaines de lois, décrets, textes, modifiant tous les articles de cette loi de 1962, la vidant de sa substance, sans que son cadre extérieur ne soit modifié
Ces modifications n’ont pas toutes été suivies de décrets d’application ne donnant pas les moyens de se conformer à la loi, ni de rendre concret le processus électoral
Certains décrets déterminent des droits pour les citoyens dans le processus de l’élection mais ne sont pas appliqués et la privation de droits est infligée sans scrupule
De nombreuses lois, non écrites (constituées de notifications telles que « modifiées », « supprimées », …) sont utilisées comme références légales à des modes de procédures, de ce fait, totalement vides de doctrine
La hiérarchie des normes juridiques n’est aucunement respectée et est inversée quasiment systématiquement
La doctrine de la Constitution est éradiquée par des mises en oeuvre totalement inverses
Des décrets modifiés, qui sont parus au journal officiel, ne sont pas appliqués mais la forme antérieure aux modifications est appliquée.
- La corrélation entre les lois et les décrets est inexistante
Les institutions ont mis en oeuvre un processus interne d’élection dont les modalités sont tenues secrètes et sont réservées aux candidats dont la liste est arrêtée par un mode également secret, plusieurs mois avant l’élection
- Aucune institution n’est un interlocuteur, toute se renvoyant la responsabilité des entraves et / ou carences
L’élection présidentielle n’a aucune autorité de recours à sa tête pour déposer un recours effectif avec des responsables devant les citoyens d’une corruption de l’élection
- Elles imposent certains modes procéduraux caducs sans aucun cadre de référence légale
- Les droits prévus dans les décrets sont réservés à quelques personnes
- Les moyens de l’élection prévus dans les décrets ne sont pas établis
Les modes de mise en oeuvre des étapes ne sont pas formulés et accessibles à tous. Il n’existe aucun mode légal d’application, donc sont maintenus occultes. Ils ne sont divulgués qu’à quelques candidats et mis en oeuvre rien que pour eux
ad_danza_vitoria_brazil- Les critères d’accès à ces moyens occultes pourtant décrétés publics et obligatoires pour l’élection, sont de nature discriminatoire, subjectifs, et établissent une catégorisation radicale des personnes selon qu’elles sont jugées suivant des critères de : crédibilité, présidentiabilité, honorabilité et appartenance à l’honorariat…
Ces critères subjectifs ont fait l’objet de « recommandations » auxquelles il a été donné une valeur juridique qui se substitue à toutes les garanties de la Constitution, légalisant un véritable code de corruption et intronisant une dictature dont la doctrine est écrite, qui relève de la pire barbarie.

Fabienne Amyot insiste ensuite sur le fait que la Constitution, qui est au sommet des normes françaises, précise que le président doit être élu au suffrage universel. Pourtant, elle explique qu'en réalité nous sommes face à un "processus électoral à trois niveaux institutionnels dont les deux premiers sont occultes". Les citoyens ne participent qu'au troisième tour de scrutin.
En outre, les candidats doivent (article 3 du décret 2006-1244 du 11 octobre 2006) se déclarer d'abord en préfecture. Mais, la préfecture a tout fait pour lui refuser ce devoir. Et les candidats des partis politiques, eux, ne sont pas déclarés en préfecture.

Sur l'invention du "Répertoire National des Elus et Candidats" (RNEC)
Ce truc est une merveille: il s'agit comme son nom l'indique d'un répertoire, créé en 2001, qui doit recenser les élus et candidats aux élections, ainsi que leurs fonctions, mais aussi leurs "nuances politiques", ce qui est illégal mais ne dérange pas la CNIL.
Il a notamment pour but de centraliser les résultats des différents scrutins, mais aussi de faire appliquer la lois sur les cumuls, sur le "financement de la vie politique" et d'autres lois du genre. 
Etrangement, "aucun citoyen n'a pu en prendre connaissance", précise Fabienne Amyot, à part les élus et candidats. Bizarrement, le Conseil constitutionnel a décrété que pour être candidat, il faut être dans le répertoire. Et pour être dans le répertoire, il faut être dans un "parti" ou un "groupement politique". C'est donc le serpent qui se mord la queue. Alors qu'à l'origine, l'élection du président, en France, est un scrutin "direct", on est donc face à un premier mode de désignation: "l'appatenance à un parti" ou à un "groupement politique", reconnu, donc. Mais, par qui? Les partis?
Le mieux, précise Fabienne Amyot, c'est qu' il n'existe "aucune directive légale spécifiant comment un candidat peut être inscrit  dans ce Répertoire". 
Pas ce chance, si on n'est pas dans ledit répertoire, on ne peut pas demander les parrainages, c'est-à-dire les fameuses 500 signatures, qui constituent un deuxième mode de désignation, un deuxième scrutin. Accessoirement, il semble qu'aucun texte "ne prévoit le mode d'application de la loi sur le parrainage", donc encore une fois toutes les magouilles sont possibles.
Pourquoi ne laisse-t-on pas les gens décider eux-mêmes, pourquoi opérer une telle "présélection"? Pourquoi faut-il à ce point verrouiller l'élection présidentielle, la dernière qui parvient à limiter le nombre d'abstentionnistes, malgré un dégout certain des citoyens pour la manière dont on gère la chose publique
426713_505779959436797_168029365_nau "pays-des-droits-de-l'homme" ??? 
Fabienne Amyot tenta en vain d'accéder à ce répertoitre. Mais, explique-elle, "les services de la Préfecture me renvoyaient de service en service, me disaient ne pas savoir quel service est compétent, puis me disaient que le Répertoire ne pouvait pas être communiqué au motif qu’il était modifié en permanence à cause des changements permanents de mandat des 46 000 élus ou des décès".
Enfin, le répertoire, dit-on, n'est pas accessible car il change tout le temps.Autrement dit: il n'est pas à jour.

Pourtant, il existe des lois, genre "pays-des-droits-de-l'homme", comme la loi du 6 novembre 1962, titre IV, qui dit que " Tous les candidats bénéficient de la part de l’Etat des mêmes facilités pour la campagne en vue de l’élection présidentielle".

Sur l'invention du "Mémento du candidat à l'élection présidentielle 2012".
Ce truc aussi est une sacrée invention. Les lois qui sont censées encadrer cette élection du président sont au mieux floues mais vaguement appliquées, au pire complètement ignorées, au profits de règles sorties d'ont ne sait où. 
Dans une brusque illumination, des types se sont dit qu'il faudrait mettre ça au clair, dans un mémento compréhensible. De fait, la littérature en la matière est des plus vastes.
Ledit mémento reprend donc moult "textes, coutumes ou méthodes" qui "sont extraites de toutes sortes de textes de lois, certaines n'étant pas même destinées à l'élection présidentielle", rappelle notre téméraire candidate.
Le mémento ne mentionne pas certaines lois et règles en vigueur, et fait référence à des lois parfois inconnues des autres textes sur l'élection présidentielle. Certains textes se contredisent, ou contredisent la constitution. Qui décidément, ne sert plus que de breloque à l'Etat de droit fascisant dans lequel nous vivons.

Sur la technique du "parrainage": les fameuses "500 signatures"
"Le système de parrainage est basé sur une liste d’élus habilités et ayant mandat pour parrainer les candidats. Le décret N°2001-777 détermine la liste des élus habilités, la liste des candidats acceptés comme ayant droit à solliciter les parrainages, et la constitution d’un Répertoire National des Elus et des Candidats où figure les informations sur ces élus « parrainant » (article 3) dont leur appartenance politique , leurs distinctions honorifiques, le nombre de suffrages qu’ils ont obtenus,…et jusqu’à leur « nuance politique »".
Et bien sûr, on l'a dit, aucun texte ne précise le mode de "dépôt de candidature" pour figurer sur cette liste de candidats (le répertoire) permettant d’être reconnu comme candidat pouvant être parrainé.
Bon, on ne va pas s'étaler sur ces parrainages, mais il s'agit bien sur d'une trahison flagrante du principe de scrutin direct.

Face à des murs
Fabienne Amyot tente alors de signaler les irrégularités, voir de porter plainte. Mais auprès de qui? A chaque fois qu'elle contacte l'autorité responsable (conseil constitutionnel, conseil d'État, ministères, Commission nationale de contrôle, on lui répond qu'on n'est pas compétent.
Exemple: L’article 58 de la Constitution dit que "le Conseil Constitutionnel veille à la régularité de l’élection du Président de la République. Il examine les réclamations et proclame les résultats du scrutin". Oui, mais si vous cherchez à vous plaindre pour n'avoir pas pu accéder au fameux répertoire (RNEC), qui est pourtant la première condition pour demander les 500 signatures, vous vous voyez répondre par la vénérable institution qu'elle n'est pas compétente  et réduire le problème à "un litige opposant un citoyen à un service administratif".
Soit. Qui est donc l'autorité compétente? Cela reste un mystère.
Pour tenter de se faire connaitre quand même, Fabienne tente d'accéder à la télévision. Avec cela, pense-t-elle, elle pourra au moins s'exprimer et être entendue par quelques uns de ceux qui peuvent lui donner ses signatures.
Evidemment, on le lui refuse. Fabienne Amyot explique: "Il m’a été répondu d’une manière très méprisante et volontairement condescendante, que n’étant pas connue et étant jugée par le CSA « non présidentiable », le CSA n’acceptait pas de me laisser m’exprimer et m’interdisait tout passage à la télévision et qu’il ne serait accordé aucun temps d’antenne pour ma candidature.
Le 14 mars 2012 (Pièce N°12) le CSA m’a envoyé un courrier où, d’une part il est écrit que les candidats bénéficient selon la loi d’un temps d’accès équitable à l’antenne mais qui restreint la nature et la qualité de «
561569_505776412770485_2061840262_ncandidat » aux personnes avec « représentativité assurée » et démontrant « suffisamment d’intérêt » ; les responsables du CSA, s’octroyant la dignité de trier les personnes « intéressantes » et les personnes « dénuées d’intérêt » donc éliminables et dont les droits n’existent pas, sans autre forme de procès".
Et pourquoi la "représentativité" de Fabienne Amyot n'est-elle pas "évaluable"? Tout simplement parce qu'elle se présente pour la première fois, alors forcément on ne la connait pas. Pour le CSA, dont il faut déjà avoir été candidat et être représentatif, et espérer accéder à l'antenne. Pourtant, nous on pensait que c'était le peuple qui décidait qui était représentatif, et via un scrutin direct, en plus.
Les règles du CSA, évidemment, sont aussi obscures que tous les autres règlements au sujet de cette élection.
Apparemment "des médiateurs de presse ont dénoncé les « règles » imposées par le CSA comme inapplicables, instaurant l’inéquité et ont posé la question : "Que vaut une règle si elle n’est pas compréhensible et applicable par tous ?"
De son côté, la Commission Nationale de Contrôle, également sollicitée par Fabienne Amyot, lui a répondu par écrit que "le principe d’égalité de traitement dans les medias audiovisuels, n’a pas à être respecté strictement entre toutes les personnes qui se déclarent candidates, avant l’établissement de la liste des candidats" !
Evidemment, il ne fut pas simple d'ouvrir son compte de campagne. Il fallut une grande patience et une volonté de fer pour surmonter les sarcasmes des fonctionnaires de la banque de France, et des employés des banques qui refusaient d'ouvrir ce fameux compte, pourtant indispensable avant de tenter d'être candidature à la candidature de la candidature à la présidence de la République, et cela dans les 48 heures.
Notre alpiniste de cette montagne d'aberrations bureaucratiques explique: "En sus de ces entraves, toutes les banques ont refusé d’ouvrir mon compte de campagne alors que j’ai fait les démarches début mars avec ma mandataire, déclarée en préfecture. Je me suis rendue à la Banque de France à Paris à deux reprises qui a refusé l’ouverture de mon compte de campagne et même de m’établir un document prouvant que je demandais cette ouverture". Cela, après moult refus de moult banques, et parce que la Banque de France est censée assurer cette ouverture de compte en dernier ressort.
De son côté, le Conseil d'Etat refuse d'être saisi des requêtes en annulation en suspension effectuées par Fabienne Amyot pour faire annuler la liste des candidats du 19 mars 2012.
Et d'un coup, elle reçoit deux ordonnances en provenance du conseil d'Etats, datées du même jour. Elle explique:
"j’ai reçu deux ordonnances en date du 21 avril 2012 N°358669. L’une est signée de Mr Mathias GUYOMAR, l’autre n’est pas signée, sauf par la secrétaire, Mme Guinot Béatrice (Pièce N°29).
Je note que les modes de procédure prévues aux Contentieux en Conseil d’Etat, y compris pour les référés, n’est pas respectée, que Mr Mattias Guyomar ne fait pas partie des fonctionnaires du Contentieux du Conseil d’Etat, et qu’il ne pouvait pas rendre l’ordonnance.
La décision N°358669, rendue par Mr Mattias GUYOMAR, envoyée par le Conseil d’Etat est un faux.
C’est un faux en écriture publique".

Autres problèmes

Parallèlement, Fabienne Amyot a eu quelques mauvaises surprises durant cette campagne, qui relève de la campagne de Russie davantage que de la campagne électorale.
"J’ai constaté aussi une violation de ma correspondance électronique et de mes boites mail, avec même apparition dans mes mails de manière flagrante des noms des personnes qui violaient mes correspondances et qui signaient leur intrusion pour me le faire connaitre et m’intimider.
Mes emails étaient déroutés vers un centre « Lagardère active ».
J’ai fait toutes les copies d’écran et j’ai les preuves".
"Or ceux qui ont piraté mon courrier électronique ont bloqué mes envois et de manière ostensible car je me suis rendue compte après la date de dépôt des parrainages, que tous mes mails avaient été dévoyés dans une boite mail de stockage. Je ne m’en suis aperçue qu’après la date de dépôt des parrainages fixée au 16 mars. Aucun maire n’a reçu mes sollicitations de parrainage.
Ce sont des agissements honteux et qui relèvent du pire terrorisme possible puisque les responsables n’ont
429870_507485565932903_1897985860_nmême pas le courage de se présenter en personne et de revendiquer leurs actes".
"Je me suis rendue au commissariat de police le 17 mars 2012 pour déposer plainte avec la copie de tous les mails où la violation des correspondances apparait sans ambigüité, avec les noms des personnes qui modifient mes mails. La policière a refusé de prendre ma plainte en me disant que ces faits sont normaux mais, comme j’ai insisté, elle a toute de même consenti à rédiger une main courante.
Ces violences permanentes et extrêmes, auxquelles se sont ajoutés de multiples situations de vols grotesques, de litiges inconcevables et extrêmement violents qui surgissaient dans tous les actes de ma vie privée, par violation de mes droits, par menaces, chantages, que je ne peux pas décrire ici tellement ils sont nombreux, méritent qu’on s’y penche sérieusement"

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Fabienne poursuit: "ce sont les partis politiques qui se sont appropriés l’ensemble des institutions pour s’approprier le processus électoral et empêcher toute initiative des citoyens, écarter toute candidature par tous moyens possibles, la fin justifiant les moyens".
On se souvient déjà que Sarkoléon avait pris une ou deux plaintes pour ne s'être pas présenté sous son vrai nommais cela n'avait pas dérangé le Conseil constitutionnel.
Si on ajoute à cela l'introduction, en plus, des machines à voter, dont les résultats sont très faciles à falsifier, on se demande réellement à quoi il sert encore de participer à ce cirque "démocratique". A quoi rime une telle usurpation?"
Fabienne Amyot, elle, à demande à l'ONU (après avoir sollicité la Cour Pénale Internationale) "à disposer d’un groupe d’élites pour me rendre dans tous les endroits où ces crimes contre l’humanité sont commis, pour les faire cesser, pour arrêter les criminels, et permettre aux victimes d’obtenir des soins. Il s’agit de crimes contre l’humanité commis durant des décennies avec l’aide des institutions françaises et avec leur flagrante collaboration. Il s’agit de crimes d’agression et de crimes de guerre puisque commis contre des civils, des enfants, par les moyens institutionnels, au coeur du système judiciaire, par dévoiement flagrant et extrême de celui-ci".
Et puis ce serait bien aussi, qu'on établisse ce tribunal international demandé par Juan Miguel Petit, rapport de l'ONU sur l'exploitation sexuelle des enfants, après une mission de trois jours en France. Un tribunal destiné à juger enfin de manière impartiale tous ces crimes commis sur les enfants par ces réseaux pédocriminels-qui-n'existent-pas.
"Je le demande parce que les criminels qui m’ont volée mes enfants nés au coeur de l’humanicide, appartiennent aux groupes d’honorariat de ceux qui viennent de prendre le pouvoir de force en France", écrit-elle.
"Les meurtres rituels d’enfants, les viols rituels, la privatisation des institutions judiciaires pour l’instrumentalisation et l’asservissement des rares survivants ou de leurs proches, constitue au minimum un enrôlement d’enfants de moins de 15 ans, crime qui constitue le plafond d’action de la CPI.
Les grossesses forcées imposées aux adolescentes violées, les vols de leurs enfants, leur disparition, meurtres, tortures, sont une des pires traites d’êtres humains". 
"La France ayant champ libre, de nouveaux modes d’arrachement des enfants sont en cours, avec le même mode anarchique et dictatorial mis en oeuvre que dans l’élection".
"Les multiples tentatives citoyennes de demandes d’aide émanant de partout en France sont entravées par tous moyens, tellement les criminels ont champ libre, disposent de tous les moyens institutionnels et tellement les faits impactent irrémédiablement les consciences et ont été menés au paroxysme".
"De nombreux citoyens informés, témoins, victimes, s’activent pour mettre en cause les criminels et faire connaitre l’humanicide, produire les preuves, demander la justice.
La plupart des survivants se font massacrer par tribunal interposé, de manière flagrante, ou par privation de soins médicaux, ou disparaissent sans laisser de traces. Les survivants doivent donc en plus s’occuper des survivants plus fragiles, sans moyen, et avec les institutions utilisées comme des kalachnikovs contre eux.
J’ai ainsi été informée quelques mois avant l’élection présidentielle, que tous les candidats à l’élection présidentielle, les chaines de télévision, les journaux avaient été rendus destinataires de 750 DVD, démontrant les preuves de multiples viols d’enfants, de témoignage de sacrifices humains, de témoignage de privation de soins des victimes et de harcèlement institutionnel en lieu et place de l’arrestation des criminels et de la justice.
Or, malgré les faits, les preuves, aucun candidat, aucun media, n’a parlé, n’a rempli sa mission, n’a voulu briser l’omerta. Dès lors, ils sont complices puisqu’informés".
Child-sexual-abuse

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