Voyez les appels d'offres vampirisés par les gros groupes qui sous traitent à des entreprises européennes. Avec des salaires et charges à 450€, ils peuvent faire baisser les devis. Ces salariés sont "incontrôlables" de fait par l'Inspection du travail. Il est impossible de vérifier qu'ils sont bien payés au SMIC français (ce qui est obligatoire) puisqu'il faudrait avoir accès à leur fiche de paie qui n'est donnée qu'à la fin du mois dans leur pays d'origine alors que ces salariés changent de lieu et de pays constamment. Donc même s'ils sont contrôlés sur un chantier on ne peut rien vérifier. En pratique ils sont légalement déclarés, mais on ne peut que faire " confiance" à l'employeur qui s'engage à bien payer le bon salaire. Évidemment, vous l'aurez compris, on sait très bien que les entreprises mentent, quel serait l'avantage à les faire venir et leur payer un hébergement si ils étaient réellement payés au même salaire qu'un Français ?
Après le plombier polonais, les coiffeuses...
Exemple : une chaine de salons de coiffure , qui possède deux salons de coiffure en Pologne. Devinez ... sous couvert de formation, les petites Polonaises viennent vous coiffer en France dans les salons de la chaine "en France" , pour autour de 600 euros par mois (salaire Polonais) , et ca tourne comme ca. Le Francais aujourd'hui est en conccurence directe avec dimitri ou chuang, qui de toutes les facons travaillera toujours pour moins cher que le Francais ... et ce n'est pas être raciste que de dire cela vu que tout le monde du travail français sera touché (black blanc ou beur). il est interdit de delocaliser (surtout les services) , et bien c'est la main d'oeuvre qu'on délocalise !
Oops ! le château détruit par "erreur"
Une chartreuse du XVIIIe siècle à Yvrac devait être rénovée. Elle a été détruite à l'insu de son propriétaire russe (...) "(...) «C'était il y a trois semaines environ. On n'a pas pu ne pas le voir : le château était pile en face de notre porte d'entrée. En quelques jours, il a disparu. » La plus proche voisine du château Bellevue illustre la surprise des habitants d'Yvrac, familiers de cette chartreuse du XVIIIe siècle. Elle figurait parmi les quatre ou cinq « fleurons » du patrimoine architectural de cette commune de 2 500 habitants à l'est de Bordeaux. Plus de belle vue sur Bellevue, Bellevue n'est plus.(...)" "(...) Revenu cette semaine sur le chantier, il dit être la première victime des entreprises de BTP à qui il l'a confié, sociétés dont les voitures sont toutes immatriculées en Pologne. Pas moyen d'ailleurs de se faire comprendre sur place. « Je comprends tout à fait l'émoi dans la commune et la procédure auprès du procureur », dit-il. « Mais je ne vais pas chercher les responsables de cette erreur : le mal est fait. » D'autres s'en chargeront peut-être pour lui dans les semaines qui viennent.(...)"
Vous êtes trahis ! Allez petits Francais (de toutes les couleurs) , il va falloir vous aligner, bosser pour moins cher sinon vous n'aurez plus de boulot . Le souverainisme c'est partout sur la planète, sauf en Europe (qui fait de l'intra-mondialisme intra-muros) ...c'est quoi ce bazard ? Vous verrez qu'ils finiront par vous tirez dessus, avec des gendarmes européens à 1000 euros (un luxe!). Vu que les notres on n'arrive même plus à les payer...
Je propose que ces gendarmes plus payés depuis le mois de Juillet portent plainte contre leur employeur, c'est un scandale, ne pas être payé lorsque l'on a effectué correctement son travail. C'est tout simplement assimilable à de l'esclavage. Nos politiques devraient avoir honte, mais ils s'en moquent totalement. Eux n'oublient pas de se faire servir leurs indemnités et salaires en temps et heures et même quelques fois à titre d'avance sur consommation. L'état ne respecte pas les lois, même envers ceux à qui il demande de les faire appliquer. On ne pourra plus se poser la question "mais que fait donc la police ?" puisque elle n'est plus payée, on pourrait suggérer le lancement d'un emprunt pris sur les fonds des indemnités de nos politiciens ! (la grande majorité d'entre eux touche déjà une retraite ou un salaire voire même les deux à la fois).
Comme pour l' affaire du logiciel LOUVOIS il s'agit à n'en pas douter d'un jeu d'écritures budgétaires. Comme il n'y a plus d'argent dans ce ministère (Défense), et qu'il n'y a pas de syndicats non plus, il est aisé de faire "attendre" les employés ! On s'en prend aux réservistes, à ceux qui sont en OPEX, on fait traîner, on joue sur les enveloppes d'une année sur l'autre. Les mois passent, les familles s’angoissent, et presque personne pour les défendre. La France, tombée bien bas, ne défend plus ceux qui la défendent. Imaginez la même chose dans d'autres ministères...
Une solution ? Il n'y a qu'à suspendre le paiement des parlementaires ( députés et sénateurs et ministres ) un ou deux mois et affecter ces finances au paiement des militaires. 90 députés sur 577 ont voté jeudi une loi sur le vote blanc, mais eux (les absents) ont quand même été payés. Quelle honte !
Voici comment rendre les dictateurs populaires aux yeux du peuple !
Entre 1999 et 2009, il a été payé aux haut fonctionnaires grecs plus de 26 millions d'euros (trouvés et prouvés) en diverses enveloppes et pots de vin par des multinationales américaines et européennes. Maintenant, calculez les montants des pots de vins non découverts car en Grèce, il faut graisser la patte, c'est bien connu... C'est une tradition ancestrale, une coutume locale comme boire le café ou trinquer à l'ouzo. Une fois qu'on a compris ça, on peut avancer. Les Allemands de Siemens l'avaient parfaitement compris : - ) Depuis longtemps. Les Américains aussi. Ne vous étonnez pas alors de voir les députés grecs vendre leur pays avec autant de facilité...
Bientôt une coalition internationale pour bombarder la Grèce comme la Serbie quand ils auront voté pour le leader d' Aube Dorée ?
Imaginez...
que l'on apprenne que deux ministres de l'UMP et deux du PS ont des comptes en Suisse qui sont alimentés par des multinationales allemandes. Imaginez que le PS ait reçu 1 million d'euros de l'étranger pour financer ses campagnes. Vous seriez scandalisés. Eh bien, c'est ce qu'on voit presque chaque jour ici, des affaires de corruption tombant les unes après les autres. Et je ne vous parle pas de celles qui se murmurent. Voici quatre ans par exemple, les Grecs avaient découvert que des millions d'euros de Siemens avaient atterri par une série de malencontreux hasards sur des comptes en Suisse. Et que par d'autres hasards tout aussi heureux, ces comptes appartenaient à leurs députés... Comme Tasos Mantelis, ancien ministre socialistes des Transports à qui Siemens avait "ouvert" (par totale inadvertance) un compte helvète et y déposait des sommes par tranches de 200.000 à 250.000 euros. Le Ministre de la Défense Akis Tsochatzopoulos (socialiste) s'est retrouvé lui aussi avec des euros arrivant sur son compte par erreur d'aiguillage. Tout comme le Ministre de l'Intérieur Christos Markoyiannakis. Tout comme Giorgos Alogoskoufis le Ministre des Finances, pourtant bien placé pour le contrôle des changes, ha ha ha. Les deux derniers étaient des élus de Nouvelle Démocratie, l'équivalent de l'UMP. Le problème vira ensuite au cauchemar puisque chaque parti politique sortait une affaire de corruption concernant l'autre (cela ne vous rappelle rien?) pour étouffer le bruit média fait autour du sien. Par exemple la Ministre du Tourisme Angela Gerekou a été obligée de démissioner parce que son mari avait oublié de payer plusieurs millions d'euros de ses impôts, une fuite venant du Ministère des... Finances. Un autre député, Evangelos Meimarakis, président du parlement grec, rien que ça, s'est retrouvé, lui, dans une mega affaire d'évasion et de blanchiement de 10 milliards d'euros au profit d'autres députés et politiciens. Au début, les députés et ministres du Pasok et de la NlleDemocratie ont absolument tout fait pour que ces affaires soient étouffées. Mais une fois révélées, elles se sont ensuite transformées en réglements de comptes et pugilats entre socialistes et démocrates. Les anciens Ministres des Finances socialistes Yiorgos Papakonstantinou et Evangelos Venizelos, eux, sont même officiellement accusés par Alexis Tsipras d'avoir protégé les 2.000 fraudeurs grecs de la liste Lagarde et d'avoir tenté de mettre en prison le journaliste qui l'a publiée en novembre 2012. Les faits lui donnent hélas raison. Qui peut en effet lever la main de la Justice grecque avec une telle vitesse si ce n'est les grands partis politiques aux commandes ?
Hollande Ayrault et Montebourg se sont servis des travailleurs pour conquérir le pouvoir, tous les pouvoirs en toute exclusive, maintenant les promesses sont oubliées pour cause de crise qui n'existait pas il y a 6 mois !
Nationalisation pour Montebourg Expropriation pour Ayrault
Promoteur d'une nationalisation qui a rallié de nombreux soutiens sur presque tout l'échiquier politique, le ministre du Redressement productif s'est retrouvé isolé dans le gouvernement. "Montebourg voulait vraiment nationaliser. Mais pas les autres", selon une source gouvernementale. Selon une source proche de Matignon, le Premier ministre a critiqué le travail de d'Arnaud Montebourg, disant qu'il n'y avait pas de repreneur "crédible". Ce n'était "pas solide" et "pas bordé", insiste-t-on du côté de Matignon. Montebourg, première victime du compromis entre l'État et Mittal ?
Cette promesse précise...
Le 24 février 2012 en pleine campagne présidentielle, le candidat François Hollande effectuait une visite surprise à Florange et déclarait être "prêt à déposer une proposition de loi" obligeant à céder des unités de production à des repreneurs. "Quand une grande firme ne veut plus d'une unité de production et ne veut pas non plus la céder", il faut qu'elle en ait "l’obligation pour que les repreneurs viennent et puissent donner de l'activité supplémentaire". Aujourd'hui les salariés et leurs familles attendent la nationalisation du site de Florange afin de pouvoir maintenir leurs emplois. "Je viens devant vous prendre des engagements (...) Je ne veux pas me retrouver dans la situation d'être élu un jour sur une promesse et ensuite de ne pas revenir parce qu'elle n'aurait pas été tenue". Or, neuf mois plus tard, la promesse n’est pas encore honorée. De plus, le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault, alors conseiller spécial de François Hollande, s'est engagé mardi 24 avril 2012 à faire voter par "la future majorité parlementaire de gauche" une loi obligeant les groupes industriels à céder les usines "rentables" qu'elles voudraient fermer en France sans pour autant accepter de les vendre. Il y a urgence. Après 18 mois de lutte nous attendons que Monsieur le Président tienne sa promesse et qu’il nationalise le site afin de permettre à un repreneur d’investir. Nous appelons tous les citoyens à soutenir notre démarche en signant cette pétition et en la diffusant le plus largement possible.