mercredi 24 octobre 2012

Conférence de Michel Mayor : D'autres Terres dans l'Univers


Un de plus qui aura raison une fois mort !
Pour changer un peu, je vous invite à voir cette vidéo qui parle d' espoir.
Cela vous montrera aussi que pendant que certaines religions se demandent encore qu'est ce qui est interdit de faire ou pas faire, qu'elles se réclament comme étant des religions de science et qu'elles sont un guide pour l'humanité. 
D'autres hommes , des scientifiques, sont dans la recherche d'autres planètes habitables.
Le mérite de cette conférence c'est qu'elle permet de comprendre facilement comment se fait la détection de la planète, comment les astronomes s'y prennent.


Amateurisme et impuissance de François Hollande : Ca commence à se voir !

Philippe Tesson – Le Blog note - Le Point

 Philippe Tesson, né le 1er mars 1928 à Wassigny, dans l'Aisne, est un journaliste français de presse écrite et chroniqueur de radio et de télévision notamment de l'actualité théâtrale. Il a été le fondateur, propriétaire et directeur de la publication du journal Le Quotidien de Paris de 1974 à 1994.


Un joyeux désordre

Des ministres qui parlent à tort et à travers, d'autres qui désavouent le chef du gouvernement, d'autres qui s'expriment sur des sujets qui ne sont pas de leur ressort, d'autres encore qui défendent des positions contraires à celles du président de la République : le spectacle que donne le gouvernement depuis sa mise en place, et particulièrement depuis quelques semaines, est d'une affligeante cocasserie. La majorité parlementaire et le Parti socialiste ne sont pas en reste : il y règne un joyeux désordre. La gauche est en folie.


Amateurisme ou pire ?

Monsieur Jean-Marc Ayrault est faible ou mauvais, ou les deux, et la légitimité de monsieur Hollande, qui est à la source du pouvoir de monsieur Ayrault, est contestée par ceux-là mêmes qui l'ont fait chef. Autrefois, à l'armée, dans des situations pareilles, on démettait les généraux et on fusillait les soldats. Nous n'en demandons pas tant, nous voulons seulement expliquer par une image forte aux lecteurs qui ne l'auraient pas encore compris que nous sommes gouvernés par des amateurs.


Le cas gallois


Le chef de l'État charge une personnalité incontestée, reconnue pour sa compétence et son intégrité, qui a présidé aux destinées des plus grandes entreprises françaises, et que sa qualité de commissaire général à l'investissement désigne incontestablement pour remplir cette mission de lui remettre un rapport sur le problème essentiel qui freine le développement économique de la France


Quelques jours avant de recevoir ce document, il fait savoir que celui-ci est nul et non avenu. Passons sur l'affront personnel. Retenons la méthode, qui trahit un stupéfiant mépris. Traduisons : moi, président de la République, je ne tiendrai compte que du rapport qui me conviendra, c'est-à-dire de celui qui rejoindra les décisions que j'ai déjà prises. Quel aveu, qui en dit long sur le prix qu'accorde François Hollande à ce souci de la consultation qu'il affiche et au respect des expertises qu'il commande aux personnalités les plus qualifiées pour les lui fournir. Il aura beau dire, un rapport est autre chose qu'un avis, surtout venant d'une autorité.


Technique correzienne

Il y a un probleme on reflechit dans un premier temps ensuite soit on demande un rapport a des experts soit on cree une commission (tout cela coute de l'argent mais on en parle pas top secret) ensuite on reflechit a nouveau avant d'enterrer definitivement le rapport ou alors on pond un texte de loi qui sera rejete par le conseil constitutionnel, il s'est passe 18 mois le tour est joue plus personne ni pense si ce n'est la cour des comptes qui demandera a quoi a servit l'argent ?


Mamouth land

L’Allemagne compte 4,2 millions de fonctionnaires et nous sommes les 3/4 de l'Allemagne ; donc 3,2 devraient suffire, or nous en comptons 2 fois plus... 
En France nous pourrions être aussi bien administré avec deux millions de fonctionnaires en moins. On connait les solutions mais ce n'est pas en mettant au pouvoir les représentants du parti du secteur public que ce sera possible. Il faut donc attendre que le poids du secteur public ait totalement réduit le secteur productif sur lequel il prolifère pour arriver à son extinction. 
C'est une loi biologique qui ne peut pas être transgressée.


No we can't !

En dehors des idéologues bornés et depassés, de nombreux responsables économiques et politiques évaluent au minimum à 1 million le nombre de fonctionnaires superflus, à service rendu égal. 
Sachant qu'un fonctionnaire coûte en moyenne 30000 euros par an à l'état (estimation plutôt basse), charges comprises, la facture globale ressort à 30000 x 1 million = 30 milliards. C'est précisément le besoin immédiat pour rendre notre économie compétitive, sans ponctionner le contribuable et sans "assommer" le consommateur. 
Yes, we can ?

Effet papillon : Une tempète sur Fukushima ferait disparaitre l' hemisphère nord !



Les Chroniques De Rorschach

Fukushima : La structure de l'unité 4 est au bord de l'éffondrement
Un petit séisme ou une tempête et s'en sera fini du Japon voire même de tout l'hémisphère nord.



Bien que les médias ont depuis longtemps abandonné la question, la situation précaire de l'installation nucléaire de Fukushima Daiichi au Japon continue de se dégrader. Lors d'une interview, Mitsuhei Murata, l'ancien ambassadeur du japon à la fois en Suisse et au Sénégal, a expliqué que le sous-sol de l'unité 4 de l'usine est progressivement en train de s'affaisser, et que toute la structure va très probablement s'effondrer complètement.

Ceci est très préoccupant, car l'unité 4 contient actuellement plus de 1.500 barres de combustible nucléaire, et 37 millions de curies radiations mortelles qui, s'ils étaient relâchés, pourraient rendre une grande partie du monde complètement inhabitable. L' Unité 4 contient la fameuse piscine surélevée de refroidissement qui a été gravement endommagé à la suite du tremblement de terre catastrophique et du tsunami du 11 Mars 2011.

Selon le secrétaire de l'ancien Premier ministre japonais, Naoto Kan, le sous sol de l'unité 4 s'est déjà abaissé d'environ 31,5 pouces depuis la catastrophe et ce, de manière inégale. Si le terrain continue à sombrer comme on s'y attend, ou si un tremblement de terre moyen (magnitude six) survient dans la région, toute la structure pourrait s'effondrer, ce qui viderait entièrement la piscine de refroidissement et provoquerait un effondrement catastrophique.


"Si l'unité 4 s'effondre, le pire des scénarios serait une fusion causant d'énormes rejets dans l'atmosphère. Ce sera la catastrophe la plus inédite à laquelle l'homme ait jamais été confronté. Personne ne sera plus en mesure d'approcher du site alors que tout aura fondu causant un gigantesque incendie», a déclaré Murata lors de l'entrevue. "De nombreux scientifiques disent que si l'unité 4 s'effondre, non seulement le Japon sera ruiné, mais le monde entier sera également confronté à de graves dommages."

Parce qu'il y a 31 unités nucléaires du même type que l'unité 4 aux États-Unis, le gouvernement américain a choisi de minimiser la catastrophe pour protéger sa propre réputation, allègue Murata. Il s'agit, en fait, de la raison principale pour laquelle si peu a été rapporté de la gravité de Fukushima après la catastrophe. L'empire américain, en d'autres termes, ne veut pas que le monde, ni le peuple américain, sachent qu'existe la possibilité que des douzaines de catastrophes similaires à Fukushima se produisent sur le sol américain.

Les Chroniques De Rorschach: Fukushima : La structure de l'unité 4 est au bord de l'éffondrement

Israël se prépare à la guerre avec un hopital gonflable qui tiens dans un sac de sport


Déjà vu à Haïti


Un hôpital gonflable, comment ça marche?
MSF a envoyé un hôpital entièrement autonome en Haïti, fruit de plusieurs années de travail.
Le projet date de 2005, et répond à la volonté de pouvoir réagir plus rapidement aux catastrophes naturelles. MSF a utilisé son hôpital gonflable pour la première fois lors du tremblement de terre au Pakistan en 2005. Il s'agissait alors que d'un prototype, qui a été développé depuis pour aboutir à la version qui a été envoyée en Haïti. Aujourd'hui, MSF a mis en place des formations pour que ses équipes sachent comment monter le bâtiment gonflable. L'hôpital complet coûte environ 2 millions d'euros au total, sans compter le transport.
Un hôpital gonflable, comment ça marche? | Slate


L' Iran nucléaire signifierait la stabilité selon un site suisse de geostratégie


source : Horizons et débats


Ces derniers mois, un débat enflammé s’est déroulé sur la manière dont les Etats-Unis et Israël devraient le mieux réagir aux activités nucléaires de l’Iran. Pendant que la discussion s’est échauffée, les USA ont renforcé leur régime de sanctions déjà sévère contre la République islamique et l’Union européenne a annoncé, en janvier, qu’elle débuterait, le 1er juillet, avec un embargo sur le pétrole iranien. Bien que les Etats-Unis, l’UE et l’Iran soient revenus récemment à la table des négociations, on ressent toujours un sentiment de crise. 



Et si ni les USA ni Israël n'avait les moyens de cette guerre aux conséquences  imprévisible ?

Cela ne devrait pas être ainsi. La plupart des commentateurs américains, européens et israéliens et les décideurs ont mis en garde qu’un Iran disposant de l’arme nucléaire serait l’issue la plus grave à cette situation actuellement bloquée. En réalité, cela serait au contraire probablement le meilleur résultat: celui qui permettrait de rétablir au plus tôt la stabilité au Proche-Orient.
Le pouvoir demande un équilibre

La crise autour du programme nucléaire de l’Iran pourrait se terminer de trois façons différentes. D’abord la diplomatie, liée à des sanctions très lourdes pourrait convaincre l’Iran de renoncer à l’acquisition de l’arme atomique. Mais cette issue est improbable: Les expériences historiques montrent qu’on ne peut presque pas dissuader un pays voulant posséder l’arme atomique. La punition d’un Etat au moyen de sanctions économiques n’entrave pas forcément son programme nucléaire. Prenons le cas de la Corée du Nord qui a réussi, malgré les innombrables sanctions et résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, à construire ses armes. Si Téhéran décide que sa sécurité dépend de la possession de l’arme atomique, les sanctions ne lui feront pas changer d’avis. Le rajout de toujours plus de sanctions pourrait donner le sentiment à l’Iran qu’il est encore plus vulnérable, et lui livrer davantage de raisons d’aspirer à la protection de la dissuasion ultime.

La deuxième issue possible est que l’Iran s’arrête juste avant le test d’une arme atomique, mais qu’il développe le potentiel de réussite, c’est-à-dire la capacité d’en construire et d’en tester une rapidement. L’Iran ne serait pas le premier pays qui parvienne à un programme nucléaire hautement développé, sans construire effectivement une bombe. Le Japon, par exemple, entretient une infrastructure atomique civile énorme. Des spécialistes croient qu’il pourrait construire rapidement une arme atomique. 
Une telle capacité de réussite pourrait satisfaire aux nécessités politiques intérieures des dirigeants iraniens en assurant aux purs et durs qu’ils profitent de tous les avantages inhérents à la détention d’une bombe (plus grande sécurité), sans les inconvénients (comme l’isolation internationale, la condamnation et la proscription). Le problème est qu’une capacité de réussite pourrait ne pas être réalisable comme prévu.

Pour les Etats-Unis et leurs alliés européens, il s’agit en premier lieu de savoir si les armes seront construites. Ils pourraient donc accepter un scénario, dans lequel l’Iran s’arrête avant l’étape de la construction finale de l’arme atomique. Toutefois, Israël a déclaré clairement qu’il considère déjà une capacité importante d’enrichissement comme une menace inacceptable. Il est donc possible qu’un engagement vérifiable de l’Iran à s’arrêter au stade préliminaire pourrait calmer les puissances occidentales importantes, mais ne pas satisfaire Israël. Celui-ci se sentirait moins menacé par une bombe virtuelle que par une bombe véritable, et c’est pourquoi il continuera au moyen d’efforts risqués à miner le programme nucléaire de l’Iran par du sabotage et des meurtres – ce qui finalement pourrait conduire l’Iran à trouver que sa capacité de réussite n’est pas une dissuasion suffisante et que seule la construction de l’arme peut lui procurer la sécurité qu’il recherche. 

La troisième issue possible à cette situation bloquée est que l’Iran continue le cours actuellement entamé et devienne officiellement une puissance nucléaire en testant une arme. Les fonctionnaires américains et israéliens ont déclaré qu’une telle issue serait inacceptable et qu’un Iran détenteur de l’arme atomique constituerait une perspective suscitant une frayeur particulière, voire une menace existentielle. Un tel langage est typique des puissances importantes qui, dans l’histoire, se sont toujours excitées sur le fait qu’un autre pays a commencé lui-même à développer l’arme atomique. Cependant, jusqu’à présent, lorsqu’un autre pays a réussi à revendiquer sa propre place dans cette association nucléaire, les autres membres ont alors toujours modifié leur cours et décidé de vivre avec. C’est un fait que de nouvelles puissances nucléaires procurent plus – et non pas moins – de stabilité internationale et régionale en réduisant les déséquilibres de la force militaire. 

Le monopole nucléaire régional d’Israël, qui s’est montré remarquablement durable ces quatre dernières décennies, a attisé pendant longtemps l’instabilité au Proche-Orient. Dans aucune autre région du monde, il n’existe un Etat exclusif et incontrôlé comme détenteur de l’arme atomique. C’est l’arsenal nucléaire d’Israël, et non le souhait de l’Iran d’acquérir l’arme atomique, qui a conduit en grande partie à la crise actuelle. Finalement, le pouvoir exige aussi la compensation. Ce qui surprend dans le cas d’Israël, c’est que cela a pris si longtemps avant que surgisse une puissance assurant potentiellement l’équilibre.
Bien sûr, il n’est pas difficile à comprendre pourquoi Israël veut rester la seule puissance nucléaire dans la région et pourquoi il est prêt à garantir ce statut au moyen de la force. En 1981, Israël a bombardé l’Irak pour empêcher que son monopole nucléaire soit remis en question. En 2007, il a fait la même chose vis-à-vis de la Syrie et aujourd’hui, il envisage une action semblable contre l’Iran. Mais justement ces actions qui ont permis à Israël de maintenir son avance nucléaire à court terme, ont prolongé un déséquilibre qui est insoutenable à long terme. La capacité démontrée par Israël, d’exercer contre de potentiels rivaux nucléaires des attaques restant impunies, a conduit à ce que ses adversaires deviennent obligatoirement soucieux de développer des moyens qui l’empêchent de recommencer. Ainsi, on ne doit pas considérer les tensions actuelles comme des stades préliminaires à une crise atomique iranienne relativement nouvelle, mais bien plutôt comme le stade final d’une crise nucléaire au Proche-Orient s’étendant sur des décennies, qui trouvera son apogée lorsqu’un nouvel équilibre de pouvoir militaire sera rétabli.

Lire la suite : «Foreign Affairs»: «Pourquoi l’Iran devrait acquérir la bombe»




La Russie souligne que la politique américaine pousse le monde vers un conflit mondial



Des responsables russes préviennent du danger de conflit mondial

Le Président russe Vladimir Poutine a personnellement supervisé les premiers essais de la triade nucléaire (commande et contrôle de l’arsenal nucléaire stratégique sur terre, sur mer et dans le ciel) effectués depuis l’effondrement de l’Union soviétique.
Ceci survient dans le contexte d’une nouvelle ronde d’avertissements sérieux lancés par des responsables russes, à propos de la politique de changements de régime promue par l’administration Obama et de l’érection du système de défense antimissile de l’OTAN en Europe et au Moyen-Orient. Ces deux politiques sont en train de conduire le monde à un « affrontement global ».
Les essais russes visent à renforcer leur capacité de dissuasion stratégique, potentiellement mise à mal par le déploiement annoncé par les américains de quatre de leurs destroyers à partir du port de Rota, en Espagne. Rogozine avait récemment souligné que ces vaisseaux équipés du système antimissile avancé Aegis posaient une menace directe à l’équilibre nucléaire global. Ils pourraient être facilement déplacés, avait-t-il fait remarquer, dans l’Atlantique Nord près du territoire russe, afin d’intercepter des missiles stratégiques armés de têtes nucléaires tirés en représailles contre une première frappe américaine. Ceci, avait-t-il prévenu, modifie tout le système de dissuasion stratégique actuel et pose une menace existentielle à la Russie – une menace qui ne sera pas ignorée.
Un député un vue du parlement russe et membre du parti de Poutine, Yevgeny Fyodorov, a déclaré la semaine dernière que la promotion par l’administration Obama des guerres de changement de régime est elle aussi en train de conduire le monde vers une guerre mondiale. Il a accusé l’administration Obama de poursuivre une voie qui mène le monde à « une déstabilisation complète ».
Le conflit à la frontière de la Turquie, un Etat membre de l’OTAN, et la Syrie, s’amplifie en effet de jour en jour. Au cours de la semaine dernière, les échanges transfrontaliers de tirs d’artillerie entre les deux pays ont repris de plus belle, l’artillerie lourde turque ciblant les positions militaires syriennes dans le nord de la Syrie. Le magazine britannique The Economist a appelé les Etats-Unis à s’ingérer directement en établissant une zone d’exclusion aérienne au Nord de la Syrie, afin de créer un havre à partir duquel les rebelles anti-Assad pourront opérer en toute liberté, en dépit de la ferme opposition des Russes.
Jusqu’ici, grâce à l’opposition tenace de l’état-major américain et de l’ancien secrétaire à la Défense Robert Gates, l’administration Obama s’est retenue de transformer la guerre par procuration en Syrie en opération de changement de régime semblable à celui qui a été fait en Libye. Le Président Obama a toutefois dit clairement à ses proches conseillers que s’il était réélu le 6 novembre prochain, il accélérerait rapidement la cadence, peu importe les conséquences stratégiques.
Même si les Russes ont raison de souligner qu’une telle politique américaine pousse le monde vers un conflit mondial – comme l’a explicité également Lyndon LaRouche lors de sa conférence du 19 octobre sur internet –, la réalité plus fondamentale est que la politique américaine est dictée par les forces géopolitiques de l’Empire britannique, qui contrôle sa marionnette Obama d’une main de fer.

Ecologie et survivalisme : Le potager ça marche !




source : Terra eco


Bataille des choux perdu mais guerre gagnée


Nous avons perdu la bataille contre les chenilles, n’obtenant pas de beaux choux, quelle que soit la variété essayée, et ce malgré le fait que nous disposions régulièrement des feuilles de grandes fougères à leurs pieds. 
Mais ce fut notre seul échec : épinards, blettes, basilic, persil, tomates, courgettes, aubergines, concombres, radis, salades, carottes, pommes de terre, poivrons, butternuts et autres courges, fèves... nous ont nourri pendant des mois. Je serais bien incapable de vous donner aujourd’hui le prix d’un légume dans le commerce.
En outre, nous avons pu récupérer une vieille serre en verre abandonnée chez mes parents, qui après une petite restauration, nous a permis de faire nos propres semis avec plus de succès que d’échecs. Notre plus grande fierté, c’est sans conteste les délicieuses pastèques que nous avons obtenues alors que l’Ariège n’est pas tellement propice à ce fruit. 
L’automne tardif que nous vivons nous permet même d’espérer que la dernière pastèque puisse mûrir avant le premier gel. Ce serait bien la première fois que j’en mangerais en novembre...


 Ca n’a pas le même goût

Et puis c’est un vrai plaisir d’arriver chez des amis avec quelques légumes, ou de leur offrir une conserve maison. Aujourd’hui, à part la dernière pastèque, nous n’attendons plus que les céleris rave. Nous n’avons pas lancé de légumes d’hiver, vu que nous déménageons dans quelques semaines. Là où nous allons, l’espace extérieur est plus petit, nous devrons réduire la voilure. Nous savons donc déjà que nous ne resterons pas là-bas indéfiniment, tant avoir notre potager est devenu primordial pour nous : outre que ça fournit la base (saine et économique) de notre alimentation, c’est une activité qui nous permet de retrouver de la sérénité en contraste avec nos métiers pas reposants. Et puis, même si j’ai entendu cette phrase cent fois et qu’elle avait tendance à sérieusement m’agacer, on a beau dire, ça n’a pas le même goût...

Lire l'intégralité de l'article : Premières graines d'espoir - Terra eco

Grèce CIF PSA : déja 105 milliards garantis par la France !


Garantie de l'Etat pour PSA Finance

La banque de financement de PSA, BPF, qui fait face à des difficultés de financement, a en effet confirmé qu'elle bénéficiera d'une garantie de l'Etat de 7 milliards d'euros sur trois ans, en plus d'une rallonge bancaire. L'Etat a par ailleurs annoncé son intention d'apporter sa garantie de refinancement pour des émissions obligataires nouvelles pour les trois prochaines années, jusqu'à un montant de 7 milliards d'euros.
Dans ce contexte, « les mesures de réduction des coûts en 2012 sont conformes à l'objectif de 1 milliard d'euros sur l'année », précise le communiqué du constructeur. Il confirme aussi que son plan de cession d'actifs s'est poursuivi au 3ème trimestre par l'entrée en négociation exclusive avec RZD pour l'ouverture du capital de Gefco ; plan qui et « sera également complété par la fin du programme de cessions immobilières. L'objectif de ce plan de 1,5 milliard d'euros sera donc largement tenu ».
Après avoir ouvert en hausse, l'action PSA gagnant 1,03% à 5,886 euros à 9h10, le titre a chuté ensuite. A 9h50, il perdait de 6,37% à 5,455 euros.

source : LES ECHOS

L'histoire du type qui paie la chambre

Et le sketch continue ! Les Français contribuables vont encore financer PSA qui désindustrialise la France en toute impunité. Ce détournement des règles du jeu de l'économie de marché au profit des banques et de leurs actionnaires est digne des heures les plus sombres du soviétisme.
Le contribuable paye les bourdes et les gros salaires de PSA...
Varin hurle de rire et ses petits copains aussi... 7 milliards comme on dit en Allemagne : auf nimmer (plus jamais) Wiedersehen... On appelle cela un crédit à la Grec = jamais remboursé !


Garantie publique !

Le gouvernement n'y va pas avec le dos de la cuillère, donner une garantie de l'état de 7 milliards d'euros à la banque d'une entreprise à la dérive, qui va payer en cas de défaillance de PSA ? Nous pauvres dindons de cette farce...

Déjà 28 milliards pour le CIF !


La garantie apportée par l'Etat au Crédit immobilier de France (CIF), au secours duquel il a dû se porter cet été, est plafonnée à 28 milliards d'euros, selon le projet de loi de finances 2013 publié vendredi.
Dans le détail, une garantie plafonnée à 16 milliards d'euros concerne les nouvelles émissions à réaliser par la Caisse centrale du Crédit immobilier de France (3CIF), entité du groupe qui assure la gestion de la liquidité (l'accès à des ressources immédiates) et le refinancement.

Et la Grèce ?

En cas de défaillance de la Grèce, les garanties devront être payés et devenir du déficit français !




Donc les 28 milliards du CIF ajouté aux 7 milliards de PSA banque et les 66 milliards de la Grèce cela donne la somme hallucinante de 105 milliards !
Quand il faudra passer à la caisse vous verrez les ministres (petits et grands) démissionner  en faisant des grands gestes comme en 1940...
Un gouvernement de techniciens appelé par Hollande pourra alors se mettre en place, ce sera la fin de notre modèle politique et social. 
La matraque du CRS remplacera le virement...