samedi 14 juillet 2012

EELV : l' écologie qui donne du travail à des professionnels de la politique

                                      L'écologie je ne sais pas, mais moi j'ai gagné !


Un parti, et c'est valable pour les verts d' EELV, pour exister, doit posséder 3 choses essentielles :


1) Son « trésor » : Une idéologie qui lui sert de boussole à chaque fois qu’il s’égare dans les méandres de la société et qu’il doit retrouver le port d’attache, c’est à dire ses fondamentaux


2) Une stratégie pour conquérir et développer les moyens qui lui seront utiles pour faire fructifier le « trésor »


3) Des personnalités politiques qui savent vanter les mérites de l’idéologie du parti et ainsi participer à son rayonnement.


les Verts redécouvrent la langue de bois


Une ministre de l’Ecologie victime du lobby pétrolier ? Une commission de l’Assemblée nationale promise aux Verts et finalement attribuée au PS ? Les écologistes n’ont visiblement rien remarqué, à entendre le sénateur Jean-Vincent Placé.
Sur France Inter, le sénateur vert Jean-Vincent Placé a offert une analyse résolument inverse : entre Europe Ecologie - Les Verts et les socialistes, promis, tout va très bien. Et ce, malgré les évidences.





Les écologistes n’auraient donc rien à dire, ou presque, sur l’éviction de Nicole Bricq, ministre de l’Ecologie pendant un petit mois, après son refus d’accorder des permis de forage au pétrolier Shell au large de la Guyane.


                                                Ayrault II vaut bien une centrale !




On l’avait pourtant connu plus bavard et offensif – avant la présidentielle, l’entrée des écologistes au gouvernement et la constitution de leur groupe parlementaire à l’Assemblée nationale.


A l’Assemblée, EELV n’a finalement pas obtenu la présidence de la commission du Développement durable, et devra donc se consoler avec celle de la commission des Affaires européennes.
                                           Il aurait fait un très bon membre d' EELV



Les légions d'honneur de Cécile Duflot


Retour de l'époque Sarkozy, où les décorations honorifiques servent à récompenser les copains et les obligés. Déjà, elle a eu un beau quota, 2 croix d'officier et 28 croix de chevalier. 
On trouve un concentré de militants verts, d'élus de la région parisienne et de responsables d'office HLM de région parisienne. Bien entendu, ce qui saute tout de suite à la figure, c'est le nom de Dominique Voynet. 


Mais on trouve aussi Catherine Calmet-Reberioux, secrétaire générale du groupe Vert au conseil régional d'Ile-de-France, Jean-François Caron, maire Vert de Loos-en-Gohelle dans le Nord, Jean Malet, conseiller régional vert et maire de Mezy-sur-Seine, Maryse Oudjaoudi, militante et candidate verte dans l'Isère aux dernières législatives, Michèle Rivet, vice présidente verte du conseil régional du Centre. 


A coté d'eux, des élus de gauche d'Ile-de-France : l'adjoint au logement de la ville de Paris, la maire de Saint-Ouen, le maire d'Arceuil, un adjoint au maire de Saint-Denis. Et puis quelques personnalités du monde du logement "social" dont la directrice générale de la SIEMP, la société d'économie mixte immobilière de la ville de Paris, mais aussi le directeur général de l'établissement foncier d'ile de France (et ancien directeur de cabinet d'un ministre socialiste du logement). 


Dans le lot, assez peu de provinciaux, et une bizarrerie statistique, deux personnes de Châteauroux, une conseillère générale socialiste et la présidente de la ligue des droits de l'homme. On se demande qui, dans le cabinet de Cécile Duflot, vient de l'Indre (on vient de me donner la réponse, c'est Manuel Flam, directeur de cabinet, et secrétaire fédéral du PS dans l'Indre). 





Le parti du neant


EELV ne possède rien à vendre, la ligne de l’écologie politique est un échec total. 
Par contre ils ont une stratégie politique d’une efficacité redoutable que le Front de Gauche aurait dû leur envier. Avoir 1 groupe parlementaire, 2 ministres, 1 vice présidence de l’AN, une présidence de commission, en ayant fait 2.35% à la présidentielle relève du miracle ou de la naïveté des membres du PS qui ont négocié le « contrat de mandature 2012-2017 »


Décidément EELV aura fait beaucoup de mal à nos forêts cette année


http://www.rue89.com/rue89-politique/2012/06/28/comment-les-verts-redecouvrent-lart-de-la-langue-de-bois-233393


http://www.dailymotion.com/video/xrthgc_jean-vincent-place_news

http://authueil.org/?2012/07/14/2031-decorations-le-changement-c-est-maintenant

Rien ne va plus entre Valerie Trierweiler et François Hollande



Valérie Trierweiler, ferait sa dernière apparition publique le 14 juillet. 
Selon des sources concordantes, elle aurait passé un accord avec François Hollande.


C'est tes gosses ou moi !
Les deux tourteraux se seraient encore disputés après que François ait éconduit Valérie qui voulait serrer la main de la reine d’Angleterre. Un rêve de jeunesse. 
C’est vrai que, quand on travaille chez Paris Match, les têtes couronnées ça vous parle. Courroucée après cet énième épisode qui fait suite au refus des enfants Hollande de participer désormais à des déjeuners en compagnie de Valérie Trierweiler, Valérie  aurait demandé à françois Hollande de choisir entre ses enfants et…elle. 


mieux vaut être seul que mal accompagné
Sacrilège semble-t-il du côté de Hollande qui est très attaché à sa petite famille recomposée et maintenant décomposée !
                                 Nous n'irons plus jamais où tu m'as dit je t'aime ! 


Faire un break
Les deux amants ont décidé de se séparer après le 14 juillet pour faire le point. Alors, peut-être ensuite, ils pourront se retrouver pour une grande reconciliation avec enfants, et un beau mariage en Corrèze. 
Ceci coupera les attaques de certains qui ont accusé François Hollande de vouloir marier tout le monde alors que lui même ne l’est pas. Allusion au mariage homosexuel.


Tweetergate éliminatoire
Valérie Trierweiler paye son fameux tweet de soutient au dissident socialiste et adversaire direct de Ségolène Royal, Olivier Falorni lors des législatives de 2012. La journaliste, extrêmement jalouse, n’aurait pas supporté que son compagnon supporte ouvertement son ex-femme. En ne sachant pas rester « à sa place » de première Dame, Valérie Trierweiler a réalisé tout ce que François Hollande voulait éviter.


En effet, le Président ne voulait pas tomber dans la politique people à la Nicolas Sarkozy, tendance qu’il a d’ailleurs toujours critiqué chez l’ancien Chef de l’Etat. Or avec cette affaire du « Tweetergate », le Président Hollande a dangereusement exposé sa vie privée et pire encore, sa vie privée a influencé la sphère publique et politique.



le couple Hollande/Trierweiler ne tiens plus qu’à un fil



François Hollande et Valérie Trierweiler, au bord de la rupture ?


Depuis le fameux tweet de Valérie Trierweiler, sa relation avec François Hollande a été mise sur la corde raide du jour au lendemain. 
Valérie Trierweiler avait cru que l’histoire était finie après quelques jours de silence.
 L’affaire a finalement refait surface, menaçant son couple.


Une supposition de rupture démentie par d’autres, plongeant le public dans le doute le plus total. Le magazine Voici notamment s’est empressé de relayer la rumeur, aussitôt infirmée par une proche de Valérie cette semaine dans VSD, qui affirme que le couple présidentiel n’a fait que traverser une période difficile, en témoigne la jovialité du Président le 14 juillet dernier.


Alors, quand Voici publie que Valérie a fait ses bagages pour n’apparaitre que quelques jours après ! 



Des rumeurs de séparation ne cessent d’alimenter les rédactions parisiennes.
Une amie du couple dément mais reconnaît que le couple était sur le point de voler en éclats : 
« Cela a été très tendu entre eux mais ils n’en sont pas là!…Si tout ça était vrai, Valérie ne serait jamais apparue au côté de François Hollande. Elle a beaucoup de défauts mais elle ne sait pas se forcer » 
sa version semble crédible sinon Valérie Trierweiler aurait certainement déjà tweeté sa rupture.



Trierweiler le boulet de François Hollande
                                                                    La disgrâce suprème


Les rumeurs de séparation sont donc de plus en plus persistantes, d’autant plus que la côte de popularité de la première dame est retombée comme un soufflé depuis l’élection présidentielle. Valérie Trierweiler n’a pas envie de se marier, ni de choisir entre son statut de Première Dame et de journaliste. Tout cela choque de plus en plus les français qui, en toute logique ne seraient pas surpris si le couple se séparait demain.



Dans le même temps, la page consacrée à Valérie Trierweiler sur le site de l'Elysée, a purement et simplement été supprimée avec pour motif officiel : "le changement (c'est maintenant !) a eu lieu le 6 juin dernier et la page n’est plus accessible depuis le site, comme d’autres pages n’ayant pas assez de contenu".




De quoi s'interroger sur l'exactitude de l'adage populaire : 'il n'y a pas de fumée sans feu !".



Cependant si le couple se sépare, il y a fort à parier que la discrétion enviée par François Hollande ne soit pas au programme avant longtemps.


http://allainjules.com/2012/07/12/14-juillet-derniere-apparition-publique-de-valerie-trierweiler/

http://mcetv.fr/mon-mag/1307-couple-trierweilerhollande-rupture-en-vue

François Hollande sur la Syrie : nous ne pouvons pas en rester là

                                                  mou ! moi ? vous allez voir...


Pekin et Moscou doivent agir
François Hollande s'est adressé à la Russie et à la Chine après la tuerie de Treimsa en Syrie, prévenant que si elles refusent des sanctions contre ce pays, c'est le chaos et la guerre qui s'installeront.


"en ne faisant rien pour que nous puissions avancer plus directement vers des sanctions plus fortes (des Nations unies), c'est le chaos et la guerre qui s'installent en Syrie au détriment de (vos) intérêts mêmes"


Tuerie de Treimsa
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), plus de 150 personnes, dont des dizaines de combattants rebelles, ont été tués dans des bombardements et des combats jeudi dans la localité sunnite de Treimsa.


François Hollande a vivement condamné la récente effusion de sang à Triemsa :
"L'effroi, nous le partageons, nous le ressentons, mais nous ne pouvons pas en rester là"


"Nous avons chaque jour des morts, ce régime a décidé d'utiliser la force pour écraser sa propre population. 
Cela met certains des pays qui s'opposent à ce que le Conseil de sécurité puisse prendre une résolution  devant leurs propres responsabilités", a ajouté le Président Hollande.
                               François Hollande et son ministre des affaires étrangères


Intervention militaire ?
François Hollande : "Essayons de chercher la transition politique et qui pourrait être traduite dans une résolution."


"Il faut que le président syrien Bachar al-Assad puissse laisser la place et qu'un gouvernement de transition puisse s'installer" a réaffirmé le Président Fraznçois Hollande.


L'armée syrienne a affirmé de son côté avoir mené à Treimsa "une opération de qualité" qui s'est soldée par "la destruction des repaires des groupes terroristes, la mort d'un grande nombre de leurs membres, sans qu'aucune victime civile ne soit à déplorer".


Selon un militant de Sham News Network, média favorable à la révolte contre le régime de Bachar al-Assad, la grande majorité des victimes étaient des membres de l'Armée syrienne libre (ASL) contre lesquels l'armée a riposté avec des renforts après une attaque contre un convoi.

Marie Noëlle Lienemann : la règle d'or c'est l'austérité pour toujours, et ce sera sans moi

                                                          A gauche François, à gauche !


La sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, qui a confirmé hier qu'elle ne ratifierait pas le traité européen dont elle voudrait qu'il soit soumis à l'approbation des français par le biais d'un référendum, comme en 2005. En toute franchise, l'élue de gauche l'avoue, "pour ma part, je considère que l'accord n'est pas satisfaisant" car "c'est le même texte stricto sensu [que celui signé par Nicolas Sarkozy]".




Les cadeaux corporatistes sont de gauche alors que
La réalité économique est bien de droite. Les gouvernements de Flanby vont devoir affronter un long combat contre la schizophrénie politique...


le pacte budgétaire, un chiffon rouge 


"Il faut bien voir dans quoi on s'engage. Il ne s'agit pas d'une simple loi que nous pourrions supprimer un jour. Désormais, si on ne respecte pas la règle d'or, on se fera tancer par la Commission, puis on aura des sanctions auxquelles on ne pourra pas échapper. Ce n'est pas l'austérité pour trois ou quatre ans, le temps de rétablir les comptes : c'est l'austérité pour toujours, et ce sera sans moi", tonne Mme Lienemann. L'ancienne ministre de Lionel Jospin assure que ses amis de l'aile gauche du PS la suivront "massivement".


"Les avis sont partagés, mais il se dégage une tendance majoritaire pour le non","Moi, mon but ultime reste la renégociation du traité, qu'on nous demande de voter tel quel." Jean-Vincent Placé, président du groupe EELV du Sénat


Quant au Front de Gauche, il a déjà très clairement fait connaitre son opposition, réclamant lui aussi un référendum sur le sujet. Pour le député André Chassaigne, "les mesures fiscales positives risquent de se heurter au mur du pacte budgétaire, voté dans la précipitation". Les débats risquent d'être houleux dans les hémicycles.


La droite jubile
"Ils vont se faire tirer à vue par le Front de gauche et vont devoir faire ratifier le traité par l'UMP. Six mois après les élections, les socialistes vont être bien embarrassés de devoir faire passer une réforme grâce aux voix de la droite", se gaussait ainsi le député Pierre Lellouche (UMP, Paris), assurant que "la majorité ne tiendra pas".