La reine Elizabeth II a discuté météo, chevaux ainsi que de la santé du prince Philip en français lors d'une réunion de 30 minutes avec François Hollande au château de Windsor.
Au cours de ce qui était leur première réunion, M. Hollande, pour sa première visite en Grande-Bretagne depuis son élection en mai, a passé environ une demi-heure seul avec la Reine Elizabeth II.
Leur conversation s'est déroulé en grande partie en français.
Trierweiler : pas de concubine à Windsor
Pendant que le président de la République s’en va boire le thé chez la reine d’Angleterre, la twitteuse en chef reste à la maison… Mais pourquoi Valérie Trierweiler n’est-elle pas conviée ?
La reine Elisabeth aurait-elle suivi via son Twitter, l’histoire de jalousie, qui a causé tant de torts à Valérie Trierweiler ? N’ayant pas apprécié le manque de tact de notre première dame, aurait-elle arrêté de « la suivre » sur les réseaux sociaux et renoncé à l’inviter dans son merveilleux palais ? Peut-être pas. N’empêche que pendant que François Hollande part rencontrer Elisabeth II et son mari le prince Philip, Valérie reste à Paris.
On se souvient, en 2008, d’une Carla Bruni-Sarkozy splendide qui avait séduit la foule anglaise, de par sa révérence bien placée, et sa jolie tenue de première dame impeccable. Valérie Trierweiler aurait surement voulu en faire autant, mais il n’en sera rien ! On vous rassure, ce n’est pas une histoire de punition de la part de son cher en tendre du style « fini les bêtises, tu restes à la maison » mais une simple histoire de protocole. En effet, pas de mariage, pas de Buckingham. Alors si Valérie souhaite rencontrer la reine d’Angleterre, elle doit d'abord épouser le président !
La Grèce est intéressée à renforcer la coopération avec la Russie en matière d'énergie et le tourisme. "Nous partageons non seulement le patrimoine commun culturel et religieux, car nous partageons des intérêts économiques communs, en particulier dans les domaines de l'énergie et le tourisme», - a déclaré le ministre des Affaires étrangères de la Grèce Dimitris Avramopoulos.
Domaines de l'énergie et le tourisme sont la priorité dans les relations entre Athènes et Moscou, a déclaré dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères grec, le lundi.
Ministre Avramopoulos a souligné que Athènes cherche à renforcer ses relations avec Moscou à tous dans tous les domaines, mais principalement dans les domaines de l'économie, la culture et le tourisme.
Le chef de file de la SYRIZA, Alexis Tsipras, a dénoncé avec force le gouvernement de coalition des trois partis d'avoir décidé le bradage du pays, prenant la parole samedi après-midi dans le cadre du débat parlementaire sur le programme de gouvernement, qui doit se clôturer dimanche soir à minuit par un vote de confiance.
M. Tsipras, qui a soutenu que les déclarations du premier ministre, la veille, sur le programme de gouvernement constituent un acte de "vente généralisée" de la Grèce, a accusé M. Samaras d’avoir eu une tactique pré-électorale irresponsable, en disant des mensonges au peuple grec pour accéder au pouvoir.
“La renégociation a pris fin le soir du 17 juin. Ceux qui y ont cru ont été dupes. Après s’être éloigné du comptoir, aucune erreur n’est reconnue, c’est là notre philosophie”, a noté M. Tsipras.
Le chef de file de l’opposition a parlé de la “co-gouvernance d’un grand compromis”, qui conduit à la recette la plus erronée qui soit, estimant que le fait que M. Samaras ait reconnu que le programme de convergence a déraillé de ses objectifs constitue un aveu de faillite absolue.
“Vous posez, comme condition aux changements structurels, de poursuivre l’accélération du programme de dévaluation intérieure, à savoir de la récession et de la démolition jusqu’à épuisement du pays”, a lancé M. Tsipras, avant de conclure que “l’aveu du nouveau ministre des Finances que nous ne pouvons rien demander constitue le dogme catastrophique du nouveau gouvernement”.
Par ailleurs, M. Tsipras a averti le gouvernement tripartite qu’il devra rendre des comptes s’il ose brader le patrimoine public dans le cadre de son programme de mise en valeur des biens de l’Etat. “Le peuple grec a le droit de ne pas reconnaître des accords qui braderont le patrimoine public pour un sou”, a-t-il insisté.
Samaras : rester dans l'euro
Le premier ministre, Antonis Samaras, a réitéré l’objectif prioritaire que s’est fixé le gouvernement de coalition, qui est de sortir de la crise et de rester dans l’euro, clôturant dimanche soir peu après minuit le débat parlementaire de trois jours sur le programme de gouvernement.
M. Samaras a critiqué avec virulence l’attitude de la SYRIZA, en particulier ses thèses sur les dénationalisations, en dénonçant une “résistance acharnée de partis qui expriment ce qui est ancien”.
“Ce n’est pas brader le pays, lorsque nous parlons de la mise en valeur des biens immobiliers (de l’Etat). Est-ce que c’est du bradage, la mise en valeur de Hellinikon (ancien aéroport international d’Athènes sur le front de mer du golfe Saronique), qui est resté inexploité dix ans durant? Nous voulons mettre en valeur le patrimoine immobilier (de l’Etat), afin de générer de la croissance et des emplois”, a lancé M. Samaras, rappelant qu’il avait personnellement parlé de cette mise en valeur du patrimoine de l’Etat depuis 2010.
M. Samaras a également défendu la politique du gouvernement, en particulier dans les secteurs des chemins de fer et de l’énergie.
“Nous ne disons rien de différent de ce qui se fait partout dans le monde. Les chemins de fer sont dépréciés dans notre pays, et il y a des investisseurs qui veulent investir, même dans les réseaux. Il y a un intérêt de la part de consortiums internationaux à investir dans la partie fonctionnelle. Un même intérêt existe également pour l’énergie. Si nous ne libérons pas le marché de l’énergie, nous serons rapidement sans énergie compétitive”, a souligné le premier ministre.
Mentionnant enfin la question de la renégociation du Mémorandum, M. Samaras a reconnu qu’il ne s’agira pas d’une négociation facile, mais a tenu à trancher que le gouvernement a rejeté les actions unilatérales.
“Depuis 2010, nous avons dit que l’Etat a une continuité. Nous voulons changer les parties du Mémorandum engendrant de la récession par une renégociation”, a expliqué M. Samaras, qui a parlé à cette occasion de l’importance de rechercher des alliances dans une Europe qui change et qui reconnaît à présent que l’optique budgétaire doit s’accompagner de mesures de développement.
Grèves contre la privatisation de l'électricité
M. Fotopoulos (leader de la contestation)
De nouvelles mobilisations sont en cours contre le projet de privatisation de l'électricité.
"Nous nous battons, et nous allons informer la société sur ce qui se passera si l'entreprise est finalement privatisée.
Utilisée comme armes juridique, la grève est une arme à feu légitime et garantie par la Constitution.
C'est notre objectif , ce qui se passera ne sera pas notre faute si nous nous défendons ", a t-il ajouté.
Je lutte contre la finance, je crée une banque et je place mon ex femme (encombrante) à sa tête.
je suis, je suis...normal !
A Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes, qui venait d’écouter le discours d’ouverture de François Hollande, le journaliste demande, en substance : Peut-être la présidence de la banque d’investissement pourrait-elle vous intéresser ?
La présidente de Charentes-Poitou affirme n'avoir rien demandé
"Je ne demande rien mais j'attends qu'on me propose quelque chose ..." Pathétique la Ségolène.
C'est dur de retourner à la case départ. Ségolène Royal a tout perdu : les présidentielles, les législatives et même le poste de Première Dame.
Stupeur et consternation
La présidence de région n'est elle pas une occupation à plein temps ?
N'y a-t-il pas des choses à faire en Région en ces temps difficiles pour améliorer la vie des habitants sans chercher encore à cumuler les postes ?
Mme Royal devrait montrer que d'autres motifs que la trahison expliquent ses échecs, faute de quoi elle ne convaincra jamais.
Mieux, cette obstination aveugle a déjà commencé à générer de l'irritation, même chez ses partisans de 2007.
Mme Royal, sachez qu'aucun poste ne vous est dû, ou alors, il faudra expliquer ça aux 3 millions de chômeurs...
Quand ça veut pas...
Même en admettant qu'il y ait eu un mic-mac autour de sa non élection, les électeurs se sont quand même exprimés en la rejetant une fois de plus.
Battue aux présidentielles par Sarkozy, battue aux primaires socialistes par son ex, battue par un autre socialiste aux législatives bien que parachutée et mettant la cause de sa défaite sur le dos du vainqueur.
De son côté, la Thénardière de l'Actuel aurait déclaré à son jules :
"Si t'as l'intention de lui donner quelque chose, t'as intérêt à m'en parler d'abord. "
Bientôt un tweet favorable à qui briguera le poste contre Ségolène ?