mardi 3 juillet 2012

Trierweiler en pire : madame Valls glamour et pas classe du tout



Anne Gravoin, madame Valls, au soi-disant "franc-parler savoureux" : 
"Musicienne, c'est un peu plus glamour que Mme Ayrault, prof d'allemand dans la banlieue de Nantes". 




                              "Cette fille-là, mon vieux Elle est terrible !"






Tous des "bourges de droite"



Il faut être bien imbu de sa personne pour énoncer ce genre d'ineptie. Cette dame est peut-être très fière d'accompagner M. Halliday dans sa tournée, cela ne l'autorise en rien à dénigrer une profession qui mérite autant de respect que celui qu'elle aimerait sans doute qu'on accorde au sien - m'autoriserais-je à dire que prof, c'est quand même un peu moins futile que musicienne ? - qui plus est une discipline qui souffre déjà d'une image négative et pourtant bien imméritée. Alors Madame, s'il vous plaît, gardez donc votre franc-parler - qui, dans le cas présent, ne vous honore pas - pour vos conversations privées. 
Les professeurs d'allemand vous saluent, la banlieue de Nantes également, j'imagine.



Brigitte Ayrault , une femme normale (enfin !)



De l'arrogance avec plein de mépris dedans 



Comment peut-elle se permettre de juger ainsi des personnes... en fonction de leur profession ... ou autre... Mme Ayrault est certainement moins hautaine et peut être plus digne qu'elle... Quelle manque d'humanité et d'humilité... 


Manuel Valls a en commun avec François Hollande d’avoir d’abord fait quatre enfants à une femme avant de se réfugier dans les bras d’une autre, médiatiquement plus sortable et moins compromise dans certains scandales...


Alain Bauer a choisi Nathalie Soulié comme secrétaire d’AB Associates, de 1994 à 1997. Mme Soulié est l’épouse de Manuel Valls, actuel porte-parole du Premier ministre (Lionel Jospin). Alain Bauer et Manuel Valls ont été tous deux cités dans l’affaire de la MNEF, dont ils furent administrateurs sous le premier septennat de François Mitterrand. Leurs noms, ainsi que celui du journaliste Guy Benhamou, ont également été cités dans l’affaire corse...
Alain Bauer, marchand de peur et gourou de Valls - Investig’Action


manuel nous joue du violon




Beaucoup de femmes aimeraient être au lit avec mon mec!



Toujours plus classe et glamour mme Gravoin :

"20% des Françaises ont récemment confié être intéressées par une "aventure" avec manuel? Manuel le mérite, il mérite même beaucoup plus. Beaucoup de femmes aimeraient être au lit à ses côtés, lui mon grand amour"


Le gouvernement de la République Française ? La classe ! Avec ça, on va être respectés dans le monde entier... Ayrault est-il d'accord sur ces propos ?



Les liens de l'orchestre d'A. Gravoin avec la Françafrique et les marchands d'armes



"L'orchestre a attiré une mosaïque de personnages, au carrefour de la politique, des affaires, de la diplomatie parallèle, tous gravitant autour de son premier violon, Mme Valls, officiellement par "amour de la musique," indique L'Obs et "pour le rapprochement des peuples par le langage du cœur et de l’esprit dont la musique est l’expression universelle"." L'enquête poursuit: "On y trouve pêle-mêle un marchand d'armes, "proche du président congolais Denis Sassou-Nguesso", un vieux routier de la Françafrique, "décoré en juin dernier des insignes d'officier de la Légion d'honneur par Manuel Valls en personne", un raider boursier, François Gontier (PDG du conglomérat Eaux et Electricité de Madagascar, EEM) reconverti dans la vente de tenues militaires, "plusieurs fois épinglé par la justice et l'Autorité des Marchés financiers, qui héberge les bureaux d'Anne Gravoin" et, enfin, un businessman, naviguant entre la France et le Koweït."


L'orchestre serait soutenu par la fondation du plus important groupe d'armement en Afrique (Paramount), apprend de cette enquête. Las de tout financer lui-même, Zouhir Boudemagh, le mécène principal de l'orchestre, également président, aurait eu besoin de nouveaux partenaires. 





De Valls à Trierveiller



Toujours le même comportement : des droits, mais pas d'obligations, et, en plus, une couche de morgue parisienne !
Ce genre d’imbéciles reflètent bien la société poubelle française.
L’Ego, l’égoïsme, le respect du rien et aucun sens du devoir…



Les réseaux "chaud-bises" qui aident manuheil à se mettre en lumière!


Gilles William Goldnadel : La violence faite aux Juifs dont on s'accomode

J’ai toujours considéré, lors de la décennie précédente, que l’excès de sollicitude envers les juifs, lorsqu’il concernait les fantasmes d’un retour de la vieille haine rancie d’extrême droite relevait largement du leurre et de la diversion suspecte. Cet excès d’attention et de prévenance était payant politiquement et ne coûtait rien diplomatiquement. Les mêmes qui hier hurlaient au loup, prenaient alors les banlieues pour des bergeries.


Aujourd’hui, l’antisémitisme violent est installé. Il ne relève plus du fantasme mais de la réalité la plus sordide. Son originalité perverse se caractérise par le fait qu’il s’insère au sein d’un monde virtuel dont l’antiracisme est le principe de base obsessif. Un antiracisme qui traque le mot de trop et qui interdit l’interpellation de la minorité d’où provient la violence antijuive, au nom du risque supposé de l’amalgame. J’ai dit ailleurs, sans circonlocutions, je tiens à redire dans ces colonnes, que la minorité dont je parle est issue de l’islam. Un islam qui est aujourd’hui le vecteur essentiel de la judéophobie.


Non l’islam dans son ensemble, mais en son sein une minorité radicale non négligeable. Ne pas oser le dire, c’est interdire à la communauté arabe ou musulmane, pacifique dans sa majorité, de sortir d’une simple condamnation verbale qui devient rituelle, dérisoire et sans portée.


A la décharge des dirigeants de cette communauté, dont certains représentants sont irréprochables (je pense notamment à Dalil Boubakeur), les prétendues élites françaises, politiques ou intellectuelles ne font rien pour encourager et rassurer les musulmans les plus courageux –mais légitimement inquiets- à prendre position avec détermination contre la violence antisémite et antisioniste.


Que voit-on au contraire, qu’un homme admirable comme l’imam de Drancy, Monsieur Chalgoumi, qui s’est rendu récemment à Jérusalem au mémorial de Yad Vashem, a fait l’objet d’une pétition haineuse sur oumma.com sans être défendu sérieusement par qui que ce soit.


Plus grave encore, et plus significatif, l’une des signataires n’est autre que Rokhaya Diallo, compagnon de route des Indigènes de la République, chouchou des médias, et présentée très largement par eux comme responsable antiraciste.


J’attends encore les protestations des principales organisations qui prétendent lutter contre le racisme contre la mise en cause de l’imam Chalgoumi.


Le lecteur voudra bien excuser ce développement particulier, mais je le trouve emblématique et de la désertion des associations prétendument antiracistes, et de l’abandon à leur sort des musulmans courageux.


Mais en réalité, le vecteur principal de cet antisémitisme qui n’a plus rien de bien nouveau, vient avant tout de l’accommodement des prétendues élites politiques et intellectuelles à la violence faite aux juifs.


Il est peut-être trop tard. Car l’accommodement est partout. Il est dans le refus de réfléchir à l’obsession anti-Israélienne qui a conduit un exalté intoxiqué au mensonge antisioniste à se rendre dans une école pour tuer des enfants juifs. Oui Mohamed Merah est une victime. Victime fanatisée de la désinformation qui tolère qu’un vieillard encensé considère que l’occupation israélienne est pire que l’occupation nazie. Et qu’une chaine du service public de l’information prétende que des soldats israéliens ciblent délibérément un enfant dans les bras de son père.


Il est dans l’acceptation d’une alliance avec des partis d’extrême gauche rouge ou vert qui encouragent le boycott des produits de l’Etat juif et qui tolèrent l’obsession antijuive dans le monde islamique à commencer par celui des Frères Musulmans, et le terrorisme antisémite du Hamas en Israël.


Il est dans la politique d’apaisement qui fait que des brutes soient libérées après avoir attaqué des juifs en kippa à Villeurbanne.


Il est dans le fait que la communauté juive, peu à peu exclue de l’espace politique, soit placée dans l’alternative disqualifiante du communautarisme outragé ou du silence résigné.


J’ignore, dans les mois qui vont venir, et au gré aggravant d’une crise israélo-arabe toujours possible, à quel degré supplémentaire la violence antijuive installée pourrait monter.


Je sais seulement deux choses :


- poursuivre la politique « d’apaisement » de déni et de non-dits ne fera qu’envenimer l’abcès de fixation.


- L’Etat d’Israël, demeure, dans cet univers incertain, une source -inédite à d’autres moments cruels de l’histoire agitée des juifs- de réconfort et de dignité.


source : http://www.upjf.org/fr/5100-la-violence-faite-aux-juifs-dont-on-s-accomode-par-gilles-william-goldnadel.html

Sans solidarité pas de fédéralisme en Europe




La solidarité c'est donner pour les autres
Si nous regardons seulement la zone euro, nous voyons des Etats qui ne sont pas surendettés :
La Slovénie : dette publique de 47,6 % du PIB.
La Slovaquie : dette publique de 43,3 % du PIB.
Le Luxembourg : dette publique de 18,2 % du PIB.
L’Estonie : dette publique de 6 % du PIB.



Maintenant, si nous regardons l’Union Européenne, nous voyons aussi des Etats qui ne sont pas surendettés :
La Pologne : dette publique de 56,3 % du PIB.
Le Danemark : dette publique de 46,5 % du PIB.
La Lettonie : dette publique de 42,6 % du PIB.
La République Tchèque : dette publique de 41,2 % du PIB.
La Suède : dette publique de 38,4 % du PIB.
La Roumanie : dette publique de 33,3 % du PIB.
La Bulgarie : dette publique de 16,3 % du PIB.

Question :
 Les Etats ci-dessus vont-ils accepter de DONNER des dizaines de milliards d’euros aux six Etats européens périphériques ?




Le cadre d'abord, la solidarité ensuite
La solidarité existe dans un cadre amical, dans un cadre familial, dans un cadre communal, dans un cadre départemental, dans un cadre régional, dans un cadre national.

Mais en revanche, la solidarité n’existe pas dans un cadre supranational.

Quatre exemples :

1- Depuis le début de la crise grecque, les pays européens riches auraient dû DONNER des dizaines de milliards d’euros à la Grèce.

Or les pays européens riches n’ont pas voulu DONNER des dizaines de milliards d’euros à la Grèce.

En revanche, chaque pays européen riche accepte de sauver ses propres banques privées de la faillite : là, oui, la solidarité existe, car chaque pays européen riche accepte de DONNER de l’argent pour sauver ses propres banques privées.

2- Deuxième exemple : les pays européens riches auraient dû DONNER plus d’argent au budget de l’Union Européenne pour la période 2014-2020.

Or les pays européens riches ont refusé de DONNER un seul euro supplémentaire au budget de l’Union Européenne pour la période 2014-2020.

Résultat : le budget de l’Union Européenne restera au niveau minable de 1 % du PIB de l’Union Européenne pour la période 2014-2020. Par comparaison, le budget fédéral des Etats-Unis est de 25,3 % du PIB des Etats-Unis.

3- Troisième exemple : les pays européens riches auraient dû accepter de payer des taux d’intérêt plus élevés en créant des euro-obligations.

Or les pays européens riches ont refusé de payer des taux d’intérêt plus élevés : les pays européens riches ont refusé la création des euro-obligations.

4- Quatrième exemple : les pays européens riches auraient dû accepter de créer une union de transfert dans la zone euro.

Or les pays européens riches ont refusé de transformer la zone euro en une union de transfert, avec des DONS d’argent partant des Etats du Nord en direction des Etats européens périphériques.

Conclusion : la solidarité supranationale, ça n’existe pas. La Grèce va quitter la zone euro, et les autres Etats européens périphériques aussi. La zone euro va se disloquer.