mardi 20 mars 2012
Faire la Guerre pour les ressources de l'Arctique ?
Ca chauffe tout doucement mais sûrement entre la Russie et le Canada , le Danemark lui même s'en mèle, pour la possession de l' Arctique et de ses gisements en Hydrocarbures.
Une guerre froide au sens propre et figuré.
Il y a tout lieu d'espérer que la lutte politique pour le plateau continental arctique, qui recèle le quart des réserves mondiales d'hydrocarbures, ne dégénérera pas en hostilités, estime l'amiral Anatoli Komaritsyne, ex-chef du département de navigation et de cartographie du ministère russe de la Défense.
"J'espère que l'on n'en viendra pas à engager des combats sous-marins pour le plateau arctique", a déclaré M. Komaritsyne lors d'un duplex télévisé organisé lundi à RIA Novosti.
En septembre 2011, le chef de la diplomatie canadienne, Lawrence Cannon, a annoncé l'intention d'Ottawa de démontrer que la dorsale de Lomonossov (découverte par des explorateurs russes et constituant le prolongement géologique du plateau continental russe) appartenait au Canada. En septembre 2010 déja, en visite officielle à Moscou, le ministre des Affaires étrangères du Canada, avait déja défendu la souveraineté canadienne dans l'Arctique, tout en refusant de parler de "militarisation" de la région.
"Nous n'avons pas du tout l'intention de militariser l'Arctique", a-t-il dit en conférence de presse, accompagné de son homologue russe, Sergueï Lavrov. Depuis 2004, le Danemark intensifie également ses recherches dans l'Arctique et l'Atlantique Nord en vue de prouver que cette dorsale est le prolongement du Groenland.
Selon l'amiral, la production d'hydrocarbures dans l'Arctique sera confiée à des organisations internationales qui appliqueront les normes du droit international dans leurs activités.
D'après M. Komaritsyne, en 1998, la Russie a dressé une carte de l'océan Arctique, démontrant que toutes les dorsales sous-marines, dont celles de Lomonossov et de Mendeleïev, constituaient le prolongement du plateau continental russe.
"La carte adoptée par la communauté internationale montre que le plateau continental fait partie de notre territoire", a ajouté l'expert.
Aux termes de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer adoptée en 1982, le plateau continental d'un Etat comprend les fonds marins et leur sous-sol "sur toute l'étendue du prolongement naturel du territoire terrestre de cet Etat jusqu'au rebord externe de la marge continentale". Les pays riverains ont le droit de prospecter et d'exploiter les ressources naturelles sur leur plateau continental.
La demande de démarcation du plateau continental arctique sera rédigée par Moscou d'ici 2013 et soumise à la commission ad hoc de l'ONU.
source : rian.ru/
Italie : super Mario Monti entre en guerre contre le CDI
Mario Monti a bien essayé de faire accepter la réforme visant réformer le CDI en Italie . Sauf qu'il risque tout simplement d' exploser sa coalition gouvernementale.
Mari Monti n'a pas gagné d'élections, il a été fortement recommandé par la Troïka qui fait la pluie et le beau temps à Bruxelles .
Il a profité du ralliement des députés qui il y a peu soutenaient Silvio berlusconi , il est sur un siège éjectable dont "Silvio" a le bouton de commande...
Réclamées l'an dernier à l'Italie par ses partenaires européens, la du marché du travail vise à faciliter les licenciements pour motif disciplinaire ou administratif et à faire repartir la croissance.
Le coeur de la négociation porte sur l'article 18 du code du travail, aux termes duquel les entreprises de plus de 15 salariés ne peuvent licencier un employé que pour faute professionnelle manifeste ou dans le cadre d'un plan de restructuration.
La réforme prônée par Mario Monti est plus radicale que prévu puisque l'assouplissement des procédures de licenciement ne concernerait pas seulement les nouvelles embauches mais l'ensemble des salariés, ce qui représente des millions d'Italiens.
Le Parti démocrate (centre gauche), deuxième parti de la coalition au parlement, s'était dans un premier temps prononcé en faveur des réformes, malgré l'opposition de son aile gauche et de la puissante fédération syndicale CGIL, qui a appelé à la grève. (voir )
Mais son chef de file, Pier Luigi Bersani, a exprimé sa colère contre l'attitude de Mario Monti, qui ignore selon lui les critiques. "Est-ce que je me suis bien exprimé ? Nous n'avons pas à prendre ou à laisser (les réformes). Nous voterons uniquement si nous sommes convaincus", a-t-il déclaré mercredi soir dans un talk show.
La présidente de la CGIL, Susanna Camusso, a déclaré quant à elle que le président du Conseil italien faisait porter tout le poids des réformes sur les salariés et les retraités. Elle a promis que sa fédération ferait tout pour s'opposer à la réforme.
Mario Monti, qui a sans doute sous-estimé la résistance de la gauche de sa coalition à ses réformes, fait face à la plus forte opposition depuis son arrivée au pouvoir, il y a quatre mois.
Pour justifier ses réformes, il propose de rendre l'utilisation des contrats précaires plus coûteuse mais aussi de faciliter les licenciements individuels.
Il dénonce notamment une situation à deux vitesses, où les salariés en contrat à durée indéterminée dans les entreprises de plus de 15 employés jouissent d'un statut quasiment inattaquable, tandis que ceux des petites entreprises ou avec un emploi précaire, souvent des jeunes, n'ont pratiquement aucune protection. Plus de 30% des 18-24 ans sont au chômage en Italie.
Un éclatement du Parti démocrate entre une aile gauche alliée à la CGIL et une aile droite composée essentiellement de membres de l'ancien Parti démocrate-chrétien compliquerait la tâche du gouvernement.
La ministre du Travail, Elsa Fornero, devait rencontrer jeudi les représentants des employeurs et des salariés pour peaufiner le texte des réformes.
Raffaele Bonanni, secrétaire national du syndicat modéré CISL, a déclaré qu'il tentait d'obtenir une modification des propositions du gouvernement. "Nous sommes en train de modifier la proposition de licenciement pour motif économique".
Ce texte pourrait ensuite être approuvé vendredi par le gouvernement avant d'être présenté au parlement. Mario Monti a posé la fin du mois de mars comme date-butoir pour parvenir à un compromis. (Barry Moody, Hélène Duvigneau pour le service français, édité par Gilles Trequesser)
source : reuters.com
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Les chose sérieuses commencent pour Mario Monti .
Oublié Silvio Berlusconi et ses frasques scandaleuses , on ne gouverne pas un pays sur la haine du dirigeant précedent.

Super Mario a bien essayé d'expliquer aux "jeunes" qu'un CDI est une prison et le CDD la liberté : ils n'ont pas été convaincus, loin de là.
Mario Monti a convoqué les partenaires sociaux cet après-midi pour parvenir à un accord sur un assouplissement du marché du travail. Principal point de blocage, l'article 18 du code du travail italien sur le statut des travailleurs.

Cette réforme vise à rendre plus flexible le marché du travail afin de relancer les embauches et la croissance.
FLEXI-SECURITÉ
Depuis son arrivée, le président du Conseil prône un modèle de flexi-sécurité afin d’éviter ces disparités de traitement. Mais le sujet de la flexibilité a depuis plusieurs années suscité des critiques au sein de l’opinion publique italienne.
Le cas Fiat reste l’exemple le plus flagrant et récent. En 2010, le constructeur a appliqué des conditions plus flexibles sur ses sites de Pomigliano, Mirafiori et Grugliasco. Les contrats de travail prévoient alors une augmentation des rotations de nuit et des heures supplémentaires. Un système permettant selon Fiat de restaurer la compétitivité de ses usines en Italie et garder l’emploi dans le pays. En fin d’année 2011, le groupe a annoncé vouloir quitter la Cofindustria pour pouvoir étendre ces conditions à l’ensemble de ses sites. Une décision qui avait alors marqué les esprits et créé bon nombre de contestations dans le pays.

Le président du Conseil a posé fin mars comme date-butoir pour parvenir à un compromis. La réforme porte aussi sur le système d’indemnisation des chômeurs, qui ne devrait pas entrer en vigueur avant 2017.
Pour cela, il est nécessaire de modifier l'article 18 du statut des travailleurs. Celui-ci permet la réintégration du salarié si le tribunal estime que la raison du licenciement n'est pas "juste".
Le gouvernement n'en veut plus et souhaite à l'inverse faciliter les licenciements économiques, surtout dans les PME. Un droit à licencier pur et simple selon les syndicats qui s'opposent à tout compromis si on y touche une virgule de cet article.
Silvio Berlusconi avait déjà essayé...
Dans les faits, cette disposition ne concerne pas énormément de monde. Quelques dizaines de personnes chaque année.
Pourtant, c'est cet article qui a fait descendre dans la rue des milliers de manifestants il y a 10 ans quand Silvio Berlusconi avait décidé lui aussi de le supprimer. Il a finalement une valeur de symbole plus qu'autre chose.
Le gouvernement pourrait plier. Après avoir accepté la réforme des retraites, le principal syndicat italien, fort de cinq millions d'adhérents, a déjà prévenu que ce point n'était pas négociable.
source : usinenouvelle.com
Crise économique : la fin inexorable des retraites en occident
Quelle serait votre réaction si, après 30 ans de labeur et de cotisation on vous annonçait que vous ne toucherez pas de retraite ?
Vous essayeriez bien de re-travailler, mais l'on vous répondra : "pas de Vieux SVP !"
Alors un politicien (visionnaire ?) parlera de dépénaliser l' Euthanasie (Etat Nazi). Les médias aux ordres vous repasserons le calvaire de ce pauvre monsieur souffrant qui supplie qu'on l'achève.
Ce cauchemard est en train de s'abattre sur les USA, et est déja en cours en Grèce où les retraites sont en passe de devenir un vestige du passé.
Dans les années à venir, des millions d’Américains âgés vont être affectés par des promesses non tenues et des retraites évanouies.
Dans les temps anciens, les choses étaient bien différentes. Vous étiez embauché par une grande entreprise ou une institution gouvernementale et vous saviez que les pensions qu’ils vous promettaient seraient là quand vous prendriez votre retraite quelques décennies plus tard.
Malheureusement, nous sommes maintenant arrivés à un moment où les institutions gouvernementales et les grandes entreprises ont promis beaucoup plus qu’elles ne sont en mesure de tenir, et « la réforme des retraites » est devenue l’un des sujets chauds partout dans le pays. Beaucoup d’Américains qui ont fondé leurs revenus futurs sur leurs retraites se réveillent un jour, en constatant que leurs pensions ont disparu ou ont été réduites de façon spectaculaire.
Il n’y a tout simplement pas assez d’argent disponible pour honorer tous les engagements de retraite qui ont été pris. Quelque chose doit le fournir. En fin de compte, des millions d’Américains âgés seront probablement plongés dans la pauvreté quand leurs retraites disparaîtront.
Certains gouvernements locaux à travers le pays sont déjà en train de se déclarer en faillite et, soit de supprimer les retraites, soit de les réduire très fortement. Il suffit de vérifier ce qui vient de se passer à Central Falls, Rhode Island…
Pendant des années, les responsables municipaux ont promis de solides contrats syndicaux et des retraites sans augmentation de cotisations. En août dernier, l’arithmétique les a rattrapés. Central Falls était fauchée, son fonds de pension en déficit de 46 millions de dollars. Il s’est déclaré en faillite.
Gardez à l’esprit que les contribuables ne reçoivent pas de nouveaux services en contrepartie de l’argent dépensé pour les retraites. C’est de l’argent qui va directement dans la poche des travailleurs retraités. Administrations étatiques et locales tentent désespérément de payer leur dû aux travailleurs retraités, tout en finançant les services gouvernementaux en cours, mais beaucoup ont atteint le point de rupture.
Partout dans le pays, les gouvernements étatiques et locaux font faillite.
Les choses vont si mal à Stockton, en Californie, qu’ils en sont effectivement à suspendre le remboursement de la dette…
La ville de 290.000 habitants, qui a profité du boom immobilier des années 1990 et du début des années 2000, se trouve maintenant jonchée de maisons saisies, aux prises avec des engagements de soins de santé, de retraite et d’autres obligations qu’elle ne peut assumer, et incapable de payer ses factures.
En Californie, le passif non capitalisé du système de retraite des employés d’Orange County est estimé à 10 milliards de dollars.
Comment diable un seul comté peut-il faire face à un trou de 10 milliards de dollars ?
C’est de la folie.
L’État de l’Illinois fait face à un passif non capitalisé de plus de 77 milliards de dollars. Compte tenu du fait que l’État de l’Illinois est fauché et sur le point de faire défaut, il est inévitable que beaucoup de ces engagements de retraite ne seront jamais honorés.
Le consultant en fonds de pension Girard Miller a déclaré devant la Petite Commission Hoover californienne que les organismes publics étatiques et locaux de Californie cumulent 325 milliards de dollars d’engagements de retraite non capitalisés.
Dans le secteur privé, les régimes de retraite disparaissent à une vitesse fulgurante.
Selon le Centre de recherche sur la retraite du Boston College, le pourcentage de travailleurs américains couverts par un régime de retraite traditionnel a chuté de 62 % en 1983 à 17 % en 2007.
Ce n’est pas seulement une tendance.
C’est un raz-de-marée.
La première chose à réaliser est que le régime de retraite sur lequel vous avez compté peut disparaître à tout moment.
Nous vivons dans un environnement économique qui est extrêmement instable, et la seule chose sur laquelle vous pouvez compter dans cet environnement est un changement rapide et spectaculaire.
Ne planifiez pas votre avenir financier en fonction d’un régime de retraite. Si vous le faites, vous risquez d’être amèrement déçu.
Les Américains qui envisagent de prendre leur retraite dans les années à venir, devraient faire de leur mieux pour essayer de financer leur propre retraite.
Malheureusement, la plupart des Américains n’économisent pas grand-chose pour la retraite. Comme je l’ai écrit à ce sujet précédemment, une étude a révélé que les travailleurs américains sont en déficit de 6.600 milliards de dollars par rapport à ce dont ils auraient besoin pour pouvoir profiter d’une retraite confortable.
Nous sommes confrontés à une crise de la retraite d’une ampleur inégalée, et il n’y a pas beaucoup d’espoir en vue.
source (en anglais) : theeconomiccollapseblog.com
Le Portugal, pays suivant à subir la déflation de Bruxelles et de la Troïka ?
En Grèce , le remède de cheval de la Troïka ( BCE UE FMI ) a eu des effets désastreux. A chaque nouveau plan d' austérité , Athènes perdait dans ses recettes fiscales bien plus que ce qu'elle essayait désespérément d'économiser dans ses dépenses.
Le Portugal sera-t-il la prochaine victime de l’action conjointe, solidaire et « fraternelle » de l’Europe et du FMI ? La question se pose à la lumière des dernières nouvelles de ce pays. En écrivant, il y a peu, qu’il ne fallait pas aider la Grèce, nous ajoutions que l’Espagne et le Portugal risquaient d’être emportés dans la tourmente et les dernières nouvelles ne sont pas rassurantes.
La Grèce s’est enfoncée dans le malheur parce que, selon la propagande officielle, elle n’avait pas joué le jeu. Le Portugal, selon la même propagande, nous est présenté comme un « bon élève ». Il a obéi en tous points aux injonctions de l’Europe et du FMI. C’est pourquoi, il a reçu en mai dernier 78 milliards d’euros d’aide. A la même époque, la dette publique représentait 107 % du PIB. En 2012, on vient d’annoncer que selon les prévisions, elle pourrait monter à 118 %.
C’est l’une des preuves de la nocivité des politiques imposées par la prétendue « communauté internationale ». En effet cette dégradation prévisible vient pour l’essentiel de ce que l’économie se réduit : les médecins de Molière étaient connus pour tuer le malade grâce à leur médecine.
Vitor Gaspar, le ministre des Finances, est apprécié de ses collègues : par des mesures dures il a réduit le déficit budgétaire de plus d’un tiers. Le résultat est que l’économie s’est contractée de 1,5 % en 2011, avec une tendance vers 3% en 2012. Les analystes extérieurs calculent que les mesures prises qui conduisent à l’étouffement ne permettront pas de rembourser les dettes même à long terme.
Début février, un échange entre Vitor Gaspar, ministre des finances, et son homologue allemand a fuité. Ils prévoyaient carrément qu’une rallonge serait nécessaire. C’est maintenant officiel, Bruxelles envisageant un deuxième sauvetage.
LES PREVISIONS DE MOODY’S
L’agence de notation a abaissé le mardi 5 juillet 2011 de quatre crans la note de la dette souveraine du Portugal. Cette note signifie que le Portugal, un des pays de la zone euro touché par la crise de la dette, est considéré comme pouvant faire face à ses engagements, mais que l’investissement est jugé comme « spéculatif », donc risqué.
Il était indiqué déjà à l’époque que le Portugal aurait besoin d’un second plan d’assistance financière avant d’être en mesure de se financer lui-même sur les marchés internationaux. Moody’s assortissait sa note d’une perspective négative, ce qui signifie qu’elle envisageait de l’abaisser encore à moyen terme.
Pour justifier cet abaissement, l’agence de notation faisait valoir qu’elle craignait que le Portugal ne parvienne pas à tenir les engagements qu’il avait pris envers l’Union européenne (UE) et le Fonds monétaire international (FMI), en matière de réduction de son déficit et de stabilisation de la dette.
En échange du prêt de 78 milliards d’euros décidé en mai, le Portugal s’était engagé à mettre en œuvre un exigeant programme de rigueur et de réformes sur trois ans.
Cette nouvelle cure d’austérité devait permettre au pays de ramener son déficit public de 9,1 % du PIB en 2010 à 5,9 % cette année, puis à 3 % en 2013.
Moody’s relevait toutefois le « risque croissant » de voir le Portugal avoir besoin d’un deuxième plan d’aide avant de pouvoir de nouveau emprunter sur les marchés. L’agence de notation pensait que le Portugal pourrait ne pas pouvoir emprunter sur les marchés financiers « à des taux supportables » avant le second semestre 2013, voire plus tard.
Il apparaît bien que l’agence avait vu juste dans ses prévisions, ce que les dernières nouvelles confirment. En clair et bien que cela ne soit pas dit franchement, cela signifiait que le pouvoir portugais ne faisait pas assez souffrir son peuple pour le soigner vraiment !
RESIGNATION ET IMPATIENCE
La différence, aujourd’hui, avec la Grèce est que les Portugais ne se révoltent pas encore : la rue ne s’est pas enflammée. Cela va-t-il durer ? Pour le moment les gens semblent accepter les mesures d’austérité imposées par la force. Il est envisagé une baisse des pensions de vieillesse, une dégradation des salaires, des hausses d’impôt. Les Portugais constatent, chemin faiant, que, comme ailleurs, la classe politique ne participe nullement aux sacrifices communs.
A qui le prochain tour ? Il est bon de s’interroger. L’Espagne avait une dette publique de 36 % du PIB avant la crise de la dette ; le coefficient devrait passer à 84 % d’ici à 2013. L’Italie se situait à 105 % en 2009 et devrait passer à 126 % en 2013 ; les riches italiens, pendant ce temps, sont connus par les agents immobiliers à Londres pour leur capacité à acheter des biens de grand luxe !
Malgré la propagande, les experts reconnaissent que les exigences implacables du FMI par leur austérité empêchent une vraie croissance de s’installer. Ce FMI, sous la direction de DSK, a bâti une méthode d’intervention qui a eu des effets médiocres et parfois désastreux dans beaucoup de pays ayant fait appel à lui. Christine Lagarde a suivi sans barguigner les mauvaises pratiques de DSK !
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