jeudi 23 février 2012

Rick Santorum candidat républicain pour 2012 accuse Obama d'avoir peur d'une guerre contre l'Iran



Le candidat républicain à la présidentielle, l'espoir Rick Santorum a fustigé le président américain Barack Obama pour sa peur de de confronter à l' Iran .


Ce candidat en perte de vitesse dans les sondages a récemment déclaré " Elisez moi et je ferai bombarder l'Iran ".
il est désormais en tète des sondages pour les primaires aux USA.




«Ce président a évidemment un très gros problème avec l'Iran, il ne cesse de prendre leur défense à n'importe quelle occasion : ... il a peur d'eux ! ", a lancé Santorum lors d'un débat avec les autres candidats aux primaires dans la ville de Mesa, dans l'état de l'Arizona. 


L'ancien sénateur de la Pennsylvanie insiste sur le fait que les options militaires sont la seule approche pour arrêter les progrès de Téhéran en matière de technologie nucléaire. 


Autre espoir de la présidentielle, Newt Gingrich a fait référence au plan d'urgence de l'Iran visant à bloquer le détroit stratégique d'Ormuz et a appelé Washington à rechercher des ressources alternatives pour son approvisionnement en pétrole et en gaz. Il affirme que les USA doivent absolument réduire leur dépendance en fournitures énergétiques du Moyen-Orient. 


Les tensions entre l'Iran et les Etats-Unis autour du détroit d'Ormuz se sont aggravés après que Washington et l'Union européenne aient imposé des sanctions contre le secteur pétrolier iranien. 


Le 27 Décembre 2011, le vice-président de l'Iran, Mohammad Reza Rahimi, a averti que l'imposition de sanctions à l'encontre du secteur énergétique inciterait Téhéran à stopper le transit pétrolier à travers le détroit d'Ormuz.


 Le détroit d'Ormuz l'une des voies maritimes les plus importantes du monde avec un débit journalier d'environ 15 millions de barils de pétrole. 


Depuis cette escalade diplomatique, des pressions considérables sont à l'oeuvre contre Obama pour qu'une attaque aérienne contre l'Iran soit déclenchée, préventivement bien sur...

Après l'echec de la mission de l'AIEA en Iran, une confrontation militaire de plus en plus inévitable



La dernière mission de l'organisme de surveillance de l'énergie nucléaire des Nations Unies (AIEA) en l'Iran n'a pas été autorisée à visiter un site suspect.
Cette nouvelle provocation de Téhéran sur son programme nucléaire, ravive les craintes d'une confrontation avec l'Occident. 


Les Etats-Unis ont critiqué l'Iran, suite à l'échec des négociations avec l'Agence internationale de l'énergie atomique à Téhéran, en déplorant le refus de la République islamique de se conformer à ses obligations internationales sur son programme nucléaire. 
Exprimant son mépris, l'ayatollah Ali Khamenei a déclaré que la politique nucléaire de l'Iran ne changerait pas malgrés les pressions internationales croissantes contre ce que l'Occident estime etre un plan de Téhéran pour obtenir la bombe nucléaire. 
"Avec l'aide de Dieu, et sans prêter attention à la propagande, les recherches nucléaires de l'Iran devraient continuer avec fermeté et sérieux", at-il assuré à la télévision d'Etat. 
"Les pressions, les sanctions et les assassinats de nos scientifiques ne porteront pas leurs fruits. Aucun obstacle ne pourra arrêter le programme nucléaire de l'Iran." 


Une équipe de l'AIEA basée à Vienne, avait espéré pouvoir inspecter un site à Parchin, au sud-est de Téhéran, où l'agence estime qu'il ya une installation d'essais d'explosifs qu'ils estiment suspecte. Mais l'AIEA a déploré que l'Iran "ne leur ait pas accordé la permission de visiter le site". 


L'échec de la visite de deux jours de l'AIEA pourrait entraver toute reprise des négociations dans le futur entre l'Iran et les six puissances mondiales - les Etats-Unis, la Chine, la Russie, la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne - Téhéran estime qu'il est acculé dans un coin et que les négociations ne sont pas équitables. 


Le bras de fer avec Téhéran a ébranlé les marchés pétroliers. A Washington, le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney a ddéclaré que les États-Unis essayent d'évaluer précisement les intentions de l'Iran. "Cet echec de la mission de l'AIEA, causé par la mauvaise volonté de l'Iran donne à penser qu'ils n'ont pas changé leur comportement quand il s'agit de respecter leurs obligations internationales ".


En attendant, les bruits de bottes se raprochent de l'Iran et surtout de son allié, la Syrie.
Dailleurs la marine iranienne a envoyé plusieurs navires de guerre en Syrie ainsi que des forces de "maintiens de l'ordre".
Du coté syrien, on dénonce une ingérence étrangère déja présente au coté des rebelles.
Certains analytes voient une attaque de la Syrie comme une manière d'en faire une base de départ pour attaquer l'Iran, d'où la necessité absolue de renverser le régime.

Grèce : salaires négatifs pour les fonctionnaires, et soupçons de trahison contre le PASOK

Grèce : l' euro en délire complet, certains travailleurs percevront un salaire négatif
Jusqu'à 64.000 enseignants, employés municipaux, travaillent sans salaire
                                                                     le PASOK m'a tuer


La compressions de la masse salariale pour les travailleurs du secteur public est en phase d'être finalisée. Les amputations de salaire seront rétroactives depuis le mois de novembre 2011. Résultat escompté: Jusqu'à 64.000 personnes travailleront sans salaire ce mois-ci, et seront même invités à rembourser le "trop perçu". Parmi eux 21.000 enseignants, 13.000 employés municipaux et 30.000 fonctionnaires d'état.


Nous pensions avoir tout vu. Ce n'ètait qu'un début. Le pays berceau de la démocratie en Europe (L'agora) et symbole de résistance farouche (les guerres médiques contre l'Hyper Empire perse), s'est surpassé encore une fois. Ce mois-ci certains Grecs auront à payer pour avoir le privilège de travailler . 


Pendant ce temps là ça chauffe pour le PASOK (parti socialiste grec)
L'Agence de statistiques économiques de la Grèce est soupçonnée d'avoir exagéré le déficit budgétaire 2009.
Le Parlement grec a voté la création d'une commission d'enquète sur les activités l'agence de statistiques du pays, car suspectée d'avoir exagéré le déficit de 2009. 168 députés sur 300 (les 300!) ont voté  pour , 76 contre, le reste s'étant abstenu.


Un membre du conseil de l'agence grecque des statistiques a dit plus tôt que le déficit budgétaire du pays a été délibérément gonflé par le gouvernement socialiste du PASOK , qui est venu au pouvoir en fin 2009, rapellons que cette annonce du déficit RÉEL de la Grèce de manière imprudente et tonitruante avait immédiatement provoqué la dégradation du pays et sa mise sous tutelle par la désormais célèbre "troïka" (UE BCE FMI).


Cette annonce  ultra médiatisée du déficit budgétaire record a provoqué une crise de confiance envers la Grèce, qui a perdu l'accès aux marchés internationaux des capitaux. En 2010, l'UE et le FMI ont accordé un prêt à la Grèce de 110 milliards d'euros en échange de promesses de réformes qui ne sont jamais venus tellement les oppositions multiples ont été nombreuses. Malgré cette aide, la situation en Grèce a continué à se détériorer. Cette semaine, l'Eurogroupe a décidé d'allouer un deuxième pret à la Grèce, un soutien financier de 130 milliards d'euros.
 Les prêteurs privés ont du radier jusqu'à 100 milliards d'euros de dette.
                                         merci Georges, on y serait jamais arrivé sans toi


Rapellons également que cette crise mondiale de la finance débridée s'est instantanément muée en crise des PIIGS (litetralement les cochons, prononcez "cofon" à l'allemande), de l'europe sociale irresponsable, bref, du pain benit pour les USA qui pendant ce temps là monétisaient tranquillement leur pyramide de dette en la faisant payer aux consommateurs du monde entier. La hausse des matières premières agricoles aura eu raison des régimes dits "socialistes" du magreb autoritaire.


C'est georges Papandreou qui a hurlé à qui voulait l'entendre que son pays était ruiné, il aurait pu faire ça plus discrètement, ne serait-ce que pour laisser un peu de manoeuvre économique à la Grèce qui depuis cette annonce malheureuse n'a cesser de souffrir au dela du raisonnable.
C'est encore ce même Georges Papandreou qui annonce un référendum le jour même ou le plus grand courtier en bourse des Etats Unis, MF global, a fait faillite. Et devinez de quoi les médias ont parlé ? 
Merci Georges ! ou plutôt "thanks !"