mercredi 15 février 2012

Nigel Farage : vous allez voulu une marionnette en Grèce, en terme de chaos vous n'avez rien vu



Nigel Farage, à nouveau, harangue les membres de la commission européenne au parlement de Bruxelles. Voici l'intégralité de son discours souverainiste :


Messieurs les membres de la commission vous avez choisi l'homme parfait : la marionnette papademos est en place et pendant qu'Athènes était en feu dimanche dans la nuit, il m'a légèrement coupé le souffle, en disant "la violence et la destruction n'ont pas leur place dans un pays démocratique".


Quel pays démocratique !? il n'est même pas élu démocratiquement, il  a été nommé par vous.


la Grèce n'est plus démocratique maintenant, elle est dirigée par la Troïka, trois ministère étrangers qui se rendent à l'aéroport d'Athènes et disent aux grecs ce qu'ils peuvent ou ne peuvent pas faire.


La violence et la destruction que vous avez vu dimanche en est la cause directe parce qu'on supprime les droits démocratiques des gens, que peuvent -ils faire d'autre ?


Je dois avouer que si j'étais un citoyen grec, j'aurais été dehors à me joindre à leur protestation de dimanche, j'aurais été dehors pour essayer de faire cesser cete monstruosité que l'on fait subir à ces gens.


Dans les efforts de ces marionnettes pour obtenir de ces députés de voter pour le plan de sauvetage, il les a averti que, s'ils ne le font pas, il y aurait une baisse spectaculaire du niveau de vie.


A-t-il seulement passé le nez à la porte ?
A-t-il vu le fait que 50% des jeunes sont sans emploi ?
A-t-il vu le fait que l'économie au lieu de repartir, s'est contracté 5 ans de suite, et qu'elle accélère maintenant dans une spirale de la mort à la baisse et se contracte de 7% par an.


La Grèce a été entrainé par terre et je pense franchement qu'en terme de chaos vous n'avez encore rien vu.
Ces politiques ont conduit la Grèce vers la révolution, elle doit retrouver sa liberté.


Si'ils n'obtiennent pas le retour de la Drachme, vous serez responsables de quelquechose de vraiment, vraiment horrible.

La Russie prépare une réponse adéquate en cas d'attaque de l'Iran par Israel et les Etats-Unis



La situation géopolitique, près de la Syrie et de l'Iran exhorte la Russie à accélérer l'amélioration de ses forces militaires dans le Caucase, la mer Caspienne ainsi que dans les régions de la Méditerranée et de la mer Noire. 


Des sources du ministère de la Défense russe indique que le Kremlin a reçu des informations sur une prochaine frappe pro-américaine et israélienne sur les installations nucléaires iraniennes. L'attaque se fera bientôt en une seule frappe et en un seul jour "J". 
La réponse de Téhéran ne se fera pas attendre longtemps. Une guerre dont les conséquences pourraient être imprévisibles.


L'ambassadeur de Russie auprès de l'UE Vladimir Chizhov a déclaré qu'une attaque israélienne sur l'Iran ou les Etats-Unis mènerait à «évolution catastrophique des événements." Le diplomate a souligné que l'impact négatif ne se manifestera pas seulement pour la région », mais dans un contexte plus large." Comme on le sait, l'impact direct de la diplomatie russe en Europe et envers la communauté internationale lors d'une éventuelle guerre en Iran, serait dommageable et irréversible à court terme.


Cependant, les préparatifs militaires de la Russie pour réduire au minimum les pertes dues à une éventuelle action militaire contre Téhéran est à l'étude depuis un an. 
Selon des sources proches du ministère de la Défense russe, serait mobilisé la 102e base militaire en Arménie. Les familles des militaires de la garnison russe stationnée près d'Erevan, seraient transférés à Gyumri, près de la frontière turque. 


Quels seront les défis à  résoudre par la 102e base russe en cas de conflit- n'est pas entièrement encore défini. Mais la préparation au combat des forces russes dans les bases militaires en Ossétie du Sud et en Abkhazie semble ètre terminé. Les navires de la flotte de la mer noire près de la frontière avec la Géorgie, lors d'un éventuel conflit avec l'Iran ne pourraient agir à revers conte les ennemis de Téhéran.


Quelles seront les tâches que la Russie devra mener à bien si la guerre éclate contre l'Iran ? Au sein du ministère russe de la Défense, apparemment très préoccupé par l'état des troupes en Arménie. C'est une position très importante géopolitiquement que l'on craint de perdre en cas de conflit Israelo Iranien.


En Avril 2011, la Géorgie a rompu l'accord sur le ravitaillement militaire de la Russie par l'Arménie. En fait, le groupe russo-arménien dans le Caucase du Sud est déjà isolé. L'approvisionnement de l'armée russe (carburant, nourriture, etc) n'est possible que par voie aérienne et par des accords directs avec l'Arménie, qui, à son tour, se voit livrer des produits similaires (essence, diesel, kérosène) achèté en Iran. La guerre en Iran signifierait la cessation de cette voie de ravitaillement vital pour la 102eme base russe.


Le Lieutenant General Yuri Netkachev, qui a longtemps été le commandant adjoint du Groupe des forces russes en Transcaucasie et a participé personnellement aux formations des unités (y compris de la 102-ème base ), estime que dans le cas d'une guerre à grande échelle contre l'Iran, la Russie cherchera des moyens visant à sécuriser ses approvisionnements militaires et ses installations militaires en Géorgie. "Vous pourrions avoir à briser le blocus de la Géorgie et de veiller à sécuriser les corridors de transport menant à l'Arménie", - dit un expert militaire. cela signifierait une nouvelle intervention contre la Géorgie quatre ans après celle de 2008.


"Apparemment, le ministère russe de la Défense est maintenant très méfiant envers l'Azerbaïdjan, qui, au cours des trois dernières années a doublé son budget militaire et achète maintenant des drones israéliens provoquant une gêne légitime de Téhéran et de l'Arménie. Mais même malgrès le différend qui oppose l'Azerbaïdjanentre et l'Iran sur les champs de pétrole du sud de la mer Caspienne, il est peu probable que Bakou soutiendra la campagne anti-iranienne de l'OTAN.


Un analyste proche du Kremlin, Vladimir Popov, encourage l'occident à ne pas se faire trop d'illusions : "Dans le pire des scénario, lorsque Téhéran devrait faire face à une défaite militaire complète contre les forces de l'OTAN, la Russie fournirai "au minimum" une assistance militaire, au moins sur le plan technico-militaire ».
Une intervention au sol, bien qu'improbable n'est pas à exclure complètement.
          

L'Allemagne et ses alliès du nord plus intraitables que jamais avec la Grèce : qu'elle sorte de l'Euro



L'économie grecque plonge vers le bas au fur et à mesure que l'UE en impose plus.
Un défaut de la Grèce ainsi que son éjection traumatisante de la zone euro a franchi une nouvelle étape, après la réunion cruciale des ministres des Finances de la zone euro ait été annulée, au motif qu'Athènes n'en fait pas assez pour réduire son déficit.


La dernière étape dans l'escalade de l'UE contre la Grèce est venu peu après que les dernières statistiques de l'économie grecque révèlent une contraction du PIB de 7% au dernier trimestre 2011. 
C'est bien pire que prévu par l'Union européenne, la BCE et le FMI, la fameuse «troïka», sont atterés par un tel constat d'échec.


Le pays semble être entré dans un cercle vicieux de destruction économique qui se joue des objectifs budgétaires d'Athènes ou de Bruxelles. C'est la métaphore du rocher de Sisyphe, du tonneau des danaïdes : tout est à recommencer à chaque fois.


Le Premier ministre Lucas Papademos a appelé son cabinet pour trouver un autre mesure d'économie pour 325 Millions € d'austérité budgétaire supplémentaire réclamée par la troïka. 
Malgrès la baisse des salaires en Grèce, ce n'est pas encore assez.


Les partis de la coalition au pouvoir ont échoué à convaincre l'Eurogroupe qu'ils s'en tiendront aux accords précédemment signés. L'ambiance a été pourrie par les noivelles exigences de l'UE éxigeant un compte budgétaire bloqué, réservé au remboursement de la dette. Une forme de tutelle déguisée, qu'Athènes considère comme une humiliation.


Les bâtiments noircis et incendiées par les manifestants dans les rues autour du Parlement et de la place Syntagma, sont autant d'avertissements saisissants lancés aux politiciens de la Grèce :  Toute nouvelle erreur de jugement pourrait pousser le pays vers l'anarchie.




L'Approbation de tout nouveau plan de sauvetage doit au préalable ètre approuvé par l'Eurogroupe (les ministres de la Zone Euro).


Un nouveau plan d'aide de € 130 milliards, yainsi qu'une réduction de 70% de la dette grecque détenue par les détenteurs privés d'obligations grecques, permettra au pays d'éviter le défaut de paiement en Mars.


L'Allemagne et ses alliés du Nord semblent ètre prêts à forcer la Grèce à sortir de l'euro à moins qu'elle obeïsse totalement à la Troïka.
Le calcul auquel la zone euro se réfère est le suivant : l'UE est maintenant assez forte pour endiguer toute contagion qui pourrait suivre un défaut grec.


Luc Frieden, ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, a lancé un avertissement clair comme de l'eau de roche : "Si le peuple grec ou les élites politiques grecques n'appliquent pas toutes les conditions demandées par l'UE, je pense qu'ils s'excluenraient eux-mêmes de la zone euro. L'impact sur les autres pays de l'euroland serait bien moins important qu'il ya un an."


M. Frieden a même suggéré un retour à la drachme. "Ca pourrait être quelque chose de positif qui permettrait à la Grèce un nouveau départ, une économie nouvelle faisant repartir l'emploi serait crée."


L'Allemagne, la Hollande et la Finlande suggèrent que les créanciers d'Athènes aient désormais le pouvoir d'éjecter la Grèce hors de la zon euro, causant une grande amertume à Athènes.


"Vous répondrez à la guerre par la guerre", a déclaré Kostas Kiltidis, député du Parti conservateur LAOS. "Nous sommes le berceau de la civilisation européenne et personne ne peut nous obliger à sortir de notre propre maison. Il n'existe aucun mécanisme juridique pour cela. S'ils essaient, d'autres mourrons économiquement avec nous."


Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe, a déclaré que le point d'achoppement était du à l'échec des partis politique à s'engager sur les réductions prévues après les élections d'Avril 2012.
Antonis Samaras, chef de file de la "nouvelle démocratie" (équivalent de l'UMP en France), est furieux que Berlin ose demander un engagement par écrit avant les prochaines élections.
"cela revient à annuler les élections ! "


Cependant, les sondages en Grèce dessinent un paysage politique éclaté avec une forte poussée de l'extrême gauche et de l'extrême droite. Il est probable que l'ordre existant du bipartisme sera renversé.


"Le prochain gouvernement sera instable, ce qui est un désastre pour nous en ce moment", a déclaré Spyros Kouvelis, un député qui a voté contre les réductions et démissionné du PASOK (parti socialiste grec).
La gravité de la crise grecque ne peut en aucun cas rendre le dernier accord avec l'UE caducq. Il met aussi en doute la stratégie de la troïka, qui méprise les avertissements affirmant que l'austérité sévère sans le coussin de la dévaluation asphyxie l'économie de la péninsule hellénique.


Le taux de chômage monte en flèche et atteint 20.9% en Novembre. Il est certain qu'il augmentera encore alors que le gouvernement commence la difficile tache de supprimer 150.000 emplois du secteur public.


"Nous pensons que le PIB baissera de 7% cette année, et nos prévisions ont été très précises", a déclaré Yannis Panagopoulos, chef de la Confédération grecque du Travail. «Cette austérité idiote va alimenter le cercle vicieux de la dépression."


Angelos Tsakanakis de la Fondation pour la recherche économique et industrielle (IOVE) dit que la menace d'un retour à la drachme détruit tout espoir de reprise.
"Personne ne va faire des plans pour investir ici jusqu'à ce que le risque de change soit écarté. Une croyance a pris racine selon laquelle le pays a été abandonné...Les déficits de l'Europe du Sud ont été alimentées par les excédents du Nord», explique t il.


Une rare bonne nouvelle pour la Grèce vient toutefois apporter un (petit) rayon de soleil, la BCE a affirmé qu'elle est prête à participer à l'allégement de la dette grecque en renonçant à ses bénéfices sur la participation de € 47 milliards d'obligations grecques rachetés à 22% de sa valeur.

Barack Obama l'homme sans plan qui désespère l'Amérique



                                               Oui , je veux ré-enchanter le rève américain !


Barack Obama n'a absolument aucune idée de ce qu'il fait quand il s'agit de l'économie, et pourtant il continue à prononcer des discours dans lequel il déclare qu'il est l'homme pour le "job". Barack Obama délivre toujours un beau discours, mais il est devenu terriblement évident qu'il est totalement à court d'idées. Donc, les USA continueront à dériver sans but et  sans direction jusqu'à ce que le prochain tsunami financier arrive et rende les choses encore pire que maintenant.


Et le peuple américain commence à comprendre qu'Obama n'a plus rien de nouveau à ajouter. Il suffit de vérifier son audience médiatique un peu plus en baisse chaque année lors du traditionnel "discours sur l'ètat de l'union"...


2009: 52,3 millions


2010: 48.000.000


2011: 42,8 millions


2012: 37,8 millions


Il est incroyable de voir comment Barack Obama peut utiliser autant de mots pour dire si peu de choses.


Il chatouille toujours nos oreilles mais ne livre jamais la marchandise. Au début de son discours, un beau jour de 2010 il a fait la déclaration suivante ....


"Ce soir, je veux parler de la façon dont nous progressons, et avons établi un plan directeur pour une économie qui construite pour durer : une économie fondée sur l'industrie américaine, sa propre énergie, les compétences de ses travailleurs ainsi qu'un renouvellement de ses valeurs..."


Ca sonne plutôt bien. Excepté le fait que tout ce qui est arrivé aux USA ces trois dernières années a été l'exact opposé du bla bla de la maison blanche.




Obama affirme que la situation du marché de l'emploi s'améliore, mais ce n'est pas vrai du tout. La seule façon qu'a le gouvernement fédéral de prétendre qu'il ya un taux de 8,5 pour cent de chômage dans notre pays, c'est parce qu'il a décidé que les millions d'Américains au chômage depuis une longue période ne devront ètre radiés des statistiques.


Si le nombre d'Américains  considéré comme faisant partie de la population active était la même qu' en 2007, le taux «officiel» du chômage publié par le gouvernement américain serait à environ 11%.




Depuis que Barack Obama a pris ses fonctions, le nombre d'Américains vivant de coupons alimentaires a augmenté de 14 millions .


Les choses ne vont guère mieux pour la classe moyenne, cela a même empiré.




10 millions d'américains de plus sont tombés en dessous du seuil de pauvreté depuis 2006. Et en 2010, plus d'Américains ont sombré dans la pauvreté que jamais auparavant dans l'histoire des USA.


Beaucoup de gens ordinaires vont vraiment très mal au pays de la libre entreprise, et le peuple américain mérite de vraies réponses sans tarder.


Mais au contraire, Obama a dit des trucs du genre....


"J'ai l'intention de lutter contre l'obstruction qui paralyse l'action, et je vais m'opposer à tout effort visant à revenir à des politiques qui nous ont amené à cette crise économique"


Ah oui, vraiment?


Qu'a donc fait Obama contre les abus qui ont causé la crise financière?


La «réforme financière" d'Obama est une plaisanterie totale. Obama a honteusement gouverné pour les grandes banques de Wall Street qui ont causé la dernière crise.


Aujourd'hui, les banques sont plus fortes que jamais et sont en passe de tout diriger. Le total des actifs des six plus grandes banques américaines a augmenté de 39% entre 2006 et 2011.


Alors maintenant plus que jamais, ils sont un danger pour le système financier .


Obama n'a jamais sérieusement tenté de réguler Wall Street.
Après tout, ce sont eux qui financent ses campagnes.


La plupart des Américains ne se rendent pas compte, que les principaux donateurs pour la campagne d'Obama en 2008 étaient les banques elles mêmes.


M. Obama depuis son élection n'a fait qu'installer des élites financières là où ça compte le plus: 
Mr.William Daley de JP Morgan Chase, chef d'état-major de la Maison Blanche. 
M. Gene Sperling issu de Goldman Sachs est devenu directeur du Conseil économique national. 
Eileen Rominger de Goldman Sachs a été nommée directrice de la SEC (commission chargée de surveiller les opérations boursières !). 
Même le conseiller à la sécurité nationale, Thomas Donilon, était vice-président de Fannie Mae, banque défunte du crédit hypothécaire, organisme financier directement responsable de la faillite de 2008. 


L'administration Obama a poussé à de nouveaux "accords de libre-échange" avec le Panama, la Corée du Sud et la Colombie. L'administration Obama a également fait de la "Trans-Pacific Partnership", l'ALENA zone de libre échange équivalent américain de l'UE, une priorité absolue.


Tout le monde a pu voir aux USA comment ALENA a merveilleusement fonctionné.


Le libre-échange proné par tout les politiciens a été un véritable cauchemar pour l'ouvrier américain.


En 2010, une moyenne de 23 entreprises manufacturières américaines par jour s'est délocalisé. Depuis 2001, plus de 56.000 entreprises aux États-Unis ont fermé leurs portes définitivement.


Nous sommes victimes d'une hémoragie d' emplois à un rythme difficile à croire.


Étonnamment, les États-Unis ont perdu en moyenne plus de 50.000 emplois manufacturiers par mois depuis que la Chine a rejoint l'Organisation mondiale du commerce en 2001.


Pourtant, Obama promet d'aller encore plus loin !


Lors de son discours, Obama noté que de nombreux fabricants étrangers sont fortement subventionnés ....


"Ce n'est pas juste que les fabricants étrangers aient une longueur d'avance sur la nôtre, seulement parce qu'ils sont fortement subventionnés"


Allons-nous pénaliser ceux qui ont triché?


Allons-nous les avertir que nous allons stopperons le commerce avec eux, sauf s'ils changent d'attitude?


Bien sûr que non, du bla bla toujours du bla bla.


Obama ne fera rien pour arrêter ce que la Chine et d'autres nations prédatrices sont en train de nous faire subir.


Aujourd'hui, les Etats-Unis dépensent environ 4 dollars en biens et services en provenance de Chine pour chaque dollar que la Chine dépense en biens et services en provenance des États-Unis, et le déficit commercial américain avec la Chine en 2010 était de 27 fois plus grande qu'il ne l'était en 1990 .
                                                              Cool les gars, we can !


Mais l'administration Obama ne semble pas se soucier beaucoup de ces choses là et continue ses discours non suivis d'effets : 
"J'annonce la création d'une Unité qui sera chargée d'enquêter sur les pratiques commerciales déloyales dans certains pays comme la Chine. Il y aura davantage d'inspections désormais"


Pendant ce temps, les Chinois viennent de nous frapper avec de nouveaux droits de douane . Selon le New York Times , une Jeep Grand Cherokee qui coûte 27 490 $ aux États-Unis va maintenant coûter environ $ 85.000 en Chine par le biais des nouvelles taxes chinoises.


Est ce qu'Obama va répliquer à la Chine en augmenttant nos propres traifs de douane en retour?
Bien sûr que non.


Pendant ce temps, notre économie continue à saigner et les entreprises eà disparaitre. Selon le professeur Alan Blinder de l'Université de Princeton, 40 millions de plus d'emplois américains pourraient être délocalisés à l'étranger au cours des deux prochaines décennies si les tendances actuelles se poursuivent.


Mais si vous écoutez à Obama, il nous ferait croire beaucoup de nos industries sont en meilleure forme que jamais ....


«Nous parions sur l'ingéniosité américaine, et l'industrie automobile américaine est de retour."


L'industrie automobile américaine n'est plus au bord de la faillite ? Considérerons les statistiques suivantes ....


* En 1970, General Motors avait environ un 60% de part du marché américain de l'automobile. Aujourd'hui, ce chiffre est tombé à environ 20% .


* Retour en 2000, environ 17 millions de voitures neuves ont été vendues aux États-Unis. En 2011, moins de 13 millions d'automobiles neuves ont été vendues aux États-Unis.


* Le Japon construit plus de voitures que n'importe qui d'autre sur le globe. Le Japon fabrique maintenant environ 5 millions d'automobiles de plus que les États-Unis.


* Depuis qu'Alan Mulally est devenu PDG de Ford, la société a réduit ses effectifs en Amérique du Nord de près de la moitié .


* En l'an 2000, l'industrie automobile américaine employait plus de 1,3 millions d'Américains. Aujourd'hui, l'industrie automobile américaine emploie environ 698 000 personnes.


Obama a renfloué l'industrie automobile, et ils ont remercié la maison blanche en envoyant encore plus de nos emplois à l'étranger.


                               T'en fait pas Michèle, je suis sympa : ça ira !


Malheureusement, les emplois sont toujours en train de quitter ce pays à un rythme ahurissant.


Retour en l'an 2000, plus de 20% de tous les emplois en Amérique étaient des emplois manufacturiers, contre 5 % en 2012.


Nos revenus sont également en forte baisse. Parce que les travailleurs américains doivent maintenant rivaliser avec les travailleurs aux salaires de misère de l'autre côté du globe.




L'administration Obama a été très généreuse avec les grandes entreprises. Avec sa population, pas tellement.


Selon le Bureau du travail des USA, 16,6 millions d'Américains étaient des travailleurs autonomes en 2006 Décembre. Aujourd'hui, ce nombre a diminué à 14,5 millions .


Ce n'est pas une bonne tendance, surtout pour la liberté.


Une enquête récente a révélé que 77% de toutes les petites entreprises américaines ne prévoient pas d'embaucher de travailleurs dans l'année à venir.
                                     Le rève américain...


Alors, évidemment, ce que l'administration Obama fait ne fonctionne pas du tout.


Lors de son discours, M. Obama a également parlé du développement de nos ressources énergétiques....


"Un avenir où nous sommes maîtres de notre propre énergie, et de notre sécurité et ou la prospérité n'est liée à des éléments instables de la planète."


Espérons que la plupart de ceux qui savent de quoi il retourne se sont mis à rire quand ils ont entendu cela, parce que ça sonne comme une bonne blague.


L'Amérique "baigne" dans le pétrole et le gaz naturel, et pourtant l'administration Obama a bloqué le développement de ces ressources.


Obama a bien essayé de pousser les entreprises promoteuses d'énergie verte à aller de l'avant, mais elles ont toute eu la fâcheuse habitude de faire faillite à chaque fois!


Bien sûr, la "lutte des classes" est la pièce maîtresse des nouveaux discours d'Obama.


Barack Obama va devoir fonder la totalité de sa campagne 2012 sur les frustrations économiques des pauvres et de la classe moyenne.
Blâmer les riches et le «parti des riches" (les républicains) va ètre son "dada".


Mais taxer les riches ne va pas résoudre nos problèmes. Si Bill Gates faisait don de toute sa fortune au gouvernement des États-Unis, cela ne ferait que couvrir le déficit budgétaire des États-Unis pendant environ 15 jours.


La vérité est que l'élites mondiale cache 18 000 milliards de dollars dans les banques offshore, et qu'ils sont des experts absolus dans l'esquive de l'impôt.


Ce que nous devons faire est de réformer profondement l'impôt sur le revenu, car il est profondément corrompu et plein de milliers de petites failles dans lesquelles s'engouffrent les contribuables.


Mais Obama semble penser que taxer les riches est la solution à tous nos problèmes ....


"Nous ne rechignons pas devant la réussite financière dans ce pays. Nous l'admirons. Quand les Américains parlent de payer la juste part d'impôts, ce n'est pas parce qu'ils envient les riches. C'est parce qu'ils comprennent que les allégements fiscaux sont un luxe que le pays ne peut plus se permettre, il ajoute soit du déficit, ou oblige quelqu'un d'autre a éponger la facture - comme une personne âgée menacée d'ètre expulsée de chez elle ou un étudiant qui ne peut plus payer ses études, une famille qui tente de joindre les deux bouts désespérément. Ce n'est pas juste. Les Américains savent que le succès de cette génération n'est possible que parce que les générations passées ont assumé une responsabilité les uns envers les autres, et pour l'avenir de leur pays. C'est comme ça que nous réduirons notre déficit. "


Si nous acceptons simplement le plan d'Obama, le problème de la dette sera réglée?


Cela a tellement bien fonctionné au cours de son premier mandat, que le gouvernement des États-Unis a accumulé plus de dettes qu'entre la période ou George Washington a pris ses fonctions jusqu'au moment ou Bill Clinton a été élu, c'est difficile à croire, mais c'est l'exact vérité.


Obama n'a pas l'intention de régler quoi que ce soit. Ses chiffres budgétaires sont ridiculement optimiste.








Alors oui, nous allons entendre le refrain de la «lutte des classes" pour le reste de l'année 2012.


Obama croit vraiment que «blâmer le 1%" peut amener les américains à le faire rempiler à la Maison-Blanche pour quatre nouvelles années.


Au lieu de tomber à nouveau dans le panneau, nous devrions nous concentrer sur les causes profondes de nos problèmes économiques.


Je serais ravi de voir un président américain se lever pendant un discours sur l'ètat de l'Union et déclarer que nous avons besoin d'arrêter le Système de la FED (banque centrale américaine) .


Depuis que la Réserve fédérale a été créée en 1913, le dollar américain a perdu plus de 95% de sa valeur.


Depuis la Réserve fédérale a été créée en 1913, la dette nationale américaine a été multiplié par 5000 !


Merci au système basé sur la dette émise par la Réserve fédérale, un schéma de ponzzi tel que le monde n'en a jamais vu. Bernie Madoff a coté c'est un aimable gamin, un simple garnement inoffensif.


À l'heure actuelle, le gouvernement fédéral vole 150 millions de dollars par heure aux générations futures.


Mais Barack Obama aime tellement la Réserve fédérale, qu'il a nommé Ben Bernanke pour un second mandat en tant que président, même si Bernanke est, de l'avis de tous, d'une incompétence légendaire.


Donc, non, personne ne devrait se réjouir de voir Barack Obama réélu.


C'est un homme sans un plan, et un désastre absolu pour l'Amérique.


Autre article sur la déception Obama :
  
Le mirage Obama :Les données trompeuses des chiffres du chômage aux Etats-Unis