jeudi 4 octobre 2012

Triangle Hollande Trierweiler Royal : Ségolène se lache

Ségolène et les ouvrages non autorisés sur le triangle Hollande/Royal/Trierweiler : enfin, la vérité est dite !


Ironie du sort ? Du hasard ? A l’heure où paraît la biographie autorisée de la compagne du président, Ségolène Royal confesse le plaisir — la satisfaction, tout du moins — qu’elle a eue à lire les ouvrages “ non autorisés ” publiés sur le “ triangle ” qu’elle forme avec le couple Hollande/Trierweiler. Ben oui… Comble du drôle : elle le fait dans… “ VSD ” — oui, encore ! “ Vous avez réagi positivement et même remercié les auteurs des ouvrages sur François, vous et Valérie Trierweiler. Les intrusions dans votre vie intime ne vous ont pas gênée ? ”, demande l’hebdo. —“ Quand des choses se retrouvent sur la place publique, à cause d’initiatives regrettables, c’est violent pour moi, pour mes enfants ; mais dans cette violence, si des choses vraies sont dites, autant en prendre acte de façon objective et positive. Si des journalistes font bien leur travail, à quelques imprécisions et erreurs factuelles près, je leur en donne acte. Ces mots, je n’aurais jamais pu les dire. Les faits, vous les connaissez maintenant. . Ah ben, ça alors, si on s’était attendu…

Ségolène a-t-elle organisé la rencontre ratée avec François à l’ONU ?


Habile, Ségolène, politique, toujours… manipulatrice, même, selon certains. Revenant sur l’épisode new-yorkais du 26 septembre, où l’on a vu François Hollande rebrousser chemin pour ne pas avoir à saluer son ex-compagne, “ Le Point ” affirme que le président, “ parce qu’il a immédiatement compris ce que (Ségolène) avait manigancé dans l’espoir de provoquer une rencontre devant les caméras, s’est senti piégé — exaspéré, aussi, par ces “ ségolèneries ” ”. Calculée… et ratée, la rencontre de Ségo et François à l’ONU ? “ VSD ” pose la question à la “ vice-présidente de l’Internationale socialiste ” : “ Un article du “ Monde ”, dit-il, laisse entendre que vous auriez calculé le lieu et l’endroit de votre point média pour rencontrer le président… ” —“ C’est complètement faux, répond-elle. Je n’ai pas organisé un rendez-vous médiatique qu’il aurait fui. C’est une insinuation malveillante. Ma réunion était à 9 h 30, je suis arrivée à 9 h 40 à cause des embouteillages. Les journalistes français étaient déjà là, et j’ignorais complètement que le président se trouvait dans le même bâtiment ”.

La version de Ségo sur ce qui s’est réellement passé à l’ONU


“ Pourtant, rebondit “ VSD ”, vous dites que vous vous téléphoniez régulièrement ”. —“ On s’est parlé avec François au téléphone, mais on ne savait pas que nous serions dans le même immeuble. A priori, on n’avait pas de raison de se croiser. Quand on a repéré qu’on était si près l’un de l’autre, j’ai immédiatement envoyé mon conseiller demander à François s’il voulait qu’on fasse convergence. On s’est dit : peut-être pas devant les caméras. Je suis entrée dans la salle pour ne pas créer un événement qui n’en est pas un non plus. Le bon sens aurait voulu qu’on se dise bonjour, mais vu les caméras, on s’est dit que ce n’était pas utile de donner l’impression d’une mise en scène, vous voyez ? Alors, on s’est retéléphoné et on s’est dit : “ On se voit, mais en dehors des caméras ”. Maintenant, il faut que les choses se normalisent. Dans mes fonctions politiques, je rencontre François. A président normal, relations normales, avec une responsable politique qui exerce normalement ses responsabilités. Avec n’importe quel leader du PS, nous nous serions serré la main tout naturellement ”. Mouais, ça paraît un peu emberlificoté tout ça, pas très clair, en tout cas… en même temps, pas très passionnant et surtout franchement, franchement pas essentiel au regard du reste, la France, l’Europe, la crise et… le budget 2013 — autant dire de tout ce qui importe vraiment.

Article complet : Valérie Trierweiler : le record de désamour | Atlantico

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