En Syrie, une attaque menéé par des déserteurs de l'armée syrienne a pris pour cible une base de la Force aérienne du renseignement, situé dans Haraste près de la capitale de Damas. Selon des militants locaux, l'attaque a été organisée par déserteurs de l'armée, rapporte la BBC. la base aérienne d'Haraste est un objectif militaire important, et la reconnaissance aérienne de la Syrie est l'un des organismes les plus influents au sein du gouvernement.
Les assaillants ont utilisé des lance-roquettes ainsi que des mitrailleuses. Selon une source, c'est l'attaque la plus techniquement au point depuis le début des manifestations de masse en Syrie en Mars 2011. Le gouvernement syrien limite strictement l'accès des journalistes étrangers à la scène de guerre. Pour cette raison, les données relatives aux décès et au nombre des blessés n'ont pas encore été précisés . L'attaque s'est produite dans une base militaire sur fond de conflit diplomatique entre la Syrie et la Ligue arabe.
La semaine dernière le Conseil de la Ligue arabe a décidé de suspendre l'adhésion de la Syrie au sein de son organisation en raison des violences que l'armée du régime de Bachar al-Assad commet contre son propre peuple. Cette décision a été considéré par les autorités syriennes comme "honteuse et malveillante." Comme mesures supplémentaires la ligue arabe se réserve le droit d'imposer des sanctions contre Damas, de nature économique et politique.
En Novembre prochain, 16 pays vont organiser une deuxième réunion de la Ligue arabe au Maroc afin de coordonner davantage leurs efforts contre la Syrie, dont les représentants ne prendront pas part à la réunion . Depuis Mars 2011. Les émeutes ne cessent pas en Syrie . Les manifestants ont commencé à défiler, puis des troubles de plus en plus violents ont éclatés dans le sillage des révolutions du "printemps arabe".
Les rebelles exigent la démission du président Bachar al-Assad ainsi que des réformes politiques. Le gouvernement a fait plusieurs concessions, mais le régime reprime toutes les manifestations non autorisées dans le sang.
mercredi 16 novembre 2011
Négociations PS EELV : Un accord minimal qui séme la discorde. Aubry et Duflot ont négocié par dessus Eva Joly et François Hollande
Un accord minimal qui séme la discorde. Le nucléaire n'était qu'un sujet "en trompe l'oeil", de l'accord entre PS et verts.
les places de députés promisent à EELV pour 2012 était également au coeur des tractations.
Bertrand Delanoë et Anne Hidalgo sont les "victimes" de cet arrangement: Cécile Duflot aura le soutient du PS afin d'ètre député à Paris.
C'est au bout du compte Martine Aubry et Cécile Duflot qui auront été à la manoeuvre, le Bureau National du PS a ratifié l'accord mais l'ambiance aura été houleuse.
Gérard Collomb proteste
Le maire de Lyon, Bertrand Delanoë ainsi qu'Anne Hidalgo, se sont opposé à l'accord. Car pour les maires de Paris et Lyon, cela entraine des places pré-allouées à EELV chez eux. A Paris, Cécile Duflot a confirmé publiquement son parachutage dans la ville de Paris, dans une zone électorale taillée exprès pour elle et ne principe devant revenir à une femme au nom de la parité. sauf que une femme du parti socialiste occupe déja le poste, bien qu'èlue, elle devra s'effacer : drole de la parité !
Quant à Bertrand Delanoë fermement opposé à ce mic-mac électoral préserve les chances d'Anne Hidalgo en 2014, il se méfie donc de la candidature de Cécile Duflot à la mairie de Paris .
Martine Aubry est bien la seule à croire à ce qu'elle nomme "un accord de conviction, politique et sociétal". Quant à l’EPR de Flamanville sujet qui fachait depuis une semaine, il a été décidé de ne rien décider. chacun campant sur sa ligne idéologique. Afin de siéger dans l'Assemblée Nationale en 2012, les cadres d'EELV ont du transiger et avaler la couleuvre que constitue le projet de l’aéroport de Notre-Dame des Landes. François Hollande, s’il gagne en 2012, devra décider lui même, et sachant que le projet est le "bébé" de Jean-Marc Ayrault on devine vers qui penchera l'arbitrage "hollandais".
Le nucléaire, est un sujet qui regarde l'Elysée.
Martine Aubry, précise que des centrales nouvelle génération valent mieux que des réacteurs usés, et que le sujetsera définitivement tranché après les élections.
François Hollande s'oppose au démantelement de Flamanville, mais suggère de baisser la part du nucléaire dans la production énergétique à 50% d’ici 2025. Cela entraine quand même la mise hors service de presque 25 réacteurs, et leur remplacement par l'éolien et le solaire. Le prix à payer pour ces fermetures déchaine déja les passions.
AREVA : l'intransigeance de Hollande, c'est nous !
Comme si les discordes n'étaient pas assez fortes, c'est maintenant AREVA qui affirme ètre intervenu pour qu'Hollande tienne bon face aux revendications d'EELV. Mieux ! le PS aurait effacé un paragraphe de l'accord qui concerne l'activite de retraitement des déchets nucléaire, filière dans laquelle la France est première au monde nottement grace au combustible "MOX".
il n'en fallait pas plus pour que Benoit Hamon, proche de Martine Aubry réagisse dans la presse.
Il parle non pas de déaccord, mais de "différence d'interprétation" comprenne qui pourra.
François Hollande aura réussi ce qu'il produit le mieux sur la scène politique, une synthèse non seulement molle mais aussi bancale. Mais n'est pas le propre de cet objet infantile apellé "culbuto" de ne jamais etre stable tout en refusant contamment de chuter même en cas de fort tangage ?
les places de députés promisent à EELV pour 2012 était également au coeur des tractations.
Bertrand Delanoë et Anne Hidalgo sont les "victimes" de cet arrangement: Cécile Duflot aura le soutient du PS afin d'ètre député à Paris.
C'est au bout du compte Martine Aubry et Cécile Duflot qui auront été à la manoeuvre, le Bureau National du PS a ratifié l'accord mais l'ambiance aura été houleuse.
Gérard Collomb proteste
Le maire de Lyon, Bertrand Delanoë ainsi qu'Anne Hidalgo, se sont opposé à l'accord. Car pour les maires de Paris et Lyon, cela entraine des places pré-allouées à EELV chez eux. A Paris, Cécile Duflot a confirmé publiquement son parachutage dans la ville de Paris, dans une zone électorale taillée exprès pour elle et ne principe devant revenir à une femme au nom de la parité. sauf que une femme du parti socialiste occupe déja le poste, bien qu'èlue, elle devra s'effacer : drole de la parité !
Quant à Bertrand Delanoë fermement opposé à ce mic-mac électoral préserve les chances d'Anne Hidalgo en 2014, il se méfie donc de la candidature de Cécile Duflot à la mairie de Paris .
Martine Aubry est bien la seule à croire à ce qu'elle nomme "un accord de conviction, politique et sociétal". Quant à l’EPR de Flamanville sujet qui fachait depuis une semaine, il a été décidé de ne rien décider. chacun campant sur sa ligne idéologique. Afin de siéger dans l'Assemblée Nationale en 2012, les cadres d'EELV ont du transiger et avaler la couleuvre que constitue le projet de l’aéroport de Notre-Dame des Landes. François Hollande, s’il gagne en 2012, devra décider lui même, et sachant que le projet est le "bébé" de Jean-Marc Ayrault on devine vers qui penchera l'arbitrage "hollandais".
Le nucléaire, est un sujet qui regarde l'Elysée.
Martine Aubry, précise que des centrales nouvelle génération valent mieux que des réacteurs usés, et que le sujetsera définitivement tranché après les élections.
François Hollande s'oppose au démantelement de Flamanville, mais suggère de baisser la part du nucléaire dans la production énergétique à 50% d’ici 2025. Cela entraine quand même la mise hors service de presque 25 réacteurs, et leur remplacement par l'éolien et le solaire. Le prix à payer pour ces fermetures déchaine déja les passions.
AREVA : l'intransigeance de Hollande, c'est nous !
Comme si les discordes n'étaient pas assez fortes, c'est maintenant AREVA qui affirme ètre intervenu pour qu'Hollande tienne bon face aux revendications d'EELV. Mieux ! le PS aurait effacé un paragraphe de l'accord qui concerne l'activite de retraitement des déchets nucléaire, filière dans laquelle la France est première au monde nottement grace au combustible "MOX".
il n'en fallait pas plus pour que Benoit Hamon, proche de Martine Aubry réagisse dans la presse.
Il parle non pas de déaccord, mais de "différence d'interprétation" comprenne qui pourra.
François Hollande aura réussi ce qu'il produit le mieux sur la scène politique, une synthèse non seulement molle mais aussi bancale. Mais n'est pas le propre de cet objet infantile apellé "culbuto" de ne jamais etre stable tout en refusant contamment de chuter même en cas de fort tangage ?
Crise Euro dette Incapable de trouver des investisseurs, le FESF achète sa propre dette.
Europe le FESF (Fond Européren de stabilité Financière) a été obligé d'acheter sa propre dette parce que les investisseurs sont effrayés par la crise de la dette en zone Euro et l'aggravation des dettes souveraines.
Le Fonds européen de stabilité financière (FESF) la semaine dernière a annoncé qu'il avait réussi une levée de fonds de 3 milliards d'€ à 10 ans.
Toutefois, cet objectif a été atteint qu'après que le FESF ait eu recours à l'achat de plusieurs centaines de millions d'euros du dit "emprunt".
Selon certaines sources, le FESF n'a pu trouver sur les marchés 2,7 milliard € et a du compléter lui même pour atteindre les 3 milliards attendus.
Ceci est considéré comme un échec majeur et un signe inquiétant du moral des futurs acheteurs après que les responsables du FESF et leurs banquiers avaient passé ces dernières semaines à parcourir le monde pour tenter de persuader les investisseurs clés, la Chine ainsi que le gouvernement japonais, d'acheter ses obligations .
L'argent chinois et japonais a été crucial pour les premières souscriptions de l'année dernière effectués par le FESF, mais la Chine a été depuis consternée par l'échec de la zone euro à résoudre la crise de la dette européenne De plus beaucoup d'investissuers potentiels se sont alarmé que le fonds se soit transformé en centre de sauvetage pour les banques européennes avec un potentiel de 1000 milliards d'effet de levier.
Les craintes de contagion en zone euro s'étendent maintenant à l'Espagne.
L'échec du FESF va augmenter la pression sur la BCE (Banque Centrale Européenne) devenu dorenavant l'ultime prêteur en dernier ressort de la zone euro, une évolution contre laquelle elle a fortement résisté, mais en vain.
Si la BCE n'était pas intervenue, l'Euro n'existerai déja plus. Or, c'est maintenant la BCE elle même qui est menacée de faillite !
"La prochaine étape est de savoir comment empêcher que cela se reproduise ?" se demande les responsables financiers public et privé en zone Euro.
La poursuite de cette solution de financement efficace à cour terme crée de plus en plus de malaise parmi les membres de l'UE hors zone Euro qui sont devenus préoccupés par leur exposition croissante au FESF.
"L'avion Euro est enflamme et au lieu d'essayer de redresser le manche, les passagers de la zone Euro essayent désespérément de trouver un parachute sous leur siège" à annoncé un économiste sur France 2.