Chers amis ! Le sujet de mon intervention est la situation dans le Donbass et l'évolution de l'opération militaire spéciale visant à le libérer du régime néonazi qui a pris le pouvoir en Ukraine en 2014 à la suite d'un coup d'État armé. Je m'adresse à vous aujourd'hui, à tous les citoyens de notre pays, aux personnes de différentes générations, âges et nationalités, au peuple de notre grande Patrie, à tous ceux qui sont unis par la grande Russie historique, aux soldats et aux officiers, aux volontaires qui combattent actuellement sur les lignes de front, qui sont en service de combat, à nos frères et sœurs - aux habitants des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, des régions de Kherson et de Zaporijia et d'autres régions libérées du régime néonazi.
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jeudi 22 septembre 2022
Gilles-Emmanuel Jacquet – Aux origines de la crise ukrainienne
La présentation de l'intervenant : Gilles-Emmanuel Jacquet, chargé de cours dans des universités privées à Genève et à l'étranger, est analyste au GIPRI, l'Institut international de la recherche pour la paix à Genève et, depuis de nombreuses années, il étudie les conflits oubliés et leurs origines, afin de proposer une vision critique du « narratif » vendu par l'Occident à travers les médias mainstream ou d'autres canaux. - Septembre / Défense, Géopolitique, Histoire, Vu de Russie
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Destruction de l’hôpital public : « Je suis restée 24 heures sur le même brancard à l’hôpital, sans rien manger »
Le traitement des malades dans les hôpitaux publics, plus précisément dans les services d’urgences, et de plus en plus dangereux car met en danger leurs vies. Il y a eu déjà de nombreux morts depuis cette période estivale récente et ce témoignage effrayant d’une patiente de 98 ans qui a passé 24 heures sans rien manger ne fait que confirmer à quel point la situation est grave. Malgré cette situation catastrophique le gouvernement maintient la suspension du personnel soignant non injecté, ce qui démontre à quel point les décideurs sont des pervers et que les décisions qu’ils prennent n’ont strictement rien à voir avec la santé publique.
Âgée de 98 ans, la résistante Madeleine Riffaud a dû se rendre à l’hôpital Lariboisière à Paris pour un examen d’urgence. Elle y a passé vingt-quatre heures, avant d’être transférée dans une clinique privée.
Elle a envoyé à La Croix, qui lui avait ouvert ses colonnes pour une conversation dans La Croix L’Hebdo l’an dernier, ce texte relatant son expérience de « l’état lamentable du secteur de la santé ».
Début septembre, j’ai dû me rendre aux urgences pour un examen important dû à un Covid long, variant Omicron. Le Samu m’a emmenée à l’hôpital Lariboisière, à midi et demi, le dimanche 4 septembre pour examens.
Je me suis retrouvée couchée au milieu de malades qui hurlaient de douleur, de rage, d’abandon, que sais-je. Et les infirmières couraient là-dedans, débordées… Elles distribuaient des « j’arrive ! » et des « ça marche ! ». « J’arrive, j’arrive ! » Mais personne n’arrivait. Jamais.
Moi-même, j’ai mis douze heures pour obtenir la moitié d’un verre d’une eau douteuse. Tiède. Je suis restée vingt-quatre heures sur le même brancard, sans rien manger, dans un no man’s land. C’était Kafka.
La foire aux malades
Rendez-vous compte : je suis aveugle. Je sentais parfois qu’on emportait mon brancard, que je traversais une cour, peut-être ? Il faisait plus froid, c’est tout ce que je peux dire. Et puis on m’a laissée là, sans aucune affaire, sans moyen de communication avec mes proches (qu’on ne prévenait d’ailleurs pas de l’évolution de la situation). Étais-je dans un couloir ? Dans une salle commune ? Au bout d’un moment, j’ai vraiment cru que je devenais folle. Ah, si j’avais eu un appareil photo comme quand j’étais reporter de guerre… Si j’avais pu voir ce que j’entendais…
Dès l’arrivée à l’hôpital, mon ambulance est passée devant des gens d’une absolue pauvreté, qui se plaignaient à grands cris d’avoir été refoulés.
Drogue ?
Misère sociale ?
Ceux-là n’ont même pas été admis dans « le service-porte », la foire aux malades, l’antichambre de l’hôpital par où l’on accède aux urgences. Les infirmières, qui n’ont déjà pas assez de temps à consacrer aux malades admis entre les murs, les voient forcément quand elles vont prendre leur service. Nul doute que leur vocation est réduite en charpie depuis longtemps…
Madeleine Riffaud, Résistante, écrivaine
Tribune
19 septembre 2022
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Le télescope James Webb dévoile des images spectaculaires des anneaux de Neptune
Le télescope spatial James Webb a livré des images inédites de la planète Neptune et de ses anneaux, qui fournissent des indications précieuses sur son atmosphère, a annoncé la Nasa mercredi. Les astronomes n'avaient pas eu de vue aussi nette de la planète...
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Leur propagande vient de loin, et nous le savons
Exploitant les moindres recoins de l'espace habité, le colonialisme européen a longtemps plié la majorité de l'humanité aux exigences de conquérants sans scrupules qui ont arrosé d'eau bénite leurs violences et leurs rapines. Ces empires coloniaux comme entités historiques ont fini par s'effondrer, mais le colonialisme comme système leur a survécu.
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