Les naïfs et les ignorants pensent que les traînées que l’on voit dans le ciel sont celles des avions de lignes commerciales. Comment est-il possible du coup de réaliser un tel tracé qui veut clairement recouvrir le maximum de surface terrestre comme le démontre la vidéo ci-dessous, prise en Espagne selon le compte Twitter. Rappeler que les lignes commerciales ont des horaires stables, sont parfaitement droites allant d’un aéroport A un aéroport B, volant toujours à la même altitude ; ce n’est pas le cas ici, il s’agit d’un épandage.
Ce sont clairement des traînées chimiques de produits inconnus qui rentrent dans le cadre d’une volonté de manipuler le climat via la géoingénierie.
Chemtrails Espagne : c’est vrai que les avions de ligne ils volent en zigzag…
Le pire c’est que c’est au dessus de champs agricoles et ce n’est pas pour tuer les moustiques !!!!pic.twitter.com/UD3aUmkm2H
— 974Rebelion (18) (@JohnWick97440) June 17, 2022
http://dlvr.it/SSVwzy
lundi 20 juin 2022
Selon une récente étude, l’injection du Comirnaty de Pfizer altère la concentration de sperme !
Nous savons déjà que les injections hasardeuses d’ARN messager ont détruit les cycles menstruels d’un nombre très important de jeunes femmes dont certaines n’ont plus leurs règles depuis des mois ! Nous apprenons via cette étude que la production quantitative et la qualité des spermatozoïdes chez la gente masculine est également altérée. Un esprit un peu mal tourné, un paranoïaque, voire un complotiste, pourrait penser qu’il s’agit ici d’un acte volontaire contre la fertilité…
Une comparaison multicentrique longitudinale rétrospective révèle une réduction temporaire de la concentration de spermatozoïdes 3 mois après la vaccination par le BNT162b2 et une récupération ultérieure. Le volume et la motilité du sperme restent stables.
Cet article a été accepté pour publication et a fait l’objet d’un examen complet par les pairs, mais n’a pas été soumis au processus de révision, de composition, de pagination et de relecture, ce qui peut entraîner des différences entre cette version et la version d’enregistrement. Veuillez citer cet article comme…
http://dlvr.it/SSVwNn
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Pauvreté + propagation des maladies + dégradation de l’hygiène = recul de l’espérance de vie
Par Khider Mesloub.
Au rythme de la dégradation des conditions de vie relevée en Grande-Bretagne, sixième économie mondiale, les Anglais finiront par socialement s’« algérianiser ». Avec le recul alarmant des conditions de vie des pans entiers de la population anglaise, à l’évidence la grande puissance économique anglaise rejoint doucement, mais sûrement, la petite nation algérienne en matière d’existence sociale marquée par le sous-développement. Sans conteste, l’Angleterre arrime son régime économique à celui de l’Algérie, reconnue mondialement pour son infrastructure productive industrielle désertique, son modèle social atrophique et son système de santé anémique.
Cet alignement économique régressif, impulsé dans une conjoncture de crise systémique du capitalisme, pourrait être défini comme un nivellement social mondial par le bas. C’est le développement dans le sous-développement. Le progrès dans la régression économique. La marche en avant politique vers la marche-arrière sociale. Le retour aux sources du capitalisme primitif, à l’époque préindustrielle, à l’âge archéologique du capital, l’âge préhistorique du monde bourgeois caractérisé par la dépossession totale du prolétariat réduit à l’esclavage salarié, sans statut professionnel ni couverture sociale, livré à la jungle capitaliste, voué à périr dans la force de l’âge à force d’exploitation, de répression, d’oppression et de paupérisation absolue, sur fond d’une longévité raccourcie et une physionomie rabougrie, autrement dit une vie abrégée et un corps ravagé par le paupérisme. L’ironie de l’histoire, c’est que les idéologues nous promettaient que les pays du Tiers-Monde allaient rattraper l’Occident. Or c’est l’Occident qui est en train de déraper vers le Tiers-Monde.
Selon les récentes informations, dans l’Angleterre du XXIème siècle l’espérance de vie recule. En effet, dans une grande majorité de régions du Royaume-Uni, pour la première fois depuis un siècle, l’espérance de vie baisse. Elle baisse au rythme de l’augmentation vertigineuse de la pauvreté. Et la pauvreté progresse à la vitesse de la diminution des budgets sociaux. En Angleterre, pays où l’austérité a fait reculer l’espérance de vie et accéléré l’exclusion sociale, on désigne ce phénomène sous le nom de « shit life syndrom », littéralement « le syndrome d’une vie de merde » (syndrome connu depuis longtemps des Algériens pour qui existence, à l’ère du libéralisme débridé et des libertés bridées, rime avec désespérance, problématique sociale devenue la thématique essentielle de nombreux chanteurs qui se font musicalement l’écho de la détresse psychologique algérienne).
À l’instar de nombreuses villes anglaises, Hartlepool, en proie à la chute de l’espérance de vie, est une ville très pauvre. La majorité des entreprises de cette ville sont mortes en pleine maturité et puissance économique, trépassées en vertu des douces et généreuses lois du capitalisme sénile. En effet, les chantiers navals, les mines, les usines chimiques, les aciéries de Hartlepool sont décédées de leur belle mort capitaliste. Toutes ces entreprises ont fermé depuis bien longtemps le couvercle du cercueil sur leur existence productive prématurément abrégée, économiquement saccagée par l’impitoyable faucheuse capitaliste, cette entité belliqueuse de destruction massive.
Aujourd’hui, à la mort des entreprises en pleine santé économique vient s’ajouter le décès des habitants emportés en pleine jeunesse. Effectivement, depuis quelques années, un nouveau phénomène est venu se greffer sur le corps social meurtri des Anglais : les gens meurent plus jeunes. Pour la première fois depuis un siècle, au Royaume de la première puissance économique de l’histoire du capitalisme, l’espérance de vie diminue.
Si dans quelques grandes villes prestigieuses du Royaume-Uni l’espérance de vie se maintient timidement encore, la tendance s’est inversée dans des dizaines de régions paupérisées. « Dans le quartier, si vous atteignez 60 ans, c’est déjà pas mal. », déclarait un dirigeant d’une association caritative installée dans l’un des quartiers les plus pauvres de Hartlepool. Selon les données démographiques, les habitants de certaines communautés du nord de l’Angleterre ont une espérance de vie inférieure à 27 ans par rapport aux résidents de Londres et des comtés bourgeois limitrophes. Ces écarts de longévité reflètent les écarts de revenus, donc de niveau de vie. L’austérité économique et le manque d’investissement dans le système de santé sont responsables de cette dégradation des conditions de vie des classes populaires, donc de la chute de leur longévité.
« Ici, pendant les vacances scolaires, beaucoup d’enfants qui bénéficient de repas à la cantine gratuits ne sont pas vraiment nourris le midi. Souvent, leur seul vrai repas est un take-away le soir venant du kebab du coin. », ajoutait le dirigeant de l’association caritative. La malnutrition mène souvent à l’obésité, ouvrant un cycle vicieux de problèmes de santé. Faute de pouvoir s’offrir une nourriture saine car trop onéreuse, la majorité des Anglais pauvres s’alimente avec des produits de mauvaise qualité, responsable de leurs problèmes de santé. On voit ces problèmes de santé se traduire dans les statistiques. Les causes directes de la baisse de l’espérance de vie sont les cancers, les maladies cardiovasculaires et respiratoires (ces « pathologies covidales » structurelles engendrées par le capitalisme mortifère, pour lesquelles aucun plan ORSEC n’a jamais été déclenché pour les enrayer comme ce fut le cas avec le banal virus grippal – Covid-19 – politiquement instrumentalisé par les gouvernants).
Mais derrière cela se trouve le mode de vie : l’alcool, la cigarette, l’obésité. L’espérance de vie saine (sans maladie chronique) n’est que de 55 ans pour les femmes, à peine plus chez les hommes. Autrement dit, autant que dans les pays du Tiers-Monde. C’est la tiers-mondialisation du Royaume-Uni.
La vie écourte son séjour en Occident
À l’image de beaucoup de villes européennes frappées de plein fouet par la crise économique et la baisse de l’espérance de vie, Hartlepool héberge un nombre élevé de personnes affligées de multiples handicaps. « Regardez au centre-ville, on voit partout des fauteuils roulants, des gens avec des béquilles, des handicapés mentaux. », indiquait un responsable de la mairie de Hartlepool. Au pays de l’anachronique monarchie où règne l’anarchie capitaliste chronique, les gens sont de plus en plus désocialisés, défilialisés, médicalisés, psychiatrisés, « cimetièrisés » (étant devenus des cadavres ambulants, des spectres hideux, menant une vie d’outre-tombe).
Et le directeur de la santé publique de la mairie de Hartlepool, une ville du nord-est de l’Angleterre, de préciser : « C’est vrai : ces gens sont malades parce qu’ils ont une vie de merde, qui va en empirant. Ils n’ont pas d’emploi, pas d’espoir, et trouvent consolation en allant boire des bières, fumer des cigarettes, et ils s’abîment la santé. »
De manière générale, la chute de l’espérance de vie s’explique par la conjonction de la pauvreté, du problème d’accès aux soins, du mode de vie, des logements insalubres, etc. À la faveur de la pandémie de Covid-19, la baisse de l’espérance de vie s’est encore accentuée. Au demeurant, avec la crise sanitaire et économique, les coupes budgétaires se sont traduites par la fermeture de certains services d’urgence des hôpitaux. Résultat : la liste d’attente pour voir un médecin s’est considérablement allongée ; l’attente peut atteindre des semaines, voire des mois. De même, les budgets des villes ont considérablement baissé ces dernières années. Résultat : les aides sociales ont été amputées.
Conséquences directes de la baisse drastique des budgets sociaux : la multiplication des maladies et la dégradation de l’état hygiénique.
Partout, le visage profondément ridé et les dents abîmées illustre cette vie difficile des Anglais. Phénomène, aujourd’hui, très répandu en Europe démocratique et moderne où des millions de personnes survivent par le recours aux banques alimentaires, où le nombre de travailleurs pauvres ne cesse de croître. Par ailleurs, la population la plus touchée et la plus fragile est celle des personnes âgées qui ne peuvent souvent pas se payer une alimentation correcte, du fait de la flambée des prix, de la diminution de leurs pensions. Alcoolisme, consommation compulsive de psychotropes, suicides causés par l’isolement social et la marginalisation économique : les seniors décèdent de plus en plus prématurément en Europe. Et ce phénomène de paupérisation va continuer en s’amplifiant. Tout comme son corollaire : la baisse de l’espérance de vie.
Outre Atlantique, aux Etats-Unis, première puissance mondiale, on observe le même phénomène d’érosion de l’espérance de vie. Selon les informations, dans certaines régions de l’Amérique l’espérance de vie est plus basse qu’au Bangladesh et au Vietnam. Aux Etats-Unis, pays le plus riche du monde, avec les plus hauts revenus par habitants, une part importante de la population vit dans des conditions sociales déplorables, au point d’entraîner une baisse importante de son espérance de vie. La première puissance économique mondiale détient le record de la pauvreté. Près de 45 millions de personnes sont considérées comme « pauvres ». D’après les sources officielles internationales, parmi les 40 pays de l’OCDE, les Etats-Unis arrivent en quatrième position pour le taux de pauvreté avec 18% des Américains dont le revenu est inférieur au seuil de pauvreté.
En outre, en Occident, en particulier aux Etats-Unis et en Europe, on assiste à l’augmentation des mères célibataires. À l’expansion vertigineuse de la consommation de la drogue. «La drogue est vraiment difficile à éviter dans le quartier. A tous les coins de rue, on voit des dealers. Skunk, une forme dure de marijuana, héroïne, cocaïne, tranquillisants, toute la pharmacopée est disponible. Avant, il y avait trois ou quatre groupes de soutien pour les problèmes de drogue. Aujourd’hui, il n’en reste qu’un seul.», indiquait un responsable associatif.
Ainsi, depuis quelques années, dans un monde marqué par l’accélération du temps et l’obsolescence programmée, on vieillit beaucoup plus vite en Occident affligé de sénescence. On meurt trop jeune en Occident gangrené par la détresse psychologique. Comme si la vie, outrée par la déliquescence morale des habitants de la terre et scandalisée par la pénurie d’humanité au sein de ce monde mercantile et marchand était pressée de s’en aller de cet enfer terrestre capitaliste pour trouver un meilleur refuge au Ciel parmi les anciens trépassés, auprès desquels elle est assurée de s’approvisionner en vitalité et en bonté, de côtoyer des hommes et des femmes authentiquement humains, nobles et vertueux, dotés d’une longévité morale éternelle, d’une sociabilité immortelle, d’une sensibilité impérissable.
Khider MESLOUB
http://dlvr.it/SSVvyY
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Simple comme l’eau chaude
Au moment où chacun s’ingénie à trouver des solutions dangereuses pour remplacer le pétrole, d’autres en Islande se servent tout simplement de l’eau chaude du sous-sol.
Mais ce que l’on ne sait pas, c’est qu’en France nous avons des nappes d’eau chaude à 70° en moyenne dans quasiment chaque région, et que manifestement, cela n’interesse pas grand monde.
La nappe du Dogger, située sous la région parisienne, est étendue sur 15 000 km2, et sert depuis 1964 à chauffer la Maison de la Radio à Paris, et assure le fonctionnement de 34 stations géothermales, dont 1310 logements HLM à Chateauroux. Cette nappe commence du coté d’Angers, passe à Paris, et finit à Metz. Sa température va de 56 à 85°.
Sur les 70 exploitations géothermiques créées en France, il en reste une soixantaine seulement en activité, dont 41 dans la région parisienne, et 15 en Aquitaine.
Elles assurent pourtant le chauffage de 150 000 appartements, et permettent une économie de 130 000 tonnes de pétrole par an, tout en évitant d’envoyer dans l’athmosphère 400 000 tonnes de CO2 tous les ans, contribuant ainsi à lutter contre le réchauffement de la planète.
Mais il y aurait beaucoup mieux à faire : les nappes d’eau chaude ne manquent pas : dans le Sud-Ouest, dans la région de Toulouse, près de Bordeaux, dans les Bouches-du-Rhône, entre Lille et Amiens, dans le Massif Central, près de Lyon : dans les Dombes, en Alsace entre Strasbourg et Mulhouse, du côté de Valence, et en Corse, sans oublier la nappe du Dogger qui va quasiment d’Angers à Metz.
Notre pays est pour ainsi dire situé sur une énorme nappe d’eau chaude, à part peut-être la Bretagne. Il suffit de consulter le site de l’ADEME pour s’en assurer.
http://www.notre-planete.info/actualité
Les premières traces de l’utilisation de la géothermie par l’homme remontent à près de 20 000 ans.
Pour la petite histoire, dès 1330, nous avons des écrits faisant mention d’un réseau d’eau géothermale pour quelques maisons à Chaude-Aigues, dans le Cantal, réseau sur lequel le seigneur local prélevait, évidemment, une taxe !
Cette géothermie appelée « à basse énergie » est d’une telle simplicité d’accès qu’on est en droit de se demander pourquoi aucun gouvernement, aucun ministre de l’environnement, ne se décide à l’encourager.
Cela pourrait représenter au moins 30 millions de tonnes équivalent pétrole, soit plus du dixième de nos besoins énergétiques.
Le principe est pourtant assez simple : on creuse deux puits, l’un pour extraire l’eau chaude, et l’autre pour renvoyer l’eau devenue tiède.
Il y a parfois des problèmes de corrosion à élucider, dus à la salinité de l’eau, mais souvent, chez nous, on préfère fermer le captage, plutôt que de prendre exemple sur ceux qui font ça très bien depuis des années. L’Islande, par exemple, qui est l’Etat le moins pollué de la planète entend être bientôt le premier pays du monde à se passer complètement du pétrole.
La géothermie permet de chauffer 85 % des maisons islandaises, de chauffer des piscines, des hectares de serres où sont produits les fruits et légumes qui approvisionnent les marchés islandais (ils produisent même des bananes). Depuis quelques années, ce sont même les trottoirs et les rues de Reykjavik qui sont chauffés par la géothermie.
Mais nous en France, nous allons tenir des tables rondes au mois d’octobre prochain pour palabrer sur l’environnement, le sexe des anges, et la protection des petits oiseaux à l’endroit même où fut creusé le premier puits géothermique, c’est-à-dire à Grenelle, à 546 mètres de profondeur.
C’était en 1841, il y a 181 ans.
http://dlvr.it/SSVvMr
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