lundi 25 avril 2022

Les choix de vote, ce devrait être comme les préférences sexuelles

Devons-nous nous entre-déchirer pour des bulletins de papier ? Bien entendu, il est sain de se « battre » intellectuellement pour ses idées politiques et l'on peut aisément convenir que certaines d'entre elles sont une abomination. Mais le choix de voter, pour X, Y, blanc, ou de ne pas voter du tout ne devrait pas déclencher de flame wars. Isoloirs - Frédérique Voisin-Demery - CC Les réseaux sociaux sont truffés d'anathèmes. Comment osent-ils voter blanc ? S'abstenir c'est voter Marine Le Pen... La bataille fait rage à l'approche du deuxième tour. Revoici les flame wars des débuts du Net. Lutter pour des idées politiques rejoint souvent une lutte philosophique. On se bat pour faire triompher plus d'humanisme, plus de partage, plus d'empathie, de libertés individuelles. D'autres se battent pour plus de « liberté d'entreprendre », et moins d'État dans la vie de la nation... Et puis il y a les combats pour des idées rances. Des combats pour faire triompher la haine et la violence, le rejet des « autres » êtres humains. Ces idées sont une abomination. Elles ont partout, tout au long des siècles, retiré aux êtres humains ce qui fait leur humanité. Ceux qui se fourvoient dans les pas des politiques faisant la promotion de ces idées s'enfoncent dans la haine. Nous avions publié les mails adressés au Front National pendant l'entre-deux tours en 2002. C'était très clair. Un peuple qui a de telles idées peut rapidement verser dans l'horreur. L'Histoire devrait être un outil pour nous améliorer, pas nous pousser à revivre l'abomination. Lutter contre un vote ou un autre devrait cependant pouvoir se faire par l'échange apaisé. C'est dans le débat que l'on peut convaincre, pas dans l'anathème. Les réseaux sociaux sont actuellement le théâtre d'échanges très violents sur les choix...
http://dlvr.it/SPByZx

dimanche 24 avril 2022

Jared Kushner, Donald Trump, Arabie Saoudite et Israël = gouvernance mondiale

Jared Kushner, gendre et conseiller spécial de Donald Trump, a obtenu 2 milliards de dollars du prince Mohammed Ben Salmane, au commande de la dynastie saoudienne. Le mari d'Ivanka Trump a acquis cette somme astronomique via sa société de capital-investissement "Affinity Partners" à peine quelques mois après la fin de la présidence de son beau-père. Jared Kushner est un juif orthodoxe qui est le principal contributeur aux accords d'Abraham, soit des accords de normalisation avec des pays musulmans autrefois farouches à Israël. Kusher est aussi impliqué dans le déménagement de l'ambassade américaine à Jérusalem (capital du nouvel ordre mondial). Jared Kushner, via sa société Affinity Partners, espère créer "un couloir d'investissement" entre Israël et l'Arabie saoudite, en travaillant avec des entreprises et des investisseurs israéliens et du Golfe. Je rappelle ici que le prince Mohammed Ben Salmane d'Arabie Saoudite est le créateur et financier de la mégalopole du futur (même superficie que Paris) nommée "Neom", qui doit voir son aboutissement en 2025. Il s'agit en fait d'une gigantesque construction dans le désert, soit une "ville du futur". Ce projet se veut être la concrétisation de la vision de la 4ème révolution industrielle de Klaus Schwab: "smart cities", technologies de surveillance totale, biotechnologies (transhumanisme), remplacement de la main-d'oeuvre par les robots et l'intelligence artificielle, énergies renouvelables, promoteur d'une religion mondiale...  C'est en fait une réplique du film "Bienvenue à Gattaca"! L'Arabie Saoudite prend part à une guerre (illégale selon l'ONU) au Yémen depuis quelques années, qui a fait des centaines de milliers de morts et qui continue de compiler les morts par la guerre et la famine. Une des populations parmi les plus massacrées et éprouvées dans le monde.   Qui se scandalise de ce drame perpétuel? Personne. Le pivot de la gouvernance mondiale passe par Israël, les accords de normalisation et NEOM...  Donc, Donald Trump est utilisé comme "agent facilitateur" de ce projet d'un gouvernement mondial. https://youtu.be/5qYmcXW674c
http://dlvr.it/SP9FcG

7 obédiences maçonniques appellent à voter macron

Cet appelle a été réalisé aussi en 2017, il est renouvelé en 2022 malgré le bilan désastreux de macron, ce qui démontre que ces obédiences maçonniques n’ont aucune morale ni conscience citoyenne. C’est de surcroit un parjure à l’engagement maçonnique de ne jamais s’occuper de politique interne ! Qui se ressemble s’assemble… Communiqué interobédientiel du 13 avril 2022 – Présidentielles : 7 obédiences maçonniques appellent à la mobilisation républicaine Date parution : 13/04/2022 La prochaine échéance électorale constituera un enjeu majeur pour notre pays. Des menaces inquiétantes pèsent sur notre société, attisant le racisme, le rejet et la haine de l’autre, les pulsions identitaires. Exercer son droit de vote, son devoir de citoyen est plus que jamais essentiel afin de préserver notre démocratie. Chaque élection voit l’érosion de la participation des citoyens aux différents scrutins. Si l’abstention grandissante doit conduire les responsables politiques et gouvernementaux à s’interroger sur leur responsabilité à l’égard du peuple, pour les Obédiences Maçonniques françaises, il est primordial que les citoyennes et les citoyens se saisissent de cette échéance pour affirmer le principe démocratique du suffrage universel. Sans préjuger des raisons ou de justifications à l’abstention, les Obédiences Maçonniques françaises signataires appellent chacun et chacune à exercer son pouvoir au travers du vote. S’il n’appartient pas à ces dernières de s’immiscer dans les choix individuels des Citoyens, il leur revient d’alerter leurs membres sur l’incompatibilité de travailler dans leur atelier et de favoriser par leur vote des mouvements prônant la haine et la discrimination. Les Obédiences Maçonniques françaises signataires rappellent leur engagement pour la paix, la liberté, la dignité humaine, l’égalité absolue entre les hommes et les femmes, la laïcité et la justice sociale, l’édification de sociétés fraternelles, principes en opposition à toutes formes de ségrégation, de discrimination et de repli sur soi ! Elles tiennent à rappeler les valeurs et les principes fondamentaux qui doivent nous réunir et non nous diviser dans la perspective du bien commun. Nous rappelons avec force notre attachement aux valeurs de la République, à notre idéal humaniste et universaliste. Obédiences signataires* *par ordre d’ancienneté dans le paysage maçonnique français : Grand Orient de France – Fédération française du Droit Humain – Grande Loge de France – Grande Loge Féminine de France – Grande Loge Mixte Universelle – Grande Loge Féminine de Memphis Misraïm – Grande Loge Mixte de France.
http://dlvr.it/SP8bk5

Revue de presse du 24/04/2022

Merci à nos contributeurs pour cette revue de presse. Bonne lecture. Lire la suite
http://dlvr.it/SP8F4J

Crise COVID et élections en France – Arrêtons de faire les idiots !

par Jean-Yves Jézéquel Là où on en est du bilan « coronavirus », j’espère que tout le monde a enfin compris le sens des mesures dites « sanitaires » qui ont été décidées par la mafia McKinsey & Company, s’étant bien engraissée sur le … Lire la suite →
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samedi 23 avril 2022

« Erreurs, à la fois tactiques et de conséquence stratégique » Alastair Crooke

Le résultat le plus probable est que l'économie russe ne s'effondrera pas (même si l'UE s'acharne sur l'énergie et « tout » le reste Les faucons de l'OTAN et les interventionnistes libéraux américains et européens veulent par-dessus tout voir Poutine humilié et répudié. Nombreux sont les Occidentaux qui veulent voir la tête ensanglantée de Poutine au sommet d'une pique surplombant la « porte de la ville », visible par tous comme un avertissement retentissant à ceux qui défient leur « ordre international fondé sur des règles ». Leur cible n'est pas seulement le Pakistan ou l'Inde, mais la Chine, en premier lieu. Pourtant, les faucons voient qu'ils n'osent pas - ne peuvent pas - aller jusqu'au bout. Malgré la belligérance et les postures, ils veulent que l'aspect cinétique du conflit soit confiné à l'intérieur des frontières de l'Ukraine : Pas de bottes américaines sur le terrain (bien que ceux dont l'existence même ne peut franchir le seuil de nos lèvres soient déjà sur place, et qu'ils aient « mené la barque »). Le Pentagone, en tout cas, n'a pas envie de risquer une guerre avec la Russie qui s'envenime et pourrait déboucher sur l'utilisation d'armes nucléaires. (Cette position est toutefois remise en question par les principaux néo-conservateurs qui affirment que les craintes d'un recours de la Russie aux capacités nucléaires sont exagérées et doivent être mises de côté). Ainsi, pour accomplir ces grands agendas, l'Occident s'est limité (depuis 2015) à former et à armer des cadres d'élite (comme le régiment Azov), et à s'assurer qu'ils sont branchés à tous les niveaux (y compris au sommet) du leadership politique et militaire ukrainien. L'objectif ici a été de maintenir le conflit (puisque la victoire pure et simple n'est pas une option) : Plus la guerre se poursuit, selon le récit américain, plus les 5 000 sanctions imposées à la Russie nuisent à l'économie russe et sapent insidieusement le soutien de l'opinion publique russe à la guerre. L'expérience acquise en Syrie imprègne l'espace de combat : Pour les forces russes, l'expérience du nettoyage d'Alep des extrémistes jihadistes a été formatrice. Et, pour le commandement des opérations spéciales US qui forme ces unités d'élite ukrainiennes, les qualités d'impitoyabilité pure et de perturbations sous faux drapeau (perfectionnées par leurs protégés d'Idlib) semblent avoir suffisamment impressionné leurs anciens instructeurs occidentaux pour qu'ils les transmettent à une insurrection présumée dirigée par Azov, bien qu'opérant à partir du pôle opposé de l'idéologie insurrectionnelle. Il y a des raisons de penser que le FSB (service de sécurité russe) a peut-être sous-estimé la façon dont le recours à des tactiques de gestion de la population de type Idlib pourrait laisser une population civile majoritairement pro-russe trop lâche pour se défendre efficacement contre une domination de type Azov. En conséquence, les forces russes ont dû se battre - plus que prévu. Il s'agit peut-être d'une erreur tactique, mais pas d'une erreur stratégique. Il y a en effet une erreur stratégique majeure - à savoir la décision prise par l'Occident de mener avant tout une guerre financière contre la Russie - qui pourrait bien s'avérer être la perte de l'agenda de guerre occidental. (L'insurrection ukrainienne, dans la pratique, s'est largement limitée à donner plus de temps aux sanctions et à la super guerre PSYOPS, en particulier pour que la guerre PSYOPS puisse mordre sur la psyché intérieure russe). En mars, le président Biden s'est présenté devant le Congrès et a annoncé que le rouble russe avait chuté de 30 % et le marché boursier russe de 40 %. L'économie russe, a-t-il dit, était sur le point de s'effondrer ; la Mission était sur le point de s'achever. Pourtant, contrairement à l'attente du G7 selon laquelle les sanctions occidentales feraient s'effondrer l'économie russe, le FT le reconnaît : « Mais le système financier russe semble [aujourd'hui] se remettre du choc initial des sanctions » ; le « secteur financier russe retrouve ses marques après le barrage initial des sanctions ». Et les ventes de pétrole et de gaz de la Russie - plus d'un milliard de dollars par jour en mars - signifient qu'elle continue d'accumuler d'importants revenus étrangers. Elle affiche le plus grand excédent de sa balance courante depuis 1994, grâce à la flambée des prix de l'énergie et des matières premières. Ironiquement, les perspectives économiques de la Russie semblent aujourd'hui, à bien des égards, meilleures que celles de l'Occident. Comme la Russie, l'Europe connaît déjà - ou connaîtra bientôt - une inflation à deux chiffres. La grande différence est que l'inflation russe est en baisse, alors que celle de l'Europe monte en flèche au point (notamment en ce qui concerne les prix des denrées alimentaires et de l'énergie) de déclencher l'indignation et les protestations populaires. Le G7 s'étant trompé (la crise politique, après tout, était prévue pour la Russie, pas pour l'Europe), les États de l'UE semblent maintenant décidés à redoubler d'efforts : « Si la Russie ne s'est pas effondrée comme prévu, alors l'Europe doit faire le grand écart : 'Tout supprimer'. Aucun navire russe n'entrera dans les ports de l'UE ; aucun camion ne franchira les frontières de l'UE ; pas de charbon ; pas de gaz - et pas de pétrole. Pas un euro ne doit parvenir à la Russie », clame-t-on. Ambrose Evans-Pritchard écrit dans le Telegraph : « Olaf Scholz doit choisir entre un embargo énergétique sur la Russie et un embargo moral sur l'Allemagne » : « ... le refus de l'Europe occidentale de couper le financement de la machine de guerre de Vladimir Poutine est intenable. Le préjudice moral et politique pour l'UE elle-même devient prohibitif. Cette politique est déjà un naufrage diplomatique pour l'Allemagne, stupéfaite de découvrir que le président Frank-Walter Steinmeier est un paria - le Kurt Waldheim de notre ère ? - tellement souillé par deux décennies passées à être le sombre seigneur de la collusion avec le Kremlin que l'Ukraine ne veut pas de lui dans son pays. Ces atermoiements ne rendent pas justice au peuple allemand, qui soutient massivement une réponse à la hauteur de la menace existentielle qui pèse aujourd'hui sur l'ordre libéral de l'Europe » Voici clairement le grand programme révisé, Mark II : la Russie survit à la guerre du Trésor parce que l'UE continue d'acheter du gaz et de l'énergie à la Russie. L'UE - et plus particulièrement l'Allemagne - finance la « guerre grotesque et non provoquée » de Poutine, selon le mème. « Pas un euro pour Poutine ». La deuxième erreur stratégique consiste à ne pas comprendre que la résilience économique de la Russie ne découle pas uniquement du fait que l'UE continue d'acheter du gaz à la Russie. Mais c'est plutôt en jouant sur les deux tableaux de l'équation - c'est-à-dire en liant le rouble à l'or, puis en liant les paiements énergétiques au rouble - que la Russie a vu sa monnaie s'apprécier. De cette manière, la Banque de Russie modifie fondamentalement l'ensemble des hypothèses de travail du système commercial mondial (en remplaçant les transactions évanescentes en dollars par des transactions solides en devises, adossées à des matières premières), tout en déclenchant un changement du rôle de l'or, qui redevient un rempart à la base du système monétaire. Paradoxalement, les États-Unis ont eux-mêmes préparé le terrain pour ce passage au commerce en monnaie locale par leur saisie sans précédent des réserves de la Russie, et la menace de l'or de la Russie (si seulement ils pouvaient mettre la main dessus). Cela a effrayé d'autres États qui craignaient d'être les prochains sur la liste et d'encourir le « mécontentement » capricieux de Washington. Plus que jamais, le non-Ouest est désormais ouvert aux échanges en monnaie locale. Cette stratégie de « boycott de l'énergie russe » est « un rideau sur l'Europe », bien sûr. L'Europe n'a aucun moyen de remplacer l'énergie russe par d'autres sources dans les années à venir : Ni des Etats-Unis, ni du Qatar, ni de la Norvège. Mais les dirigeants européens, consumés par une frénésie d'« indignation morale » face à un flot d'images d'atrocités en provenance d'Ukraine, et par le sentiment que l'"ordre libéral" doit à tout prix éviter une perte dans le conflit ukrainien, semblent prêts à aller jusqu'au bout. Ambrose Evans-Pritchard poursuit : « Le barrage politique est en train d'éclater en Allemagne. Die Welt a traduit l'humeur exaspérée des médias en qualifiant l'histoire d'amour de l'Allemagne avec la Russie de Poutine de « plus grande et plus dangereuse erreur de calcul de l'histoire de la République fédérale ». Les présidents des commissions des relations extérieures, de la défense et de l'Europe du Bundestag - représentant les trois partis de la coalition - ont tous appelé à un embargo pétrolier jeudi. « Nous devons enfin donner à l'Ukraine ce dont elle a besoin, et cela inclut les armes lourdes. Un embargo énergétique complet est faisable », a déclaré Anton Hofreiter, le président des Verts sur l'Europe » La hausse des coûts de l'énergie qu'implique l'exclusion de l'énergie russe va tout simplement anéantir ce qui reste de la compétitivité de l'UE et entraîner une hyperinflation et des troubles politiques. Cela fait-il partie de l'ordre du jour initial de l'OTAN, qui consiste à garder les Etats-Unis « dedans », la Russie « dehors » et l'Allemagne « en bas » ? Cette tentative de l'UE et des États-Unis de réaffirmer leur « libéralisme » - qui insiste sur le fait qu'il ne tolérera aucune "altérité" - présente de sérieuses failles. Sur des questions telles que l'agenda d'une élite scientifique et technologique et la « victoire » en Ukraine, il ne peut y avoir d'autre perspective. Nous sommes en guerre. Que va-t-il donc se passer ? Le résultat le plus probable est que l'économie de la Russie ne s'effondrera pas (même si l'UE s'acharne sur l'énergie et « tout » le reste). La Chine soutiendra la Russie, et la Chine est « l'économie mondiale ». Elle ne peut pas être sanctionnée pour capituler. Échec et mat ? Alors, quel pourrait être le plan III de l'Occident ? La frénésie guerrière, la haine viscérale, le langage qui semble conçu pour exclure un "accord politique" avec Poutine, ou les dirigeants de Moscou sont toujours là, et les néo-conservateurs sentent l'opportunité : « L'intellectuel néoconservateur, ancien rédacteur des discours de Reagan, John Podhoretz a récemment écrit une colonne triomphante intitulée « Neoconservatism : A Vindication. L'article de Commentaire déclarait que les architectes de la guerre contre la terreur, comme lui, sont maintenant « de retour au sommet », les événements mondiaux ayant prouvé qu'ils avaient raison sur tout - de la police communautaire à la guerre » Non seulement ils sont de retour au sommet, affirme Podhoretz, mais les néo-conservateurs ont conquis leurs principaux adversaires intellectuels en ce qui concerne le cadre moral de la dissuasion. Cela représente le nouveau « jeu » interne dans la question de l'Ukraine : Les néo-conservateurs pensent que l'Ukraine leur a donné raison. Bien sûr, lorsque l'invasion de l'Irak s'est soldée par une débâcle monumentale, les Néo-cons ont été universellement raillés, Podhoretz bredouillant des excuses. Sans surprise, dans son sillage, la validation originale de l'intervention militaire américaine est entrée dans un déclin abrupt, et la guerre des sanctions du Trésor a pris sa place en tant qu'intervention ne nécessitant « aucune botte sur le terrain ». C'est pourquoi les néo-conservateurs partagent l'idée erronée selon laquelle la guerre du Trésor, associée à des opérations militaires extrêmes, pourrait réduire Poutine à sa plus simple expression. Les néo-conservateurs sont ravis de l'échec de la guerre financière. De leur point de vue, cela remet l'action militaire sur la table, avec l'ouverture d'un nouveau « front » : Une attaque contre le principe clé initial selon lequel un échange nucléaire avec la Russie doit être évité, et l'élément cinétique du conflit, soigneusement circonscrit pour éviter cette possibilité. « Il est vrai qu'agir fermement en 2008 ou 2014 aurait signifié risquer un conflit », écrit Robert Kagan dans le dernier numéro de Foreign Affairs, déplorant le refus des États-Unis d'affronter militairement la Russie plus tôt : « Mais Washington risque un conflit maintenant ; les ambitions de la Russie ont créé une situation intrinsèquement dangereuse. Il est préférable pour les États-Unis de risquer la confrontation avec des puissances belligérantes lorsqu'elles en sont aux premiers stades de leur ambition et de leur expansion, et non après qu'elles ont déjà consolidé des gains substantiels. La Russie possède peut-être un arsenal nucléaire redoutable, mais le risque que Moscou l'utilise n'est pas plus élevé aujourd'hui qu'il ne l'aurait été en 2008 ou en 2014, si l'Occident était alors intervenu. Et il a toujours été extraordinairement faible : Poutine n'allait jamais atteindre ses objectifs en se détruisant et en détruisant son pays, ainsi qu'une grande partie du reste du monde. » En bref, ne vous inquiétez pas d'entrer en guerre avec la Russie, Poutine n'utilisera pas la bombe. Vraiment ? Pourquoi pensez-vous que c'est vrai ? Ces Néo-cons sont généreusement financés par l'industrie de la guerre. Ils ne sont jamais lâchés par les réseaux. Ils entrent et sortent du pouvoir par rotation, stationnés dans des endroits comme le Council on Foreign Relations, Brookings ou l'AEI, avant d'être rappelés au gouvernement. Ils ont été aussi bien accueillis à la Maison Blanche d'Obama ou de Biden qu'à celle de Bush. Pour eux, la guerre froide n'a jamais pris fin, et le monde reste binaire - « nous et eux », le bien et le mal. Mais le Pentagone ne l'achète pas. Ils savent ce qu'implique une guerre nucléaire. En fin de compte, les sanctions feront mal, mais ne feront pas s'effondrer l'économie russe ; la vraie guerre (et non la guerre PSYOPS de l'incompétence et de l'échec militaires russes) sera gagnée par la Russie (toute fourniture militaire européenne et américaine de gros équipements à l'Ukraine étant vaporisée au moment où elle franchit la frontière) ; et l'Occident connaîtra ce qu'il craint le plus : l'humiliation dans sa tentative de réaffirmer l'ordre libéral fondé sur des règles.) :) L'Europe craint que, sans une réaffirmation retentissante, elle ne voie apparaître des fractures à travers le monde. Mais ces fractures sont déjà présentes : Trita Parsi écrit que « les pays non occidentaux ont tendance à voir la guerre de la Russie de manière très, très différente » : [(« Les demandes occidentales de faire des sacrifices coûteux en coupant les liens économiques avec la Russie pour maintenir un « ordre fondé sur des règles » ont engendré une réaction allergique. Cet ordre n'a pas été fondé sur des règles ; au contraire, il a permis aux États-Unis de violer le droit international en toute impunité. Le message de l'Occident sur l'Ukraine a porté à un tout autre niveau son manque de discernement, et il est peu probable qu'il gagne le soutien de pays qui ont souvent connu les pires aspects de l'ordre international » De même, l'ancien conseiller indien à la sécurité nationale, Shivshankar Menon, a écrit dans Foreign Affairs que « loin de consolider le 'monde libre', la guerre a mis en évidence son incohérence fondamentale. En tout état de cause, l'avenir de l'ordre mondial sera décidé non pas par les guerres en Europe, mais par la compétition en Asie, sur laquelle les événements en Ukraine ont une incidence limitée » L'élément le plus marquant du premier tour de l'élection présidentielle française de la semaine dernière est que même si Macron gagne le 24 avril (et l'Establishment et ses médias feront tout pour assurer sa victoire), cette victoire sera à la Pyrrhus. Une majorité d'électeurs français a voté le 13 avril contre un système de verrouillage des intérêts entre l'État et la sphère des entreprises. Les électeurs français ont l'impression d'être entraînés dans un train fou d'inflation, de baisse du niveau de vie, de réglementation supranationale, d'OTAN, d'UE et de diktats américains. Maintenant, on leur dit que la flambée des prix des denrées alimentaires, du chauffage et du carburant est le prix à payer pour paralyser la Russie et la Chine et « préserver le tissu moral de l'ordre libéral ». Si l'on devait caractériser cette « guerre » tacite, on pourrait dire que Macron parle (en bas) à La France, dans l'abstrait. Le Pen, en revanche, s'adresse aux Français et leur parle d'une politique à laquelle ils peuvent s'identifier de manière personnelle. Lors de l'élection, les anciennes catégories traditionnelles et les « conteneurs » de la politique française : l'Église catholique, le Parti Républicain et le Parti Socialiste ont été rendus insignifiants. Le président Eisenhower, dans son discours d'adieu de 1961, a clairement prévu le schisme à venir : « Aujourd'hui, l'inventeur solitaire a été éclipsé par des groupes de travail de scientifiques dans les laboratoires et les champs d'essai. De la même manière, l'université, historiquement la source des idées libres et des découvertes scientifiques, a connu une révolution dans la conduite de la recherche. En partie à cause des coûts énormes que cela implique, un contrat gouvernemental devient pratiquement un substitut à la curiosité intellectuelle. Pour chaque vieux tableau noir, il y a maintenant des centaines de nouveaux ordinateurs électroniques. La perspective d'une domination des universitaires de la nation par les emplois fédéraux, les allocations de projets et le pouvoir de l'argent est toujours présente - et doit être sérieusement considérée. Pourtant, si nous respectons la recherche et la découverte scientifiques, comme nous le devons, nous devons également être attentifs au danger égal et opposé que la politique publique devienne elle-même captive d'une élite scientifique et technologique. » C'est la guerre. Alastair Crooke* pour The alt word Original : « Errors, Both Tactical, and of Strategic Consequence » . The alt world, le 18 avril 2022 *Alastair Crooke, diplomate britannique, fondateur et directeur du Conflicts Forum. Il a été une figure de premier plan dans le renseignement militaire britannique « Military Intelligence, section 6 (MI6) » et dans la diplomatie de l'Union européenne. Il a reçu le très distingué ordre de Saint-Michel et Saint-Georges (CMG), ordre de la chevalerie britannique fondé en 1818.
http://dlvr.it/SP6wlf

Un séisme de magnitude 5,7 fait un mort et plusieurs blessés

(Sarajevo) Un fort tremblement de terre de magnitude 5,7, selon le service sismologique américain (USGS), a secoué vendredi soir le sud de la Bosnie, faisant un mort, plusieurs blessés et des dégâts matériels, ont rapporté des médias locaux.
http://dlvr.it/SP6c2g

Barrons la route... oui mais à qui ?

Mystérieusement le micro-Virus fait une trêve pendant la période votante, il retient ses Variants qui piaffent d'impatience derrière les caméras. - Espace E&R / Politique, Sociologie, Immigration, Banlieues, Antiracisme, Extrême gauche, Jean-Luc Mélenchon, Théorie du genre
http://dlvr.it/SP6FHG

Poutine veut s'emparer de tout le sud de l'Ukraine, jusqu'à la Transnistrie, annonce un Général russe

Carte rêvée de Poutine, plus si affinité Donbass, sud Ukraine, Transnistrie, Un général russe explique enfin ce que désire Poutine, et c'est très inquiétant, ce pourquoi la Moldavie a convoqué l'ambassadeur russe. La Moldavie a convoqué l’ambassadeur...
http://dlvr.it/SP5rNR

Explosion des effets secondaires suite à la vaccination contre le Covid aux États-Unis

Aux États-Unis, les événements indésirables qui pourraient être liés aux vaccins grimpent en flèche. Parmi les effets secondaires repérés pendant la vaccination en population générale depuis le début de l'année 2021, les myocardites et les péricardites sont ceux qui sont le plus fréquemment rencontrés.
http://dlvr.it/SP4hJF

vendredi 22 avril 2022

Les vaccins à ARNm produisent une protéine spike persistante probablement à l’origine de caillots, d’inflammations cardiaques et de cancers

Selon le Dr Ryan Cole, les vaccins à ARN messager produisent une protéine spike persistante qui peut gravement endommager la santé du receveur, entraîner des coagulations inhabituelles, des inflammations cardiaques ou des cancers. Les vaccins Covid‑19 de Pfizer et Moderna …
http://dlvr.it/SP4M3J

Les perspectives des BRICS en tant que base de la nouvelle réalité internationale

Dans le cadre du monde multipolaire post-occidental, les discussions s'activent sur les modèles qui joueront un rôle clé dans la nouvelle architecture internationale. Le groupe des BRICS fait partie des options qui méritent un grand intérêt. Dans le contexte des bouleversements en cours et à venir sur la scène internationale, avec comme résultat la marginalisation de plus en plus visible de l'establishment occidental, il est désormais très important de mettre en place les mécanismes de cette nouvelle réalité mondiale qui s'impose, et s'imposera.
http://dlvr.it/SP3vks

Médecine et totalitarisme, par Mme Zineb Deheb

À lire et à partager car ce genre de courrier est déjà historique, il met devant leurs responsabilités les conseils ordinaux des différents métiers de soins. Cet écrit fait suite à une lettre ouverte adressée à trois confrères du conseil de l’Ordre des médecins, restée sans réponse. Il s’agit d’une réflexion sur la responsabilité des médecins dans ce que je pense être le plus grand désastre sanitaire, à savoir l’injection généralisée d’un produit expérimental à base d’ARNm de la protéine spike du Sars-CoV-2. « imagine que c’est toi-même qui mènes toute cette entreprise d’édification du destin de l’humanité dans le but, au final, de faire le bonheur des hommes, de leur donner au bout du compte le bonheur et le repos, mais que, pour cela, il serait indispensable, inévitable de martyriser rien qu’une seule toute petite créature, tiens, ce tout petit enfant, là, qui se frappait la poitrine avec son petit poing, et de baser cette entreprise sur ses larmes non vengées, toi, est-ce que tu accepterais d’être l’architecte dans ces conditions, dis-le, et ne mens pas ! » Dostoïevski, Les Frères Karamazov, Actes Sud, 2002 « L’état de tutelle est l’incapacité de se servir de son entendement sans être dirigé par un autre. Elle est due à notre propre faute lorsqu’elle résulte non pas d’une insuffisance de l’entendement, mais d’un manque de résolution et de courage pour s’en servir sans être dirigé par un autre. Sapere aude! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Telle est la devise des Lumières. » Kant, Qu’est-ce que les Lumières ? Par Zineb Deheb – Le 16 avril 2022 – Le Saker Francophone Il n’était pas besoin d’être médecin pour comprendre qu’inoculer la nouvelle technologie à base d’ARNm à nucléoside modifié de la protéine spike du Sars-CoV-2 était dangereux et téméraire : refuser ce poison était à la portée de n’importe quel étudiant de 2e cycle des études médicales. Expliquer en quoi les études des laboratoires pharmaceutiques étaient trompeuses serait une perte de temps. Le but de cet article est de présenter les arguments recueillis directement auprès des médecins (hommes et femmes, exerçant en libéral ou salarié, avec ou sans fonction universitaire) légitimant l’injection. L’enthousiasme général des médecins pour la nouvelle potion à ARNm semble incontestable. Il est donc fort probable que la majorité des médecins a soutenu un ou plusieurs de ces arguments à un moment ou à un autre depuis l’irruption du Sars-CoV-2. On remarquera, après analyse, que ces arguments sont bien faibles. L’acceptation de cette nouvelle technologie expérimentale est survenue dans un cadre plus général d’abandon pur et simple de la médecine hippocratique. Cet article tentera en dernier lieu de comprendre l’origine d’une telle indigence intellectuelle et morale. Au préalable, il est important de signaler que cette entreprise d’empoisonnement généralisé par la nouvelle technologie expérimentale à ARNm n’a pu survenir qu’avec la participation passive et active de toute la population française. Tout a été mis en œuvre pour décrédibiliser tout traitement contre la maladie à Sars-CoV-2 afin de permettre l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de produits présentés comme des vaccins. En effet, si un traitement contre le Sars-CoV-2 avait été reconnu par les instances régulatrices, la mise sur le marché de ces «vaccins» aurait été interdite. Les médecins n’ont été qu’un maillon bien faible de cette grande opération commerciale. Si l’industrie pharmaceutique en collaboration avec l’État français a pu faire oublier aux médecins leurs engagements et leurs tabous, elle a également réussi à franchir une grande partie des défenses physiques et mentales des Français. Par ailleurs, ce qui suit n’est pas un travail de recherche et ne vise pas l’exhaustivité. J’espère aider toutes les personnes victimes de maltraitance médicale à traverser leur deuil quels que soient la nature et l’ampleur de leurs pertes. L’abandon de la médecine Pour commencer, je me permets de rappeler les principes de base de la médecine humaine. Ces principes ne peuvent pas avoir été oubliés par les médecins. Ceci n’est pas un excès d’exigence. C’est même ce que la société attend des médecins : une obligation de moyens sans obligation de résultat. Les médecins ont une obligation de formation continue et sont tenus de connaître les limites de leurs connaissances théoriques et pratiques et d’agir en conséquence. Il est important de savoir que le seul dénominateur commun à tous les médecins est simplement d’être studieux et d’avoir une bonne mémoire. Ces principes me sont restés en mémoire depuis qu’ils m’ont été enseignés entre 2004 et 2019. Pour les autres principes que je n’ai pas pu retenir, je me suis contentée d’écouter les nombreux scientifiques et professeurs de médecine qui ont partagé leur savoir. Petit rappel de la médecine normale : * Le secret médical est la base de la relation entre le médecin et le patient : le patient a une confiance complète en son médecin pour lui révéler son intimité et le médecin a alors toutes les informations importantes nécessaires au diagnostic et au traitement. * Le médecin donne à son patient une information loyale, claire et appropriée avant d’administrer un traitement. * Un traitement doit être donné après avoir recueilli le consentement libre et éclairé du patient. * Le médecin ne laisse pas une infection s’installer avant de traiter son patient. * Le médecin voit en consultation des patients malades. * Avant de donner un traitement, le médecin examine son patient. * Avant de réaliser un test à visée diagnostique, le médecin examine son patient. Le but est de limiter les faux-positifs et les faux-négatifs. * Un test à visée diagnostique n’a d’intérêt que si le médecin a un traitement à proposer. * Un test PCR ne se fait pas à la légère car le risque de faux-positif est important. * Dans la mesure du possible, on ne doit pas traumatiser les enfants par des tests ou des prises de sang car le traumatisme persiste toute leur vie. * Un produit expérimental n’obtient pas d’autorisation de mise sur le marché 1 an après sa fabrication mais après au moins 10 ans. * Les molécules n’ont pas une fonction unique dans le corps. Leur fonction dépend notamment de leur environnement et des molécules auxquelles elles se lient. * Les vaccins sont des protéines. * Les vaccins ne sont ni trimestriels, ni quadrimestriels, ni semestriels mais confèrent une immunité stable. * On ne donne pas en population générale un produit anti-infectieux partiellement efficace car cela favorise le développement de mutants résistants. * Les produits expérimentaux ne doivent, en aucun cas, être administrés en population générale et, en particulier, à des enfants ou à des femmes enceintes. * La balance bénéfice-risque s’estime au niveau individuel et non au niveau collectif. Tous ces principes ont été ignorés durant ces deux années avec une facilité déconcertante. L’engouement pour les études randomisées, contrôlées contre placebo, en double aveugle et multicentriques est également incompréhensible. Les médecins n’ont jamais attendu ce type d’étude pour traiter leurs patients. Seuls les laboratoires pharmaceutiques peuvent se permettre de sortir ce type d’étude onéreuse et laborieuse dans les meilleurs délais. L’infection à Sars-CoV-2 était une maladie rare au moment de sa survenue fin 2019 et les médecins ont toujours su agir face à une maladie rare. Je vous donne un exemple. Durant la dernière année de mon internat, nous avons été confrontés à un cas très complexe d’une patiente sous immunosuppresseurs qui présentait un volumineux botriomycome digital avec un risque important d’hémorragie. La tumeur avait récidivé après son exérèse chirurgicale et les traitements antiviraux avaient échoué. Cette tumeur était causée par un parapox virus. Le nodule d’Orf n’a aucun traitement parce qu’il régresse spontanément chez les personnes qui ont une immunité saine. Pour les personnes plus fragiles, il n’y a pas de traitement « consensuel » car les cas sont exceptionnels. Le cas semblait désespéré : si on diminuait la dose des médicaments suppresseurs de l’immunité, la patiente risquait de perdre son greffon rénal. Une de mes co-internes s’était donnée pour mission de traiter cette patiente. Elle a donc épluché la littérature scientifique et a trouvé un article décrivant un cas de guérison par cryothérapie. Elle s’est donné les moyens de mettre en œuvre le traitement proposé par le « case report » . Elle a demandé l’aide d’un chirurgien plasticien qui lui a expliqué comment réaliser l’anesthésie loco-régionale du doigt puis, une fois par semaine, elle a traité la tumeur par cryothérapie jusqu’à régression complète. Les complications de l’anesthésie loco-régionale et de la cryothérapie sont bien connues parce que ce sont des traitements anciens. Avant cela, elle a demandé, en réunion, à ses supérieurs, l’autorisation de mener ce traitement. Personne ne l’avait accusée de charlatanisme, personne ne lui avait demandé de revenir avec une étude randomisée contrôlée contre placebo, en double aveugle, multicentrique. Ma consœur a pu ainsi, sur la base d’une seule étude sur un seul patient, éviter une amputation à sa patiente. Avant l’irruption du Sars-CoV-2, un médecin qui prenait ce genre d’initiative était considéré comme un bon médecin. Les médecins ont oublié leur éthique, leurs connaissances médicales et leur rôle. S’ils ont pu justifier l’inoculation généralisée d’ARNm à la population française et en particulier l’inoculation des femmes enceintes, c’était sur la base d’arguments tout à fait contestables. Les ressorts de l’abomination : de mauvaises prémisses Comprendre comment l’abomination est rationalisée et justifiée m’intéresse au plus haut point. Je vous présente donc ce long travail de dissection. Afin de raccourcir les temps de discussion avec mes confrères, je m’étais tout de suite attaquée au problème de la femme enceinte. Les raisonnements tenus par ces médecins peuvent être généralisés à tout le monde : ce que l’on donne, les yeux fermés, à une femme enceinte, tout le monde peut le recevoir les yeux fermés. La femme enceinte représente virtuellement tout le monde : c’est une adulte saine qui «héberge» un enfant. Mais elle est extrêmement fragile et se rapproche dans une certaine mesure de la maladie : elle a un trouble immunitaire qui permet le développement de cellules du non-soi en elle. Quand on autorise un produit à une femme enceinte, cela équivaut quasiment à l’autoriser aux enfants, aux adultes, aux personnes saines, aux personnes présentant des troubles immunitaires et/ou des cancers. L’inoculation d’ARNm a d’ailleurs été infligée à l’ensemble de ces catégories de la population française. Avant l’irruption du Sars-CoV-2, les médecins ne donnaient aucun traitement aux femmes enceintes, à moins d’un risque de mort imminente ou de maladie chronique très grave. J’ai donc été consternée de constater que les médecins avaient accepté d’inoculer l’ARNm aux femmes enceintes. Voici quelques-uns de leurs arguments : * La vaccination est indispensable parce qu’elles sont sujettes à des formes graves. * En plus, les femmes enceintes « vaccinées » ont un moindre risque de thrombose que les femmes enceintes « non vaccinées » . * Les femmes enceintes « vaccinées » qui développent tout de même des thromboses suite au « vaccin » auraient eu, de toute façon, des complications thrombotiques dans le cas d’une infection par Sars-CoV-2. * Et les informer de notre méconnaissance des effets secondaires à long terme sur elles comme sur leur enfant reviendrait à influencer leur décision (ce qu’il ne faut surtout pas faire). Ces propos m’ont fait comprendre après une longue période de déni que les médecins avaient abandonné la médecine. Ils ont abandonné les connaissances apprises en faculté de médecine et les principes éthiques du Serment d’Hippocrate que tous les médecins prononcent le jour de l’obtention de la thèse d’exercice. Leur raisonnement est vicié et ne peut plus être qualifié de «médical» . La mauvaise estimation de la balance bénéfice-risque Le 1e argument est le signe d’une mauvaise évaluation de la balance bénéfice-risque. Il s’agit d’une évaluation du risque d’effets indésirables que l’on accepte de prendre en regard du bénéfice attendu, à savoir l’amélioration de l’état de santé. Une personne en danger de mort acceptera un traitement dangereux si elle pense que sa survie peut être prolongée. Une personne handicapée par une maladie rare acceptera d’être cobaye si on lui fait caresser l’espoir que le handicap pourrait disparaître. A l’inverse, une personne atteinte d’un rhume n’acceptera pas de finir aveugle suite à la prise d’un médicament contre la toux. Il est impossible de conclure qu’injecter l’ARNm est moins dangereux pour une femme enceinte que de développer l’infection à Sars-CoV-2 tout simplement parce que personne ne sait si l’ARNm est sûr. Les effets secondaires d’un traitement peuvent être dangereux pour la femme enceinte par plusieurs aspects : pour sa propre santé, pour la survie et le développement de son enfant, pour la poursuite de la grossesse, pour le déroulement d’une grossesse ultérieure. Les médecins se sont révélés plus confiants que le laboratoire lui-même puisque le laboratoire Pfizer n’a pas fait d’étude sur l’innocuité de l’ARNm dans la population des femmes enceintes. De toute façon, les études sur les femmes enceintes ne sont pas éthiques. Le principe de la balance bénéfice-risque, qui n’est qu’une forme de pragmatisme, ne s’évalue qu’au niveau individuel. Un médecin ne traite que son patient et son entourage proche. Un médecin n’a pas pour vocation de traiter la population française générale avant son patient ou de sacrifier son patient pour la population française. Une méconnaissance des statistiques Le 2e argument confine au ridicule. En voici une petite reformulation : injecter l’ARNm chez une femme enceinte pourrait empêcher la survenue de thromboses. Autrement dit, l’ARNm pourrait être un anticoagulant. Cet argument ne tient pas non plus du point de vue d’un statisticien. En effet, pour pouvoir comparer deux groupes : les femmes enceintes «vaccinées» et les femmes enceintes non «vaccinées» , il faut que les femmes enceintes soient comparables du point de vue, notamment, de l’âge et de l’état de santé avant et pendant la grossesse. La deuxième condition essentielle est que ces femmes «vaccinées» soient en nombre suffisant. Il s’agit du principe de puissance statistique. Si une étude scientifique a une grande puissance, le résultat de l’étude sera dit «significatif» et exploitable pour aider à établir des liens de causalité entre un produit et ses effets. Il faut beaucoup de cobayes «vaccinés» pour juger de l’effet de l’ARNm. Si vous ne «vaccinez» que 2 femmes enceintes et que vous comparez la probabilité qu’elles développent une thrombose par rapport à la probabilité que 5000 femmes enceintes non «vaccinées» développent une thrombose, vous n’êtes pas crédible. La probabilité de trouver une thrombose chez 5000 femmes est plus élevée que chez 2 femmes. C’est le hasard : cela ne signifie pas que votre nouvelle potion protège des thromboses. En somme, pour savoir si les femmes enceintes peuvent développer des thromboses à cause de l’ARNm, les femmes enceintes doivent devenir des cobayes. Et il faut un nombre conséquent de cobayes pour tirer des conclusions exploitables sur les effets de l’ARNm. C’est la raison pour laquelle vous remarquerez que, quand des effets délétères sont découverts chez des femme enceintes «vaccinées», dans une étude de pharmacovigilance1, la conclusion sera que le lien entre les effets délétères et la «vaccination» n’est pas prouvé. Autrement dit, il n’y a pas eu assez de cobayes pour dire que l’ARNm est dangereux. Une méconnaissance de l’immunologie Le 3e argument dénote une méconnaissance de l’immunologie. La réaction immunitaire à un agent viral dépend de la porte d’entrée empruntée par cet agent. Quand le virus est inhalé, il rencontre le système immunitaire des muqueuses. Quand le virus est injecté, il dépasse la barrière cutanée et rencontre un système immunitaire différent. Des systèmes immunitaires différents réagissent différemment. Si on suppose que le dérèglement immunitaire au contact de l’ARNm de la protéine spike est une des causes de thromboses, on ne peut pas conclure que le risque de thrombose est identique que l’on reçoive le virus par inhalation ou par injection. Le 3e argument présente également un problème éthique : pourquoi exposer avec certitude une femme enceinte à un risque en la «vaccinant» ? Alors qu’il est tout à fait possible qu’elle ne rencontre jamais le Sars-CoV-2 durant sa grossesse. Le paternalisme Le 4e et dernier argument montre que certains médecins cachent intentionnellement les risques à la femme enceinte. Ils supposent savoir mieux que la femme enceinte quel risque elle peut prendre pour sa grossesse sans l’informer de la nature de ce risque. Il s’agit d’un abus de confiance. Personne ne connaît précisément les risques d’une injection d’ARNm : ni à court terme ni à long terme. Dire que le produit est expérimental et que le risque est inconnu aurait été plus honnête et aurait permis à la femme enceinte de décider de manière un peu plus « éclairée » . Le mépris du principe de précaution Le principe de précaution est aussi connu dans sa formulation latine primum non nocere. Le but de tout médecin normal est que son patient sorte de son cabinet en étant en meilleur santé qu’en y rentrant. Tous les médecins savent qu’ils ne doivent donner aucun traitement aux femmes enceintes et, ceci, sous aucun prétexte, en dehors du risque de mort plus ou moins imminente ou de maladie très grave. Ce principe est un des plus ancrés chez les médecins, c’est un tabou ultime. Ce tabou est le résultat de décennies de scandales sanitaires plus ou moins connus. Par exemple, dans les années 60, le thalidomide administré à des femmes enceintes pour des vomissements a provoqué des malformations graves visibles dès la naissance de leur enfant. Dans les années 70, le distilbène administré à des femmes enceintes en prévention des fausses couches a provoqué une stérilité chez les filles de ces femmes. Cet effet indésirable a donc été découvert quand ces filles ont souhaité devenir mères. Depuis les années 80, le valproate administré aux femmes enceintes a provoqué de nombreuses malformations graves et des troubles du spectre autistique. Il n’est pas non plus admissible qu’un médecin administre un produit expérimental à une femme en âge de procréer. Ces femmes ont effectivement une capacité limitée en ovocytes que le médecin ne se permet de détruire en administrant des médicaments qu’en cas de cancer ou de maladie auto-immune engageant le pronostic fonctionnel d’un organe (risques d’insuffisances cardiaque, pulmonaire, hépatique, rénale etc…) voire le pronostic vital. Ce commandement est aussi le résultat de la découverte que certaines molécules restent stockées dans l’organisme des femmes et causent des malformations en cas de grossesse. Par exemple, l’acitrétine utilisée pour les troubles de la kératinisation est prescrite avec un protocole de prévention des grossesses strict pour les femmes jeunes. On a d’ailleurs découvert en 2017 que le métabolite de l’acitrétine ne restait pas dans le corps 2 ans mais 3 ans 2. Les médecins savent se prémunir contre l’incertitude des connaissances médicales et, pour ce que j’en sais, les dermatologues ne prescrivent tout simplement plus cette molécule aux femmes jeunes. Les médecins savent également stériliser les hommes. La stérilisation des hommes reste un effet secondaire accepté par le médecin et la personne malade en regard du risque de décès ou de perte d’organe vital, par exemple, en cas de cancer du système hématopoïétique. Il n’est pas admissible de donner un traitement à un enfant ou un adolescent en pleine croissance. En effet, le développement de l’enfant est un processus extrêmement complexe qui n’est que partiellement compris, notamment par les endocrinologues. Une molécule administrée durant la croissance peut l’altérer par des biais souvent inattendus et dans des délais inconnus. L’exemple connu de tous les médecins est celui de la corticothérapie qui peut tout simplement ralentir la croissance des enfants et adolescents. Je donne un autre exemple dans la deuxième partie de l’article. Pour conclure, ce produit n’aurait dû être administré à aucun Français car l’étude dont il a fait l’objet était officiellement beaucoup trop courte et n’est toujours pas finie. Les études scientifiques sont censées durer au moins 10 ans. La durée extrêmement longue est liée au fait que l’effet des médicaments que l’on donne est tellement incompris, vu la complexité de la physiologie humaine, que les expérimentateurs attendent de voir si un cancer ou une maladie autre apparaît dans ce laps de temps. Cette longue durée ne garantit pas non plus l’innocuité d’un médicament. En généralisant l’administration du médicament à une population qui, très..
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Adieu la France ! -- Maryse Laurence Lewis

Nous publions ce texte pour ses références historiques en rappelant cependant que le 24 avril ce n'est pas Macron contre Macron. Il y a Marine Le Pen, qui mérite d'être étrillée. LGS Adieu la France ! En espagnol, le mot elección signifie "choix". C'est tout le contraire des possibilités de votes, au printemps 2022, en France. Ce qui caractérise le plus les Français, c'est leur fierté. Se croyant volontiers la référence culturelle mondiale, le summum du raffinement, quelle que soit leur ville de (...) Nos lecteurs proposent
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L'armée conseille à Trump: Plus d'interviews !

Par Michel Baxter - jeudi 21 avril 2022 206e REAL RAW NEWS - 8 langues (FR,NL,DE,GB,IT,PT,ES,RO) Le lien ...
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jeudi 21 avril 2022

À Nevers, la seule maternité du département ferme ses portes temporairement

Voici un argument massue que Marine Le Pen aurait pu opposer à Macron lors du débat d’hier sauf qu’elle n’a rien fait. Pourtant 2 malades viennent de décéder dans 2 hôpitaux publics différents par manque de moyens ! macron/castex/véran ont détruit et continuent de détruire l’hôpital, c’est un fait constatable par tous.   La situation est inédite. Depuis lundi 11 avril, la maternité du centre hospitalier de l’agglomération de Nevers (CHAN) est fermée. Les quatorze sages-femmes du service sont en arrêt-maladie et l’agence régionale de santé (ARS) de Bourgogne-Franche-Comté a dû faire appel à la réserve sanitaire. À l’heure actuelle, seules les urgences sont prises en charge. « Nous sommes encore en mesure d’accueillir les femmes sur le point d’accoucher, rassure la direction du CHAN. Quand le travail n’est pas à un stade avancé, les patientes sont transférées vers une maternité des alentours. » La maternité de Nevers est la seule du département de la Nièvre, après de nombreuses fermetures ces quinze dernières années. Entre lundi et mercredi, quinze femmes devant accoucher avaient été transférées vers les maternités de Moulins ou de Montluçon (Allier), Bourges, Auxerre ou Dijon, la plus proche étant à environ une heure de Nevers. Guillaume Rameau fait partie des membres de l’équipe arrêtés depuis lundi. Il raconte être arrivé « à bout » physiquement. « Ça fait des mois qu’on alerte sur la situation, explique-t-il. Depuis septembre, on a eu une dizaine de départs sur vingt-quatre sages-femmes. » Pour lui, la « goutte de trop » tombe début avril quand la direction annonce que le service pourra désormais fonctionner avec deux sages-femmes de jour. Au départ, la maternité, qui réalise plus de 1 100 accouchements par an, tournait avec cinq en journée. Un ratio qui a été réduit à quatre en janvier, puis trois, et enfin deux dernièrement. « En salles de naissance, on peut avoir jusqu’à six patientes par jour. Ajoutez à ça les suites de naissance, les consultations en urgence. Deux sages-femmes, pour gérer tout ça ? C’est un rythme intenable, qui ne garantit pas la sécurité des femmes », explique le maïeuticien. Pression psychologique Selon la direction, la grande majorité des arrêts-maladie a été déposée lundi 11 avril. Avant de craquer, Guillaume Rameau raconte avoir passé le week-end précédant son arrêt à courir entre les salles de naissance : « Je disais aux patientes, “Je reviens dans dix minutes” et je revenais une heure trente plus tard. On est contraints de passer beaucoup moins de temps avec les femmes. » David Boucher, secrétaire de la section CFDT du CHAN insiste : « Ce n’est pas un mouvement de grève. Ce n’est pas un caprice. Lundi matin, les soignants n’en pouvaient simplement plus. Beaucoup sont médicamentés. » « Certaines sages-femmes ont enchaîné des gardes de treize heures, en travaillant le week-end, de nuit, raconte le représentant syndical. Elles ont tenu neuf mois, avec un tiers de collègues en moins. Là, ça a cassé. » Il souligne par ailleurs la pression psychologique qu’ont subie les salariées : « Elles travaillent constamment avec une épée de Damoclès sur la tête. La vie des femmes et des enfants est mise en danger. Et s’il y a quoi que ce soit, ce sont les sages-femmes qui resteront coupables. » … […] Photo d’illustration : Manifestation contre la fermeture de la maternité devant l’hôpital de Nevers, le 15 avril 2022. JEAN-LUC LUYSSEN POUR « LE MONDE » Sabrina El Mosselli Le Monde 18 avril 2022
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Décryptage de l’intoxication de Mike Pompeo sur l’Iran 2/2

DSK et BHL, les voltigeurs de pointe de la stratégie israélienne Les premiers à avoir sonné l’hallali contre l’Iran dans l’espace médiatique français auront été les voltigeurs de pointe de la stratégie israélienne en Europe, Dominique Strauss Khan du temps …
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Macron ou le syndrome de l'enfant Roi

L'enfant roi est un petit tyran qui souffre, il ne supporte pas la contradiction tout en imposant ses volontés par la violence. C'est l'image qui reste du débat télévisuel de Macron. Pourtant son équipe de communication l'avait prévenu de ne pas montrer son arrogance. « Cessez de me dire qu'il faut éviter l'arrogance ! Vous me l'avez répété cent fois, j'ai compris. Et même avant que vous me le disiez. On n'est pas dans un cours de yoga ». Emmanuel Macron (Canard enchaîné) L'enfant Roi est un dictateur, par (...) - Les incompétents du pouvoir en France
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CRISE ALIMENTAIRE : Les solutions mondialistes sont prêtes !

Avec la crise politique, la crise alimentaire est déjà là Comme nous le démontre ce graphique, il y a une corrélation très forte entre le prix de l’alimentaire et les révolutions. En l’état actuel des choses avec l’Ukraine qui détient une énorme quantité du stock de céréales mondiales, le prix de certaines denrées comme celui des céréales a immédiatement augmenté, et […]
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Vers une escalade militaire

La faiblesse militaire russe dans la première phase de la guerre ukrainienne détermine une plus grande pression militaire dans la deuxième phase et encourage l'impulsion occidentale générale pour une grande guerre. On assiste en Ukraine à une répétition de la situation vécue lors de la « guerre d'hiver » de l'URSS contre la Finlande, de novembre 1939 à mars 1940. L'échec de la « guerre éclair » que les Russes semblaient envisager comme la première étape de leur invasion de l'Ukraine, a pour effet évident d'encourager l'interventionnisme militaire occidental dans le conflit. Précédent finlandais Au lieu de l'effondrement attendu, de la fraternisation et de la désertion massive de l'armée régulière ukrainienne, du gouvernement fuyant vers l'ouest de l'Ukraine face à la proximité des troupes russes à Kiev et d'une faible résistance à l'est et au sud du pays, Moscou s'est retrouvé avec un autre scénario qui l'a contraint à modifier son plan et à augmenter la pression militaire. Comme aujourd'hui en Ukraine, Moscou a cherché la distance dans cette « guerre d'hiver ». Leningrad, aujourd'hui Saint-Pétersbourg, se trouvait alors à environ 40 kilomètres de la frontière finlandaise. La Finlande, comme la Pologne, avait réussi à se dégager de l'Empire russe avec l'effondrement du tsarisme, et la position de l'ancienne capitale impériale était géographiquement compromise et exposée à l'invasion. La guerre visait à étendre la zone de sécurité, ce que les dirigeants russes mentionnent maintenant en référence à l'Ukraine et qui, pendant des siècles, a été l'une des raisons fondamentales de l'expansionnisme défensif russe dans un pays aux espaces énormes sans barrières ni limites géographiques. Ensuite, aussi, les choses ont mal tourné - ou « comme d'habitude », selon le dicton russe popularisé par l'ancien Premier ministre Viktor Tchernomyrdine dans les années 1990 - et ce qui devait être une « courte guerre victorieuse » contre un petit adversaire se solde par un énorme prix de centaines de milliers de victimes russes. L'attaque a été mal planifiée, sans tenir compte du cadre, de la météo ou des problèmes logistiques de base. Les prisonniers soviétiques se sont plaints du manque de matériel et de munitions. De nombreuses années plus tard, Nikita Khrouchtchev a qualifié cette défaite des Finlandais de « dangereuse », précisément parce que « la preuve que l'URSS était un géant aux pieds d'argile a encouragé nos ennemis », a-t-il déclaré. Quinze mois après la signature de la paix avec la Finlande, l'Allemagne envahissait l'URSS. Saigner l'ours Maintenant, les États-Unis, l'OTAN et l'Union européenne, qui au début de la campagne ont assuré qu'ils n'y interviendraient pas, se réjouissent. Non seulement ils sont les yeux et les oreilles technologiques de l'armée ukrainienne, lui permettant de frapper avec précision, de limiter la supériorité aérienne de l'adversaire et de tuer ses généraux, mais ils augmentent l'approvisionnement en armes avec l'intention manifeste de saigner l'ours à mort dans le piège où il s'est lui-même mis. Curtis Schaefer's answer to Is it becoming increasing clear that Biden & the USA is instigator behind the Ukraine War and wants to prolong the war by adding fuel to the fire ? – Quora 2,5 milliards de dollars depuis le début du conflit, rien qu'aux États-Unis, en plus des expéditions avant l'invasion et de la formation intense des cadres de l'armée et des services secrets ukrainiens par la CIA qui a commencé en 2015, immédiatement après le changement de régime à Kiev. (CIA-trained Ukrainian paramilitaries may take central role if Russia invades (yahoo.com)) En Europe, le consensus est que « ce conflit sera gagné sur le champ de bataille », selon les mots de Josep Borrell après avoir annoncé 500 millions d'euros supplémentaires du Fonds européen de soutien à la paix(FEAP) pour fournir plus d'armes aux Ukrainiens. L'OTAN a déployé 40 000 hommes supplémentaires sur son flanc oriental, a établi davantage de bases militaires permanentes en Europe de l'Est et fournit des missiles sol-air pour abattre des avions russes et des missiles contre des navires russes en mer Noire. Des batteries anti-missiles S-300 de fabrication russe sont arrivées de Slovaquie, que les Russes disent avoir déjà détruites à Dniepropetrovsk (Dnipro). Les plus fous du club européen, c'est-à-dire les Polonais, insistent pour mener une intervention militaire terrestre dans l'ouest de l'Ukraine, même sans le drapeau de l'OTAN. Washington n'enverra pas de troupes en Ukraine (les cadres britanniques du SAS et du Delta des Etats-Unis sont là « depuis le début de la guerre », précise Georges Malbrunot le correspondant du Figaro, mais est disposé à appuyer les pays de l'OTAN si l'un d'eux le décide, a déclaré l'ambassadrice des Etats Unis devant l'ONU , Linda Thomas-Greenfield Pression informative Dans la promotion de cette escalade, le rôle du complexe médiatique est essentiel. Les crimes de la soldatesque qui, dans les guerres de l'Occident, sont considérés comme des exceptions dans les rares cas où ils sont révélés, sont considérés comme la norme et dûment amplifiés, même dans les cas où il n'y a aucune preuve indépendante de leur véracité. Malheureusement, certains d'entre eux ont été montrés et nous ramènent à des scènes bien connues comme celles vécues dans la ville tchétchène de Shamashkí en avril 1995. « Tous les Russes sont désormais nos ennemis », « Des chars pour l'offensive » titre le Frankfurter Allgemeine Zeitung, le principal journal allemand. « Une intervention militaire de l'Otan ne doit plus être taboue », estime Die Welt. Un peu plus d'un mois après le début de l'invasion russe, la négociation a complètement disparu de l'horizon occidental : « notre objectif est que la Russie ne gagne pas cette guerre », déclare le ministre des Affaires étrangères Olaf Scholz. « C'est ce qu'il y a derrière nos livraisons d'armes, notre aide financière et humanitaire, les sanctions et l'accueil des réfugiés », explique-t-il. Le président Biden, qui peut voir dans le taux élevé de désapprobation à son égard dans son pays et dans l'inflation, qu'il attribue aux « Russes », un motif politique pour une guerre à l'extérieur , est soumis à des influences de toutes sortes. Depuis le Pentagone et la CIA, on lui conseille la prudence, depuis lecomplexe médiatique et le Département d'État, il est invité à s'impliquer davantage. Dans ses déclarations, Biden parle déjà d'un conflit pour les années à venir « entre démocratie et autocratie, liberté et répression » et dans un discours lui échappe la volonté de changer le régime à Moscou en affirmant que Poutine (« criminel de guerre » et auteur de « génocide ») « ne peut pas continuer à commander » là-bas. Une majorité d' Etasuniens dans les sondages soutiennent l'établissement d'une « zone d'exclusion aérienne » si la guerre continue, malgré le fait que l'armée ait prévenu que cela signifie abattre des avions russes et que les Russes abattent les leurs, ainsi que la nécessité d'attaquer les défenses anti-aériennes sur le territoire russe. Dans son éditorial du 10 avril, The Observer prône une intervention militaire directe dans l'ouest de l'Ukraine, souhaitée par les Polonais, fournissant des chars et des avions et stationnant des forces navales en mer Noire pour dissuader toute tentative de prise d'Odessa. « Les risques sont évidents mais sa seule alternative est un carnage sans fin. Si l'Occident veut vraiment arrêter la guerre, des mesures aussi fortes pourraient être le seul moyen. » Préparatifs contre la Chine A Washington, le dilemme « soit contre la Russie, soit contre la Chine » qui a créé tant de divisions dans l'establishment sous la présidence de Donald Trump est définitivement résolu : contre les deux. « La meilleure façon d'agir contre la Chine est de vaincre la Russie » dit un analyste local bien connu, exprimant le nouveau consensus. Lors de sa dernière réunion des ministres des Affaires Etrangères, le 8 à Bruxelles, l'Otan a clairement indiqué les préparatifs de guerre contre la Chine qui se traduiront par le « nouveau concept stratégique » annoncé, qui doit être approuvé lors du sommet de juin prochain à Madrid. Pour la première fois de leur histoire, les ministres des Affaires étrangères de la Corée du Sud et du Japon ont participé à un conclave de l'OTAN de ce niveau à Bruxelles, en plus de ceux de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande. Le Japon a rejoint les sanctions contre la Russie et a annulé en quelques jours toutes les avancées dans la relation bilatérale compliquée avec la Russie laborieusement réalisée sous le mandat de Shinzo Abe. L'AUKUS (Australie, Angleterre et États-Unis) a annoncé le développement de nouveaux missiles hypersoniques pour le scénario asiatique. « Les politiques coercitives de la Chine au niveau global sont un défi systémique à la sécurité de l'OTAN, a déclaré son secrétaire général Jens Stoltenberg Les Chinois prennent bonne note de tout cela. « Les Etats-Unis ont le sentiment que la force de leurs alliés dans le Pacifique occidental n'est pas suffisante et veulent impliquer l'ensemble de l'Otan dans leur dessein indo-pacifique », estime le journal chinois Global Times. Les résultats de la première phase de l'invasion, si ambigus pour Moscou et si désastreux pour l'image internationale de la Russie en Occident, ont accru l'attente d'un second désastre russe dans la « bataille du Donbass » qui s'annonce maintenant, et dans laquelle les Russes espèrent encercler et anéantir dans une poche le corps le plus important et le plus combatif de l'armée ukrainienne. Il faudra voir si les armes et ressources occidentales, ainsi que les efforts ukrainiens, parviennent à détourner à nouveau le but. A Moscou, le revers de la première phase a généré un mélange de mauvaise humeur, d'agacement et de vantardise chez les propagandistes de la guerre qui passent à la télévision. Le durcissement inquiétant du discours, contre l'Ukraine, contre la nation ukrainienne et contre les Ukrainiens en général, en est la conséquence. L'émigration aussi : 100 000 jeunes Russes, spécialistes qualifiés pour la plupart diplômés, ont quitté le pays en mars et les chiffres d'avril devraient être similaires. On peut se demander jusqu'où ira cette folie en Russie, sans perdre de vue cette folie bien plus générale qui pousse sans équivoque le monde vers une grande guerre. Rafael Poch de Feliu* para su Blog personal Rafael Poch de Feliu. Catalogne, 13 abril 2022
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mercredi 20 avril 2022

Deux vidéos « pépites » à ne pas manquer

Aujourd'hui, 2 vidéos « pépites » à ne pas manquer. Elles concernent la crise ukrainienne et ont été réalisées par un journaliste camerounais, Alain Foka, travaillant pour la chaîne de TV française RFI, mais s'exprimant à titre personnel sur son Blog. Ces deux vidéos devraient faire réfléchir les journalistes français sur l'exercice de leur métier. - La première vidéo est une chronique parue en mars 2022 sous le titre : « Quel camp doit choisir l'Afrique dans la guerre en Ukraine ? » Elle est pleine de bon sens et se passe de commentaires. Elle a été visionnée 750 000 fois.
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Emmanuel Macron s’énerve et ment, accusant les conseils ordinaux de radier les soignants !

Il faut absolument regarder cette vidéo d’Emmanuel Macron qui tente de manière assez pathétique de se faire passer pour un grand démocrate qui va rencontrer ses concitoyens, même ceux qui sont contre sa politique, sauf que le premier argument qui lui vient à l’esprit sera de traiter son interlocuteur de malade mental avec sa fameuse phrase « Mais vous êtes fou ou quoi ? » ! Ensuite, le candidat Macron ne va pas hésiter à mentir de manière assez spectaculaire puisqu’il va nier être le responsable de la radiation de ces soignants en faisant croire que ce sont les « conseils ordinaux » qui sont les coupables ! Face à une difficulté somme toute assez légère, il a immédiatement essuyé le couteau sanguinolent de ses crimes sur le dos des conseils ordinaux ! De plus, ces derniers n’ont rien à voir avec les sanctions puisque ce sont les ARS qui ont appliqué les sanctions en envoyant des courriers en RAR aux soignants concernés. Pourtant c’est bien lui qui a imposé la folie covidiste en France, lui qui a fait voter des lois aussi stupides qu’inefficaces, imposé le pass sanitaire puis vaccinal, organisé les Conseils de défense complètement opaques et illégaux, masqué les enfants alors qu’ils ne risquaient rien, empêché les familles d’enterrer leurs morts dignement ou visiter leurs malades… Pour finir, il a radié des milliers de soignants non injectés alors que l’hôpital public est en grand besoin de bras. Au même moment il permettra aux soignants injectés et positifs au covid-19 de travailler malgré tout ! https://www.lelibrepenseur.org/wp-content/uploads/2022/04/4_5972334599852789110.mp4 Emmanuel Macron et Marine Le Pen, les deux finalistes de l’élection présidentielle, sont repartis en campagne. Ce mardi 12 avril, en déplacement en Alsace, l’actuel président de la République a eu un échange mouvementé avec un citoyen, pas convaincu par ses propositions et la politique menée ces cinq dernières années. L’élection présidentielle est entrée dans sa deuxième phase et ses deux finalistes sont repartis en campagne. Ce mardi 12 avril, Emmanuel Macron avait choisi le village alsacien de Chatenois dans le Bas-Rhin pour aller au contact de la population. Sur place, il a été interpellé par un habitant, visiblement pas convaincu par la politique du chef de l’État. Une scène filmée par le journaliste politique du groupe Canal + Sami Sfaxi. L’homme âgé d’une soixantaine d’années a interpellé le mari de Brigitte Macron sur le manque de moyens dans les hôpitaux et les « 5 700 lits » supprimés en 2020 : « Vous avez assassiné l’hôpital », a-t-il asséné. « Mais vous êtes fou ou quoi ? » s’est indigné le locataire de l’Élysée. « Vous êtes un vrai caméléon, Monsieur le Président », a enchaîné l’alsacien. « Regardez les faits, regardez l’hôpital quand j’ai été élu. Chaque année, on baissait le tarif hospitalier », lui a-t-il alors répondu, interrompu par la colère de son interlocuteur…  Twitter « Mais vous êtes fou ou quoi ? » : Emmanuel Macron s’énerve contre un Français qui l’interpelle dans la rue – © Capture vidéo Sarah Coulet MSN 13 avril 2022
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Direct 19 avril 2022 : Covidisme, duel MLP/macron, la France sombre dans la folie…

Direct 19 avril 2022 : Covidisme, duel MLP/Macron, La France sombre dans la folie… https://t.co/es6mtFjwGG — LeLibrePenseur (@LLP_Le_Vrai) April 19, 2022  
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ALERTE - Le Moskva coulé avec l'aide de l'aviation américaine

Dernière photo du Moskva Un avion de surveillance maritime américain survolait la mer Noire quelques minutes avant que le vaisseau amiral russe Moskva ne soit « touché par des missiles ukrainiens » La partie la plus tordue de l'histoire de " laquelle...
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La honte (ou la stratégie du kazat'choc)

Au début des années 1930, ma grand-mère, entendant un discours de Hitler à la radio (ils habitaient dans l'est et elle comprenait l'allemand) s'écria : "Cet homme va mettre l'Europe à feu et à sang !" Si une ménagère de l'époque était capable de percevoir la tragédie à venir, qu'en était-il des dirigeants européens ? Ceux-là mêmes qui fermaient les yeux ou encourageaient, souvent ostensiblement, le parti nazi et le réarmement de l'Allemagne face au "danger" soviétique ?
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Jean-Michel Macron salue "le courage" de son fils face à des Français "ingrats"...

Dans un entretien accordé à l'Est Républicain, Jean-Michel Macron dit son admiration pour la façon dont son fils dirige la France. (...) « J'ai beaucoup d'admiration pour la façon dont il dirige l'État actuellement. Je trouve qu'il faut avoir beaucoup de courage et que les Français sont très ingrats mais ce n'est pas nouveau », déclare Jean-Michel Macron, interrogé dans sa maison à Amiens pour les journaux régionaux du groupe Ebra. « J'approuve 90 % de ce qu'il fait. On n'est jamais d'accord à 100 %. Je - Avril / Social, Opinions, Emmanuel Macron
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Marine non fasciste : Michel Onfray a retrouvé ses esprits !

Eh ben, il était temps, Michel. On notera, parce qu'il ne l'a pas dit et que la Malherbe ne le dira pas, que les critères qui définissent le fascisme collent parfaitement à Macron et pas du tout à Marine : violence de la répression policière contre les Gilets jaunes, violence de rues antifas, neutralisation parlementaire, refus de la démocratie par la censure et l'état d'urgence permanent... #DegageonsMacron#TousContreMacronpic.twitter.com/uBC0akABAU — Collectif Carton jaune (@collCartonJaune) - Avril / Politique, Marine Le Pen, Michel Onfray
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Papa Macron au secours de son fiston : « Les Français sont ingrats »…

Le PROGRÈS – Jean-Michel Macron, le père d’Emmanuel Macron, nous a accordé une interview exclusive à Amiens à notre initiative. La parole du neurologue, qui vit toujours dans la maison où son fils a grandi, est rare. Il parle de … Lire la suite →
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Covid : l'Inde conteste les quatre millions de décès attribués par l'OMS

L'Inde conteste la méthodologie d'une étude à paraître de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui dresse un nouveau bilan des victimes de la COVID-19 dans le monde et révise à quatre millions au moins le nombre de morts dans ce pays. Les chiffres officiels indiens font état de 520 000 décès dus à la pandémie de coronavirus, soit le troisième bilan le plus lourd au monde, derrière les États-Unis et le Brésil. Selon le New York Times (NYT) la semaine dernière, New Delhi bloque la publication d'une - Avril / Santé, ONU
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lundi 18 avril 2022

Les travailleurs de la santé grecs entament une grève de la faim : « Nous n’avons pas besoin d’un passeport pour les vaccins pour être libres ».

Alors que la grève de la faim contre le vaccin COVID-19 imposé par la Grèce au personnel de santé entrait dans son 17e jour, un travailleur de la santé suspendu a déclaré hier à une foule de manifestants à Athènes …
http://dlvr.it/SNpBwH

Ukraine : juste les faits

Je vous laisse le soin de décider dans quelle mesure ce que vous disent les fabricants de consentement occidentaux concorde avec ces faits. - Avril / Défense, Géopolitique, Histoire, Société, Désinformation, OTAN
http://dlvr.it/SNnnDH

Le JDD contre la complosphère, ou Vincent Glad au tapin

On va vous expliquer comment un ignoble agent des médias mainstream, pourtant coupable de harcèlement prouvé sur Twitter, et de harcèlement grave, a pu échapper, grâce à sa participation à la propagande au service du Système, à une condamnation qui n'a pas été épargnée à d'autres, qui ont pourtant juste émis des opinions. D'abord, qui est Vincent Glad ? C'est un fils de banquier qui a fait des études de journalisme mainstream (ESJ Lille) pour devenir, à 21 ans seulement, le spécialiste français du - Avril / Justice & Droit, Internet, Désinformation, Délinquance , Emmanuel Macron
http://dlvr.it/SNmpmJ

Macron en meeting (raté) à Marseille : cette ville où les Français sont remplacés est « un laboratoire de la République »

Samedi, le président de la République cosmopolite tenait sa dernière réunion de la campagne de l’entre-deux tours, à Marseille. Campagne minimaliste qu’il avait commencé là-bas aussi. Signalons en passant que ce meeting a été un échec : 2500 personnes (surtout des boomers évidemment) se sont déplacées, contre 5000 attendues. La cité phocéenne est la ville-phare … L’article Macron en meeting (raté) à Marseille : cette ville où les Français sont remplacés est « un laboratoire de la République » est apparu en premier sur Contre-Info.
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dimanche 17 avril 2022

Marine Le Pen soupçonnée de détournement d'argent public par l'Office antifraude de l'Union européenne

Dans un rapport de l'OLAF révélé par « Mediapart », la candidate du Rassemblement national à la présidentielle et trois autres ex-députés européens sont accusés d'avoir détourné près de 620 000 euros d'argent public du Parlement de Strasbourg. Un rapport de l'Office européen de lutte antifraude (OLAF), transmis le 11 mars à la justice française, met en cause quatre anciens députés européens d'extrême droite, dont Marine Le Pen, pour avoir fait un usage abusif de près de 620 000 euros d'argent public, selon des - Avril / Économie, Politique, Justice & Droit, Bruno Gollnisch, Marine Le Pen, Corruption
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Elon Musk : "Mon but en rachetant Twitter est de rendre service à la liberté d'expression"

L'homme le plus riche du monde a lancé une OPA hostile sur Twitter, qu'il estime sous-exploité. S'il parvient à racheter le réseau social, cela aura des conséquences sur les fonctionnalités de la plateforme, mais aussi des répercussions économiques et politiques. Tous les yeux sont rivés sur Elon Musk depuis quelques jours. Après être devenu le premier actionnaire de Twitter, le patron de Tesla et de SpaceX a lancé une offre publique d'achat (OPA) non sollicitée sur le réseau social. Son but : en faire - Avril / Économie, Opinions, Internet, Liberté d'expression, Multinationales
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Découverte du plus grand et plus ancien édifice Maya au Mexique

En 2020, une équipe d’archéologues dirigée par le Japonais Takeshi Inomata, de l’université de l’Arizona, publiait dans la revue scientifique américaine Nature le résultat d’explorations menées depuis 2017 autour du lieu-dit Aguada Fénix, dans l’Etat de Tabasco, non loin de la frontière avec le Guatemala : la mise en évidence d’une plateforme de pierre ne dépassant pas quinze mètres de hauteur, mais de presque 1,5 kilomètre de long et 400 mètres de large. Un volume supérieur à celui de la grande pyramide de Gizeh, en Egypte. Bâti entre les XIe et IXe siècles avant notre ère, cet édifice gigantesque est aussi la plus ancienne construction jamais découverte dans le monde maya. Surtout, il révolutionne la compréhension de l’organisation politique de ce peuple précolombien et éclaire sur ses liens avec les Olmèques, dont la civilisation, la plus ancienne de Mésoamérique, s’épanouissait sur les terres donnant sur le golfe du Mexique, à cheval sur les Etats de Veracruz, Tabasco et Campeche. Découverte d’un monument maya inconnu Takeshi Inomata avait déjà réalisé des fouilles au Guatemala et décelé des traces d’influences olmèques dans cette zone maya. L’archéologue a alors décidé d’explorer la région limitrophe du Mexique avec le Guatemala, persuadé qu’il découvrirait des [...]
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La refonte de l’Otan menace la Russie et la paix dans le monde

L'Otan a annoncé une refonte qui implique une augmentation significative des troupes de l'Alliance atlantique en Europe de l'Est. Les experts sont convaincus que les réformes de l'Otan remodèleront fondamentalement l'architecture de la sécurité en Europe et entraîneront la Russie et l'Occident dans une nouvelle course aux armements. Est-ce que l'initiative de l'Alliance atlantique signifie-t-elle tout simplement le risque d'un affrontement direct avec la Russie?
http://dlvr.it/SNjPM1

samedi 16 avril 2022

Jordan Bardella accuse Patrick Liste Noire Cohen d'"hostilité" à l'égard du RN

Tout le mépris et l'hypocrisie de Liste Noire Cohen sont résumés ici. Cette confrontation résume à elle seule la situation du peuple français vis-à-vis de ses élites artificielles. Malgré nos multiples invitations, pourquoi Marine Le Pen ne cesse de refuser de venir sur le plateau de #CàVous ? On a posé la question à @J_Bardella ⬇️ pic.twitter.com/o0ppGAamWz — C à vous (@cavousf5) April 15, 2022 - Avril / Médias, Opinions, Front national, Services publics
http://dlvr.it/SNj7GN

Le rejet des élites françaises et de leur idéologie toxique en images

Nous n'allons pas commenter ces images, qui se suffisent à elles-mêmes, et qui disent l'exaspération du peuple de France devant l'indignité flagrante de ses élites. Le pouvoir est capté par une micro-minorité, qui, dès qu'elle est remise en cause, hurle au fascisme, à l'antisémitisme, et appelle la police – sa police ! – pour mater tout début de mutinerie dans le sang. Heureusement, il reste encore de bons flics. Oui le programme de #zemmour, @MLP_officiel et @dupontaignan sont en faveurs des #policiers et - Avril / Politique, Société, Santé, Humour, Tradition, LRPS, Forces de l'ordre, Emmanuel Macron
http://dlvr.it/SNhqlZ

Le discours de Vladimir Poutine du 11 avril 2022

Cliquez ici pour écouter le discours du président Poutine traduit en français. - Avril / Défense, Géopolitique, Histoire, OTAN, Vladimir Poutine
http://dlvr.it/SNhTYp

Jetons les idées reçues à la rivière !

Le jeudi à 20h30, Jacques Cheminade donne son éclairage sur l'actualité la plus essentielle, en direct sur notre page Facebook. - Analyses / Contenu frais, Politique, EJC, Vidéo, France, Important, Crise financière, Guerre, Jacques Cheminade, Ukraine
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vendredi 15 avril 2022

Que faire pour le 2e tour de l’élection présidentielle ? [2e partie] – François Asselineau

#ToutSaufMacron #LePen #2022 L’article Que faire pour le 2e tour de l’élection présidentielle ? [2e partie] – François Asselineau est apparu en premier sur Union Populaire Républicaine | UPR.
http://dlvr.it/SNfgnR

Non, rien. Saison 3 Épisode 6

Ils n'ont pas apprécié. Dimanche 3 avril 2022, les internautes ont fait part de leur mécontentement lorsque des images d'archive d'Ary Abittan ont été diffusées dans le documentaire Qu'est-ce qu'ils ont fait au Bon Dieu ?. Alors que le premier volet de la saga a été diffusé sur TF1, la chaîne en a profité pour revenir sur les origines de la comédie populaire. C'est donc en plein tournage ou encore en promotion que l'on redécouvre le comédien. Une présence à l'écran qui n'a pas été la bienvenue puisque, pour - Avril / People, Justice & Droit, Santé, Sport, Sécurité, Éric Zemmour, Pédocriminalité, Marine Le Pen, Sexualité, Emmanuel Macron
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Prodiges et vertiges de l'info-hacking

Ces images que vous ne verrez pas avant longtemps... Rapprocher techniques de hacking et déontologie journalistique avec, pour unique objectif, la production d’une information de qualité, ne va pas de soi : rares sont les personnes qui peuvent allier expertise technique, qualité d’écriture, travail d’équipe et rigueur méthodologique. Distribution d'armes, quelque part en Ukraine, mars 2022 - © Reflets À l'occasion de notre article sur les caméras mal protégées des voitures des forces de sécurité de la ville de Kyiv, nous avons été plusieurs fois interrogés sur le concept d'info-hacking. Le travail entamé par la rédaction depuis plusieurs semaines sur le conflit ukrainien éclaire au quotidien les avantages et les écueils inhérents à notre façon de procéder. Prodiges de l’info-hacking Nos caméras nous permettent d’accéder à l’information sans risquer la vie de nos journalistes. Elles nous fournissent par ailleurs une façon originale d’informer que l'on ne retrouve pas ailleurs. Et pour cause. Précisons tout de suite une chose: nous ne nous appuyons pas sur des données existantes. Nous n’utilisons pas Shodan, et encore moins Censys. Les données de ces sites sont trop peu nombreuses, et pas suffisamment souvent mises à jour pour être fiables. Nous disposons de nos propres outils, recherchons nous-mêmes les caméras et les moyens d’y accéder. Nous procédons, de façon autonome, à leur géolocalisation, à l’analyse des flux et à la mise à disposition de ces données dans une base de données privée et partagée au sein de la rédaction. Deux serveurs de vidéosurveillance nous permettent de faire de l’enregistrement en temps réel, de la détection de mouvement, et nous donnent accès à d’autres fonctionnalités intéressantes. Les outils existant en ligne ne permettent pas de maintenir efficacement une infrastructure de cette nature. Les caméras de Reflets : 2500 flux dans...
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