Voici les derniers résultats du réseau Sentinelles (685 généralistes et 51
pédiatres libéraux) : le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 16e semaine de 2021 est de 25 cas/100.000. Le taux de la semaine 16 est inférieur à celui de la semaine précédente (27) et de celle d’avant, pas d’augmentation spectaculaire comme indiqué dans les médias de propagande. La baisse se confirme donc depuis plusieurs semaines maintenant (depuis la S12).
Nous sommes encore très loin des taux d’incidence épidémique de la grippe saisonnière qui se situe, rappelons-le, entre 150 et 200 cas pour 100.000 habitants.
Rappelons aussi que le taux de Sentinelles correspond aux vrais malades symptomatiques rencontrés dans 736 cabinets médicaux du territoire et testés (dont 51 pédiatres libéraux) ; ce ne sont pas des tests PCR positifs qui ne correspondent à aucune réalité clinique.
Pourtant certains morticoles inconscients et irresponsables continuent de parler à longueur de journée sur les plateaux télé de situation catastrophique… !
http://dlvr.it/RydnlY
mercredi 28 avril 2021
Covid-19 : Pfizer fait exploser le prix de son vaccin (et s’en vante) !
Tout ceci est un affaire de business et de gros sous ! Passer de 12€ à 19.5€ la dose en quelques mois est une insulte. Il faut être totalement stupide pour ne pas comprendre l’escroquerie ! Le groupe pharmaceutique profite d’une demande en hausse pour gonfler le tarif de ses doses de vaccins commandées par l’Union européenne de 12 à 19,50 euros.
Et ce n’est qu’un début…
Fort du succès de son vaccin contre le Covid-19, Pfizer en augmente le prix. D’après le premier ministre bulgare, la multinationale américaine, associée au laboratoire allemand BioNTech, fait, à l’occasion d’une nouvelle commande de l’Union européenne (UE) pour 1,8 milliard de doses – un volume faramineux qui, entre achats fermes et options, double presque à lui seul le montant des précommandes jusque-là –, passer le tarif à l’unité de 12 à 19,50 euros.
Alors que la Commission refuse depuis des mois de faire la lumière sur les prix de ses achats auprès des géants pharmaceutiques, le premier ministre bulgare, Boïko Borissov, brise nolens volens l’omerta. « Pfizer était à 12 euros, puis c’est devenu 15,50 euros. Et maintenant, on signe des contrats pour 900 millions de vaccins (achats fermes – NDLR) au prix de 19,50 euros. Ce qui représente 18 milliards d’euros ! Beaucoup de variants vont apparaître, et donc on aura une première injection, une deuxième, puis une troisième et une quatrième ! Cela va avoir un impact sur les budgets des prochaines années. » Les marchés financiers ramassent la mise
C’était couru d’avance, et ça se produit encore plus tôt que prévu… Depuis des mois, la multinationale, dont les dix plus gros actionnaires sont des fonds d’investissement américains, de Vanguard à BlackRock en passant par State Street et Morgan Stanley, prépare les marchés financiers à ramasser la mise de la catastrophe sanitaire mondiale.
À la mi-mars, lors d’un séminaire en visioconférence organisé par la banque d’affaires britannique Barclays, deux des plus hauts dirigeants de Pfizer ont, non sans cynisme, évoqué leurs lucratives perspectives : troisième dose à injecter face aux variants, rappel annuel de vaccination, etc. « Les forces normales du marché… »
Mieux encore pour eux : les prix sont, parient-ils, appelés à augmenter avec le reflux du nouveau coronavirus du stade pandémique vers le stade épidémique. « Si vous regardez comment la demande et les prix actuels sont déterminés, il est clair qu’ils ne sont pas déterminés par ce que j’appellerais les conditions normales du marché ou les forces normales du marché, relève Frank D’Amelio, directeur financier et vice-président de Pfizer. Ils sont déterminés par la situation de pandémie dans laquelle nous nous trouvons et par les besoins des gouvernements de se procurer des doses auprès de divers fournisseurs de vaccins. »
Mais le patron voit la lueur au bout du tunnel : « Ce que nous croyons, c’est que les forces normales du marché ne vont pas tarder à se rebiffer. Les facteurs comme l’efficacité, la capacité de doper l’immunité deviendront encore plus déterminants, et nous voyons ça comme une grosse opportunité pour la demande de notre vaccin et pour son prix. Donc, en clair, beaucoup est à venir. » Bientôt 150 euros la dose ?
Selon les indiscrétions, le prix du vaccin Pfizer pourrait ainsi dans les prochains mois s’envoler à 53,40 euros pour l’UE et, à l’issue de la pandémie, il se stabiliserait même autour de 150 euros pour les rappels annuels. De quoi bien comprendre pourquoi la multinationale se bat, avec l’ensemble des géants pharmaceutiques, contre toute levée des brevets sur toutes les technologies contre le Covid-19…
C’est ce privilège exorbitant que questionnent les partisans du vaccin comme « bien public mondial ». Et la lecture du rapport annuel de BioNTech, le partenaire de Pfizer, leur donne raison : les coûts de recherche et développement (R & D) pour ce vaccin n’ont pas dépassé le milliard d’euros, une somme partagée à parts égales entre les deux, alors que le laboratoire européen a reçu des aides de Bruxelles et de Berlin pour un montant cumulé de près de 445 millions d’euros.
À rebours des grands discours de Big Pharma et de ses lobbyistes, la part de la R & D est, en vérité, largement résiduelle, en comparaison des 50 à 60 milliards d’euros de chiffres d’affaires déjà engrangés pour leur vaccin par Pfizer et BioNTech. L’ONG américaine Health GAP ajuste l’estimation des mégaprofits attendus par la multinationale, qui avait annoncé l’hiver dernier une marge brute, déjà considérable, de 25 à 30 %. Les experts citoyens l’évaluent désormais entre 60 et 80 %. Et d’interroger, brutalement : « Le président Biden et les autres dirigeants des pays riches vont-ils laisser la cupidité provoquer plus de fosses communes encore ? »
Thomas Lemahieu
14 Avril 2021
http://dlvr.it/Rydnl1
http://dlvr.it/Rydnl1
Vaccin d’AstraZeneca : des effets secondaires réels ou des effets nocebos ?
Une nouvelle astuce de Big Pharma, qui relève de la chutzpah, vient d’être diffusée par les médias : les effets secondaires du vaccin AZ ne sont rien d’autre qu’un effet nocebo ! Certains effets secondaires rapportés par les personnes ayant reçu le vaccin d’AstraZeneca peuvent être amplifiés par la crainte qu’il suscite, croient des experts, qui plaident pour une meilleure relativisation des risques que pose ce dernier pour la santé.
Aussi rares soient-ils, les cas de caillots sanguins causés par le vaccin d’AstraZeneca alimentent un sentiment de méfiance qui peut en exacerber les effets négatifs. Il existe un terme pour expliquer ce phénomène : l’effet nocebo, explique le professeur Mahyar Etminan, du département d’ophtalmologie, de médecine et de pharmacologie à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC).Cette notion, contraire au placebo, décrit un résultat négatif qui se produit en raison de la croyance que l’intervention causera un préjudice, précise-t-il. Des effets « attendus »
Elizabeth Lefrançois a reçu avec enthousiasme sa première dose du vaccin d’AstraZeneca il y a une semaine. Le soir venu, des symptômes sont apparus : des frissons, des effets grippaux, de la fatigue et des maux de cœur. « Comme un mélange de grippe et de lendemains de veille », décrit la Vancouvéroise dans la quarantaine.
Mme Lefrançois n’était pas inquiète outre mesure même après avoir été prévenue que des effets indésirables pouvaient résulter de la vaccination. Toutefois, elle admet que les cas de thromboses rapportés par les autorités sanitaires suscitent chez elle certaines craintes.
« C’est sûr qu’on y pense. Je viens de voir qu’une femme est décédée au Québec. Peut-être que ça fait qu’on remarque plus nos effets secondaires », se questionne-t-elle.
« Le nombre de thromboses versus le nombre de vaccins est minime, mais ça reste qu’on est humain et quand on voit quelqu’un qui en tombe malade, ça inquiète », ajoute Mme Lefrançois.
Le lien de causalité n’a pas été déterminé entre le décès d’une femme en Montérégie, au Québec, et la vaccination à l’AstraZeneca. Une enquête est en cours. L’AstraZeneca sous le microscope public
À moins d’étudier les effets secondaires dans une étude bien contrôlée, il est difficile de dire s’il existe un lien de causalité entre le vaccin et les sensations ressenties par les patients, ou s’il s’agit d’un effet nocebo, reconnaît le professeur Etminan.
Or, le concept joue ici un rôle significatif, estime-t-il. Sous le microscope médiatique, le vaccin d’AstraZeneca prend ainsi une place plus large dans la conscience populaire. «Le fait que ce soit dans les nouvelles tous les jours ajoute de l’huile sur les flammes», dit-il.
Le vaccin de l’AstraZeneca n’est pourtant pas le seul qui pourrait avoir des effets secondaires sévères. Des études menées en Israël explorent le lien entre le vaccin de Pfizer-BioNTech et des inflammations du muscle cardiaque.
«Tous les vaccins et les médicaments présentent des effets indésirables», rappelle Horacio Bach, professeur à la Faculté de médecine de l’Université de la Colombie-Britannique.
L’un des problèmes liés à la réputation négative du vaccin d’AstraZeneca repose sur le fait que des informations sont rapportées avant que les conclusions ne soient énoncées, selon lui.
« L’enquête doit d’abord être menée avant d’annoncer des causalités, parce que, s’il faut se rétracter, le mal est fait, et la confiance du public est déjà entachée », explique-t-il. … Photo d’illustration : Le vaccin AstraZeneca pourra être offert aux Canadiens de 30 ans et plus s’ils ne désirent pas attendre pour obtenir un vaccin à ARNm, comme ceux de Pfizer-BioNTech ou Moderna. © LUIS ACOSTA/Getty Images
Geneviève Lasalle
MSN Actualité 28 avril 2021
http://dlvr.it/Rydnc9
http://dlvr.it/Rydnc9