jeudi 25 novembre 2021

Plein emploi ? Ce n’est pas gagné

Par Nathalie MP Meyer. Dans sa note de conjoncture du 6 octobre dernier, l’INSEE prévoyait que le taux de chômage baisserait fortement au troisième trimestre 2021, pour atteindre 7,6 % de la population active en France entière hors Mayotte après les 8 % du second trimestre. Une perspective plaisante qui fleurait bon la possibilité du plein emploi bientôt retrouvé et qui poussa immédiatement le ministre de l’Économie Bruno Le Maire à mettre en avant l’action absolument novatrice de la majorité LREM dans la renaissance économique vécue actuellement par le pays (vidéo ci-dessous, 01′ 46″) : « Pour la première fois depuis un demi-siècle, la France peut atteindre ce que les autres grandes nations développées ont atteint depuis des années : le plein emploi, soit un niveau de chômage de 5 à 6 %. » (Assemblée nationale, le 11 octobre 2021)     L’étrange bilan de Bruno le Maire Il est bon de reconnaître que la France est très en retard parmi ses pairs du monde développé. Mais entendre le ministre s’exclamer sur le ton satisfait qui le caractérise en toutes circonstances qu’aucun gouvernement depuis 20 ans n’avait eu le courage de lancer une politique de l’emploi cherchant à renforcer la compétitivité des entreprises, à mieux former les salariés, à baisser les impôts et à résister à la tentation d’augmenter les taxes, c’est déjà une autre histoire. Outre qu’il y aurait beaucoup à redire sur chacun des points avancés par le ministre pour vanter l’excellence des choix d’Emmanuel Macron, notamment sur le fait que le « quoi qu’il en coûte » covidien a été érigé en politique publique généralisée (voir par exemple ici et ici), on a aussi envie de rappeler à M. Le Maire qu’il y a 20 ans, il arpentait déjà les allées du pouvoir dans les cabinets de Chirac et Villepin, avant de devenir secrétaire d’État puis ministre de Sarkozy jusqu’à la parenthèse Hollande de 2012-2017. Il était déjà très content de lui, mais que faisait-il ? Rien, si l’on en croit sa nouvelle thèse sur l’inactivité crasse des gouvernements précédents. Mais de toute façon, tout cet enthousiasme sur l’emploi semble maintenant légèrement prématuré puisque l’INSEE a livré ses chiffres effectifs du troisième trimestre 2021 et situe notre taux de chômage à 8,1 % de la population active France hors Mayotte, après 8,1 % au quatrième trimestre 2019 (avant la pandémie), des hauts et des bas non significatifs de 7 % à 9 % au cours de l’année 2020 (au plus fort des restrictions d’activité) et un rétablissement aux alentours de 8,0 % en 2021 (reprise de l’activité) : De son côté, la direction de la statistique du ministère du Travail (ou DARES) a fait de même et il s’avère que le nombre de demandeurs d’emploi sans aucun emploi (catégorie A) en France entière hors Mayotte est revenu peu ou prou à son niveau de fin 2019, soit un peu plus de 3,5 millions de personnes. Si l’on tient compte des personnes ayant eu un emploi de courte durée dans le trimestre (catégories B et C) puis celles actuellement en stage, formation ou emploi aidé (catégories D et E), le chiffre monte à 5,9 puis 6,7 millions, soit assez nettement plus qu’en 2019. J’ai récapitulé tous ces éléments chiffrés dans le tableau ci-dessous. Pour en faciliter la lecture, voici quelques explications préalables sur nos deux suivis du chômage : Méthode statistique1  La DARES comptabilise les chômeurs effectivement inscrits dans les listes de Pôle emploi tandis que l’INSEE se fonde sur une enquête trimestrielle portant sur un échantillon représentatif de 110 000 personnes selon les critères du Bureau international du travail ou BIT. Halo autour du chômage de l’INSEE  Nombre de personnes désireuses de travailler mais non comptabilisées parmi les demandeurs d’emploi car non immédiatement disponibles ou n’effectuant pas de recherche active. Les chiffres de l’Allemagne et des Pays-Bas Donnés à titre de comparaison ils sont issus des publications de l’Union européenne qui collecte les statistiques d’emploi des États membres sur la base des recommandations du BIT. Chômage France entière (hors Mayotte) fin 2019, fin 2020 et au troisième trimestre 2021 Sources : Dares (2019 & 20, 2021) – Insee – Eurostat (2019 & 20, 2021) – Milliers ou % Alors oui, on peut dire comme Bruno Le Maire que la France a retrouvé cet automne le niveau d’emploi d’avant la crise du covid. Tout est revenu à l’identique dans ce pays « pas comme les autres » qui se fait une gloire d’être plus généreux et plus épris de justice qu’ailleurs dans le monde – système social lourdingue inchangé, bureaucratie tatillonne inchangée, État en première ligne pour faire des plans de développement pour les autres alors qu’il est incapable de se gérer lui-même. Un changement, cependant, et de taille : la dette publique est passée de 98 à 115 % du PIB en 2020. D’après l’INSEE, elle se montait à 2376 milliards d’euros à fin 2019 et elle atteint maintenant 2762 milliards. Un alourdissement spectaculaire de près de 400 milliards en quelques mois qui ne signifie qu’une seule chose : les prélèvements obligatoires que M. Le Maire se flatte d’avoir baissés ou de ne pas avoir augmentés, alors qu’à 45 % du PIB ils sont déjà parmi les plus élevés du monde développé, seront nos impôts futurs voire les impôts de nos enfants. De bons résultats… en apparence Il n’empêche que le gouvernement empile savamment les motifs de satisfaction. Non seulement le taux de chômage a retrouvé son niveau de 2019, mais le taux d’activité (incluant les personnes en recherche d’emploi) et le taux d’emploi se redressent nettement après le repli dû aux restrictions anti-covid : Sources : INSEE (2019 – 2020 – 3T 2021 ) – Note : Les données soulignées sont issues des publications de l’INSEE, les autres données sont calculées à partir des précédentes. Le taux d’activité serait même à son plus haut niveau depuis que l’INSEE le mesure au sens du BIT (1975) et il dépasse son niveau d’avant crise. C’est du reste le point que la ministre du Travail Elisabeth Borne met en avant pour expliquer que malgré le rebond économique de 2021 – croissance de 6,25 % prévue sur l’année – le taux de chômage peine à descendre en dessous d’une sorte de plancher de verre à 8 % : « Le paradoxe, c’est que le taux de chômage ne baisse pas. Pourquoi ? C’est parce que, avec la reprise économique et le nombre important d’offres d’emploi, certaines personnes qui ne cherchaient plus de travail se sont remises à chercher. » La limite de ce genre d’explication, c’est que si personne ne se met à chercher du travail ou si des personnes qui en cherchaient n’en cherchent plus, le taux de chômage sera forcément en baisse. On le voit très bien chez les seniors de 50 à 64 ans : au troisième trimestre 2021, le taux d’activité y est plus bas que la moyenne française (69,5 % contre 73,5 % et même 60 % pour les 55-64 ans) et le taux de chômage nettement plus agréable qu’en France entière (5,9 % contre 8,1 %). Mais l’effet est trompeur. Non pas que le dynamisme du marché du travail soit fabuleux pour cette tranche ; simplement, peu nombreuses sont les personnes en recherche d’emploi, en raison notamment de départs en retraite précoces par rapport aux 64 ans qui marquent la limite du groupe. À l’inverse, chez les 15-24 ans, le taux d’activité est nettement plus bas (41,1 %) en raison du lycée et des études supérieures, mais ils sont proportionnellement beaucoup plus nombreux à rechercher du travail, d’où un taux de chômage de 20 %. Si l’on compare la France aux autres pays de l’OCDE, et notamment à ses grands voisins européens, on constate que ses taux d’activité sont systématiquement plus bas. C’était vrai en 2019 : Taux d’activité, OCDE 2019 Taux d’emploi, OCDE 4T 2019 Et c’est toujours vrai en 2021 (ici) : Taux d’activité, OCDE, 2T 2021
http://dlvr.it/SD9pVg

« Maison commune » rassemble la macronie pour les législatives

Par Laurent Sailly. « Ensemble citoyens ! » sera officiellement lancé le 29 novembre avec un meeting à la Maison de la Mutualité à Paris, cinq mois avant l’élection présidentielle de 2022, selon une source parlementaire rapportée par Franceinfo mardi 23 novembre, confirmant une information de BFM TV. C’est à l’hôtel de Lassay, résidence parisienne du président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, qu’une dizaine de dirigeants des principaux courants qui composent la majorité avait rendez-vous pour diner, mercredi 17 novembre dernier. Autour de l’hôte de la soirée, on pouvait trouver l’ancien Premier ministre Édouard Philippe (Horizon), François Bayrou président du MoDem, le chef de file des députés LaREM Christophe Castaner, François Patriat le président du groupe macroniste au Sénat, ou encore Olivier Becht qui dirige le groupe Agir au Palais-Bourbon. Après plusieurs semaines de réunion, il s’agissait de valider le nom du mouvement qui les réunira en vue des proches échéances électorales, présidentielles et législatives. Il faudra plus de 4 heures de discussion pour que les dirigeants de la majorité présidentielle s’entendent pour lancer un nouveau mouvement, « Ensemble citoyens », avec un objectif en tête : afficher un seul candidat par circonscription pour les prochaines législatives. Mais cet accord ne doit pas cacher les réticences d’Édouard Philippe. Un objectif commun : les législatives de 2022 Pour les dirigeants de la majorité présidentielle, il ne fait aucun doute d’une part qu’Emmanuel Macron sera candidat à sa propre succession et, d’autre part qu’il sera réélu. Les différentes composantes de la majorité – LREM, MoDem, Horizons, Agir, Terres de progrès, En Commun – ont trouvé un terrain d’entente autour de trois accords fondamentaux. Le premier paraît une évidence : le soutien entier à Emmanuel Macron pour l’élection présidentielle de 2022. Les deux autres laissent entrevoir la faiblesse du mouvement et des inquiétudes évidentes au sujet des résultats des législatives. D’abord, la « maison commune » n’est pas un nouveau parti. Un participant au diner du 17 novembre résume : C’est plus qu’une bannière commune, mais ce n’est pas non plus un parti unique dans lequel chacun se fondrait. Selon un ministre proche d’Édouard Philippe : C’est une bannière, juste une bannière, et chacun restera chez soi. Aussi est-il laissé la possibilité aux différents partis qui composeront « Ensemble citoyens ! » de mettre en place des coopérations renforcées (ce qui semblerait devoir être le cas entre LREM et MoDem) voire des fusions (Horizons et Agir seraient sur cette voie). Il ne faut pas être un analyste politique expérimenté pour imaginer en 2022 une réélection massive des députés LaREM sortants. Même avec la dynamique d’une éventuelle réélection d’Emmanuel Macron liée à l’inversion du calendrier électoral, les projections semblent, au mieux, donner une majorité relative à la majorité présidentielle au Palais Bourbon. Aussi, afin d’éviter les combats fraternels, l’accord prévoit un candidat commun dans toutes les circonscriptions pour les élections législatives, avec une instance chargée d’harmoniser les choix des uns et des autres. Le combat des chefs d’Ensemble Citoyens La maison commune sera-t-elle capable de résister aux egos ? Un quadriumvirat –  Richard Ferrand, François Bayrou, Édouard Philippe et Jean Castex – dirigera la nouvelle structure de façon collégiale. Pourtant, et depuis Philippe I le torchon brûle entre le Havrais et le Béarnais. D’un côté, François Bayrou craint que son parti ne soit lésé lors de l’attribution de circonscriptions gagnables au profit de l’ancien Premier ministre. Le maire de Pau estime « avoir été très loyal au président pendant tout le quinquennat », confiait un député centriste auprès de BFMTV.com en octobre dernier. De l’autre, le maire du Havre « se voit comme celui qui va peser dans le prochain quinquennat par le biais d’un futur groupe à l’Assemblée. Il fait très attention à ce que Bayrou ne récolte pas trop d’attention… et de députés à la fin », expliquait à BFMTV.com un député de l’aile droite de la majorité. Et déjà un couac chez Ensemble Citoyens La soirée lors de laquelle ces partis jetteront les bases de cette association se tiendra à la Maison de la Mutualité à Paris, le lundi 29 novembre. Pourtant, initialement, le bureau exécutif de LaREM avait fixé la date du 28 novembre, et d’ailleurs, la Maison de la Mutualité avait retenu cette date. Mais il semblerait qu’Édouard Philippe (dont c’est la date anniversaire) n’a pas été consulté. Or l’ancien Premier ministre a longtemps été réticent à la création de cette maison commune tout en rappelant son soutien indéfectible au président de la République. Mais pour les cadres LaREM, le temps presse. En effet, la cinquième vague de l’épidémie de la Covid-19 semble reprendre et côté politique, la droite républicaine occupe le terrain avec ses primaires. Afin de ne pas froisser les susceptibilités et face à ce timing serré, on apprend ce mardi matin que la cérémonie officielle était reportée d’une journée, soit au 29 novembre. Après des mois de tractations, Emmanuel Macron a désormais une majorité formellement réunie derrière lui. Il ne reste donc plus qu’une seule inconnue : la date de son entrée en campagne officielle. Ces articles pourraient vous intéresser: Édouard Philippe veut sa part du gâteau Que reste-t-il de la « deuxième gauche » ? Les « réformes » d’Emmanuel Macron entre étatisme et écologisme Européennes : RN et LREM dominent en France mais s’isolent en Europe
http://dlvr.it/SD9pVH

La crise de l’hôpital atteint des niveaux inquiétants

Par Bernard Kron. On entend très peu de propositions réalistes au sujet de la crise de la santé dans les débats. Les sénateurs harcelés dans leurs circonscriptions en perdent leur sang froid et proposent des solutions aberrantes comme le conventionnement sélectif. La France devrait disposer d’un excellent système de soins car les dépenses pour la santé représentent une part de sa richesse nationale plus élevée que la moyenne des autres pays développés, soit 12 % du PIB pour la seule consommation des soins et biens médicaux, les honoraires médicaux ne représentant plus que 10 % de ces dépenses. Sur les 787 milliards d’euros dépensés chaque année pour la protection sociale, la dépense moyenne par habitant est de 11 800 euros. Ainsi, 270 milliards d’euros lui sont consacrés. Malgré cela, tout va de plus en plus mal malgré le Ségur de la santé. Malheureusement avec la covid, les recettes de l’État sont compromises par un chômage élevé et par des mesures de sauvetage des entreprises menacées de faillite par la pandémie. Heureusement, l’économie est repartie. La suradministration, la multiplication des normes, des agences et des lois santé sont quelques exemples des défis à relever face à des soignants exaspérés. Les fraudes à la carte vitale, dénoncées par Charles Prats rendent impossible d’atteindre un équilibre sans régler ce scandale. Un bouleversement profond de tout le système pointe à l’horizon. Avec les déficits, comment procéder au financement de la cinquième branche adopté par l’Assemblée nationale ? Tout doit être reconstruit. Les études de médecine La fausse réforme de la première année avec le PASS/LAS pour accéder à la deuxième année est un trompe-l’œil. Certaines universités donnent 70 % de la note lors d’un oral très court sur des sujets divers comme la surproduction des voitures ou la grande barrière de corail. La sélection s’opère donc après la première année sur des critères non médicaux et élimine ainsi souvent les meilleurs. Sur les 60 000 étudiants en L1 seulement 10 000 seront admis en L2, ce qui est insuffisant pour repeupler les déserts médicaux, d’autant que plus de 20 % de ces étudiants changeront d’orientation. Sans le dire, l’État compte sur les assistants médicaux et les délégations de tâches pour régler ce problème… il se trompe. Depuis que j’ai posé mon bistouri, la situation se dégrade à ma grande tristesse. La prise en charge de l’épidémie de Covid-19  a été compromise par l’impréparation de l’État, l’absence de masques et la pénurie de personnels soignants. L’incroyable paralysie du système à cause de l’inertie de son administration devrait interpeller les décideurs. On ne soignait plus, on attendait. De nombreux malades en sont morts. Il a fallu confiner pour ne pas submerger l’hôpital et annuler les interventions chirurgicales non urgentes. De nombreuses interventions sont en attente et de nombreux blocs opératoires restent fermés. En France on meurt de maladies aiguës ou de soins inadaptés. La suppression des concours hospitaliers a fait disparaître l’élitisme moteur de nos métiers. Les élites médicales sont en effet indisciplinées et dérangent le monde politique. Il fallait donc les abattre. À terme, le but réel est de remplacer les médecins de famille par des officiers de santé qui s’appuieront sur l’Intelligence artificielle en gardant les médecins référents comme chef d’orchestre. Chercher à être honoré à titre personnel pour le service rendu et la compassion  manifestée est devenu une attitude suspectée de paternalisme. Le médecin devenu agent de santé publique n’est désormais plus reconnu pour un acte libre et personnel, mais payé par l’État. On le récompensait en applaudissant et en lui donnant des médailles. Maintenant, s’il n’est pas vacciné, il est accusé d’être responsable de la diffusion de la maladie. Le système de soins et la crise de l’hôpital À l’automne 2020 la pandémie a conduit à un reconfinement. Elle a perturbé tout le système de soins. Cette vague automnale ne sera pas la dernière et fait craindre le pire car les personnels sont épuisés et démissionnent. Refonder le système de santé et l’Hôpital sera difficile car l’économie menace de s’écrouler. Le Premier ministre dont c’est la mission ne pourra pas mener à bien la restructuration de tout le système. Il était en effet déjà à la manœuvre dans le passé et donc l’un des acteurs néfastes de cette crise. Le Ségur de la santé est un mirage car il est piloté par ceux qui depuis plus de 20 ans sont à l’origine de cette crise. Une augmentation de salaire de 200 euros en moyenne ne calmera pas les esprits car les personnels sont à bout. Les drames qui se sont multipliés malgré le dévouement admirable de tous les soignants ont démontré les faiblesses et les failles de l’Hôpital. Même pour les traitements précoces on est resté dans le flou laissant peser l’incertitude sur leur efficacité. Rien n’a été fait pendant l’été pour préparer les hôpitaux à ces vagues. Tout était pourtant prévisible comme je l’annonce dans mon livre Blouses Blanches : pas de recrutements car pas assez de candidats à la sortie des écoles ; pas d’étudiants formés en fin de cycle aux gestes de base de la réanimation après les vagues précédentes ; il manque toujours 6000 lits en service de réanimation. La haute administration a paralysé toute la chaîne de soins. Un État centralisateur dirigé par des énarques ne peut pas comprendre qu’il faut laisser les soignants faire leur métier car dans ces écoles les hauts fonctionnaires apprennent le contraire. Tout miser sur les vaccins est une erreur car l’immunité est courte et les vaccinés restent transmetteurs. Les gestes barrières, que l’on soit vacciné ou non, doivent être maintenus. Conclusion Toutes ces erreurs et ces mensonges ont eu des conséquences sur le niveau de confiance des Français par ailleurs nombreux à ne pas pouvoir trouver de médecin. Cette situation devrait avoir une influence majeure sur les prochaines élections présidentielles. Quel candidat comprendra que la santé est une priorité majeure et que sans soignants bien formés et en nombre suffisant l’hôpital va s’écrouler ? Il faudra bien trouver des financements pour former des soignants et mettre en place la cinquième branche pour la dépendance. Je propose des solutions simples et économes qui permettraient de sortir la santé du gouffre qui la menace. Qui voudra les mettre en œuvre ? Ces articles pourraient vous intéresser: Nous allons vers l’étatisation de la santé Le Covid a dévoilé la pauvreté du système de soins Covid : la France peut-elle accueillir des patients étrangers en réa ? Covid : soyons des humains libres du XXIe siècle ! (3)
http://dlvr.it/SD9pTw

La Covid-19 a rendu les démocraties plus autoritaires

Par Eric Boehm. Un article de Reason La pandémie de Covid-19 contribue à un déclin significatif des valeurs démocratiques à travers le monde, de nombreux pays ayant pris des mesures agressives et autoritaires pour tenter d’enrayer la circulation du virus. Si vous n’avez pas vécu sous une pierre ces deux dernières années, ce n’est probablement pas une surprise. Pourtant, un nouveau rapport de l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale, une organisation mondiale à but non lucratif basée en Suède, offre un aperçu complet de la tendance inquiétante à l’érosion démocratique – une tendance qui a été favorisée par la pandémie, même si ses racines sont plus profondes. L’institut avertit : Le monde devient plus autoritaire, les régimes non démocratiques devenant encore plus effrontés dans leur répression et de nombreux gouvernements démocratiques souffrant d’un retour en arrière en adoptant leurs tactiques de restriction de la liberté d’expression et d’affaiblissement de l’État de droit, exacerbées par ce qui menace de devenir une « nouvelle normalité » de restrictions Covid-19. Selon le groupe, le nombre de pays qui deviennent plus autoritaires est trois fois supérieur au nombre de pays qui se rapprochent de la démocratie. Cette année est la cinquième année consécutive où la tendance va dans ce sens, la plus longue période ininterrompue d’évolution pro-autoritaire depuis que l’IDEA a commencé à suivre ces paramètres en 1975. Bien sûr, cette tendance est antérieure à la pandémie de Covid-19, mais les réponses gouvernementales au virus ont aggravé la situation. Selon le rapport de l’IDEA, un certain nombre de pays démocratiques – le rapport mentionne spécifiquement les États-Unis dans cette rubrique – ont mis en œuvre des mesures covid « qui étaient disproportionnées, illégales, indéfinies ou sans rapport avec la nature de l’urgence ». Ces mesures comprennent des restrictions de voyage et l’utilisation de « pouvoirs d’urgence qui ont parfois mis les Parlements sur la touche ». Les démocraties en danger Ces deux dernières années ont en effet été marquées par de nombreux exemples de pouvoirs gouvernementaux inédits aux États-Unis, qu’il s’agisse de fermetures d’entreprises à l’échelle d’un État, au cours desquelles les gouverneurs ont décrété que certaines d’entre elles étaient « essentielles », ou des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), avec le soutien des administrations Trump et Biden, qui ont rendu presque impossible l’expulsion des locataires mauvais payeurs par les propriétaires. Il a fallu attendre ce mois-ci pour que les États-Unis rouvrent leur frontière avec le Canada pour les voyages supposés « non essentiels« , même s’il n’y avait probablement aucune justification valable pour fermer la frontière en premier lieu. En dehors des États-Unis, des pays comme l’Autriche et l’Australie continuent de renforcer les restrictions autoritaires sur les interactions publiques et le comportement économique, même pour les personnes vaccinées. Selon le rapport, 69 pays ont fait de la violation des restrictions du covid un délit passible d’emprisonnement, les deux tiers de ces pays étant ceux que le groupe considère comme des démocraties. L’Albanie et le Mexique ont les lois les plus punitives, autorisant des peines de prison de 15 ans et 12 ans, respectivement, pour la violation des protocoles liés à la pandémie. Plus de 20 % des pays ont utilisé leur armée pour faire respecter les contrôles liés aux mesures covid, ce qui, selon le rapport, pourrait contribuer à « la normalisation d’une vie civile de plus en plus militarisée après la pandémie ». Dans le même temps, 42 % des pays ont mis en place des applications volontaires ou obligatoires pour la recherche des contacts, ce qui peut être efficace pour freiner la propagation du virus mais crée de nouvelles opportunités de surveillance gouvernementale dans un monde post-pandémique. L’IDEA est particulièrement préoccupée par les huit régimes non démocratiques (Azerbaïdjan, Bahreïn, Chine, Kazakhstan, Qatar, Singapour, Thaïlande et Turquie) où ces applications ont été rendues obligatoires pour tous les résidents utilisant un smartphone. Pendant ce temps, certains responsables de la santé publique en Amérique souhaitent des restrictions encore plus agressives. Rochelle Walensky, directrice du CDC, a récemment fait l’éloge des « mesures de confinement très strictes » déployées par la Chine, un pays qu’aucune démocratie saine ne devrait prendre pour modèle de bonne politique. La montée du populisme Mais si le Covid-19 a été la cause aiguë d’une grande partie du recul de la démocratie au cours des deux dernières années, le rapport de l’IDEA indique qu’une menace plus insidieuse se cache derrière la pandémie : La montée des partis illibéraux et populistes au cours de la dernière décennie est un facteur explicatif clé du recul et du déclin de la démocratie. Ces partis cherchent à obtenir le pouvoir afin de pouvoir démanteler les contrôles de l’autorité gouvernementale, notamment la liberté d’expression et les politiques destinées à protéger les droits des minorités. En effet, comme l’a fait remarquer Stephanie Slade de Reason, certains des principaux défenseurs du tournant américain vers l’illibéralisme affichent désormais ouvertement leur adhésion à l’autoritarisme. Cette tendance à adopter une politique de « volonté de puissance » revient à déclarer que « ce qui compte avant tout, c’est de s’assurer que notre tribu est dominante ». Ce n’est pas un bon signal pour la démocratie, ni pour la préservation de la liberté humaine. Cette volonté de puissance sert également à masquer les aspects absurdes de leurs idées. Par exemple, le sénateur Josh Hawley veut donner davantage de pouvoir au département du commerce pour décider quels produits peuvent être légalement achetés et vendus aux États-Unis – alors qu’il a voté contre la confirmation de la secrétaire au commerce Gina Raimondo. Il veut littéralement donner plus de pouvoir à quelqu’un qui, selon lui, n’est pas qualifié pour ce poste. De même, les efforts de l’aile gauche pour abolir l’obstruction parlementaire au Sénat sont facilement exposés comme rien de plus qu’un coup de force en demandant aux défenseurs comment un Sénat sans obstruction parlementaire aurait fonctionné pendant la présidence de Donald Trump – une tactique que Jonathan Swan d’Axios a récemment utilisée avec beaucoup d’effet dans une interview avec la représentante Rashida Tlaib. Sous diverses formes et malgré des incohérences internes, ces sentiments illibéraux et populistes semblent se renforcer. Les pouvoirs gouvernementaux étendus pendant la pandémie offrent un prix encore plus alléchant aux politiciens qui utiliseraient le pouvoir de l’État pour diriger la société à l’avenir. Dans la préface du rapport, Kevin Casas-Zamore, secrétaire général de l’IIDEA écrit : Comme dans de nombreux autres aspects de la vie, la pandémie de Covid-19 a accéléré et amplifié les tendances politiques préexistantes tout en ajoutant une toute nouvelle pléthore de défis sans précédent aux démocraties qui étaient déjà sous pression. […] La victoire humaine monumentale obtenue lorsque la démocratie est devenue la forme de gouvernance prédominante est maintenant suspendue dans la balance comme jamais auparavant. Traduction Justine Colinet pour Contrepoints — Sur le web Ces articles pourraient vous intéresser: Confinement : pourquoi enfermer des non-malades asymptomatiques ? 66 millions de procureurs ? Non, une demande de démocratie insatisfaite Le sénat refuse d’endosser la responsabilité du déconfinement Réouverture des écoles : une décision politique contre le bon sens sanitaire
http://dlvr.it/SD9pTf

États-Unis : avec Rittenhouse, les médias n’ont rien appris

Par Pierre-Guy Veer. Plus qu’une erreur, leur biais aveugle est une faute. Lors de sa présidence, Donald Trump accusait constamment les médias de créer des fausses nouvelles. Ils lui ont constamment donné raison et malgré son départ, continuent de montrer que ses paroles sont une vérité de La Palisse. Le traitement médiatique de l’information aux États-Unis Ce fut évident depuis quelques semaines lors de la couverture du procès de Kyle Rittenhouse, adolescent de 17 ans lors des faits et innocenté de toutes les accusations pesant contre lui. Lors des manifestations « surtout pacifistes » après la mort de George Floyd et d’autres Noirs tués par la police, les émeutiers ont pillé plusieurs villes sans que la police n’intervienne – conformément aux ordres des autorités municipales. Jamais – ou si peu – ces personnes n’ont été qualifiées de terroristes. En fait, des médias ont même permis à certains de redéfinir le sens du mot violence, afin d’en exclure la destruction de la propriété. Laissées à elles-mêmes, les entreprises touchées ou menacées n’avaient pas d’autres choix que de se défendre. Entre en scène Rittenhouse, qui s’est rendu à Kenosha, Wisconsin, pour prêter main forte aux locaux. Attaqué de toutes parts par plusieurs personnes, il a tué deux de ses assaillants et en a blessé un troisième. Savoir s’il devait ou non se trouver là est sans importance, surtout si on considère que l’une de ses victimes avait parcouru une plus grande distance pour se rendre à Kenosha. Regardons plutôt la « job de bras » des médias et de la justice à son égard. En effet, selon ce juge, le procureur régional a porté des accusations contre Rittenhouse 48 heures après les faits, donc avant même toute enquête préliminaire. Si cette étape n’avait pas été sautée, on aurait vu que la victime encore vivante était l’agresseur – ce qu’il a confirmé lors du procès. Quant aux médias, ils ont traité Rittenhouse de tous les noms. Un réseau a même été banni pour avoir suivi les jurés de trop près. Des politiciens (devinez leur allégeance) ont même eu le culot de dire que les deux personnes tuées étaient là simplement pour défendre la cause des Noirs alors que l’un d’eux, au dossier criminel chargé, portait une arme illégale sur lui. Pendant ce temps-là, les médias ignorent presque entièrement le procès de Ghislaine Maxwell, proche du pédophile présumé Jeffrey Epstein qui aurait gâché des dizaines de vies au profit de clients très influents… Ne pas reconnaître ses fautes Aussi pendant ce temps, les médias tairont leur plus grande faute des dernières années : le dossier de la collusion russe. Monté de toutes pièces sur des preuves chancelantes comme le procès de Rittenhouse, il était encore plus énorme que le scandale du Watergate ayant conduit à la chute de Richard Nixon. Mais maintenant que ça s’est révélé faux, les médias vont tenter de le cacher dans un trou de mémoire. Au 21 novembre, « Steele Dossier » (le nom médiatique de toute cette affaire) n’a que 10 occurrences durant les neuf derniers mois sur CNN, aucune sur MSNBC depuis presque deux années, moins de 10 portent sur le scandale sur ABC, deux pour tout 2021 sur CBS et NPR, et cinq sur le New York Times. Bref, sans le vouloir, trop de médias aux États-Unis donnent de nouveau raison à Donald Trump : ils sont des pourvoyeurs de fausses nouvelles. De leurs accusations gratuites contre Rittenhouse à leur omission sur le dossier Steele, ils prouvent qu’ils sont gouvernés par les émotions et non la raison. Si les démocrates perdent effectivement le pouvoir l’an prochain, comme les élections en Virginie le laissent présager, les médias devront sérieusement procéder à leur examen de conscience. Ces articles pourraient vous intéresser: « Let’s go Brandon ! » Le slogan anti-Biden devenu viral aux États-Unis Zemmour : le coup de pouce involontaire des médias Comment les élections américaines m’ont pourri la vie Médias américains : le coup de grâce ?
http://dlvr.it/SD9pT6

mercredi 24 novembre 2021

Martinique : forces de l'ordre et pompiers ciblés par des tirs d'armes à feu

Le parquet de Fort-de-France a ouvert une enquête, mardi 23 novembre, après que des membres des forces de l'ordre et des pompiers ont été la cible de tirs d'armes à feu, lundi soir, dans le quartier de Sainte-Thérèse, à Fort-de-France. Si ces attaques n'ont fait aucun blessé, « le parquet de Fort-de-France confirme que des tirs par arme à feu ont pris pour cibles les forces de sécurité à Fort-de-France dans la nuit du 22 au 23 novembre 2021 », précise Clarisse Taron, la procureure de la République, dans un - Novembre / Justice & Droit, Santé, Sécurité, Forces de l'ordre
http://dlvr.it/SD6DSD

Adoption par le Parlement européen de la nouvelle PAC

Le Parlement européen a donné, mardi 23 novembre, son feu vert définitif à la nouvelle Politique agricole commune, qui se veut plus « verte ». Après de longs mois de difficiles pourparlers, en raison de l'opposition des écologistes et d'une partie de la gauche qui ne la jugent pas à la hauteur des ambitions environnementales de l'UE, les eurodéputés réunis en session plénière à Strasbourg, ont validé les trois textes qui vont régir cette PAC à partir de janvier 2023. […] Avec cette nouvelle PAC, chaque - Novembre / Économie, Écologie, Agriculture, Climat
http://dlvr.it/SD6DRc

Un « nudge » de plus en plus brutal

par h16 Grâce à une solide campagne de vaccination menée avec dextérité, la France a su éviter une nouvelle vague épidém… Ah non : même si les courbes, les rapports officiels (notamment du réseau Sentinelles) indiquent plutôt un début de saison calme, le porte-parlote du gouvernemaman n’a pas hésité à parler de cinquième vague fulgurante avec cette même emphase que lorsqu’il évoquait la quatrième et dont les cuistres font preuve lorsqu’ils ont peur qu’on finisse par les prendre pour ce qu’ils sont. Eh oui : il y a dans l’air comme une petite musique lancinante, celle d’une redite, d’un refrain agaçant, comme une envie, de la part de Macron et de ses laquais, de reconfiner un peu tout le monde alors que les tensions sociales s’accumulent et que les choses refusent de se passer exactement comme il le désire. D’une part, l’obligation vaccinale des soignants n’a pas exactement provoqué l’effet escompté : les refuzpiks ont démissionné, se sont laissés faire mettre à pied, ce qui n’a pas amélioré l’ambiance au sein des équipes hospitalières, à présent de moins en moins confiantes dans leur capacité à gérer la moindre vaguelette. D’autre part et comme prévu, ceux qui avaient déjà fait preuve d’un refus particulièrement clair et déterminé de tout pass sanitaire et de toute obligation vaccinale dans les départements et territoires d’outre-mer n’ont pas changé de position. L’obstination du chef de l’État aboutit à une impasse : devant le refus catégorique de la population locale, le président choisit très finement d’envoyer des bataillons de forces armées depuis la métropole. Apparemment, le nudge, cette technique d’orientation comportementale mise en place avec gourmandise par Macron, ses équipes et ses conseillers de McKinsey, passe par une phase nettement plus ferme consistant à obtenir un consentement libre et éclairé à la vaccination avec des blindés légers et quelques solides coups de tonfas. Du reste, la France ne fait que suivre tranquillement le mouvement maintenant clairement visible un peu partout en Europe et ailleurs dans le monde : les quelques non- vaccinés qui restent malgré tout – après des incitations de plus en plus hystériques – constituent apparemment une menace évidente contre la paix civile et s’il n’est pas encore ouvertement question de s’en débarrasser (même si Estrosi le voudrait bien), quelques pays ont déjà franchi le pas au-delà de la simple ségrégation visant à écarter ces potentiels porteurs de typhus pardon de covid pour envisager non seulement le reconfinement de toute la population mais aussi l’obligation vaccinale ferme et définitive. Il est assez difficile de comprendre comment l’Autriche (entre tous les pays) peut ainsi choisir de renouer avec un passé assez peu glorieux, foulant ainsi au pied non seulement des principes généraux européens (d’égalité et de respect des droits de l’Homme) – dont tout le monde se fiche éperdument à présent – mais aussi des conventions, protocoles et codes mis en place précisément après ce passé peu glorieux pour éviter qu’il ne se répète, le tout pour se protéger d’un virus dont 99,9% de la population peut fort bien guérir et dont il a été à présent démontré qu’il ne menaçait plus du tout les infrastructures hospitalières. Au passage, on ne sera pas étonné de constater que cette obligation totale n’est actuellement en vigueur que dans des dictatures (comme le Tadjikistan et le Turkménistan), ce qui placera l’Autriche en bonne compagnie à partir du premier février prochain. On pourrait croire à un petit dérapage autrichien, mais la façon dont s’exprime Thomas Szekeres, le président de l’Ordre des médecins autrichiens lors de l’émission « L’heure de presse » laisse assez peu de place à une interprétation charitable : « Je veux dire, la question se pose déjà de savoir si vous attachez quelqu’un et si vous lui injectez ensuite la piqûre. » Voilà un développement intéressant qui promet quelques moments rebondissants en termes éthiques sur la base de questions simples : ceux qui refusent, même attachés, devront-ils être considérés comme consentants ? Et pour ceux qui refusent d’être attachés, qui se regrouperont dans la rue pour s’y opposer, que pourra-t-on s’autoriser à leur faire pour qu’ils reviennent dans le droit chemin ? Leur tirer dessus à balles réelles, par exemple, comme aux Pays-Bas ? les tirs à balles réelles marquent une dangereuse escalade dans la répression des manifestations en EUrope https://t.co/aBo56pWbWK — Bourdillon Yves (@yvesbourdillon) November 20, 2021 Orban aurait fait cela, toute l’Europe se serait indignée. Mais là, non : on en vient à attacher, cogner ou tirer à balles réelles sur des individus, pour leur santé. Décidément, le nudge n’est plus ce qu’il était ! L’Europe sombre de plus en vite et fort loin de ses principes fondateurs grâce auxquels la police serait fermement condamnée si elle tirait sur des manifestants. Nous serions scandalisés par des propos violents proposant d’attacher des citoyens n’ayant rien fait d’illégal, nous serions même en droit de demander des comptes à ceux qui imposent de plus en plus de vexations à l’encontre d’une partie de la population. C’est du nudge paradoxal un peu brutal, on en conviendra, et qui s’apparente à une véritable panique totalitaire ne répondant plus à aucun impératif sanitaire. Il s’agit de sommations d’obéissance et de conformité plus proches des aboiements que des incitations pour à mener un style de vie sain et vitaminé à coups de poing dans la mâchoire. Alors, dans ce tableau, lorsque le président Macron ose prétendre que le confinement des non vaccinés n’est pas à l’ordre du jour, compte-tenu de l’historique du bonhomme et de la tendance générale, il devient franchement difficile de le croire. Nous nous dirigeons gentiment vers l’obligation d’une troisième et bientôt quatrième injection pour tous les adultes afin de conserver un pass qui n’a plus rien de sanitaire, puis vers une obligation vaccinale totale, y compris pour les enfants (dont le profil bénéfice/risque est carrément défavorable au vaccin), pour soi-disant  nous protéger (mal) d’un virus peu létal… Heureusement, rappelez-vous : l’Occident est toujours composé de pays libres et démocratiques, dans lesquels on peut toujours protester à condition d’aimer le plomb. Nous sommes toujours libres de fréquenter les commerces et les lieux de notre choix, à condition d’obéir au gouvernement et de montrer le bon QR-Code.  Nous pouvons même quitter le pays si vraiment on ne s’y sent pas bien (à moins d’être au Canada ou en Australie). Ouf, ce n’est vraiment pas la dictature. C’est juste du nudge un peu brutal. —- Sur le web Ces articles pourraient vous intéresser: Aucun article similaire.
http://dlvr.it/SD6DPq

France : un scénario de couvre-feu à l’étude pour le 18 décembre ?

Selon nos informations, un scénario de couvre-feu serait à l’étude en métropole. Son entrée en vigueur serait prévue pour le 18 décembre. Il s’agirait donc d’un désaveu clair pour la politique de vaccination à outrance menée cette année : malgré … Lire la suite →
http://dlvr.it/SD6DMh

L'armée australienne transfère des cas contacts dans un camp de quarantaine

Neuf cas de Covid-19 ont été détectés dans une communauté autochtone du nord de l'Australie, ce qui a poussé les autorités à déplacer 38 cas contacts dans un camp de quarantaine. Ce dernier était censé accueillir uniquement des voyageurs.  Ils seraient...
http://dlvr.it/SD6DL1

Manuel de survie intellectuelle à l’intention des non-vaccinés du COVID-19

Ça pourrait s’adresser à tous les état … Par Quirico Blonda pour Kairos-presse.be En ne se faisant pas vacciner, « on » reproche aux non-vaccinés de ne pas être responsables et de ne pas être solidaires. Parlons donc de la responsabilité et de la solidarité. Concernant la responsabilité, il y a deux choses étranges et bizarres : Premièrement, les firmes pharmaceutiques ont demandé aux Etats […]
http://dlvr.it/SD2cf4

Les infos et news du 23 novembre 2021

Bonjour à tout le monde et merci à mes correspondants. POLITIQUE/SOCIÉTÉ Violences à la Guadeloupe : Emmanuel Macron appelle à « ne rien céder au mensonge et à la manipulation». Le mouvement né de la contestation de l’obligation vaccinale des soignants a dégénéré depuis quelques jours en crise sociale. Le chef de l’Etat a reconnu que la situation était « très explosive ». Marseille : Un ancien […]
http://dlvr.it/SD2cdf

La Californie demande de ne pas charger les voitures électriques en raison d'une pénurie d'électricité.

Les Californiens peuvent-ils recharger les voitures électriques avec la chaleur estivale ? Les Californiens sont aux prises avec les effets grandissants du changement climatique, les canicules estivales sont les plus redoutées. Cette année, la canicule est en avance , provoquant le premier conseil d'économie d'énergie du 17 juin et déclenchant des spéculations sur les réseaux sociaux quant à l'impact de la chaleur sur les propriétaires de voitures électriques. « La Californie recommande aux (...) - Guerre économique
http://dlvr.it/SD2cd6

Affaire Epstein : la famille de Ghislaine Maxwell saisit l'ONU

En appeler à l'humanité des institutions pour une femme qui a fait preuve d'une inhumanité ignoble envers ses nombreuses victimes, c'est beau, la justice... des grands de ce monde. – La Rédaction d'E&R – La famille de Ghislaine Maxwell, détenue aux États-Unis dans le cadre de l'affaire Epstein, a saisi des experts de l'ONU lundi, estimant que son maintien en détention est injustifié et qu'elle n'a aucune chance d'avoir un procès équitable, a appris l'AFP auprès des avocats. Les frères et sœurs de - Novembre / Justice & Droit, Pédocriminalité, ONU
http://dlvr.it/SD2cY0

lundi 22 novembre 2021

Après un an de vaccination, France Info découvre qu'elle a des "effets indésirables"

Il a fallu les pousser un peu, et surtout, que les chiffres officiels de la pharmacovigilance les poussent à faire de l'information, tout simplement. Le site de propagande gouvernementale à tendance mondialiste France Info a dû, la mort dans l'âme, à reculons, cavec d'immenses pincettes, contre ses convictions et sa propagande habituelle, produire un long article sur les « effets indésirables », ce qui est un euphémisme, des vaccins ou des pseudo-vaccins actuels imposés aux populations. Je résume : à - Novembre / Médias, Santé, Désinformation, Services publics, Démographie
http://dlvr.it/SCz3Ph

Waukesha (USA) : un rappeur déjà condamné fonce en voiture dans une parade de Noël, faisant 5 morts

À l'heure où nous relayons cet article du Monde, personne ne sait encore si cet acte ignoble est l'œuvre d'un raciste, d'un antichrétien, ou d'un malade mental. Mais le pedigree du responsable commence à affleurer sur les réseaux sociaux, plus rapides et moins prudents que la justice. Un conducteur fonce dans une foule pendant une parade de Noël à #Waukesha (USA) pic.twitter.com/FHsXo59Wiz— Le renard bordelais (@renardbordelais) November 22, 2021 That would be this individual from a prior arrest. (He - Novembre / Antiracisme, Délinquance
http://dlvr.it/SCz3PG

« Vacciner » de force sans motifs sanitaires !

Pourquoi donc un tel acharnement des Etats profonds, contre les Etats Nations, à vouloir leur imposer de force ces « vaccins », alors que rien de sanitaire vient justifier cet acharnement, sauf évidemment dans le discours ouvertement mensonger, manipulateur, outrancier des politiques au pouvoir qui nous content leurs menaces, leur chantage, leur criminalité consciente ou inconsciente… Nous avons les preuves […]
http://dlvr.it/SCz3NR

Les médias veulent cacher les effets secondaires cardiaques du vaccin

Crise cardiaque : le sport n'est pas si bon pour votre cœur. L'article de Sophie Raffin, Journaliste santé, « Selon leur article paru dans la revue scientifique Heart, les personnes très actives physiquement présentent des niveaux élevés de dépôts de calcium dans leurs artères coronaires. Ce taux, appelé aussi score calcique (score CAC), est un indicateur important du risque d'événements cardiovasculaires comme les crises cardiaques chez les patients asymptomatiques. » Faire beaucoup de sport augmentent (...) - Guerres chimique et biologique
http://dlvr.it/SCz3Ld

Guadeloupe : le tragique échec de la gestion de crise sanitaire

Par Denis Dupuy. Pour l’essentiel, je suis pacifiste, soucieux de conciliation mais évidemment mes nerfs chatouilleux ont leur limite. Encourager ou applaudir les violences dont est victime la Guadeloupe serait mal venu. Déterminer les causes et responsabilités de cette explosion, en revanche… Commençons par isoler le versant politique. Oui, certains syndicats sont probablement à la manœuvre mais puisqu’ils y sont constamment, il faut bien qu’un autre facteur intervienne. Les syndicats appellent sans cesse à la violence sans être entendus la plupart du temps. Mais la plupart du temps, la population n’est pas à bout. Personne n’a souhaité cette épidémie. Chacun est épuisé mais comme de nombreux confrères, je pense que pour nous le terme se profile : une épidémie dure en général deux à trois années et aucune publication scientifique ne remet en question cette constatation empirique. Reste… le reste, le catastrophique reste, la gestion politique et administrative. En remémorer chaque détail apparaîtrait lassant et cruel pour le pouvoir. Monsieur Véran s’est voulu médecin et ministre mais il a échoué dans ces deux domaines : la comparaison avec les politiques internationales n’est guère flatteuse : des milliards dilapidés, des réglementations abracadabrantesques, la démocratie foulée aux pieds… Ce qu’aurait fait Churchill Qu’aurions-nous attendu d’un dirigeant ? Une éthique, une vision digne d’un Churchill, une ligne toute de courage et de raison. « Nous ne savons pas grand-chose de ce virus, nous allons déplorer des victimes mais notre administration et ses troupes sont prêtes au combat : nous sommes la France et nous vaincrons. Grâce à mon ministère, nous disposons des compétences, de l’expertise et de l’équipement qui font ailleurs cruellement défaut. Nous répondrons présents. Vous, citoyens, protégez-vous, épargnez vos proches, isolez les plus fragiles, même s’il n’existe aucune martingale. Le vaccin ? Merveilleux pour les personnes à risque. Nous gagnerons l’approbation des réfractaires par la raison car chacun doit disposer, dans notre glorieuse nation, de sa santé à sa convenance… » Les applaudissements auraient crépité… Au lieu de cela, Véran s’est fait balader par des infectiologues immanquablement catégoriques sur des questions toujours sans réponses. Il est tombé dans le panneau de LA publication déterminante, quand celle-ci est remise en cause quelques heures après sa parution. Un étudiant en médecine a en tête deux à trois articles de référence. Un agrégé étoffe son discours de dizaines de publications. Je m’en amuse souvent, sur le réseau, quand un commentateur agacé brandit un seul et unique article, malingre bibliographie qui aurait valu un sermon de la part du patron à la revue de cas du vendredi soir… En matière de santé, la coercition est cruelle. Elle bafoue l’éthique, qui veut que l’on ne soigne pas contre la volonté. Je suis effaré de savoir que 65 % des Français accepteraient les rétorsions contre les personnes non-vaccinées alors que le vaccin n’est pas même stérilisant : un vacciné peut être contaminé ou contaminant. Le danger, réel ou fantasmé, est hélas et de tout temps, prétexte aux pires excès : Hitler agita le chiffon d’une race aryenne menacée mais elle n’avait jamais existé que dans son cerveau malade. Les communistes défendaient la classe ouvrière menacée. En échangeant avec les petits patrons français, je me demande si lesdits ouvriers ne sont pas aujourd’hui ceux qui sont les plus menacants ! Les écologistes luttent pour sauver la planète et nombre d’entre eux avouent qu’une dictature ne les rebuterait pas. À l’heure où jamais l’on n’a compté si peu de victimes grâce aux progrès technologiques, l’intransigeance en matière de politique routière laisse elle aussi songeur… Si seulement une même discipline était réservée aux secteurs régaliens en premier lieu. Chacun a pu l’observer, le covid n’a pas fait tant de victimes et, en deçà de 70 ans, comme le rapport d’activité des hôpitaux l’a montré mourir revient à échapper aux statistiques : une courbe de Gauss a toujours deux extrémités. Nous sommes loin de la peste de Marseille, à l’heure de Chateaubriand : Dans un quartier dont tous les habitants avaient péri, on les avait murés à domicile, comme pour empêcher la mort de sortir. De ces avenues de grands tombeaux de famille, on passait à des carrefours dont les pavés étaient couverts de malades et de mourants étendus sur des matelas et abandonnés sans secours. […] Sur l’esplanade de la Tourette, au bord de la mer, on avait, pendant trois semaines, porté des corps, lesquels, exposés au soleil et fondus par ses rayons, ne présentaient plus qu’un lac empesté. Sur cette surface de chairs liquéfiées, les vers seuls imprimaient quelque mouvement à des formes pressées, indéfinies, qui pouvaient avoir été des effigies humaines. Les hôpitaux ne sont aucunement submergés dans la totalité des villes et la réserve du privé, moins onéreuse, a été laissée à l’écart par des fonctionnaires dogmatiques. Le vaccin n’est pas la panacée mais il a évidemment sa place chez les patients à risque. Internet a amplifié les terreurs et nombreux sont ceux qui redoutent des effets secondaires largement exagérés. L’épuisement des professionnels Ceci posé, contraindre celui qui redoute, y compris pour de mauvaises raisons, de s’injecter ce qu’il considère comme un poison, relève de la cruauté. Hélas, l’épuisement a laissé de nombreux professionnels sur le chemin et ce sont toutes les autres pathologies auxquelles il faut maintenant faire face (comme la bronchiolite) qui inquiètent des dirigeants jusqu’alors fermés aux revendications. Voilà grossièrement ce que chacun sait. Outre-Mer, s’ajoute un déterminant spécifique. On ne veut pas des ordres venus de Paris. Ceux-ci ont déjà du mal à s’imposer dans les régions de métropole très inégalement affectées par l’épidémie… alors, là-bas… Le pouvoir s’est couché face aux Martiniquais. Je suppose donc qu’il en fera de même après les quelques démonstrations de moulinets de ses gros bras. Souhaitons que la catastrophe soit évitée. J’entends que certains insuffisants rénaux n’ont pas accès à leurs dialyseurs… La Covid a représenté en 2020 2 % des hospitalisations mais l’activité générale a par ailleurs chuté de 13,5 %. Les injonctions administratives ont conduit à bloquer des lits au cas où : ils sont le plus souvent demeurés vides, mais le cancer ne connaît pas la crise. Nous avons observé des retards et des défauts de soins et l’avenir reste incertain : une vague de cancers historiques pourrait s’abattre. Et que dire de ces errements qui rendront la sinistre comptabilité des victimes complexe ? Je rapporte les confidences de patients : ici, un père dont la chirurgie cardiaque avait été repoussée en novembre, décède en mars à cause de ce délai, là un patient atteint d’un cancer broncho-pulmonaire meurt sans avoir eu sa chimiothérapie. Et puis ces tricheries à visée financière, les soi-disant morts de covid. Un patient me confiait avoir perdu son grand-père de 98 ans d’un AVC. Interdit d’accès au corps du défunt, il a exigé de rencontrer le médecin et de voir la PCR. Le confrère l’a finalement autorisé à s’incliner sur la dépouille. « Vous comprenez, vous comprenez… Mais n’oubliez pas le masque, s’il vous plait… » Au terme de cette phénoménale confusion, 500 plaintes ont été déposées. Je demande souvent à mes vieux patients s’ils se souviennent des épidémies de 1957 ou 1969… Parfois mais à peine… Peut-être n’auront-elles pas moins tué… La différence ? Un réseau avec lequel il va falloir apprendre à composer. Climat, santé, démographie, quelle canule que l’hystérie ambiante… La science ne connaît pas l’émotion, Internet, en revanche… Afin que la Guadeloupe retrouve son calme, il va falloir enfin que le ministre trouve le ton ou bien l’épidémie anti-gouvernementale s’abattra sur la métropole. Déjà, de nombreux pays sont affectés. Historiquement, c’est toujours ainsi qu’une épidémie se conclut. Si je n’appelle pas à la violence, la réaction des peuples m’apparaît le plus souvent parfaitement justifiée : trop, c’est trop… Ces articles pourraient vous intéresser: Covid-19 : stop aux fantasmes débilitants Vaccin Covid-19 : un mirage dans le désert Vaccins Covid : Macron doit miser sur l’innovation Olivier Véran au cœur du délire sanitaire
http://dlvr.it/SCz3H2

dimanche 21 novembre 2021

Le célèbre oncologue, le Dr José Baselga, est décédé de la maladie de Creutzfeldt-Jakob à 61 ans

Le décès date du mois de mars dernier, reste à savoir s’il était vacciné ou pas car il semblait être en parfaite santé vu les quelques interviews effectuées juste avant son décès. Après de nombreuses recherches, il nous a été impossible de trouver cette information. Nous invitons nos chers lecteurs à nous aider à le faire en multipliant les petites mains et claviers… Par avance merci. La logique voudrait qu’il soit vacciné très vite d’autant que c’est un ex responsable chez AstraZeneca. À retenir * Le Dr José Baselga, PhD, oncologue et chercheur en cancérologie de renommée mondiale, est décédé de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) sporadique à l’âge de 61 ans. * Les amis et collègues du Dr Baselga ont exprimé leur choc à l’annonce de ce décès prématuré, et ont déclaré que cela représentait une perte immense pour la recherche sur le cancer. Points clés * Le Dr Baselga a été décrit comme « un véritable géant de l’oncologie ». * Il a joué un rôle essentiel dans les essais cliniques pivots sur le trastuzumab, le lapatinib, le pertuzumab et l’évérolimus. * Le Dr Baselga est né à Barcelone, en Catalogne (Espagne), et a fait des études pour devenir oncologue. * Après avoir passé quelques années au début de sa carrière médicale aux États-Unis, il est retourné à Barcelone pour prendre la tête du service d’oncologie de l’hôpital Vall d’Hebron (1996–2010). * À cette période, il a fondé l’Institut d’oncologie Vall d’Hebron. * En 2010, il est reparti aux États-Unis pour prendre la tête du département d’Hématologie/Oncologie de l’Hôpital général du Massachusetts (Massachusetts General Hospital), à Boston. * De 2012 à 2018, il a été directeur médical et médecin-chef du Centre de cancérologie Memorial Sloan Kettering (Memorial Sloan Kettering Cancer Center, MSKCC), à New York. * Il a démissionné de MSKCC après des allégations l’accusant de n’avoir pas divulgué des liens financiers avec des laboratoires pharmaceutiques dans ses publications. * Son dernier poste avant son décès était celui de vice-président exécutif de la recherche et du développement en oncologie chez AstraZeneca. * De 2015 à 2016, le Dr Baselga était également président de l’Association américaine de la recherche sur le cancer (American Association of Cancer Research). * Lorsqu’il a reçu son diagnostic, le Dr Baselga a décidé de retourner passer les dernières semaines de sa vie en Catalogne. * Il est mort chez lui, dans la région de la Cerdagne, en présence de sa famille. Pour honorer sa mémoire, Clara Baselga-Garriga, sa fille, a lancé une page GoFundMe pour soutenir la recherche sur la MCJ. Pavankumar Kamat 30 mars 2021
http://dlvr.it/SCw9l0

Monseigneur Viganò appelle à la création d'une alliance internationale anti-mondialiste

Libérons l'humanité d'un régime totalitaire qui rassemble en lui les horreurs des pires dictatures de tous les temps. - Novembre / Religion, Tradition, Mondialisme, Nouvel Ordre mondial, Christianisme
http://dlvr.it/SCw9kb

Australie : Des dizaines de milliers de personnes défilent pour la liberté dans les rues des grandes villes

De nombreuses personnes sont descendues dans les rues des villes australiennes samedi, pour exiger la fin de la « tyrannie » et de l' »oppression » que constituent le confinement des covidés, l’obligation de se faire vacciner et l’élargissement proposé...
http://dlvr.it/SCw9jD

Enquête lancée sur un pic anormal de décès de nouveau-nés en Écosse

Nous avons une petite idée concernant la réponse à cette augmentation anormale de décès de nouveau-nés en Écosse. D’autant que l’article lui-même concède que les mamans des 21 nourrissons décédés n’avaient pas eu le Covid-19. Il reste donc une seule question à se poser, qui ne l’a pas été dans ce long article du Herald : ont-elles été vaccinées ? Comment est-il possible de tourner à ce point autour du pot et de ne même pas se poser la question, la seule qui compte ! Nous savons d’ores et déjà que les fausses couches ont augmenté de manière spectaculaire depuis la vaccination ainsi que de très nombreux troubles du cycle menstruel. De toute façon, une manière très simple confirmera cette possibilité, il suffira de suivre les chiffres du mois d’octobre, puis de novembre… Si ce pic de décès augmente ou tout simplement se stabilise, cela confirmera la causalité. Bien entendu, une enquête judiciaire devra être menée et des autopsies réalisées. Les chiffres officiels révèlent que 21 nourrissons sont décédés en septembre dans les 28 jours suivant la naissance, faisant franchir le taux de mortalité néonatale à un seuil d’avertissement supérieur connu sous le nom de « limite de contrôle » pour la première fois depuis au moins quatre ans. Les limites de contrôle et d’avertissement sont conçues pour signaler aux équipes de santé publique lorsque des décès de nouveau-nés, de mortinaissances ou d’autres nourrissons surviennent à des niveaux élevés ou faibles inattendus qui peuvent ne pas être dus au hasard. Des inquiétudes ont déjà été soulevées concernant l’impact potentiel de Covid sur les services de maternité et le bien-être maternel, mais c’est la première fois depuis le début de la pandémie que les décès néonatals sont si anormalement supérieurs à la moyenne. Bien que le taux fluctue d’un mois à l’autre, le chiffre pour septembre – à 4,9 pour 1000 naissances vivantes – est comparable aux niveaux qui ont été généralement observés pour la dernière fois à la fin des années 1980. Public Health Scotland (PHS), qui est l’un des organismes enquêtant actuellement sur le pic, a déclaré que le fait que la limite de contrôle supérieure ait été dépassée « indique qu’il y a une probabilité plus élevée qu’il existe des facteurs au-delà de la variation aléatoire qui peuvent avoir contribué au nombre des décès survenus« . PHS a déclaré qu’il travaillait avec le Scottish National Neonatal Network, le Maternity and Children Quality Improvement Collaborative et le gouvernement écossais « pour comprendre tous les facteurs pouvant contribuer aux modèles de mortalité infantile les plus récents et pour incorporer les résultats dans les travaux de prévention et d’amélioration existants ». Les chiffres mensuels sur les taux de mortalité néonatale ne sont disponibles que jusqu’en juillet 2017, mais avaient auparavant culminé à 3,7 pour 1000 naissances vivantes en mars 2020. Les statistiques annuelles sur la mortalité néonatale publiées par le National Records of Scotland montrent qu’elle est en baisse constante depuis des décennies, passant d’une moyenne de 4,7 pour 1000 naissances vivantes en 1986-1990 à 2,2 pour 1000 en 2016-2020. Dans le monde, les causes les plus courantes de décès néonatal sont l’infection, la prématurité et la suffocation, mais des facteurs tels que le tabagisme pendant la grossesse ou l’interruption des services d’intervention précoce, notamment les visites médicales et les sages-femmes, augmentent également le risque. PHS note sur son site Web qu’il « est important de surveiller les niveaux de mortinatalité et de mortalité infantile pendant la pandémie de Covid-19, car ils peuvent être influencés par la santé et le bien-être maternels, par la façon dont les services de maternité sont fournis et comment les gens recherchent et interagissent. avec soin ». Il n’y a actuellement aucun détail sur les causes de décès impliquant les 21 nourrissons décédés en septembre.  La période a coïncidé avec une augmentation des fréquentations A&E pour les enfants de moins de cinq ans. La tendance a été largement imputée à un pic inhabituel de virus respiratoire syncytial (VRS) qui circule normalement en hiver et peut provoquer des maladies graves, en particulier chez les bébés et les tout-petits. Il est clair, cependant, qu’aucun des décès n’était directement lié au Covid.  Depuis le début de la pandémie en Écosse, il n’y a eu qu’un seul décès de Covid enregistré – en décembre 2020 – chez un bébé de moins d’un an.  Le Dr Stock a déclaré: « Lorsque les femmes enceintes ont Covid, elles peuvent devenir gravement malades, et afin de protéger la mère et le bébé qui peuvent conduire à des accouchements prématurés. « L’accouchement prématuré est le principal facteur de mortalité néonatale. « Nous savons également que la pandémie a mis beaucoup de pression sur les services de santé et cela pourrait avoir un impact. » Une porte-parole du gouvernement écossais a déclaré : « Chaque décès est une tragédie et nos pensées vont à tous ceux qui pleurent la perte d’un être cher. « En 2020, l’Écosse a enregistré son plus faible nombre de décès néonatals. Comme le nombre de décès infantiles est heureusement faible, les taux de mortalité mensuels ont tendance à fluctuer. « Nous travaillons avec PHS, le Scottish National Neonatal Network et le Maternity and Children Quality Improvement Collaborative pour comprendre tous les facteurs contributifs possibles afin de garantir que nous continuons à améliorer les soins des bébés les plus petits et les plus malades en Écosse. »
http://dlvr.it/SCw9fs

L’étude de Pfizer sur le vaccin Covid-19 chez les femmes enceintes retardée par la lenteur du recrutement

Voici la démonstration que la vaccination massive des femmes enceintes dans le monde contre le Covid-19 est un gigantesque essai clinique sauvage d’une hérésie complète. N’importe quel médecin, obstétricien ou gynécologue le sait parfaitement car pendant la grossesse, la femme n’a le droit de prendre quasiment aucun médicament. D’autant que les 3 premiers mois de l’organogenèse sont extrêmement délicats quant à la formation du fœtus. Comment est-il possible de vacciner pendant près d’un an les femmes enceintes et de décider ensuite de réaliser un essai clinique randomisé et en double aveugle ?! Ceci est la définition même du charlatanisme. Cet article du Wall Street Journal démontre que les femmes ne veulent même pas participer à cet essai clinique pour de multiples raisons. Comment est-il possible de proposer un placebo à toute une cohorte alors qu’ils passent leur temps à vous expliquer que la maladie est extrêmement dangereuse et mortelle ? Ceci, vous en conviendrez, n’est absolument pas éthique. Nous savons d’ores et déjà qu’il y a une explosion d’anomalies au niveau du cycle menstruel des femmes ainsi qu’une augmentation extrêmement inquiétante du nombre de fausses couches. L’avenir nous dira qu’elle a été l’impact de la vaccination sur les nouveau-nés… Une étude menée par Pfizer Inc. et BioNTech SE évaluant leur vaccin Covid-19 chez les femmes enceintes a été compliquée par la lenteur du recrutement, selon les chercheurs, retardant les résultats qui pourraient aider à informer les médecins sur la façon dont les injections affectent les femmes enceintes et leurs bébés. Pfizer a fermé les inscriptions sur de nombreux sites américains cet été, après que moins de sujets que prévu soient entrés dans l’étude, selon les chercheurs. La lenteur du recrutement a été motivée par des directives révisées du gouvernement et des groupes de médecins qui recommandent aux femmes enceintes de recevoir les injections sur la base de nouvelles recherches dans le monde réel, selon les chercheurs du site d’essai. Ils disent également que l’augmentation de l’approvisionnement en vaccins a fait un essai qui incluait la possibilité de recevoir un placebo au lieu d’un vaccin peu attrayant pour les femmes enceintes et a soulevé des questions sur l’éthique de la recherche de volontaires…
http://dlvr.it/SCw9d5

samedi 20 novembre 2021

Hong Kong : l'Art 21 sur la sécurité nationale, arme absolue de Pékin contre les émeutiers démocrates. Les juges de la R.A.S. résistent-ils ?

Les juges spécialement désignés par le gouvernement de Hong Kong pour les cas d'atteinte à la sécurité nationale. De gauche à droite Anthea Pang Po-kam, 50 ans, Esther Toh Lye-ping, 69 ans, née à Singapour et Wilson Chan Kah-shun, 59 ans. Tous les trois ont dans leur jeunesse étudié le droit au Royaume Uni. Anthea Pang a même obtenu des diplômes de « droits humains » à l'université de Hong Kong. Il n'est pas impossible que leur culture juridique et leur histoire les poussent à résister aux tentatives indiscriminées de répression. * Le 13 novembre dernier, le tribunal de Kowloon-Est qui accueillait une centaine de militants démocrates venus soutenir les prévenus, a reconnu coupables vingt manifestants arrêtés en juillet 2019 lors des émeutes du quartier de Sheung Wan à l'ouest de l'Île de Hong Kong. Tous risquent jusqu'à sept années de prison. Mais dix-huit mois après l'adoption de la Loi sur la sécurité nationale, alors qu'en dépit du procureur, trois autres accusés ont été relaxés, la mansuétude des juges qui se réclamèrent de la « Common Law », pose la question de la capacité de résistance indépendante de la justice de Hong Kong. * Les 23 n'étaient certes pas les premiers à faire face à la justice. Sur la dizaine de milliers de manifestants arrêtés depuis juin 2019, 2500 ont été présentés aux juges. Pour près de 2000 d'entre eux, les audiences sont terminées. Certains ont déjà été condamnés de 14 à 18 mois de prison, d'autres attendent le prononcé de leurs peines par le tribunal. Parmi eux certains risquent plus. Il s'agit de plus d'une centaine arrêtés au nom de la loi sur la sécurité nationale votée à la fin mai 2020 par l'Assemblée Nationale à Pékin. Lire : L'arrangement « Un pays deux systèmes » a vécu. Elle permet au système judiciaire de la R.A.S – dont l'indépendance est gravement écornée par Pékin qui peut désormais interpréter la loi en dernier ressort - d'alourdir sa main en cas de « crimes graves » tels que « la sécession », « la subversion », « le terrorisme » et « la collusion avec des puissances étrangères ». La loi vise aussi ceux qui procureraient des fonds ou une aide matérielle destinés à soutenir les offenses graves citées ci-dessus. Interprétée largement, l'article permet d'assécher les fonds destinés à l'opposition. Peines déjà prononcées. Ma Chun-man photographié lors d'une manifestation portant un slogan « 民族自強, 香港獨立 – la force du peuple et indépendance de Hong Kong ». * Ainsi, le 11 novembre dernier, un tribunal de la R.A.S a condamné à cinq ans et neuf mois de prison Ma Chun-man, 31 ans employé d'une société de livraison de repas à domicile. Surnommé « Captain America 2.0 » ce qui aggrave son cas et incarcéré depuis octobre dernier, il était accusé d'avoir crié des slogans réclamant l'indépendance et d'avoir « incité les manifestants à la subversion ». Ma qui, avec ses avocats, avait nié les charges, s'est défendu en se référant au droit à « la liberté d'expression » dont on voit bien qu'elle n'a plus cours. Il est le troisième manifestant hongkongais plus sévèrement condamné en référence à l'Art 21 de la loi sur la sécurité nationale. Arrêté le 29 octobre 2020, près de l'ambassade des États-Unis où il tentait de se réfugier, Tony Chung, 19 ans, attend son jugement, prévu le 23 novembre. Il est accusé de sécession pour avoir posté sur Facebook un appel à l'indépendance de la R.A.S. Le 30 juillet 2021, la cour avait aussi infligé 9 ans de prison ferme à Tong Ying-kit, 24 ans, un serveur de restaurant, pour « incitation à la sécession » et « acte de terrorisme ». Tong avait été arrêté le 1er juillet 2020, alors que, brandissant un drapeau portant l'inscription « Libérez Hong-Kong, révolution de notre temps - 光复香港,时代革命 », il avait, lors d'une émeute, jeté sa moto contre les trois policiers d'un poste de contrôle, dont un avait été sérieusement blessé. Stricto-sensu, selon l'Art 21, comme les deux autres, il risquait la prison à vie. La sentence pourrait faire jurisprudence pour tous les manifestants, y compris de nombreux militants démocrates en attente de jugement et incarcérés au nom de la loi sur la sécurité nationale. Les juges résistent-ils pour protéger la « Common Law » ? Selon les accords de rétrocession, la Région administrative spéciale (RAS) de Hong Kong devait rester sous la juridiction de la « common law » britannique jusqu'en 2047. A ce titre elle est en théorie une zone d'exception juridique au sein d'une Chine politiquement et juridiquement centralisée, où la séparation des pouvoirs n'existe pas. A la faveur des jugements rendus par les magistrats de Hong Kong se joue sous nos yeux, le frottement entre les deux systèmes. Quoi qu'en disent les commentateurs, non seulement les sentences prononcées contre les tenants de la sécession sont clairement plus indulgentes que sur le Continent, mais encore la récente relaxe de trois prévenus incarcérés au nom de la sécurité nationale, semble exprimer une tendance des magistrats à préserver un état de droit héritier de la culture juridique britannique. * Les Hongkongais avaient assidument suivi les audiences du jugement de Tong, tandis que les critiques soulignèrent que la tradition judiciaire de la « Common Law » britannique avait été bafouée. En vigueur depuis 1997, sous l'égide des « Deux systèmes » visant à préserver les libertés, condition nécessaires pour préserver le rôle de plaque tournante financière de la R.A.S, la tradition britannique inclut la présomption d'innocence, la libération sous caution et le droit à un jugement indépendant. En réponse, le gouvernement de Hong Kong avait déclaré que les poursuites avaient été menées sans interférence du pouvoir, conformément à la loi et que le jugement n'avait rien à voir avec la position politique, les antécédents ou la profession des personnes arrêtées. C'est avec en tête cet arrière-plan où voit que les juges de Hong Kong continuent à se réclamer d'un système judiciaire indépendant, tandis que les accusés de l'Art 21 écopent de sanctions nettement moins sévères que celles qui leur auraient été infligées par un tribunal du Continent (lire à ce sujet Condamnation à la prison à vie d'un intellectuel ouïghour) qu'il faut considérer l'information selon laquelle le 13 novembre, à côté des 20 prévenus, désormais en attente de leur sentence, trois autres accusés ont été relaxés. Alors que le procureur avait accusé tous les 23 suspects d'avoir pris part aux émeutes de Sheung-wan, les juges ont statué que l'accusation n'avait pas apporté les preuves suffisantes que les trois relaxés avaient effectivement participé aux manifestations. Autre information méritant attention, laissant supposer que les juges de la R.A.S tiennent à affirmer leur indépendance, le jugement de relaxe est intervenu après un avis de la Cour de cassation de la R.A.S. Consultée par le tribunal, elle avait statué que les procureurs étaient tenus de prouver la participation ou « l'intention de participer » d'un suspect, pour qu'une accusation d'émeutier soit appropriée.
http://dlvr.it/SCsjVY

Les 30 Glorieuses : et si on arrêtait de rêver ? – La Chronique de Farah

Pour cette chronique historique, l’économiste Frédéric Farah revient sur la période fantasmée des 30 glorieuses, qui a connu entre 1946 et 1975 une explosion de la croissance et du niveau de vie. Un eldorado économique que beaucoup espèrent retrouver un jour. Mais qu’est ce qui se cache réellement derrière ce grand mythe ? C’est ce que l’on va voir tout de suite… La Chronique de Farah, épisode 03  Chaque quinzaine sur ÉLUCID, vous retrouverez les Chroniques de vulgarisation de Frédéric Farah qui se divisent en deux catégories : Lire la suite
http://dlvr.it/SCsjVD

Énergies fossiles : Le système pétrolier s’effondre rapidement

Cela pourrait compromettre les énergies renouvelables, avertissent des scientifiques du gouvernement français Source : Byline Times, Nafeez Ahmed Traduit par les lecteurs du site Les-Crises Un chien sur la neige à côté d’une centrale électrique à Omsk, en Russie. Photo : Reuters/Alamy Oubliez le « pic pétrolier ». Nafeez Ahmed révèle comment les industries pétrolières et gazières se cannibalisent à mesure que les coûts d’extraction des combustibles fossiles augmentent. Une équipe de scientifiques français spécialisés dans l’énergie prévient que l’effondrement du système pétrolier mondial est si rapide qu’il pourrait faire dérailler la transition vers un système d’énergie renouvelable s’il ne se produit pas assez vite. En 13 ans seulement, la production mondiale de pétrole pourrait entrer dans un déclin terminal exponentiel, accompagné de l’effondrement général des industries pétrolières et gazières mondiales au cours des trois prochaines décennies. Lire la suite
http://dlvr.it/SCsjTq

En bref – Samedi 20 novembre de l'an de grâce 2021

Catherine, en Première dame, ça pourrait le faire, non ? De drôles de bruits circulent autour de la régente, celle qui morigène le Petit Dictateur. Qui lui tire l'oreille, qui le gronde quand il fait une bêtise, ou pique une crise de nerfs, un caprice. Remarquez, Cécilia faisait pareil avec Nicolas, elle le surveillait pour pas qu'il bouffe trop de chocolats. Sarko était fou de chocolats. Un jour, Cécilia a bousculé toute la hiérarchie d'un des deux grands hôpitaux de Neuilly, parce que son fils avait - Novembre / Politique, Culture, Écologie, Santé, Désinformation, Cinéma, Handicap
http://dlvr.it/SCsjTP

les augmentations de cas COVID-19 ne sont pas liés aux taux de vaccination

Dans une correspondance du European Journal Of Epidemioly (1), nous pouvons lire la conclusion d’une analyse de données qui affirme que : la seule stratégie d’atténuation de la propagation du virus qu’est la vaccination ne doit pas être le seul axe de défense. « …Il ne semble également y avoir aucun signe significatif de diminution des cas de COVID-19 avec des […]
http://dlvr.it/SCsjRF

vendredi 19 novembre 2021

Denis Robert et Mélenchon découvrent la sociale-traîtrise de l'AFP

À peine né, Blast (l'explosion), un pure player créé par Denis Robert (ex-Le Média, ex-Libération) est à l'agonie, ou presque : le titre gauchiste perd 60 000 euros par mois. Si les contributeurs ne remettent pas la main à la poche, Blast disparaîtra en janvier, en pleine effusion électorale, quand le grand public s'intéresse de près à la politique (politicienne). Malgré les soutiens de toute part, les médias gauchistes souffrent. Y aurait-il un problème de positionnement ? De ligne ? Depuis trois ans, en - Novembre / Économie, Politique, Médias, Sionisme, Internet, Désinformation, Extrême gauche, Jean-Luc Mélenchon, BHL
http://dlvr.it/SCpZFw

Guadeloupe : Le passe sanitaire rend fous les guadeloupéens

La Guadeloupe a continué jeudi à voir ses routes, tout comme l'accès au CHU, bloquées par des manifestants lors du quatrième jour d'une mobilisation lancée par un collectif d'organisations syndicales et citoyennes pour protester contre le pass sanitaire...
http://dlvr.it/SCpZFZ

La Slovaquie met en place un confinement uniquement pour les non-vaccinés

Vous vous souvenez quand je vous ai dit que si un pays fait quelque chose, cela signifie nécessairement que d’autres pays vont faire la même chose ? Parce que tout ce programme est dirigé par des organisations mondialistes internationales ? Via RT : La...
http://dlvr.it/SCpZF6

Guadeloupe « Selon les pompiers, le CHU a ordre de cacher les personnes dites vaccinées qui sont hospitalisées »

Nous avons interviewé Maître Ellen Bessis, avocate en Guadeloupe, qui nous adresse des révélations stupéfiantes sur la situation dans son département. Selon les témoignages qu'elle a reçus, verbalement et par écrit, le CHU de Guadeloupe ne déclare aucune hospitalisation en mentionnant le statut de « vacciné ». Autrement dit, lorsqu'un « vacciné » est hospitalisé en Guadeloupe, l'hôpital le déclare comme non-« vacciné »... Et en métropole, on fait comment ? Commentaire : Très certainement la même chose... Maître Ellen Bessis nous apporte un témoignage de premier ordre sur la Guadeloupe et sur le déroulement des opérations dans ce département français si souvent oublié par la métropole. Elle travaille activement avec le collectif Reinfocovid et défend les personnels suspendus du fait de l'obligation « vaccinale ». Elle fait partie de la coordination des avocats que nous avons déjà évoquée dans nos éditions précédentes. Voici l'interview :
http://dlvr.it/SCpZBl

Diffusion du covid et couloirs migratoires en Europe centrale et de l'ouest: une ressemblance étonnante

UNE CONTAGIOSITE INTER-ESPECE ? Et si les "vagues" successives des cas de covid étaient en lien avec les migrations animales saisonnières ? En comparant les voies de migration et la diffusion du virus, il n'est pas farfelu de le penser, tellement les...
http://dlvr.it/SCpZ8V

jeudi 18 novembre 2021

Propos insignifiants.

Nouvelles apparemment insignifiantes.   Rappelez-vous mon article d’une semaine et demie sur les « scientifiques » du domaine des « sciences sociales ». Il s’intitulait Pourquoi ils détestent et traitait de la toute nouvelle famille de satellites russes Arctika-M qui sont clairement et présentent un danger pour l’ensemble (principalement d’origine occidentale) du schéma de Ponzi sur le réchauffement climatique anthropique. Beaucoup de vrais scientifiques du monde entier qui […]
http://dlvr.it/SCkxFK

La France dispose d'un système de Renseignement électromagnétique spatial

Le ministère français de la Défense vient de placer, le 16 novembre 2021, les trois satellites CERES en orbite. Ils peuvent localiser un radar, n'importe où sur la Terre, et évaluer ses capacités. La France entre ainsi dans le club très fermé des puissances ayant un système de Renseignement Électromagnétique Spatial.
http://dlvr.it/SCkxFB

France Inter déterre la momie Delfraissy (toutou de Lévy et Salomon) : "La 5e vague est là"

Rappel E&R sur le Conseil scientifique de Delfraissy Créé de toutes pièces et en urgence par le « Kouchner boy » Jérôme Salomon, le Conseil scientifique Covid-19 n'a jamais eu que deux objectifs : empêcher l'IHU de Marseille du professeur Raoult de gérer la « pandémie » puis favoriser le pourrissement de la situation pour vendre la « sortie de crise » à la sauce oligarchique (vaccination de masse et pass sanitaire). Quelques détails : le fantomatique immunologue qui s'improvise depuis un an - Novembre / Médias, Science, Communautés, Santé
http://dlvr.it/SCkxF4

Maître X: Cette impressionnante liste de sportifs vaccinés subitement décédés

Par Julien G pour Le Courrier des Stratèges De plus en plus de sportifs de haut niveau se montrent particulièrement réticents à cette vaccination contre le Covid. En effet plusieurs cas de décès inexpliqués ont été signalés ces derniers mois. Aujourd’hui, nous relayons les travaux de Maître X, qui a constitué un document qui regroupe la longue liste des décès […]
http://dlvr.it/SCkxDy

L’Allemagne suspend la certification de Nord Stream 2 : vous avez des pulls ?

Ça commence à bien faire leur petite guéguerre pour savoir, qui a la plus grosse.. L’intérêt des populations passe au dernier plan et comme d’habitude, c’est aux réglementations juridiques, (qui viennent d’apparaître comme par hasard ?) que l’Allemagne fait appel. Comme si ça n’avait pas pu être débattu et résolu avant. Comme le précise l’auteur, sortez les pulls et pour […]
http://dlvr.it/SCkxDN

mercredi 17 novembre 2021

Interdit d’Interdire : Pour ou contre l’inflation ? – avec Olivier Berruyer

Frédéric Taddeï reçoit : – Olivier Berruyer, actuaire, fondateur du média Élucid – Nathalie Janson, professeur d’économie et de finance – Ano Kuhanathan, économiste de marché, data-scientist et enseignant – Jacques Rigaudiat, économiste Lire la suite
http://dlvr.it/SCgKtj

La Compil’ de la semaine

Chaque semaine, nous vous proposons notre Compil’ de la Semaine : une sélection de dessins de presse à la fois drôles et incisifs, ainsi que des vidéos d’analyse participant à l’indispensable travail d’auto-défense intellectuelle. Bonne lecture et bon visionnage à toutes et à tous ! Dessins de Presse Lire la suite
http://dlvr.it/SCgKpt

Retour de la momie Delfraissy… pour promouvoir la 3ème dose de poison

Le Vieux Défraîchi nous l’assure : contrairement aux deux premières, la 3ème dose est efficace dans les 48 heures… autrement dit tout de suite ! Et bien sûr elle devrait être proposée aussi aux femmes enceintes… Il n’y a pas … Lire la suite →
http://dlvr.it/SCgKn5

L'Iran lance une campagne contre le célibat et l'avortement

La République islamique d'Iran lance une campagne pour « le soutien à la famille et le rajeunissement de la population ». Cette campagne vise à valoriser le fait d'avoir de nombreux enfants et à dénoncer le célibat et le recours à l'avortement (qui reste autorisé pour les femmes mariées). Cette campagne est issue d'une loi présentée par l'administration de cheikh Ebrahim Raïssi et adoptée le mois dernier. La vice-président et ministre des Femmes, Ansieh Khazal (photo), a en outre pris position pour le (...)
http://dlvr.it/SCgKlc

Erdoğan crée une « Organisation des États turcs »

La Turquie est parvenue à transformer, le 12 novembre 2021, le « Conseil de coopération des États parlant le turc » en une « Organisation des États turcs ». Cette transformation intervient après la victoire militaire turco-azerbaïdajanaise au Haut-Karabagh. Les membres de cette organisation sont l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Turquie et l'Ouzbékistan. En outre, la Hongrie et le Turkménistan ont le statut d'observateur. Après avoir longtemps hésité à être membre de l'Union européenne (...)
http://dlvr.it/SCgKkJ

mardi 16 novembre 2021

Tensions : Des centaines de chars européens roulent sur la Biélorussie

Majoritairement Allemands, des centaines de chars font route vers les frontières biélorusses. Aperçu sur les rails polonais depuis trois jours, ce déploiement exceptionnel est d'abord destiné à montrer les muscles. 250 chars polonais se sont d'ores et...
http://dlvr.it/SCbh0C

Tensions à la frontière Biélorussie-Pologne (live vidéo)

Nuageux, T°C sur place jour 3° nuit 0°, plus à l'est neige et grand froid 12h15 : La Russie condamne l'utilisation de canons à eau par la Pologne La situation se dégrade à la frontière biélorusso-polonaise ce 16 novembre, émaillée par des tensions entre...
http://dlvr.it/SCbh04

Pandémie : Selon le ministère de l'Education nationale, les CP et CE1 ont plus appris à la maison qu'à l'école

Une étude douteuse qui vise à dédramatiser une situation éducative en lambeaux. Le ministère de l'Education nationale a publié mardi les résultats des évaluations nationales de 2021 organisées en septembre dans les classes de CP, CE1 et 6e en français...
http://dlvr.it/SCbgzr

Une bonne épouse

Elle lui fait des petits plats, ses plats préférés, elle est attentionnée, elle le regarde avec admiration, elle a besoin de lui. Il ne s'agit pas de soumission, il s'agit d'amour. On est loin de Sandrine Rousseau, la haine incarnée ! « Je ne sais pas si tu vas t'en sortir » Sébastien, victime d'un grave accident de quad, raconte avec émotion le drame... #ADP pic.twitter.com/LFU6eMUn3v— M6 (@M6) November 15, 2021 Malgré l'énorme insistance des médias mainstream à fabriquer de la femme anti-hommes, il - Novembre / Politique, Médias, Santé, Mondialisme, Désinformation, Féminisme, Sexualité, Corruption
http://dlvr.it/SCbgzD

Noam Chomsky : « L’Irlande a volé aux travailleurs pauvres des dizaines de billions de dollars »

Noam Chomsky est l’un des plus éminents critiques de la politique étrangère américaine et des inégalités mondiales. Cet auteur et universitaire de 92 ans a rejoint Hugh Linehan pour le podcast Inside Politics de cette semaine pour évoquer le retrait américain d’Afghanistan, la moralité du régime fiscal irlandais et la possibilité pour l’humanité d’éviter la double catastrophe du réchauffement climatique et de la guerre nucléaire. Vous avez manqué l’entretien vidéo exclusif entre Olivier Berruyer et Noam Chomsky ? Retrouvez-le ICI et n’hésitez pas à vous abonner à Élucid pour accéder à tous nos contenus (code promo : LESCRISES) Source : Irish Times, Hugh Linehan Traduit par les lecteurs du site Les-Crises Lire la suite
http://dlvr.it/SCbgtx