mercredi 7 octobre 2020

Interdit d’interdire – Pour ou contre la 5G ?

Source : Russia Today France, Interdit d’interdire  Frédéric Taddeï reçoit : – Nicolas Bérard, journaliste, auteur de «5G mon amour : Enquête sur la face cachée des réseaux mobiles» – Philippe Bihouix, ingénieur et écrivain Lire la suite
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CRISE SANITAIRE OU CRISE GOUVERNEMENTALE?

Hausse du nombre de « cas »… de quoi ? Après une hausse du nombre de «cas» de�Covid-19 (1) la province de Québec au Canada passe en «alerte rouge» pendant 28 jours. Les bars, restaurants, cinémas, musées et bibliothèques sont fermés du 1er au 28 octobre. À partir du 1er octobre et pour une période de 28 jours minimum, les habitants des régions de Montréal et de Québec (3,5 millions d’habitants) ne peuvent plus recevoir d’invités à leur domicile. La police peut désormais entrer dans les domiciles, sans mandat, sur simple dénonciation d’un voisin, pour vérifier qu’ils respectent bien cette consigne décrétée par un comité gouvernemental informel (Cellule de crise gouvernementale). (2)   Sans se soucier le moins du monde de cette grave atteinte aux droits et libertés fondamentales de la population québécoise  les éditorialistes, les journalistes, et les autres scribouilleurs grassement payer, ainsi que les commentateurs politiques, animateurs de la radio et de la télé sans oublier les avocats,  les constitutionnalistes et les ONG stipendiés se relaient pour justifier cette transgression à la feuille de vigne démocratique qui a nom: Charte canadienne des droits et libertés, jetant ainsi le masque «démocratique» dont ces thuriféraires et les larbins politiciens s’affublent quand leurs patrons leur en donnent l’autorisation. Le prétexte sanitaire sert à justifier cette mesure totalitaire imposée par un comité  ad hoc et que les partis politiques d’opposition au parlement québécois commencent enfin à questionner après huit mois de dérive autoritaire suite à l’imposition par décret de la loi des mesures d’urgence sanitaire. Récemment, le chef parlementaire du Parti Québécois  interrogeait le premier ministre Legault sur le bien-fondé «médical-sanitaire» de la décision de confiner (museler et restreindre les libertés) les populations des régions métropolitaines de Montréal et de Québec. https://youtu.be/TsofR_Hlqw8?t=15 . Legault a répondu qu’il n’avait pas le temps d’écrire ou d’attendre des écrits de la santé publique pour confiner plus de trois millions de personnes et détruire l’économie de deux régions où la pauvreté est endémique, les comptoirs alimentaires et les Restos du CÅ“ur ne suffisant plus à la demande.(3) Voici comment le quotidien Le Devoir de Montréal rapporte cet imbroglio gouvernemental: «Le gouvernement québécois est aux prises avec un épineux problème pour stopper la propagation du coronavirus (sic): la difficulté d’application des mesures de la santé publique dans les rassemblements privés (se rappeler que la santé publique n’a pas recommandé ce reconfinement). Québec serait-il en droit de permettre aux policiers d’entrer sans mandat dans les résidences privées s’ils soupçonnent des citoyens d’y tenir un rassemblement illégal? (sic) Oui, répondent des experts consultés par Le Devoir. La propagation de la COVID-19 a surtout lieu présentement dans les rassemblements privés, moins dans les bars, les salles de spectacle et les manifestations, a indiqué le premier ministre Legault.»  Il faut se rappeler ici que les spéculations de Legault – ex-homme d’affaires – ne s’appuient sur aucun avis formel de la santé publique, et que la directrice de la région de Montréal a refusé d’appuyer ce confinement. Il faut aussi rappeler que le confinement précédent (du 13 mars au 4 mai 2020) de l’ensemble de la province de Québec n’a pas empêché plus de 5800 mortalités (données non validées), surtout chez les personnes âgées (+65 ans) résidantes  en CHSLD  qui ne fréquentaient ni les bars ni les restaurants et que le gouvernement avait assignés à résidence sans visite, esseulée et désespérée entraînant de nombreuses mortalités. (4) Le gouvernement québécois poursuit sa lubie sous les directives de l’OMS sans remettre en cause sa stratégie de lutte contre la Covid-19. (5) Il y a plus de 8 mois que tous les pouvoirs étatiques ont été transférés à une «Cellule de crise Covid-19» ad hoc  qui improvise au jour le jour et s’embourbe dans les contradictions insolubles dont rend compte  le quotidien Le Devoir :  «Mais comment savoir si, dans leur domicile, les citoyens respectent la consigne sur les rassemblements qui ne doivent pas dépasser dix personnes provenant d’une ou de deux familles? (sic)  Professeur à la faculté de droit de l’Université Laval, Louis-Philippe Lampron estime que dans le contexte d’urgence sanitaire (sic), le gouvernement serait en droit d’autoriser les policiers à frapper à la porte d’une résidence pour s’assurer que ses occupants n’enfreignent pas les règles. Mais pas dans n’importe quelles circonstances et les interventions devraient s’appuyer sur des doutes raisonnables (…) il faut être prudent sentence le Professeur de droit (sic) en raison de l’importance que représente la résidence privée dans le droit et des dispositions qui protègent le droit à la vie privée. Essentiellement, une entrée sans mandat dans la résidence de quelqu’un, ça viole un droit fondamental». Tiens donc, un constitutionnaliste qui se préoccupe de la constitution!?… Et voici qu’au milieu de ces abus, de ce non droit systémique, de cet autoritarisme, la go-gauche de la Ligue des droits et libertés (conditionnels) pleurniche sa crainte des abus (sic) des policiers du régime (!): «Le contexte de crise sanitaire ne permet pas au gouvernement d’augmenter les pouvoirs policiers à la légère et dans l’urgence» (tiens donc) a souligné sa porte-parole Ãˆve-Marie Lacasse, qui croit que des discussions seront nécessaires avec la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.» Et le droit de manifestation, si important au milieu de cet agiotage? Une manifestation contre le port obligatoire du masque et contre le confinement meurtrier a rassemblé des centaines de personnes en fin d’après-midi mardi (29-09-2020) devant l’Assemblée nationale à Québec, ce qui contrevient aux recommandations sur la distanciation sociale (sic) et sur les rassemblements de plus de 250 personnes qu’il faut proscrire selon la Cellule de crise gouvernementale détenant tous les pouvoirs. Les partis d’opposition à Québec – y compris la go-gauche Solidaire –  n’ont pas manqué de rappeler que de tels rassemblements pouvaient devenir des foyers d’éclosion…certainement pas d’éclosion de liberté, mais certainement d’éclosion de résistance et de solidarité. Et le quotidien de propagande gouvernementale «Le Devoir» de conclure : «Québec a enregistré 303 nouveaux «cas» d’infection au coronavirus mercredi (ce qui est un mensonge puisque les tests PCR ne valident pas les infections, mais dans la majorité des « cas Â» les guérisons du Covid-19: https://les7duquebec.net/archives/258895(6).  Un nouveau décès auquel se sont ajoutés deux décès survenus entre le 9 et le 14 septembre.»…  soit trois décès en quelques jours pour une population totale de 8,8 millions d’individus… sommes-nous véritablement dans une 2e vague pandémique ou dans une deuxième vague de terrorisme sanitaire gouvernemental?   Notes   * Le cas des « cas »: le gouvernement laisse entendre que chaque « cas » de test positif à la Covid-19 est un cas de maladie et de contagion. Des études démontrent que 95% de ces « cas » sont d’anciens malades d’un virus quelconque qui ne le sont plus et ne sont pas contagieux. https://les7duquebec.net/archives/258846 * https://www.ledevoir.com/politique/quebec/586117/jusqu-ou-pourra-aller-la-police-pour-controler-les-rassemblements-prives * https://www.patriote.info/actualite/coronavirus-actualite/covid-19-au-quebec-la-police-peut-entrer-chez-les-habitants-pour-verifier-quils-ne-recoivent-pas-dinvites/?fbclid=IwAR2-CP_SHzgQ_bU9QRA-7onZHLJ8rq__UUKfIQtwluvjfbX-knaTMxQJomo * https://www.google.com/search?rlz=1C1CHBF_frCA859CA859&sxsrf=ALeKk01Y7tjfiUulGExBrVlVynIUlu8D7Q%3A1602001032149&ei=iJh8X9bECJuvytMPuIqd2AM&q=covid-19+qu%C3%A9bec+statistiques&oq=covid-19+qu%C3%A9bec+statistiques&gs_lcp=CgZwc3ktYWIQARgAMgIIADIGCAAQFhAeOgQIIxAnSgUIJhIBblCG4QFYqpECYJivAmgAcAB4AIAByQGIAdoNkgEFNC45LjGYAQCgAQGqAQdnd3Mtd2l6wAEB&sclient=psy-ab * https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1690914/mesures-restrictions-isolement-quarantaine-fermeture-quebec-canada *  https://les7duquebec.net/archives/258895    
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Avortement pour « détresse psychosociale », le cavalier législatif du projet de loi bioéthique ? (Aleteia.org)

� C'est du délire, un avortement jusqu'a 9 mois, ce n'est plus un avortement, c'est une naissance suivit d'un meurtre..., et la 'détresse psychosociale' est par expérience invérifiable, si vous n'avez pas d'argent ou vous êtes en difficulté, vous nes faites pas d'enfant, il y a assez de moyens de contraception. Et si un 'accident' arrive il ne faut pas attendre 9 mois pour se faire avorter, c'est encore une loi qui dé-responsabilise les gens, et vous allez voir plein d'autres choses a but commercial ou des recherche imondes sont adpotés sous couvert de recherche scientifique et ceci dans l'indiférence générale. Merci à nos chers Médias Main Stream.... Lionel BONAVENTURE / AFP Lors de l’examen en deuxième lecture du projet de loi bioéthique, dans la nuit de vendredi à samedi 1er août, les députés ont voté un amendement autorisant l’interruption médicale de grossesse (IMG), permis pendant neuf mois, pour cause de « détresse psychosociale Â». Un critère que ses opposants estiment invérifiable et qui pourrait, pour certains, mener à détourner le dispositif de l’IMG quand le délai de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) est passé. C'est un amendement qui n’a pas fait de bruit. Pourtant, il pourrait bien bouleverser à long terme la conception de l’avortement en France. Dans la nuit de vendredi 31 juillet à samedi 1er août, les députés ont voté l’amendement n°524 du projet de loi bioéthique, porté par plusieurs députés socialistes, autorisant l’interruption médicale de grossesse (IMG), permis en France pendant neuf mois, pour cause de « détresse psychosociale Â». « On constate trop souvent des interrogations, voire des divergences d’interprétation sur l’opportunité de prendre en compte, parmi les causes de péril grave justifiant la réalisation d’une IMG, la détresse psychosociale Â», a ainsi argumenté Marie-Noëlle Battistel. « Il convient de clarifier le cadre juridique dans lequel le collège médical rend son avis sur l’opportunité de réaliser cet acte. Ce sera plus clair pour tout le monde et la décision sera plus aisée Â». Cette disposition « fait exploser l’encadrement de l’avortement en ajoutant le critère invérifiable de “détresse psychosociale” pour recourir à l’interruption médicale de grossesse (IMG), jusqu’au terme de la grossesse Â», a dénoncé l’association Alliance Vita, membre du collectif « Marchons enfants ! Â», opposé au projet de loi bioéthique. « La condition des femmes enceintes faisant face à une détresse mérite toute l’attention de la société. Mais l’histoire a montré que, la notion de détresse étant difficile à objectiver, elle était utilisée pour détourner la loi Â». Voilà l’amendement crucial, adopté avec l’aval du gouvernement, qui détourne le dispositif de l’#IMG (permis pendant 9 mois) quand le délai de l’#IGV est passé... Ceux qui savent qu’on n’a JAMAIS pu vérifier la détresse, ancien mobile de l’#IVG, comprendront le piège.#Bioethique pic.twitter.com/kejWhgCGN2 — Tugdual Derville (@TDerville) August 1, 2020 Pour Mgr Malle, évêque de Gap et Embrun, il s’agit d’une « fuite en avant irresponsable de l’Assemblée nationale Â», a-t-il dénoncé sur Twitter.  Â» Qui peut juger de la détresse psychosociale ? Appelons les choses par leur nom: un infanticide légal, un meurtre légal Â». Fuite en avant irresponsable de l’@AssembleeNat adoptant l’avortement jusqu’au jour de la naissance pour « détresse psychosociale ». Qui peut en juger ? Appelons les choses par leur nom: un infanticide légal, un meurtre légal. https://t.co/7ay3xlCnBB — Mgr Xavier MALLE (@MgrXavierMALLE) August 1, 2020 Cet amendement avait pourtant reçu un avis défavorable de la commission. « Le problème n’est pas le droit, mais la pratique Â», a expliqué le rapporteur du texte, Jean-François Eliaou. « Vos amendements m’offrent l’occasion de le redire haut et fort : oui, l’IMG constitue une possibilité, et la santé de la femme doit être prise dans sa globalité, dont fait partie la santé mentale. Toutefois, le préciser dans ce texte me gêne. Puisque cette possibilité existe déjà dans la loi, pourquoi la rappeler ? Pourquoi énumérer ce seul motif d’IMG, et non pas d’autres ? Que se passera-t-il si ce péril résulte d’une cause purement psychologique, et non psychosociale ? Comment définir exactement les causes psychosociales ? Enfin, je crains qu’on n’envoie, en inscrivant cette précision dans la loi, un signal complexe sur la frontière entre IVG et IMG Â». Le gouvernement, par la voix du secrétaire d’État Adrien Taquet, a quant à lui émis un avis de sagesse. Plusieurs opposants ont dénoncé un cavalier législatif, c’est-à-dire un article de loi qui introduit des dispositions qui n’ont rien à voir avec le sujet traité par le projet de loi. En France, le Conseil constitutionnel censure ce type de dispositions. Le projet de loi bioéthique a été adopté en deuxième lecture par l’Assemblée nationale un peu avant 4 heures du matin dans la nuit de vendredi à samedi 1er août dans un hémicycle déserté. Sur les 577 députés que compte l’Assemblée nationale, 101 étaient présents. Le texte a été voté à 60 voix contre 37. « La version issue de l’Assemblée nationale en seconde lecture est même pire que la version gouvernementale initiale Â», a regretté le député LR Thibault Bazin lors de l’explication de vote sur le texte. « Elle contient de nouvelles dérives marchandes : l’extension, à titre expérimental, aux centres à but lucratif de la gestion des gamètes ; le double discours du garde des sceaux qui renonce à dissuader nos compatriotes d’aller louer le corps de femmes à l’étranger. Elle contient de nouvelles dérives transhumanistes : la possibilité confirmée de créer bientôt des embryons transgéniques, des gamètes artificiels à des fins de recherche, des embryons chimériques Â».   Source(s) : Aleteia.org via Silvano Trotta          
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