samedi 14 mars 2020

Krach financier, coronavirus, menace de guerre : QUE FAIRE ?

Qui, lors de la dernière présidentielle française, avait évoqué la menace d'un « tsunami financier », si ce n'est Cheminade ? - Orientation stratégique / Contenu frais, Politique, Texte, Monde, Santé publique
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USA : l'état d'urgence déclaré

Donald Trump a donné une conférence de presse depuis les jardins de la Maison-Blanche, le 13 mars 2020, pour annoncer la mise en place de l'état d'urgence au niveau national en réponse à la crise du coronavirus. Le chef d'Etat a notamment déclaré que 50 milliards de dollars allaient être débloqués au niveau fédéral pour combattre la pandémie. « Pour déclencher la pleine puissance des ressources du gouvernement fédéral, je déclare officiellement une urgence nationale», a ainsi fait savoir le président des Etats-Unis, activant de ce fait une loi de 1988 qui n'avait jusqu'alors été utilisée qu'une fois par Bill Clinton en 2000.
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Coronavirus : Avec 98 % des services de réanimation déjà saturés, il faut s’attendre à une gifle sanitaire

Source : Le Nouvel Obs, Elodie Lepage, 13-03-2020 Le professeur Gilles Pialoux, chef du service de maladies infectieuses à l’hôpital Tenon, à Paris, alerte sur des formes sévères de Covid-19 sur des patients relativement jeunes. Le gouvernement a annoncé jeudi soir le report de toutes les interventions chirurgicales non urgentes nécessitant une surveillance post-opératoire pour donner la priorité aux malades du Covid-19. Que pensez-vous de cette mesure ? Les médecins la réclamaient. Ces derniers jours, des services de réanimation dans des hôpitaux, dans l’Est de la France comme à Paris, ont alerté sur le fait qu’ils étaient déjà saturés. Or les réanimateurs ne sont pas formés à être inquiets. S’ils tirent la sonnette d’alarme, c’est qu’il y a de bonnes raisons. Par ailleurs, partout en France, les services de réanimation sont déjà occupés à 98 %. La Direction générale de la Santé a annoncé que nous disposions de 5 000 places dans ces services, encore faudrait-il qu’elles soient vraiment libres, ce qui n’est pas le cas. Il fallait donc prendre cette décision pour avoir des places en réanimation dans les jours et les semaines à venir, quand le nombre de personnes devant être hospitalisées en soins intensifs va augmenter. Plus globalement, diriez-vous que le gouvernement a pris la mesure de la crise sanitaire à laquelle les soignants sont d’ores et déjà confrontés ? Lire la suite
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