mercredi 12 février 2020

Compteur Linky : un espion dans le placard (Franceinfo)

Bonjour à toutes et à tous, désolé, mais assez occupé ce matin, je fais toujours le taxi, ma voiture serat livré dans 12 jours, et j’ai une de mes chattes qui est sur la fin, 16 ans quand même..., donc j’avais véto ce matin à 11h. Pour l’actu France aujourd’hui j’ai choisi ce billet de FranceInfo qui confirme ce qu’on vous avait expliqué sur les données carroyées des linky, peut être que pour l’instant ils ne vendent pas ces données, mais vue comment ça vaux de l’or, ça ne devrait pas durer. Et je rappel que j’ai du plier face à Enedis et ils l’ont installé chez moi, mais pour l’instant pas de mauvaise surprise en facture, au contraire (mais ça demande plus de recul) https://www.francetvinfo.fr/economie/linky/compteur-linky-un-espion-dans-le-placard_3822097.html Informations complémentaires : Crashdebug.fr : Quand la police exploite le big data pour résoudre ses enquêtes (Le Figaro) Crashdebug.fr : Le « big data » ou la recette secrète du succès d'Emmanuel Macron ? Crashdebug.fr : Cash investigation : Marketing : les stratégies secrètes Crashdebug.fr : Cash Investingation : Le Neuromarketing « votre cerveau les intéresse » Crashdebug.fr : Big Data - Les Nouveaux Devins (Spécial Investigation) Crashdebug.fr : Google, Apple, Facebook, les nouveaux maîtres du monde (France 2) Crashdebug.fr : Compteur Linky : une octogénaire fait condamner EDF et Enedis (DNA) Crashdebug.fr : Preuve de la dictature d’Enedis qui IMPOSE son compteur Linky aux consommateurs malgré un refus motivé Crashdebug.fr : En quasi-faillite, EDF veut nationaliser le nucléaire… et privatiser les renouvelables (Reporterre) Crashdebug.fr : Linky : Le tribunal de Tours demande le retrait immédiat de 13 compteurs (RTL) Crashdebug.fr : Les compteurs Linky de nouveau pointés du doigt Crashdebug.fr : Des scientifiques viennent de prouver que les ondes ont un effet possible sur les humains Crashdebug.fr : Les champs électromagnétiques sont-ils responsables de la mort de centaines d’animaux ? (Le Figaro) Crashdebug.fr : Scandale sanitaire ou fausse piste ? Des éleveurs aux troupeaux décimés accusent les ondes électromagnétiques (Franceinfo) Crashdebug.fr : Linky, un ancien installateur raconte : « On nous demandait de mentir au client » Crashdebug.fr : Linky : les ménages précaires sous le coup de coupures sans avertissement... Crashdebug.fr : Compteurs Linky, coûteux, intrusifs, incompréhensibles... Crashdebug.fr : Linky et les données « carroyées » - Dans les grilles de l’Insee... Crashdebug.fr : Compteur Linky, mensonges de Bernard Lassus d’Enedis, liste des agressions qui continuent Crashdebug.fr : Compteur (capteur) Linky : la vidéo pour tous ! Crashdebug.fr : Sans langue de bois, ce cancérologue dénonce les facteurs environnementaux responsables de nombreuses maladies graves (Pr Belpomme)  
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L’Ukraine va vers le défaut de paiement, et c’est encore un scénario doux

L’Ukraine qui plonge aussi vers la « féodalisation » avec ses « petits seigneurs » territoriaux corrompus, qui font leurs affaires sur le dos du pays et de la population. Le vampire Soros, grand amateur (quand il ne les finance pas) de révolutions colorées, qui attend son heure pour faire main basse sur les riches terres ukrainiennes, avec d’autres rapaces en embuscade. Si le […]
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Paris est Plein, Plein, Plein, … Plein de parasites

Un des inconvénients méconnus de toute campagne municipale, c’est qu’elle fait instantanément ressortir les parasites et l’actuelle campagne électorale pour la ville de Paris n’échappe pas à la règle puisqu’elle est maintenant l’occasion d’évoquer ces derniers dans les conversations politiques, au travers notamment des promesses des candidats… Il faut dire que Paris est sale. Si, au XIXe siècle, l’arrivée de l’éclairage public fit gagner à Paris le surnom de « ville lumière », peut-être l’installation indéboulonnable d’un certain nombre d’encombrants animaux dans la capitale française lui en fera gagner un autre moins reluisant, celui de « ville parasitée ». Parmi ces bestioles particulièrement envahissantes, l’actualité permet d’immédiatement citer Benjamin Griveaux, l’actuel candidat LREM qui cherche à remplacer Anne Hidalgo, puisqu’il évoque assez spontanément les punaises. On savait déjà Paris infesté par les rats et les élus toujours gourmands de l’attention des électeurs en conviennent : ces parasites ont trouvé ces dernières années une occasion de proliférer. Conditions de vie trop favorables, opulence alimentaire dont il est trop facile de profiter sans guère de contrôle, mansuétude d’un peuple maintenant trop habitué à cet envahissement, les raisons de ce parasitage prolifique sont multiples pour une équipe municipale qui n’a pas démontré son efficacité à le combattre. Mais à ces parasites connus s’ajoute ce fléau de Benjamin Griveaux : la punaise de lit. Apparemment directement touché par ces envahissants hétéroptères, l’actuel candidat de LREM a donc fait lui-même la douloureuse expérience d’un parasitage inopiné et peut dès lors se targuer d’en connaître un nouveau rayon en la matière. C’est logiquement qu’il compte faire profiter aux Parisiens de son expérience des parasites et ce d’autant plus que, pour lui, il faut en parler : « Ça n’a rien à voir avec l’hygiène mais il faut en parler pour agir efficacement » Et il est vrai qu’une fois la parole libérée, les parasites sont immédiatement devenus plus visibles : Danielle Simonnet, la candidate France Insoumise, se sentant immédiatement concernée, a elle aussi fait part de ce souci et ne s’est pas arrêtée là puisqu’elle envisage la création d’un service public pour éradiquer les nuisibles, rejointe en cela par Griveaux qui ne voudrait pas rater une si belle occasion de mobiliser de l’argent public. Cependant, même sans chercher à savoir si la mise en place de ce service public pour éradiquer les nuisibles relève en politique du courage ou du suicide, il est impossible de ne pas noter qu’ici encore, on tente d’apporter une solution bancale à un problème essentiellement lié à une gestion calamiteuse de la salubrité publique de la ville. Difficile en effet de ne pas se rappeler que se trouve déjà, dans les missions de la municipalité, celle de tenir la ville propre. Mission qu’elle n’est pas fichue de remplir avec les rats dont la taille (à mi-chemin entre celle d’un élu et celle d’une punaise) pourrait laisser croire qu’ils seront pourtant plus faciles à éradiquer que les autres importuns. Rien n’indique en effet qu’une municipalité déjà incompétente à dératiser la ville saura proposer un service efficace pour d’autres parasites et même plutôt du contraire… Surtout lorsqu’on découvre que la proposition de Griveaux repose sur une tarification des prestations de ce nouveau service public qui serait dépendante du niveau de revenu de ceux qui les commandent. Autrement dit, virer des parasites sera d’autant plus coûteux qu’on a des revenus importants… Au-delà de l’évident parallèle avec les élections municipales, cette proposition tarifaire est évidemment la clé d’un échec cuisant, le collectivisme et le contrôle arbitraire des prix n’ayant jamais fonctionné nulle part, sur aucun marché et pour aucun prix. Et cet échec sera d’autant plus cuisant que, comme tous les autres échecs collectivistes, les factures qu’il générera seront intégralement reportées sur les contribuables parisiens. C’est tellement vrai que l’actuelle faillite sanitaire que subit la ville de Paris va déjà provoquer une hausse sensible des taxes pour ces contribuables. En effet, comme je le notais dans un précédent billet, la gestion des ordures parisiennes est actuellement en pleine déconfiture : grèves et arrêts de travail s’empilent et les fours incinérateurs qui brûlent ces déchets pour la région parisienne ne fonctionnent plus, conduisant à l’amoncellement de plus en plus gênant des ordures dans les rues de la capitale. À l’évidente catastrophe écologique que provoquent ainsi la CGT et ses sbires (les déchets devant être enfouis au lieu d’être brûlés, et le chauffage produit devant l’être à partir d’énergies fossiles plutôt que ces déchets), il faut donc ajouter la catastrophe sanitaire que l’empilement de ces ordures entraîne inévitablement (et qui n’améliorera que la vie des rats et des punaises à Paris) et, de surcroît, une catastrophe fiscale supplémentaire puisque ces errements consternants se traduiront prochainement par une hausse des impôts locaux : ces plaisanteries syndicales ont déjà coûté plus de 110 millions d’euros, et comme l’annonce Jacques Gautier, le président du gestionnaire Syctom, « L’an prochain, on va renoncer à des investissements, mais il faudra augmenter la taxe d’enlèvement des ordures ménagères ». Eh oui ! Parisiens, non seulement vous allez devoir continuer à supporter un paquet de parasites, et ce quelque soit le nom du prochain maire dans votre ville, mais ils vont de plus vous coûter encore plus chers alors que vos rues s’encombrent de déchets ! Pas de doute, on se fout de votre gueule. —- Sur le web Ces articles pourraient vous intéresser: Municipales à Paris : 100 000 euros d’aide à l’achat de logement et un mars Ces gros pollueurs de la CGT Municipales : Hidalgo nous offre une grande braderie parisienne Existe-t-il vraiment des parasites économiques ?
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