jeudi 5 mai 2016
Sanctionner les pays refusant d'accueillir les réfugiés, un projet « dictatorial »
Sanctionner les pays refusant d'accueillir les réfugiés, un projet « dictatorial »
Loi travail : les Français y sont de plus en plus hostiles
Loi travail : les Français y sont de plus en plus hostiles
En ce jour de congé, où les gens ont plus de temps pour lire les articles, je me permets de vous rappeler, que le chaos économique auquel nous faisons face, est DÉLIBÉRÉ, ceci justement pour imposer ces réformes. Alors, individuellement ou dans le cadre de votre entreprise, opposez-vous massivement à cette loi scélérate, pour leur montrer que vous n'êtes plus dupes, et que vous CONNAISSEZ leur stratégie du CHOC ! Et surtout informez les autres de l'existence de ces infâmes magouilles mondialistes... Amicalement, f. AFP Les trois quarts des Français (74%) se disent opposés au projet de loi travail. A peine un sur dix la trouvent bonne et utile dans sa forme actuelle. L'hostilité envers ce projet de loi s'accroît de jour en jour si on en croit les enquêtes d'opinion successives.Preuve en est, l'hostilité au projet de loi Travail, porté par Myriam El Khomri, est partagée par les sympathisants de toutes les familles politiques, à droite comme à gauche et même au sein même du Parti socialiste. D'après cette enquête Elabe pour BFM TV, 55% des sympathisants PS y sont opposés. De manière générale, 74 % des Français y sont opposés. Dans le détail, 37% se déclarent "plutôt" opposées à ce texte, 37% "tout à fait" opposées, 22% "plutôt" favorables, et 3% "tout à fait" favorables. Dans leur grande majorité, les Français pensent que cette loi profitera avant tout aux patrons. Seul un sur dix pense que ce texte sera surtout bénéfique pour les salariés… Le texte est en toute logique rejeté par une large majorité de chômeurs (84%) et d'élèves et étudiants (79%). Les chefs d'entreprises sont la catégorie professionnelle la plus favorable au texte.
Source : l'Humanité.fr
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Les lignes de Nasca observées par le radar aéroporté de la NASA
Les lignes de Nasca observées par le radar aéroporté de la NASA
D'après la NASA, "UAVSAR est un avion radar utilisé pour l'étude des tremblements de terre, des volcans, de la végétation, de l'hydrologie, de la glace et autres caractéristiques terrestres". L'instrument est actuellement embarqué sur un C-20A de la NASA. En survolant plusieurs fois la même zone, l'UAVSAR* permet de voir comment elle évolue. Le pilote automatique de précision contrôle l'avion afin qu'il suive le même chemin à 10m près. A l'aide de la technique de l'interférométrie radar, deux images UAVSAR de la même zone permettent de montrer les changements. D'après Bruce Chapman du Jet Propulsion Laboratory de la NASA: "l"UAVSAR est idéalement adapté pour observer le site de Nazca car la région n'a pratiquement pas de végétation ni de précipitation quelques soient les années, ce qui signifie que les perturbations naturelles sont minimes". Les données collectées par l"UAVSAR au Pérou aideront les autorités à remplir pour la première fois le catalogue de ces dessins millénaires tracés sur le sol dans et autour du site de Nasca. Cela leur donnera aussi un nouvel outil pour protéger ces constructions fragiles à la fois des négligences humaines et des perturbations naturelles. L'image tout en haut montre une portion d'une grande mesa (plateau ou grande butte à sommet plat et aux versants abrupts) dans une image Google earth. Des ravines entourent la mesa ou le peuple Nasca a créé des lignes de plusieurs kilomètres de long, d'énormes polygones, et des représentations animales, simplement en déplaçant les pierres. Une forme appelée le Colibri est faiblement visible au-dessus et à gauche de la ligne blanche donnant l'échelle, son long bec termine en-dessous d'une route qui traverse en diagonale du coin droit de l'image vers le centre. Dans l'image radar synthétique du même site (image en-dessous), les zones de perturbation apparaissent en plus sombre. On peut ainsi voir de grandes zones de perturbation autour du Colibri ainsi qu'un chemin allant vers le bas du ravin directement au-dessus du glyphe. Cette étude a été publiée dans le journal Conservation and Management of Archaeological Sites. *UAVSAR: Uninhabited Aerial Vehicle Synthetic Aperture Radar Source:
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URL: http://decouvertes-archeologiques.blogspot.com/2016/05/les-lignes-de-nasca-observees-par-le.html
Sarkozy veut supprimer les contrôles fiscaux inopinés dans les entreprises
Sarkozy veut supprimer les contrôles fiscaux inopinés dans les entreprises
Source : Ouest-France, 03-05-2016 Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, a affirmé lundi à Amiens vouloir supprimer les contrôles fiscaux et sociaux inopinés dans les entreprises. « Je souhaite qu’on supprime les contrôles fiscaux et sociaux, sur place, dans les entreprises, sauf présomption de faute grave », a affirmé M. Sarkozy, lors d’une table ronde avec des chasseurs et pêcheurs de la Somme. S’il y a contrôle fiscal, « je souhaite qu’on s’en tienne à une année plus l’année en cours, pas trois ans », a-t-il ajouté. L’ex-chef de l’Etat, qui devrait présenter sa candidature à la primaire pour 2017 début septembre, a passé plus d’une heure à discuter avec des chasseurs et pêcheurs se déclarant « déçus par la droite », qui, lorsqu’elle a été au pouvoir, « a préféré draguer le vivier écologique ». « trouillomètre à zéro »Face à l’administration et aux contrôles qu’elle effectue, « les politiques doivent reprendre le pouvoir », a affirmé M. Sarkozy. « ‘Il y a une reprise en main de ce côté-là tout à fait nécessaire », a-t-il ajouté. Il a réaffirmé, sous les applaudissements, qu’il voulait remplacer le principe de précaution par le principe de responsabilité. « Tout le monde a le trouillomètre à zéro. Plus personne ne veut prendre de risques », a-t-il regretté. Crise d’autoritéLe président de LR a également affirmé qu’on ne pouvait « fonctionner sans un minimum d’autorité. On ne peut pas avoir des minorités qui bloquent tout », a-t-il dit. Une allusion aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes, « qui vivent de nos impôts, du RSA, des subsides d’associations subventionnées », ainsi qu’aux « Nuit Debout » —« Quand on est debout la nuit, on est couché le jour »— ou encore à « la Jungle de Calais », aux « lycéens qui bloquent les lycées parce qu’ils ne sont pas contents de la loi El Khomri »et aux « étrangers en situation irrégulière qui investissent des équipements » scolaires… « Ça va s’arrêter où? » a demandé M. Sarkozy. « Je n’ai jamais vu le pays dans un tel état de tension. Beau résultat » pour François Hollande, s’est-il exclamé. « Faites quelque chose pour les oies »Certains dans l’assistance ont mis en avant le vote Front national chez des électeurs « déçus par la droite et par la gauche ». Par exemple, a-t-on pu entendre, on empêche les chasseurs de « tirer les oies » après le 31 janvier, alors qu’elles arrivent au-dessus de la baie de Somme en février. « Faites quelque chose pour les oies, le Front national reculera », lui a-t-on promis. Source : Ouest-France, 03-05-2016 |
URL: http://www.les-crises.fr/sarkozy-veut-supprimer-les-controles-fiscaux-inopines-dans-les-entreprises/
Au Pakistan, le triste sort du médecin qui aida la CIA à traquer Ben Laden
Au Pakistan, le triste sort du médecin qui aida la CIA à traquer Ben Laden
On parle de l’Arabie saoudite, mais il ne faut pas publier non plus le rôle du Pakistan… Source : Le Nouvel Obs, AFP, 02-05-2016 Cinq ans après son arrestation, le médecin pakistanais languit en prison, victime selon ses proches de manœuvres diplomatiques entre Washington et Islamabad. “Je n’ai aucun espoir de le voir, je n’attends plus rien de la justice”, se lamente Jamil Afridi, son frère aîné. Exceptionnellement, il a accepté de témoigner mais dans un lieu tenu secret. Son frère, le Dr Afridi, âgé d’une cinquantaine d’années, a organisé il y a cinq ans une fausse campagne de vaccination contre l’hépatite C, qui avait servi de couverture pour confirmer la présence de Ben Laden, alors chef d’Al-Qaïda, à Abbottabad. Une fois localisé, le cerveau des attentats du 11 septembre 2001 avait été abattu, le 2 mai 2011, par les forces spéciales américaines lors d’un raid à son domicile. Cette spectaculaire intervention étrangère fut vécue comme une humiliation au Pakistan, laissant des traces profondes dans ses relations avec les Etats-Unis et compliquant d’autant le cas du docteur. Bouc émissaireLe Dr Afridi avait été chargé d’organiser une campagne de vaccination dans le but de recueillir un échantillon ADN dans le complexe habité par Ben Laden. Il a affirmé par la suite ne pas avoir été informé du but de l’opération et avoir refusé de fuir le pays quand cela lui a été demandé. Arrêté peu après le raid par les autorités pakistanaises, le médecin a été jugé pour liens avec des extrémistes – un chef d’accusation largement considéré comme fantaisiste – et condamné à une peine de 33 ans de prison, réduite par la suite à 23 ans. Depuis, la procédure est enlisée. Un procès en appel, débuté en 2014, a été ajourné des dizaines de fois. Plusieurs groupes de défense des droits de l’Homme ont tiré la sonnette d’alarme, exigeant un procès transparent. “Shakeel est devenu un bouc émissaire”, estime un militant des droits de l’Homme, Zar Ali Khan Afridi, sans lien de parenté avec le médecin. “Il a été impliqué dans un cas qui n’a rien à voir” avec son affaire, estime-t-il. Selon son avocat, Qamar Nadeem, le docteur est détenu à l’isolement dans une petite pièce et malgré cette précaution, sa vie reste menacée. Me Nadeem, qui lui-même n’a plus accès à son client depuis deux ans, est son second conseil. Le premier ayant fui le Pakistan en raison de menaces des talibans, avant d’être finalement tué lors d’une visite au pays en 2015. Selon Me Nadeem, son client ne peut guère espérer se tirer d’affaire sans pression des Etats-Unis. “Mais jusqu’ici ils n’ont pas fait preuve de soutien”, regrette-t-il. “Question d’arrière plan”Cela n’a pas toujours été ainsi. En 2012, un comité du Sénat américain avait symboliquement voté une réduction de 33 millions de dollars de l’aide américaine accordée à Islamabad, soit un million par année de prison infligée au Dr Afridi dans la première sentence. Mais la pression américaine s’est depuis étiolée à mesure que se resserraient les liens avec Islamabad et que d’autres dossiers sensibles surgissaient, estiment des experts. “Les pourparlers avec les talibans (afghans) ont pris le dessus sur tout le reste”, estime Ahmed Rashid, un analyste spécialiste de sécurité. “Les Américains ne veulent pas brouiller le tableau en soulevant des questions épineuses” avec le Pakistan, considéré comme un médiateur crucial dans les difficiles négociations de paix en Afghanistan. “Il est probable que la question soit actuellement passée à l’arrière plan” faute d’espoir qu’un arrangement soit possible “à court terme”, d’après Michael Kugelman, chercheur au Woodrow Wilson Center à Washington. Source : Le Nouvel Obs, AFP, 02-05-2016 |
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[Vidéo] Universités américaines : le cauchemar de la dette étudiante
[Vidéo] Universités américaines : le cauchemar de la dette étudiante
Source : Youtube, France24, 29-04-2016 Aux États-Unis, des millions d’étudiants sont contraints de s’endetter lourdement pour pouvoir financer leurs études supérieures. Seuls ou avec leur famille, ils empruntent des dizaines de milliers de dollars sur plusieurs années, mais ils ne parviennent pas toujours à rembourser leurs dettes à leur sortie de l’université et sont contraints de démarrer leur vie active déjà endettés. Nos reporters Gallagher Fenwick et Philip Crowther sont allés à leur rencontre. Faire un reportage sur la dette étudiante, c’est aller à la rencontre de toute l’Amérique, car le phénomène n’épargne presque personne. Selon le ministère de l’Éducation, au moins 40 millions d’Américains avaient souscrit à un prêt bancaire en 2015, afin de financer leur passage sur les bancs de la fac. Le montant de leur emprunt s’élève en moyenne à 30 000 dollars. Ces personnes ne sont généralement pas pauvres, mais plutôt acculées et entravées par un poids qui les empêche d’avancer dans leur vie. Pas le temps d’explorer le champ des possibles, de chercher le métier de leurs rêves, ni même de fonder une famille ou encore vouloir souscrire à un prêt immobilier… Dès qu’ils ont leur diplôme en poche, ces étudiants doivent chercher à gagner de l’argent, afin de ne pas se laisser déborder par les intérêts qui s’accumulent rapidement et éviter de se laisser emporter dans une spirale infernale. Un système “hors de contrôle” Source : Youtube, France24, 29-04-2016 |
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