vendredi 17 avril 2015

Le ministre des Finances allemand : "La France serait contente que quelqu'un force le Parlement, mais c'est difficile, c'est la démocratie!"

La France a élu François Hollande, mais elle a vraiment besoin d'un Napoléon Bonaparte!



Wolfgang Schäuble, peu accoutumé à la langue de bois a assuré jeudi 16 avril depuis Washington que "la France serait contente que quelqu'un force le Parlement" à voter de dures réformes.

"La France serait contente que quelqu'un force le Parlement, mais c'est difficile, c'est la démocratie", a-t-il dit lors d'un débat dans la capitale américaine, après avoir évoqué les réformes selon lui "très réussies" menées en Espagne sous la supervision de la troïka. La croissance y est repartie en 2014 (1,4%) après cinq ans de récession ou de croissance nulle mais le pays reste marqué par la cure d'austérité et un chômage encore trop élevé (23,7%).

Qui sauvera la France ? 


Dès l'élection de François Hollande en 2012 nos "meilleurs ennemis" anglais annonçaient la couleur et espéraient un nouveau Bonaparte (qu'ils ont pourtant combattu à mort en le traitant de "racaille corse") :

"Le pays a besoin d'un homme - ou d'une femme - suffisamment fort pour proposer une réforme profonde et énergique. (...) La France a assurément besoin d'un président qui 1) rejette une politique de clocher dressant une classe ou une région contre une autre ; 2) résiste à la tentation de flatter les masses ; 3) prenne des mesures pour déréglementer l'économie française."

La "triste réalité" est que "la France n'a jamais eu une Margaret Thatcher ou un Ronald Reagan". Le problème selon lui est que le pays ne s'est jamais détaché de sa vision protectionniste et qu'il n'a jamais adhéré à l'univers mondialisé du XXIe siècle. "Dans l'intérêt de sa propre survie et dans celui de l'Europe, elle doit le faire. Nous ne pouvons pas nous permettre d'avoir une autre Grèce ou une autre Espagne."

Vous voila prévenus, nos acquis sociaux et notre démocratie sont des problèmes à liquider "by force!"

Jean Marc Ayrault Accuse Najat Vallaud belkacem De Nuire À L'entente Franco-Allemande!


Lettre de Jean-Marc Ayrault à Najat Vallaud-Belkacem sur l'enseignement de l'allemand au collège from lesechos2

Najat ta réforme si tu savais où le PS se la met!


Prévue pour la rentrée 2016, la réforme du collège signe la fin des parcours spécifiques, des classes «bi-langues» aux sections européennes, en passant par l'option latin. Au nom de l'égalité, plus rien ne devrait donc dépasser. 

Les coups viennent désormais du camp socialiste. L'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, lui-même, s'est insurgé dans une lettre adressée le 2 avril à Najat Vallaud-Belkacem. «Ces classes bilangues (…) ont permis à l'allemand de rester la 3e langue vivante enseignée en France», lui rappelle-t-il, évoquant le nécessaire «renforcement» du lien franco-allemand.

Parmi les signataires de ce courrier très critique porté par le député PS Pierre-Yves Le Borgn’, on retrouve Jean-Marc Ayrault. Après la publication de sa lettre à Najat Vallaud-Belkacem, l’ex-Premier ministre indiquait pourtant à l’AFP mercredi soir que, « s’agissant de l’enseignement de l’allemand, les choses (avaient) avancé dans la bonne direction ». Ce qui n’est pas vraiment le ton de la lettre qu’il signe avec d’autres députés... Parmi eux, dans les rangs socialistes, on trouve Pascal Cherki, Michel Destot, Razzy Hammadi ou encore Valérie Rabault.


Du côté des enseignants, une intersyndicale faite du Snes, premier syndicat du secondaire, du Snalc, de FO, la CGT et Sud a d'ores et déjà appelé à une grève pour le 19 mai. En ligne de mire: l'interdisciplinarité imposée par le projet pour «désennuyer» les élèves.

EPR de Flamanville : 9 Milliards Pour Rien?

AREVA:nucléaire politique et corruption! (cliquez pour agrandir)



Le Waterloo du nucléaire français!

source: voxnr.com 

Une anomalie « très sérieuse » a été découverte sur la cuve du réacteur de dernière génération de Flamanville (Manche). Un problème qui pourrait sonner le glas d'un chantier ayant déjà coûté 9 milliards d'euros.

Il devait être la vitrine du nucléaire français à l'étranger. C'est devenu l'exemple à ne pas suivre et le symbole d'une industrie de l'atome made in France en grande difficulté. Des travaux qui ont pris au moins cinq ans de retard, une facture qui a triplé, estimée aujourd'hui à près de 9 MdsEUR, des déboires à répétition.

.. Maudit depuis son démarrage en 2007, le chantier de l'EPR (réacteur pressurisé européen) de Flamanville (Manche) vient de subir un nouveau revers qui pourrait le condamner. La découverte d'une « anomalie », qualifiée de « très sérieuse » par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), dans la composition de l'acier de la cuve du réacteur plombe un peu plus les espoirs de la France de vendre cette technologie à l'étranger.

Un risque de fissure de la cuve du réacteur


L'anomalie détectée dans la composition de l'acier du couvercle et du fond de la cuve de l'EPR de Flamanville concerne un élément vital du futur réacteur. C'est la cuve qui contient le combustible nucléaire. C'est elle qui permet de confiner la radioactivité. Or, dans certaines zones, la capacité de l'acier à absorber un choc s'est révélée plus basse que la norme réglementaire. La hantise de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) ? Que la cuve finisse par se fissurer. « Quand la cuve d'un réacteur est en fonctionnement, la température à l'intérieur est de 300 oC et on y injecte de l'eau à température ambiante, explique l'ASN. Cela crée alors un choc froid sur les parois de la cuve, provoquant une rétractation du matériau. » S'il y avait une fissure, même minime, au niveau de l'acier composant la cuve, elle pourrait s'élargir et provoquer une fuite d'eau radioactive.

En cas de mise en service du réacteur EPR, l'Observatoire du nucléaire, une association anti-atome, estime que « ces malfaçons peuvent entraîner la rupture de la cuve ». Une cuve qu'il faut des années pour concevoir. « Elle est constituée d'un assemblage de plusieurs composants gigantesques, explique un expert. Le fond et le couvercle sont obtenus en fondant deux pièces massives de 157 t, un alliage d'acier, de manganèse et de nickel, que l'on écrase pour leur donner une forme de demi-sphère. » La pièce définitive dépasse les 50 t. « Chaque étape est cruciale, ajoute l'ingénieur. Il faut en moyenne trois ans pour fabriquer une cuve. Un tiers de ce temps est consacré uniquement au contrôle. »

Le coup de grâce ?


Le président de l'ASN, Pierre-Franck Chevet , l'a redit hier : si, après de nouveaux essais, cette cuve ne respecte pas les standards exigés par le gendarme du nucléaire, il faudra la changer. « Une opération très lourde en termes de coût et de délais », prévient-il.

En clair, la question se poserait de poursuivre l'aventure. « Si la faiblesse de la cuve est avérée, je ne donne pas cher de la survie de l'EPR », confie un ancien haut responsable de la sûreté nucléaire française. « Pour la filière EPR, c'est clairement le coup de grâce, tranche Yannick Rousselet, chargé du dossier au sein de l'association Greenpeace. Quel client étranger voudra acheter demain un réacteur de ce type dont la France elle-même n'est pas capable de mener à bien la construction ? »

Au-delà de l'image désastreuse véhiculée dans le monde de l'atome par ce chantier cauchemardesque, c'est le modèle même de cette centrale que certains experts commencent à remettre en cause. « L'EPR n'a pas un grand avenir car il est déjà relativement démodé dans sa conception et beaucoup critiquent notamment le choix du gigantisme », confie à nouveau l'ancien haut responsable de la sûreté nucléaire. « La facture de l'EPR sera tellement élevée que ce qui devait être une vitrine devient le contre-exemple total de ce qu'il ne faut pas faire, estime Yannick Rousselet. Cela pointe un gros problème de savoir-faire dans l'industrie nucléaire française. »

Contactés hier, ni Areva, concepteur de l'EPR, ni EDF, futur exploitant, n'ont souhaité s'exprimer (lire ci-dessous). A l'Elysée, en revanche, on maintient un discours rassurant : « Des résultats d'analyse plus précis sont attendus pour le mois d'octobre. En attendant, la construction de Flamanville se poursuit. » Mais pour combien de temps ?

Le silence d'EDF et Areva


Chez EDF ou Areva, c'est l'omerta sur l'EPR de Flamanville. Selon nos informations, la consigne a même été donnée il y a quelques jours par la direction d'EDF d'observer le silence sur le sujet. Rien ne doit filtrer dans les médias. Sollicité par notre journal, EDF renvoie au communiqué de presse laconique diffusé le 7 avril dans lequel il annonçait la réalisation « au plus tôt d'essais complémentaires » et confirmait la poursuite du chantier. Areva a opposé une courtoise fin de non-recevoir à nos sollicitations.

Du côté des pouvoirs publics, l'Etat en tant qu'actionnaire à 85 % d'EDF et à 86,5 % d'Areva (directement ou indirectement) déclare « ne pas pouvoir s'exprimer ». Tout au plus, l'Elysée invite-t-il à ne pas tirer de conclusions définitives. Même mutisme de la part de la ministre de l'Energie, Ségolène Royal.

Il faut dire que les conséquences d'une mise à l'arrêt définitif du chantier de l'EPR de Flamanville (le risque est réel) seraient désastreuses. Outre 9 Mds€ (le coût actuel de l'EPR, sans parler de celui d'un éventuel démantèlement) qui partiraient en fumée, c'est toute la filière nucléaire qui serait impactée. La seule construction de l'EPR de Flamanville mobilise 8 000 emplois directs ou indirects. Et 4 000 emplois supplémentaires sont associés à tout EPR vendu à l'exportation. Sauf que la fin de Flamanville entraînerait quasi automatiquement l'arrêt d'autres projets, notamment en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.

Premier exportateur mondial d'équipements et de services dans le secteur de l'atome, la filière nucléaire française engrange plus de 6 Mds€ de chiffre d'affaires annuels à l'export, employant directement 125 000 personnes. Certaines régions ont développé des compétences spécifiques, comme le Rhône-Alpes, avec l'enrichissement de l'uranium, ou la Bourgogne dans la fabrication des gros composants pour réacteurs. Autant de fournisseurs et de sous-traitants, pour l'essentiel des PME, dont le destin est intimement lié à celui de Flamanville.

EPR de Flamanville : un désastre pour le nucléaire français ››› voxnr.com

Yemen : la Sale Guerre Saoudienne Avec La Bénédiction De Nos Dirigeants!

Le Yémen exportateur de gaz naturel liquéfié à abattre



Depuis depuis novembre 2009, le Yemen est devenu un exportateur de gaz naturel liquéfié (GNL ou LNG) grâce à la mise en oeuvre de nouvelles installations dans le Golfe d’Aden. A cette date, le président yéménite Ali Abdallah Saleh avait donné le coup d’envoi symbolique des premières exportations de GNL …
Le projet de Balhaf, dans le Golfe d’Aden, d’un montant de 4,5 milliards de dollars, représente un investissement majeur pour le Yémen.
Notons également que le gaz yéménite présente bien des avantages en matière de qualité et de localisation géographique par rapport à ses principaux concurrents de la région (Qatar et Iran notamment, situés dans le Golfe persique) ….
A terme, la production devrait atteindre jusqu’à 6,7 millions de tonnes par an. Le GNL devrait être exporté en Corée du sud mais également en Europe et en Amérique du Nord. Le projet devrait générer sur 25 ans entre 30 et 40 milliards de dollars de revenus pour le Trésor du Yémen.  Au final, les exportations de GNL du pays équivaudront à 180.000 barils de pétrole par jour.
Par ailleurs, des experts estiment que les ressources pétrolières sont sous- exploitées car elles ne sont pas découvertes : elle pourrait-être importantes !!
L’agression de l’Arabie Saoudite a une forte odeur à la fois de pétrole et de terres à annexer.

Les Etats-Unis défendent au Yémen leurs "intérêts de sécurité légitimes", mais dénoncent "l'agression russe en Ukraine"



D'après le journal allemand Deutsche Wirtschafts Nachrichten, les Etats-Unis reprochent à la Russie de s'ingérer dans le conflit en Ukraine, tout en fournissant des armes à l'Arabie saoudite et en contribuant à la violation des droits fondamentaux du Yémen.

Washington et Bruxelles ferment aussi les yeux sur le fait que les frappes aériennes saoudiennes portent atteinte à l'intégrité territoriale du Yemen.

Selon le journal allemand, Washington accuse la Russie d'agression en Crimée et dans le Donbass tout en expliquant ses propres démarches au Yémen par "des intérêts de sécurité légitimes".


Un An Après Retour Sur L'incroyable Humiliation De François Hollande Par Obama Lors de Sa Visite D'état en 2014!




Un président servile pour une France asservie...


François Hollande avait déjà manqué cruellement d’envergure quand il avait accepté docilement de se rendre aux états unis alors même que l’espionnage tous azimuts et illégal des autorités américaines, et l’ingérence continuelle de Washington dans la politique intérieure française commandaient à François Hollande de ne pas se rendre en visite officielle aux États-Unis d’Amérique.


L’image de notre cher président est ni plus ni moins l’image de l’état de la France aujourd’hui, une France molle, tiédasse, timorée, attentiste et assistée... 

Pour François Hollande Le Pole Emploi C'est Terre Inconnue!




François Hollande manque beaucoup d'énergie pour résoudre les problèmes concrets de notre pays car il est plus facile de médiatiquement s'apitoyer à chaque événement catastrophique que de se retrousser les manches.

Oui Monsieur Hollande le chômage est une catastrophe qui fait des millions de victimes, des millions de drame familiaux. La France se fracasse contre le chômage de masse et vous déblatérez vos petites blagues qui ne font plus rire que vous.