Julie Gayet D'actrice De Seconde Zone À Conférencière À Science-Po : L'Effet Elysée!



Par on ne sait quel miracle, une actrice est passée de second rôle à conférencière à l’IEP de Paris.




Julie Gayet s’est rendue dans la célèbre école de la rue Saint-Benoît pour donner une conférence sur le cinéma et le genre.
L’actrice et productrice de film est également la réalisatrice d’un unique documentaire Cinéast(e)s, diffusé en 2013. Elle était, certainement, la plus expérimentée donc pour donner son avis devant un parterre d’étudiants sur la place de la femme dans le monde du cinéma.
D’ailleurs elle ne manquera pas d’éclairer par sa lumière, la salle attentive  : « Un film d’homme, c’est un film. Un film de femme, c’est un film de femme », relève-t-elle avant de confier, plus tard: 
«Avant, j’avais la sensation qu’être féministe était un gros mot. Aujourd’hui, je me dis que je suis féministe par essence parce que je suis une femme.»

Louise Michel en serait restée subjuguée.

L’ambiance qualifiée de glaciale n’aura pas eu l’opportunité de se dégeler par l’intervention du public puisque ce dernier fut interdit de questions. 

Méthode radicale afin d'éviter tout débat sur sa liaison avec François Hollande, l'actrice et productrice a préféré interdire toutes questions dans la salle. Un brin totalitaire… 


Le prétexte officiel était le manque de temps. Il ne nous est pas dit si l’officieux était que la fiancée du président avait exigé qu’aucune question ne soit posée. Qui sait si dans le lot, il n’y en aurait pas eu une ou deux embarrassantes ?

- Source : NOVOpress

Charlie Hebdo : Quand Cazeneuve Organise « Un Débrief» Avec Des Médias Afin De Désamorcer Une Polémique Génante!



Lorsque, le samedi 10 janvier, Le Monde publie un article décrivant « la myopie des services de renseignement », aveuglés par les départs de jeunes en Syrie et délaissant les vétérans du djihad, comme Chérif Kouachi, le ministère de l’intérieur organise dans l’après-midi « un débrief» avec des médias afin de désamorcer la polémique

A Beauvau, encadrés de collaborateurs du ministre, Patrick Calvar, le patron de la DGSI, et Lucile Rolland, la chef de la sous-direction « T » chargée de la lutte antiterroriste, détaillent sous le sceau du off à dix journalistes le dispositif qui visait les frères Kouachi.

Les jours suivants, les médias reprennent ces éléments de langage : Chérif Kouachi a été surveillé jusqu’à la fin de l’année 2013, son frère Saïd jusqu’à l’été 2014, mais rien ne laissait penser qu’ils préparaient un attentat et, de toute façon – affirment des articles, citant « Beauvau » ou « certains cadres du renseignement » –, les écoutes administratives avaient dû être interrompues à la demande de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), l’autorité administrative indépendante chargée du contrôle de ces enquêtes.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/04/03/charlie-hebdo-quand-la-dgsi-reecrit-l-histoire_4609126_1653578.html