jeudi 20 novembre 2014

USS Donald Cook Désactivé Dans La Mer Noire Par Un Bombardier Russe Sans Armes



L’équipage de USS Donald Cook "gravement démoralisé"


Démoralisé depuis qu’il a été survolé en Mer Noire par un avion russe de combat Sukhoï-24 (Su-24) qui ne portait ni bombes ni missiles mais uniquement un dispositif de guerre électronique.

Le 10 avril 2014, le destroyer USS Donald Cook arrivait en Mer Noire et le 12 avril un bombardier tactique russe Su-24 survolait ce vaisseau au cours de l’incident qui, d’après plusieurs medias, aurait totalement démoralisé l’équipage du navire US, à tel point que le Pentagone a émis une protestation [1].

L’USS Donald Cook (DDG-75) est un destroyer lanceur de missiles de quatrième génération dont l’arme fondamentale sont les missiles de croisière Tomahawk, ayant une portée maximale de 2 500 kilomètres et étant capables de porter des ogives nucléaires. Dans le cadre d’une mission de routine, l’USS Donald Cook est porteur de 56 Tomahawk mais en configuration d’attaque il est muni de 96 de ces missiles de croisière.

Ce destroyer US est équipé du système de combat de dernière génération Aegis. Il s’agit d’un système intégré capable de relier entre eux les moyens de défense antimissile de tous les navires où il est embarqué créant ainsi un grand réseau qui garantirait la détection, la poursuite et la destruction de centaines de cibles en même temps. L’USS Donald Cook est muni aussi de 4 énormes radars, dont la puissance est comparable à celle de plusieurs stations. Pour assurer sa protection, il est porteur en plus d’une cinquantaine de missiles antiaériens de divers types.

Or, le Su-24 russe qui survola l’USS Donald Cook ne portait ni bombes ni missiles mais uniquement une nacelle, installée sous son fuselage, qui, selon la publication russe Rossíyskaya Gazeta [2], contenait un dispositif russe de guerre électronique dénommé Jibiny.

Quand l’avion russe a entamé la phase d’approche, ce dispositif de guerre électronique aurait neutralisé tous les radars, circuits de contrôle, systèmes de transmission d’information, etc. embarqués à bord du destroyer US. Autrement dit, le tout-puissant système Aegis, aujourd’hui incorporé – ou en phase d’installation – aux systèmes embarqués de défense des navires les plus modernes de la OTAN, a été tout simplement déconnecté comme un poste de télé qu’on éteint avec une télécommande.

Le Su-24 russe a ensuite simulé une attaque au missile contre l’USS Donald Cook, déjà rendu littéralement sourd et aveugle. Comme s’il réalisait un exercice d’entraînement, l’appareil russe – non armé – a répété la même manœuvre d’attaque au missile à 12 reprises avant de s’éloigner du destroyer US de quatrième génération.

Après cela, l’USS Donald Cook a tout de suite mis le cap sur un port en Roumanie.

Qu’est-ce qui a tant effrayé l’USS Donald Cook en Mer Noire ?

» Russians Disable U.S. Guided Missile Destroyer Alex Jones' Infowars: There's a war on for your mind!

http://us.tomonews.net/



François Hollande Vraisemblablement Pas candidat En 2017 Prépare L'arsenal Législatif Pour Faire Destituer Son Successeur



Destituer le président de la République c'est désormais possible!


Gageons que cette "avancée démocratique" ne sera pas applicable avant la prochaine mandature ...

D'autant plus que : "manquement à ses devoirs manifestement incompatibles avec l'exercice de son mandat", ne veut pas dire grand chose, voire son contraire, et plus si affinités...

Bref : Hollande ne sera vraisemblablement pas candidat à sa propre succession, mais prépare l'arsenal législatif pour faire destituer son successeur, via la Haute Cour... C'est du pur Hollande ... 

La procédure est inévitablement complexe et lourde: pour être examinée, la proposition doit être signée par au moins un dixième des membres d'une des deux assemblées, soit 58 députés ou 35 sénateurs. Dans un second temps, si la proposition de résolution est jugée conforme puis adoptée par la majorité de l'assemblée, l'autre chambre doit se prononcer dans les quinze jours. Le bureau de la Haute Cour se réunit alors et les bureaux de l'Assemblée et du Sénat doivent en désigner les 22 membres, en «s'efforçant de reproduire la configuration politique de chaque assemblée». Une commission travaille en parallèle à l'élaboration d'un rapport.

Au terme de toutes ces étapes, le président de la République lui-même doit se présenter devant la Haute Cour. Ce «procès» du président, auquel le premier ministre peut assister, dure au maximum 48h. La Haute Cour dispose enfin d'un mois pour statuer. Si le président est finalement destitué, il doit immédiatement quitter le pouvoir et redevient un justiciable. Une élection anticipée est organisée dans les 35 jours."



La date d'application sera surement à l'été 2017 ...

Imposer une primaire à François Hollande : Ses Ministres Et Ses Amis Le Poussent Déjà Vers La Sortie!



Thierry Mandon veut imposer une primaire à François Hollande


La hantise que le candidat du PS soit éliminé du second tour au profit de ceux de la droite et du Front national est perceptible depuis plusieurs semaines dans la majorité socialiste.

Thierry Mandon dit tout haut ce que certains pensent tout bas au gouvernement et au Parti socialiste. Ce crime de lèse Président, inédit sous la 5eme République et surtout à la mi-mandat, en dit long sur l’état de faiblesse due François Hollande au sein de sa famille politique. Il est déjà possible de mesurer son effondrement auprès de ses propres amis. En privé ils confient que pour 2017 "tout est déjà perdu!".


La politique Agricole Commune 2025 Sera t Elle Américaine?



La PAC 2025 américaine ?



De l’autre côté de l’atlantique les Américains avec le Farm Bill ont fait un choix très clair : augmenter la production pour exporter. Afin d’atteindre cet objectif ils mettent en place une nouvelle politique qui sécurise complètement le producteur au plan économique ce qui est le meilleur moyen de l’inciter à produire davantage (nous le savons très bien puisque c’était notre politique durant les trente glorieuses). Cette politique ne se préoccupe pas trop de l’OMC !! Elle est en même temps comme toujours aux USA polymorphes avec un volet alimentaire (les fameux food stamps) primordial, un soutien aux agricultures périurbaines, aux circuits courts et une forte dimension environnementale « préservatrice ». Avec une telle politique le budget agricole public peut varier beaucoup d’une année à l’autre à cause des fluctuations de prix puisque d’une manière ou d’une autre l’État compense partiellement ces écarts. Dans un contexte de budget contraint le gouvernement américain parie donc sur une progression régulière de la demande et des prix durablement élevés, mais c’est lui, et non les producteurs, qui assume ce risque.


Une ambition exportatrice pour l’Europe


Du côté de l’Union Européenne on peut imaginer que le contexte d’une demande mondiale durablement élevée et d’une tension assez continue sur les marchés pourrait changer la vision de la PAC. Néanmoins une politique « à l’américaine » buterait sur un obstacle budgétaire. Dans une Europe à 28 l’approche budgétaire a toujours été conduite dans une stricte gestion annuelle, sans aucun report d’une année sur l’autre, les excédents étant reversés aux États en fin d’année. Le budget agricole est figé et sécurisé par des stabilisateurs budgétaires. Il est donc impossible d’avoir une politique souple en fonction de la conjoncture économique. Si l’Union veut s’engager dans cette voie il faudra des évolutions allant bien au-delà de la PAC et la doter d’un véritable budget autonome et de ressources financières propres.

Enfin la géopolitique pèsera sur la négociation quand elle entrera dans sa phase active. Ainsi par exemple un éventuel retrait du Royaume Uni de l’Union Européenne aurait un impact très fort sur les équilibres internes et renforcerait sans doute la position allemande.
La future réforme de la PAC aura donc sans doute, encore plus qu’hier, une dimension extrêmement politique. Cela pose deux questions fondamentales : quelles finalités de la politique agricole en Europe et en France et quelle compatibilité entre les deux ?

La PAC 2025 sera-t-elle américaine, Elevage - Pleinchamp

Pour E. Todd, Le Monde, Journal Oligarchique « qui n’est plus lu par grand monde »




En revanche, le démographe a expliqué que la seule certitude dans cette histoire, « c’est que Jouyet fricote avec le Monde, et ça c’est grave ». S’interrogeant sur le fait de savoir s’il y avait eu « une magouille » entre le secrétaire général de l’Élysée et Le Monde, Todd a estimé qu’il y avait en tout cas un « rapport particulier » entre eux, le quotidien du soir ayant par ailleurs publié récemment un portrait « dithyrambique » de ce dernier.

« Dans la presse anglo-saxonne, ils sont partisans mais ils gardent le respect des faits », a rappelé le sociologue, prenant l’exemple de la crise ukrainienne pour dire que certains éléments clés du conflit avaient été « masqués » par Le Monde. D’où une certaine méfiance aujourd’hui avec l’affaire Fillon-Jouyet.

Pour Todd, Le Monde, « qui n’est plus lu par grand monde » et fait partie « de la presse subventionnée », est « le journal de la petite sphère » qui est devenu « une composante de l’oligarchie ».

Pour seule réponse, ce dernier a pu entendre sur le plateau qu’il faisait « le jeu parfait du Front National ». Et Todd de rétorquer par la célèbre formule : « Ce n’est pas parce que Hitler disait que l’Angleterre est une île que l’Angleterre n’était pas une île. »

Quant à l’idée selon laquelle politiciens et journalistes seraient « tous pourris », l’essayiste conclut : « Si c’est vrai, qu’est-ce que vous coulez que je vous dise ?! »

Todd allume Le Monde, devenu « composante de l’oligarchie »