vendredi 7 novembre 2014

Stress-Tests Bidons, BNP Au Bord De La faillitte : Une Grosse Crise Coûterait À La France 380 Milliards D’euros

« Les banques systémiques au bord de l’explosion nucléaire »




« La banque française la plus exposée sur les produits dérivés, c’est BNP ; elle a 1800 milliards de bilan et 70 milliards de fonds propres. On fait des stress-tests pour quoi ? Dès qu’elle a perdu 70 milliards, elle n’a plus de fonds propres… » Or, d’après une étude qu’il cite, une grosse crise coûterait à la France pas moins de 380 milliards d’euros… 

Pour ceux que ça intéresse l’étude est là: http://vlab.stern.nyu.edu/welcome/risk/

Sanctions Contre La BNP : Les Cadres Risquent Toujours 20 Ans De Prison! | ZEBUZZEO

BNP Paribas : Le Régulateur Bancaire de New York Exige La Tète Du Cousin De Bernadette Chirac! | ZEBUZZEO

BNP Menacée De Faillite Totale Parce Que La France a Protesté Contre Le Rachat d'Alstom | ZEBUZZEO

Hollande Fait Monter le Front National Comme Sarkozy Faisait Monter Le Front De Gauche

 Du PS au FN quand la cinquième république permet de "choisir" ses opposants comme dans une vulgaire dictature africaine! Comment diviser l'adversaire...


COURTE ÉCHELLE

Publié par Sébastien Fontenelle il y a un jour sur Bakchich - Satire juste
L’hebdomadaire L’Express prétend cette semaine expliquer pour son lectorat, dans un long papier d’un certain Tugdual Denis (dont nous verrons plus loin qu’il n’est, dans cette affaire, pas complètement neutre), «pourquoi le pire» - la Pen à l’Élysée en 2017 – «est» désormais «possible».


La – prodigieuse - démonstration dudit Denis se résume, pour l’essentiel, comme suit : avant, y avait moins de gens qui votaient pour l’FN.
Mais maintenant, ils sont vachement plus nombreux.
Et donc : y a ces temps-ci plus de gens qui votent pour l’FN, alors que naguère, y en avait point autant (1).
(Je sais que c’est un peu complexe, comme raisonnement, mais j’espère que t’arrives quand même à suivre.)
Naturellement : d’autres explications pourraient être avancées, à l’appui de l’assertion, difficilement contestable, que la popularité de la Pen est assez nettement supérieure en 2014 à ce qu’elle était en 2009.
Par exemple : on pourrait pointer que l’hebdomadaire L’Express n’a pas peu contribué, depuis toutes ces années, à son renforcement.
Puisqu’en effet : l’hebdomadaire L’Express fait toutes les semaines, et d’une part, la promotion – pour ne pas dire la propagande -, discrètement délirante, des dogmes thatchériens qui génèrent les souffrances sociales où la cheffe du FN, travestie en ennemie du libéralisme – bien fol(le) est qui s’y fie, et qui méconnaît l’histoire commune de l’extrême droite et du grand capital -, alimente sa démagogie.
Cependant que, d’autre part : l’hebdomadaire L’Express s’emploie toutes les semaines à disqualifier, par des procédés dans lesquels la dignité n’entre qu’en très petites proportions, la véritable opposition, de gauche, à l’économisme dominant - quand par exemple son directeur, l’éditocrate assisté Christophe Barbier, crie (2) que Jean-Luc Mélenchon est un «clone de Robespierre», puis que «l’idée révolutionnaire est, en Europe, mort-née».
Cependant que, d’une autre part encore : l’hebdomadaire L’Express s’emploie régulièrement, par la confection de couvertures paranoïdes et de prédications hallucinées, et sous le constant prétexte de briser des tabous, à normaliser la phobie antimusulmane avec laquelle le parti pénique fait son beurre – sous le même prétexte, exactement.


Cependant que, d’une dernière part (du moins pour aujourd’hui, parce qu’on ne va pas non plus y passer la journée), l’hebdomadaire L’Express contribue, presque toutes les semaines, à une méticuleuse banalisation du FN, par la production de brèves, souvent signées par un certain Tugdual Denis, qui narrent par exemple que le pauvre M. Gollnisch, dont les états d’âme sont donc regardés comme des informations intéressantes, «regrette de ne pas avoir donné suite à la proposition de Marine Le Pen» qui«lui avait proposé en 2011 la vice-présidence du parti».
Mais de sa propre responsabilité dans les succès de la fille du Pen - et de celle, plus largement, de la presse et des médias qui depuis cinq ans déroulent devant ses pas des tapis rouges -, L’Express ne dit bien sûr pas un mot : le constat récurrent qu’«elle monte» doit rester déconnecté, surtout, de l’évidence que les forgerons de l’opinion lui tiennent très gentiment l’échelle.


(1) Au passage, Tugdual Denis délivre quelques sentences mémorables, d’où ressort par exemple qu’«à Artignosc-sur-Verdon», la Pen fait des scores de folie, alors que «pas une mobylette trafiquée ne roule la nuit» dans ce paisible village varois…
(2) Dans son éditorial de la semaine dernière.

Naufrage Télévisé De François Hollande : Et les Français Regardent Ce Spectacle Calamiteux, Mais Jusqu'à Quand?

Organiser les JO 2024 pour rebondir...comme la Grèce en 2004 en faillite 5 ans après!

Ceux qui attendaient le grand rebond à coup de chantiers novateurs resteront sur leur faim. On a eu droit à du Hollande tout pur, taillé dans la masse adipeuse : Rien à dire, que des mots et encore des mots, des emplois "aidés" et "d'avenir" c-à-d rien d'autre que des  faux emplois, une impuissance qu'il ne voit même plus.

Et pour finir, fanfaronner avec une exposition universelle et des JO pour lesquels on n'a pas le premier euro! Il faut se dépêcher d'en rire, de peur d'en pleurer très très bientôt. Vous connaissez la suite, faillite obligataire, mesures incendiaires du FMI et troubles "à la française"... que du bonheur!


Commentateur de son échec


Il en faut, de l’optimisme, pour penser qu’une émission de télévision retournera le destin présidentiel de François Hollande et le fera émerger de l’enfer d’impopularité dans lequel il s’est enfoncé. Il est vrai que c’est la nature profonde du président de la République, l’optimisme. C’est ce qui l’a poussé à nous expliquer, depuis deux ans et demi, que la boîte à outils de la réforme était complète, que le retournement économique était là et l’inversion de la courbe du chômage pour bientôt. C’est ce qui le conduit invariablement à nous annoncer un choc de ceci, un pacte de cela, prédisant chaque fois pour les six prochains mois le retour du beau temps. C’est ce qui lui permet de dire, comme il l’a fait devant les caméras de TF1 : « Les résultats seront au rendez-vous puisqu’ils doivent l’être » !

L’optimisme pourrait être une force. Mais, parce que les prophéties du chef de l’Etat ne se réalisent jamais, il devient un aveuglement : « L’optimisme, dit Candide, c’est la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal ». Or la France va mal, et elle refuse désormais de se laisser bercer par un chef de l’Etat qui se spécialise dans le commentaire de ses propres échecs, détaillant par le menu le dispositif jeunes, les procédures seniors, les emplois d’avenir, pour à chaque fois s’en féliciter. Sans rien prévoir pour les améliorer. Mais tout en admettant que cela ne fonctionne pas.

Quel aveu ! Quel constat d’incapacité ! On nous promettait un grand rendez-vous politique à la mi-temps du quinquennat, nous avons eu une consultation de sous-préfecture. Des témoignages de difficultés auxquels ne répondaient que des rappels techniques et des annonces de comité de ci et de commission de ça.
Les Français avaient perdu confiance en François Hollande. On ne voit pas comment ils pourraient aujourd’hui changer d’avis.


« Quel gâchis ! »


C'est ce que lui a envoyé en pleine figure la jeune dirigeante d’entreprise d’Armentières. Il n’avait pas relevé. Et pas davantage lorsque Gilles Bouleau lui fit remarquer qu’il est trop facile de dire que c’est « l’État qui paie » quand ce sont plus prosaïquement les contribuables. Pas plus qu’il n’expliqua comment il serait possible de faire face aux échéances à venir, de diminuer les dépenses publiques, le poids de la dette, d’alléger les charges des entreprises, de ne plus augmenter les impôts et de financer de nouveaux emplois artificiels avec des recettes en baisse. Pas plus qu’il ne daigna reconnaître que la France était à la traîne par rapport à certains de ses voisins européens ou préciser les projets de grands travaux, de grands chantiers, de grands progrès qui allaient réenchanter la deuxième partie de son quinquennat.


C'est désespérant. Il ne voit rien, il n'entend rien, il ne comprend rien, et nous ne sommes qu'au milieu du gué. La colère gronde de toute part. Mais ce qui est le plus désolant, c'est son gouvernement dont son premier ministre exécute les basses œuvres de ce Président incompétent.

Ils sont complices et grassement payés pour cela. Et les Français regardent ce spectacle calamiteux, mais jusqu'à, quand ?

Un président à l'ouest, rien de nouveau - Boulevard Voltaire

Le quotidien qui Mark: Le commentateur de ses propres échecs