jeudi 12 juin 2014

Elysée : Départ De Rothschild Remplacé Par Bank of America Merrill Lynch


François Hollande, 2 ans après tout le monde voit au travers!


François Hollande n'a plus d'ennemi puisque dorénavant, il convole avec la finance et le MEDEF. 

Depuis 2012, il a généré une impressionnante cohorte de déçus qui lui ont déjà envoyé deux messages aux municipales et aux européennes qui seront suivis à n'en pas douter, d'une sanction sévère couronnée par une bérézina en 2017. Cette pseudo-gauche caviarde s'est aplatie devant le CAC 40 et a abandonné en rase campagne son combat idéologique pour sauver ses positions de pouvoir.
Comme le PASOK grec, ça vaut moins de 10% dans les urnes!

La chef économiste de Bank of America devient une proche conseillère de Hollande


Emmanuel Macron, le secrétaire général adjoint de l'Elysée quittera ses fonctions en juillet. Il sera remplacé par Laurence Boone, économiste en chef chez Bank of America, nommée au poste de conseillère économique et financière et fervente partisane des réformes structurelles.

François Hollande supporte assez bien la pression. Quelle réponse a-t-il accordé à l'appel des députés socialistes frondeurs qui réclamait une politique économique plus équilibrée ?

Il décide de remplacer Emmanuel Macron, jusqu'ici secrétaire général adjoint de l'Elysée en charge des questions macroéconomiques par l'économiste Laurence Boone, passée par l'OCDE et Barclays, avant de rejoindre Bank of America Merrill Lynch à Londres.

A moins d'une surprise, d'un changement de la matrice intellectuelle qui guide la réflexion de Laurence Boone, il faut interpréter ce changement de personnes de la façon suivante : l'Elysée a décidé d'accélérer le pas dans le domaine des "réformes structurelles".

La chef économiste de Bank of America devient une proche conseillère de Hollande

Que Fait Le Pouvoir Quand la Situation Financière Devient Désespéré?


Les 9 étapes d’un gouvernement désespéré


L’histoire montre qu’un gouvernement choisit habituellement des mesures destructrices dans un certain ordre à mesure que sa situation financière devient de plus en plus désespérée. Le but ici est de simplement comprendre le plan  que les pays suivent quand leur situation financière se détériore… Ces étapes sont détaillées dans cet article ci-dessous…

ÉTAPE 1. La santé financière du pays est clairement en difficulté

Dans cette étape, il est évident que, même par les propres statistiques officielles sont « bidonnées » par le gouvernement, le pays est en sérieuse difficulté. Cependant, les masses restent distraites par leur télécran (télévision) qui leur dit que tout va bien.

ÉTAPE 2. Montée des régulations, de l’inflation, des impôts, et des nouvelles réglementations policières

L’énorme quantité de dépenses du gouvernement, couplée avec le fait qu’il n’y a aucune volonté politique de procéder à des réductions significatives, signifie que l’inflation et les taxes sont certaines avec une certitude mathématique.

Grâce à une véritable montagne de règles, de lois et règlements, le gouvernement peut contrôler chaque centime que vous gagnez. L’étau continue de se resserrer par le suivi des opérations sur les achats de métaux précieux.

ÉTAPE 3. Le contrôle de capitaux

Pour que des moutons se fassent tondre, ils doivent d’abord être parqués de manière à ce qu’ils ne puissent pas s’échapper. Pour verrouiller la richesse d’un pays et l’empêcher de quitter l’enclos, l’État demande de lui déclarer votre patrimoine détenu à l’étranger.

ÉTAPE 4. De larges confiscations de richesse

Celles-ci sont très variées et sont généralement prises après le contrôle de capitaux pour prévenir la fuite de richesse. Peu importe la méthode, l’effet n’est pas toujours le même. L’action la plus simple est de dévaluer sa monnaie papier ou de mettre en place des mesures restrictives sur les métaux précieux.

ÉTAPE 5. Nationalisation de l’épargne-retraite

Le gouvernement convertit les actifs de l’épargne retraite en soi-disant obligations d’État «plus sûrs». Comme avec la plupart des mesures du gouvernement, il est vendu comme quelque chose qui est « pour votre propre bien. »

ÉTAPE 6. Contrôle des salaires et des prix

Le gouvernement prend le contrôle des flux de monnaie papier afin d’éviter une perte de contrôle de l’inflation (hyperinflation). Le prix à payer est l’accumulation de faillites d’entreprises et l’appauvrissement de la population. Cette mesure provoque également des pénuries dans l’alimentaire, l’énergie et les produits de grande consommation.

ÉTAPE 7. Contrôle des populations

Un autre moyen dans la boîte à outils d’un gouvernement désespéré est la restriction de la circulation des citoyens. C’est particulièrement vrai pour les citoyens qui ont accumulé des richesses.

ÉTAPE 8. Guerres pour distraire la populace

Quand tout le reste échoue, l’histoire a montré une tendance à commencer des conflits pour renforcer le nationalisme aveugle et distraire la population de leurs échecs. Tous les gouvernements traitent leurs citoyens comme des vaches à lait à des degrés divers, mais ils commencent à les traiter comme des vaches à boucherie quand ils ont besoin de soldats pour leurs guerres artificielles.

ÉTAPE 9. Game Over

Les guerres ont échoué. C’est un terreau fertile pour les troubles civils sévères, une révolution, et l’émergence potentielle d’un homme fort à la barre…

 Les 9 étapes d’un gouvernement désespéré « Gold-up

État islamique d'Irak et du Levant : Comment en sommes-nous arrivés là?

Combattant venu combattre en Syrie exhibant les têtes coupées de soldats 



Longue vie au Djihadistan


Le blog de Stéphane Montabert


En Irak, après des années de lutte "traditionnelle" (dans le sens islamiste du terme, c'est-à-dire bombes humaines et explosions aveugles sur les marchés aux légumes) les éléments d'al-Quaeda sur place ont fait jonction avec leurs collègues combattants du mouvement de l'État islamique d'Irak et du Levant (EIIL) venus de Syrie. Ils sont passés à la vitesse supérieure, s'emparant de Mossoul mardi puis de Tikrit, à 160 km de Bagdad, en un rien de temps. La capitale semble en ligne de mire.

Lorsque les islamistes attaquèrent, les courageux défenseurs de l'Etat irakien, après avoir abandonné armes, munitions et casernes dans le plus grand désordre, s'empressèrent de frapper à toutes les portes. Ils réclamaient aux civils des vêtements de rechange pour pouvoir s'éclipser discrètement.

Avec des gens aussi motivés pour défendre l'Irak, on comprend que les jours du pays soient comptés.

La prise de Mossoul fut financièrement intéressante, puisque les islamistes y récoltèrent 429 millions de dollars - dont une partie en or, excusez du peu - auprès de la banque centrale malheureusement située en ville.

Voyons le bon côté des choses: pendant les quelques prochains mois, plus besoin de s'embêter à capturer des journalistes et plus besoin, pour les Occidentaux, de se tortiller à expliquer que "bien sûr" personne ne paie jamais de rançon pour récupérer des otages. Enfin, une fois que le sort des 49 otages détenus par EIIL, dont trois enfants, aura été décidé.

Les islamistes d'EIIL sont nombreux et bien équipés. Depuis peu, ils pourraient disposer de plusieurs hélicoptères Black Hawk américains capturés en même temps que l'aéroport de Mossoul, qui s'ajouteront avec bonheur aux Humwees blindés dont ils disposaient déjà. Mais ces ajouts certes prestigieux ne sont que la cerise sur le gâteau d'un armement emporté en Irak au nom de la rébellion en Syrie.

Le célébrissime sketch des Inconnus garde toujours sa pertinence. Transposé à l'actualité, nous avons d'un côté le bon islamiste, celui qui lutte pour établir la domination globale de l'islam, et le mauvais islamiste, qui lutte aussi pour la domination globale de l'islam, mais mal... Voyons un résumé de la vision française en la matière, qu'on peut aisément répliquer pour de nombreux pays:



Comment en sommes-nous arrivés là? Simplement parce que nos leaders se sentent obligés de décider que dans chaque conflit il y a des "gentils" et des "méchants" et bien entendu, parce qu'ils ont l'interventionnisme dans le sang, d'y mêler leur gouvernement. Ainsi, en Syrie, de gentils-islamistes s'opposent au méchant Bachar el-Assad. Ils sont gentils parce qu'ils sont soutenus par Bernard-Henry Lévy pour la France et Barack Obama pour les Etats-Unis. Et encore, M. Obama est un tiède, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton pressentie pour lui succéder au nom du camp démocrate regrette qu'on ne les ait pas soutenu davantage:

Dès les débuts du conflit syrien, qui, en un peu plus de trois ans, a fait plus de 162 000 morts, elle assure avoir été convaincue qu'armer et former les rebelles était la meilleure des solutions pour contrer les forces de Bachar Al-Assad. « L'action et l'inaction comportaient toutes deux des risques élevés, [mais] le président [Obama] était enclin à maintenir les choses en l'état et non à aller plus loin en armant les rebelles », continue l'ancienne chef de la diplomatie américaine.


Si elle emporte les prochaines élections présidentielles, gageons que les islamistes d'EIIL pourront directement demander les pièces de rechange pour leurs véhicules blindés et leurs hélicoptères de combat capturés auprès de la Maison Blanche, qui transmettra.

Il faut être un bureaucrate de Washington de premier ordre, avec une carrière passée à lisser soigneusement de son arrière-train le cuir de son siège, pour ne pas comprendre que les islamistes franchissent les frontières et exportent avec eux leur guerre délirante, peu importe les qualités dont on veut les parer. En allant de la Syrie vers l'Irak, ils se frottent avec bonheur à un pays à peu près en paix, ce qui doit leur faire de sacré vacances comparé au creuset syrien.

C'est un peu comme les Français qui envoient des armes aux islamistes libyens et s'étonnent ensuite de devoir monter une action militaire au nord du Mali contre des "groupes armés" apparus subitement, aussi vindicatifs que bien équipés.

Nouri al-Maliki, président putatif du pays qu'on appelait l'Irak, implore l'assistance de toutes les bonnes volontés pour reprendre le contrôle - jusqu'à ces Américains dont il était tellement urgent, jusqu'à une époque récente, de réclamer le départ. Les éditorialistes occidentaux se réjouissent: l'effondrement de l'Irak-démocratique est d'une certaine façon aussi celui de son créateur, l'abominable néo-colonialiste George W. Bush. Quelle effronterie d'avoir voulu espérer instaurer une démocratie moderne au Moyen-Orient! Alors, peu importe que les Irakiens y passent jusqu'au dernier si cela permet quelques beaux éditoriaux au vitriol.

Soucieuse de ne jamais comprendre de ses erreurs, l'administration Obama envisage l'envoi d'armes pour défendre le régime irakien, sans trop chercher à deviner dans quelles mains elles finiront. Clamer que ces gens-là n'apprennent rien est très en-dessous de la vérité.

Le Djihadistan prend forme peu à peu ; il s'étend sur des milliers de kilomètres en Syrie et en Irak et semble promis à un bel avenir. Sa croissance provoquera toujours davantage de troubles régionaux avec le Kurdistan irakien, le Liban, la Turquie, l'Iran, et ce qui reste de l'Irak et de la Syrie. Bien entendu, il ne sera fait que de guerre même dans les régions où il domine sans partage, la faute à une lutte permanente contre les tièdes, les civils et tous ceux qui n'appliquent pas la charia avec assez de ferveur. Ces zones de paix relative resteront par ailleurs modestes dans une région déchirée dans la guerre éternelle entre Sunnites et Chiites, l'EIIL étant essentiellement sunnite et donc en lutte à mort contre les "dissidents" que sont les Chiites iraniens et irakiens, Bachar el-Assad ou le Hezbollah libanais. La région entre l'Arabie Saoudite et l'Iran n'en finit pas de sombrer dans le chaos.

Entre les subventions aux "bons" rebelles, le commerce des otages, l'envoi d'armes, l'aide humanitaire, l'implication de drones et d'observateurs ou les filières de combattants issus de ses propres banlieues, l'Occident est penché comme une mauvaise fée sur le berceau du Djihadistan et le couvre de ses redoutables attentions.

Il faudra encore longtemps avant que nos politiciens ne comprennent que dans une guerre il n'y a pas forcément des gentils et des méchants mais parfois seulement des méchants entre eux et qu'il est folie de vouloir s'en mêler.


Video Insoutenable De L'Éxécution Des Soldats Irakiens 



Longue vie au Djihadistan : Le blog de Stéphane Montabert

Effondrement Des partis Politiques Français:Un Champ de Ruines Même Au FN!

printemps 2012:les mensonges de trop!

La malédiction qui s’abat sur nos partis politiques

Le Blog de Thierry Desjardins

Décidemment, il y a actuellement une malédiction qui s’abat sur tous les partis politiques français. Ils éclatent tous, les uns après les autres, en mille morceaux comme de vieilles potiches sous les regards étonnés, réjouis et rigolards des Français pas mécontents du tout de voir tous ces gens qu’ils méprisent et dont certains les dégoutent s’étriper comme des chiffonniers sur le pont de leurs rafiots respectifs à la dérive.

Le parti socialiste, n’en parlons pas. Ou juste un mot pour noter que, depuis qu’il est au pouvoir, c’est la foire d’empoigne entre ceux qui se prennent encore pour les héritiers de Jaurès et de Blum, qui lèvent le poing et qui entonnent l’Internationale et ceux qui, pour sauver à la fois les apparences et les meubles, c’est-à-dire leurs sièges, se disent socio-démocrates, socio-n’importe quoi et jouent même les libéraux.

Il est vrai qu’ils ont la chance d’avoir comme chef d’équipe un gros mauvais qui ne sait lui-même pas ce qu’il veut et qui n’a jamais été capable de siffler la fin d’une récréation. Il parait que dans la cour de l’Elysée, le petit Montebourg continue à faire des croche-pieds au petit Sapin, le méchant Hamon à rosser le grand Le Foll et la Ségolène à tirer les cheveux de sinistre Cazeneuve. Et que dire du groupe parlementaire ou du parti lui-même entre ceux qui ont déjà rallié avec armes et bagages le Premier ministre, persuadés que vizir Valls finira par supplanter le calife Hollande, et ceux qui vont, chaque semaine, à Lille, comme on allait jadis à Colombey s’agenouiller devant Martine Aubry devenue leur Jeanne d’Arc ?

Jamais le PS n’avait été dans une telle décomposition et les querelles de jadis entre Mitterrand et Rocard apparaissent aujourd’hui comme d’aimables chamailleries.

Mais c’est tout aussi bien si ce n’est mieux à l’UMP. Elle aussi, comme le poisson chinois, pourrit par la tête. Il y a d’abord la guerre ouverte et à mort entre les faux chefs, Copé, Fillon, qui se complique avec les fantômes des revenants Sarkozy et Juppé et à laquelle s’ajoutent les ambitions des petits et sans grade, Le Maire, Bertrand, Nathalie Kosciusko-Morizet, Baroin et autres.

Mais le plus grave est que, comme les socialistes qui ne savent plus ce qu’est le socialisme, les dirigeants de l’UMP, les élus de l’UMP, les militants de l’UMP et même les électeurs de l’UMP ne savent absolument plus où ils en sont, qui ils sont, où ils vont. Sont-ils encore gaullistes, radicaux, démocrates-chrétiens ? Vont-ils, pour survivre, se rapprocher des centristes ? De Borloo qui n’existe plus ? De Bayrou qui ne pèse plus rien et qui avait appelé à voter Hollande ? Vont-ils, après avoir lu les derniers sondages et les derniers résultats électoraux, se mettre à faire la danse des voiles devant Marine Le Pen ?

Jamais la droite « traditionnelle » n’a été dans un tel état et les guéguerres de jadis entre Chabanistes et Giscardiens ou entre Chiraquiens et Balladuriens apparaissent soudain comme d’aimables duels mouchetés.

Nos deux partis dits « de gouvernement » ont bel et bien éclaté. Le PS entre la gauche radicale et le centre ramollo. L’UMP entre ce même centre ramollo et la droite radicale pour ne pas dire l’extrême-droite.

Et on s’aperçoit soudain que cette extrême-droite éclate elle aussi ! Alors qu’ils auraient pu s’assoupir sur leurs lauriers et attendre tranquillement que les voix venues d’un peu partout continuent à tomber dans leur escarcelle, voilà qu’à leur tour ils s’entredéchirent entre ceux qui, derrière Marine Le Pen, veulent devenir contro-compatibles pour avoir, un jour, une chance d’entrer la tête haute dans les palais dorés de la République et ceux, qui derrière Jean-Marie Le Pen, entendent rester fidèles à ce qu’ils ont toujours été, quitte à passer le reste de leurs jours au ban de la société (politique).

La plupart des commentateurs patentés n’ont jamais rien compris à ce qu’était le Front National. Depuis des mois, ils nous affirment que le vote pour le FN de Jean-Marie Le Pen était un vote « de rejet » et que le vote pour le FN de Marine Le Pen serait un vote « d’adhésion ». Or, de toute évidence, c’est le contraire. Les électeurs du père « adhéraient » à Jean-Marie, l’adoraient, l’idolâtraient. Ceux de la fille l’ont rejointe par dégoût de tout le reste, de tous les autres, précisément par « rejet » de l’UMP, du PS, de l’UMPS.

Maintenant que la rupture est consommée entre les Le Penistes et les électeurs du parti Bleu Marine, on va pouvoir compter ceux qui sont vraiment d’extrême-droite et ne veulent toujours pas « marcher dans les sentiers tracés par la pensée unique », comme vient de le dire le fondateur du FN, et ceux qui sont prêts à les emprunter, derrière Marine, avec l’espoir, sans doute naïf, qu’ils les conduiront vers le pouvoir.

Oui, jamais notre paysage politique n’a ressemblé à ce point à un champ de ruines. Et tout cela au moment où la France est en train de crever et les Français plus désespérés que jamais.

La malédiction qui s’abat sur nos partis politiques | Le Blog de Thierry Desjardins

Manuel Valls Pris À Partie et traité d'imposteur à Oradour-sur-Glane : Vos Médias Ont Oublié De Vous En Parler!

Manuel Valls se fait traiter de menteur et d'imposteur



Le 10 Juin dernier, lors des commémorations du drame d'Oradour-sur-Glane, Manuel Valls déambulait d'un air sérieux tout en caressant les têtes de quelques enfants histoire de faire bonne impression quand il se fait apostropher par un citoyen : "Mon grand père était résistant, mon autre grand père a fait le débarquement de Provence et vous Mr le premier ministre ?"

Pris au dépourvu, Valls ne peut que bredouiller " ah ben non, ça, ça n'était pas possible" et pour cause, comme l'avait révélé Emmanuel Ratier, son grand père était trop occupé à exploiter les africains en Sierra Leone pour s'occuper du sort d'un pays qui n'était pas le sien (son autre grand père était un banquier catalan).

son grand père était trop occupé à exploiter les africains en Sierra Leone

le travail des chercheurs indépendants

Manuel Valls aura beau faire semblant d'être ému, le fait est pendant que des français donnaient leur vie pour leur patrie, sa famille s'enrichissait, il est donc bel et bien un imposteur doublé d'un menteur qui n'a pas sa place dans ce genre de cérémonie.
Une preuve de plus que malgré la censure des médias, le travail des chercheurs indépendants se diffuse au sein de la société.

Les Chroniques De Rorschach: La vidéo du jour : Manuel Valls se fait traiter de menteur et d'imposteur