lundi 19 mai 2014
François Asselineau : Le PS l'UMP et le FN Plusieurs Faces D'une Même Médaille!
Sarkozy & Hollande.. des employés de Goldman Sachs trop contents de pouvoir traiter les anti-Bruxelles de Fascistes!
Abel Ferrara Antisémite Comme Dieudonné? Notre Médiacratie Touche Le Fond Et Continue De Creuser...
DSK est définitivement grillé aux USA! Mais en France le film "Welcome To New-York" ne sera pas diffusé, devinez pourquoi?
Abel Ferrara a traité sans tabou un sujet qui porte sur le pouvoir et le mépris des femmes au travers du sexe et Mme sinclair aurait été bien plus légitime dans son "dégout" affiché du film si elle avait dénoncé publiquement de tels comportements, y compris chez son pervers de mari qui a humilié la France.
En France, il a été décidé que le film serait rejeté à cause d’une tirade antisémite. On ne parle plus que de ça. C’est l’os sur lequel l’intelligentsia s’acharne pour discréditer l’œuvre dont la personnalité du caractère central renvoie à la deliquescence morale de ceux qui l’avaient choisi pour diriger la France.
Etrangement, pas un mot d’une scène antisémite sous la plume des sérieux critiques de cinéma américains invités à la projection, Scott Foundas de Variety et Jordan Mintzer du Hollywood Reporter, qu’il sera difficile -impossible en réalité – d’accuser d’indulgence, de tolérance à l’antisémitisme, de manque de professionnalisme, ni de connivence avec les milieux de la gauche politique française.
«À prendre ou à laisser. Moi, je prends.»
Performance d'acteur mise à part, le réalisateur italien Paolo Sorrentino juge avoir affaire à un long métrage «brillant qui nous rappelle la maîtrise de Bad Lieutenant», film réalisé par Abel Ferrara en 1992 sur un policier ripou devenant chasseur de primes. Un «cinéma sans concession», résume Alberto Barbera, le directeur du festival de Venise. Son avis est tranché: «À prendre ou à laisser. Moi, je prends.» La palme de la synthèse revient sans aucun doute au Hollywood Reporter, dont le critique résume: «Scandaleux, hilarant. Un portrait osé et parfois désopilant.» Que tous ces réalisateurs masculins aient raison ou pas, le suspense sur la sortie du film à Cannes (projeté samedi 17 mai à 21h sur la plage du Nikki Beach) s'ajoute à une campagne de communication efficace. De quoi assurer une audience digne du perp-walk .
Le boom économique d’Israël une bulle spéculative destinée à éclater selon FORBES
Israël est en fait... une bulle!
Au cours des dernières années, l'économie d'Israël a été louée pour sa stabilité et sa bonne performance. Les investisseurs du monde entier se sont précipités pour ajouter des investissements israéliens à leurs portefeuilles d'investissement. Les prix de l'immobilier montent en flèche en Israël et continuent de rendre les spéculateurs très riches.
Le boom économique d’Israël est en fait une bulle spéculative destinée à éclater, affirme mardi le prophète économique du magazine Forbes, Jesse Colombo, connu pour avoir prédit entre autre la crise financière mondiale.
Dans une analyse détaillée, graphiques et chiffres à l’appui, l’analyste économique estime que l’économie israélienne est la plus susceptible d’éclater dans les années à venir.
“Malheureusement, le boom économique d’Israël n’est pas le miracle qu’il semble, mais est en fait une bulle semblable à celle qui a provoqué la crise financière”, prévient-il, soulignant que l’éclatement de la bulle spéculative immobilière israélienne va avoir des répercussions économiques désastreuses.
“À ce moment-là, le prix des logements va chuter, il y aura une vague de fermetures d’entreprises, les banques subiront des pertes sur leurs portefeuilles de prêts hypothécaires, le cours des valeurs technologiques et bancaires va s’écraser, entraînant dans sa chute la bourse mondiale.”, décrit-il. En outre, selon l’analyste, le chômage et l’inflation vont exploser en Israël.
Jesse Colombo prévient également que les bulles high-tech israélienne et américaine risquent d’éclater en même temps, de part leurs profondes interconnexions.
Dette Grecque : La Commission Européenne Désinforme Le Public
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Des chômeurs Grecs attendent devant un "job center" à Athènes |
La Dette grecque "Japonisée"
La Grèce aurait du quitter la zone euro depuis fin 2009.Depuis son entrèe dans la zone euro , tous les grecs de l'ouvrier à l'homme politique en passant par l'armateur, ont institué la fraude en système de fonctionnement. Fraude fiscale, aux subventions européennes, fraude aux statistiques.
C'est désormais tellement dantesque que même Bruxelles se met à mentir alors qu'Athènes atteint 175% (en route vers les 200% comme le Japon) de dette/PIB et que son déficit annuel atteint 10%! Une belle réussite...
Après Goldman Sachs, la Commission Européenne manipule aussi les chiffres de la dette grecque
Est-ce le hasard du calendrier qui fait qu’à quelques jours des élections européennes, la Commission européenne publie des chiffres étonnamment bons sur le déficit public grec ? Certes pas. Et l’analyse de ces chiffres vaut bien un petit détour.
En effet, il nous est annoncé initialement, et fièrement, que les comptes publics affichent une balance primaire positive de 0,8% par rapport au PIB. Diantre ! Dans le contexte économique actuel, c’est un exploit que même la vertueuse Allemagne n’arrive point à réaliser. Sauf que l’influent think tank allemand IFO (Institut de recherche économique) est venu jouer les trouble-fêtes par l’intermédiaire de son président, M. Hans-Werner Sinn.
Car ce que l’on disait moins, c’est que pour arriver à ce chiffre, il a tout de même fallu tordre le bras à la comptabilité grecque et cacher deux-trois choses sous le tapis. Notamment la recapitalisation du système bancaire pour l’équivalent de 10,8% du PIB. Dès lors que l’on intègre ce chiffre (en appliquant tout simplement les directives … d’Eurostat !), les comptes publics grecs affichent un déficit de 10,8% ! Et encore, ne parle-t-on ici que des comptes primaires qui n’intègrent pas les effets du remboursement des dettes. Si cela est fait, le déficit public grec atteint la bagatelle de l’équivalent de 12,7% du PIB !
Et comme dans le même temps, le PIB grec à continuer à se contracter (-3,9% !), la dette publique a poursuivi sa grimpette pour atteindre l’équivalent de 175% du PIB ! Pour mémoire, le niveau de la dette grecque était, en 2010, de 148% par rapport au PIB. Mais ça c’était avant les multiples cures d’austérité et autres plans de sauvetage « de la dernière chance ». La responsabilité de la technocratie européenne, BCE et Commission en tête, mais aussi de tous les dirigeants européens qui ont osé cautionner cela, est écrasante : l’austérité néolibérale et les dogmes européistes ont jeté un peuple entier dans la misère. Pour rien. A la vue de ces chiffres, plus personne ne peut le nier.
Mais, comme le relève toujours M. Hans-Werner Sinn, la monstruosité de la chose ne s’arrête pas là : « Les institutions européennes suivent une stratégie d’embellissement de la situation financière des pays en crise, et ce juste avant les élections européennes. En vérité, la Grèce est bien loin d’avoir regagné une santé financière. (…) Le retrait de ces données est intervenu juste après que l’institut IFO ait accusé la commission européenne de désinformer le public."
Non contente de son œuvre austéritaire, la Commission européenne se lance donc dans la propagande la plus éhontée. Mais il faut dire qu’elle n’en est pas à son coup d’essai, tant lorsqu’il s’agit de faire paraître sa propagande dans la presse dite libre avec nos deniers publics, que lorsqu’il s’agit de tenir des discours de politburo.
La « pieuvre » Goldman Sachs avait déjà commencé à truquer les chiffres de la dette grecque, nulle raison que l’oligarchie européenne, plus que fortement liées aux lobbys et aux réseaux des multinationales, ne poursuivent son œuvre …
Blog gaulliste libre de Laurent Pinsolle
Billet invité de l’Oeil de Brutus
Centrafrique : C'est Un Fiasco Alors Silence Absolu Dans Les Médias!
Les violences se poursuivent en RCA et le sang continue d’être versé impunément.La Centrafrique glisse lentement vers le gouffre depuis plusieurs mois, Comme au Rwanda en 1995, des signaux avant-coureurs existent ...
Rien n’est réglé en Centrafrique
La Centrafrique ne fait plus les grands titres dans les media. Quelques brèves ici ou là dans la presse écrite. Et silence absolu dans les télés. On pourrait s’en réjouir si c’était le signe d’un retour à la normale dans l’ancienne colonie française après des mois de folie meurtrière et la preuve que la gestion du dossier centrafricain par Paris est un succès. Ce n’est malheureusement pas le cas.
A Bangui, la capitale – vidée de ses habitants de confession musulmane -, la sécurité s’est notoirement améliorée depuis l’intervention des militaires français de l’opération Sangaris qu’appuient plusieurs milliers de soldats africains et un maigre contingent d’Européens rassemblé à grand peine par la France.
Catherine Samba Panza, une fausse valeur
Pour autant rien n’est réglé. Une grande partie du pays – plus vaste que la France – est entre les mains de chefs de guerre de l’ex-Séléka qui ont fait de Bria, située dans le centre de la Centrafrique, leur capitale. Or qui contrôle Bria contrôle la production de diamant, l’une des ressources du pays.
Tout aussi inquiétante est la situation politique. En poussant la candidature de Catherine Samba-Panza, épaulée par un banquier comme premier ministre, pour assurer la transition avant la tenue d’élections générales, le Quai d’Orsay pensait avoir trouvé la perle rare.
La déception est à la mesure des espoirs suscités par cette femme issue de la société civile. Depuis son arrivée au pouvoir en début d’année rien n’avance. L’administration est toujours aux abonnés absents. Les caisses de l’Etat restent désespérément vides tandis que se remplissent celles des coupeurs de route qui rançonnent les commerçants. Avec le voisin tchadien, le parrain de la région, les relations sont exécrables au point que N’Djamena a fermé il y a quelques jours sa frontière avec la RCA.
Entre la présidente et son premier ministre le divorce est consommé. Ils ne se parlent plus. Mais chacun entretient une armée de conseillers, de ministres sans portefeuille, de chargés de mission dont l’ambition semble se limiter à voyager à l’étranger, de préférence en Europe.
Fabius désavoué
Il y a quelques semaines à Bruxelles le spectacle pitoyable du premier ministre, son côté sybarite impénitent, ont choqué les Allemands sollicités pour apporter une aide financière à l’un des pays les plus pauvres de la planète.
Pour le Quai d’Orsay et Laurent Fabius qui, rappelons-le, ont vendu la candidature de Catherine Samba-Panza (l’Elysée avait un autre candidat) à la communauté internationale et aux pays voisins de la Centrafrique l’échec est patent et ce n’est pas l’arrivée en septembre des premiers casques bleus à Bangui qui va changer la donne.
Plus personne ne croit qu’une élection présidentielle pourra être organisée, comme c’était prévu, début 2015. Le calendrier est impossible à tenir dans un pays où l’Etat est à terre, les listes électorales détruites et la classe politique inconsistante.
Dans ces conditions l’engagement, pris en décembre par François Hollande, à mener en Centrafrique une opération « rapide [qui] n’a pas vocation à durer » va venir s’ajouter à la liste déjà longue des promesses présidentielles non tenues.
Une de plus !
Rien n’est réglé en Centrafrique | La Nouvelle Centrafrique
Chaos en Libye : L'anarchie Fait La Loi Dans Le Pays
Avec un général et un colonel, purs produits de la CIA, ça va aller beaucoup mieux en Libye...comme en Afghanistan et en Irak.
Ces deux marionnettes sont restées à l’affût depuis l'assassinat de Kadhafi pour ne pas impliquer d'une façon trop voyante les USA.
C'est leur heure pour se jeter dans la mêlée programmée depuis longtemps pour démanteler définitivement la pauvre Libye.
Libye : un colonel, disant parler au nom de l'armée, annonce à la télé la suspension du Parlement
19 MAI 2014
Un colonel libyen lisant à la télévision un communiqué au nom de l'armée, a annoncé la suspension du Congrès général national (CGN, Parlement), la plus haute autorité politique du pays. Nous, membres de l'armée et les révolutionnaires (ex-rebelles), nous annonçons la suspension du CGN, a déclaré le Colonel Mokhtar Fernana, commandant de la Police militaire, sur deux chaînes privées de télévision, précisant qu'il ne s'agissait pas d'un coup d'Etat. Il a annoncé donner les prérogatives législatives à une Assemblée constituante élue en février et maintenir le gouvernement intérimaire d'Abdallah Al-Theni.
Ce colonel, originaire de la ville de Zenten (170 km au sud-ouest de Tripoli), n'a pas précisé comment cette annonce allait être mise en oeuvre, en l'absence d'une armée professionnelle dans un pays où les milices font la loi. Plus tôt dans la journée, des brigades d'ex-rebelles de Zenten, qui avaient combattu le régime de Mouammar Kadhafi, avaient attaqué les locaux du CGN, avant de quitter les lieux. Elles ont été impliquées ensuite dans de violents affrontements sur la route de l'aéroport avec des milices rivales de Tripoli. On ignore si ces violences sont liées directement à l'offensive lancée vendredi par l'ancien général Khalifa Haftar contre des groupes d'islamistes radicaux à Benghazi (est), que les autorités ont qualifiée de tentative de coup d'Etat.
Nous annonçons que ce qui s'est passé aujourd'hui à Tripoli n'a pas pour objectif un coup d'Etat, a déclaré M. Fernana vêtu d'un uniforme militaire. En février, les brigades de Zenten avaient donné au CGN, la plus haute autorité politique du pays, quelques heures pour quitter le pouvoir, sans toutefois passer à l'action après l'expiration de leur ultimatum. Le Congrès avait aussitôt dénoncé cette initiative comme une menace de coup d'Etat. Le gouvernement de transition avait ensuite annoncé un compromis avec ces ex-rebelles ayant combattu le régime de Mouammar Kadhafi en 2011, sans donner de détails.
R. I.
Libye : un colonel, disant parler au nom de l'armée, annonce à la télé la suspension du Parlement | Algerie patriotique : le monde vu d'Algérie