mardi 1 avril 2014

Kiev Se Débarasse De Ses Néo Nazis Devenus Infréquentables Et Génants


Contre Yanoukovitch c'était des héros maintenant ce sont des salauds!

La représentante de l'Union Européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Catherine Ashton, a condamné l'action des militants "secteur de Droit".

Anadolu Agency

Les tensions entre le gouvernement intérimaire de l'Ukraine et le secteur droit (milice d'extrème droite anti-russe) ont augmenté au cours des dernières semaines que le groupe accuse le gouvernement pour son inaction dans la crise de la Crimée

Un membre du parti ultra-nationaliste secteur droit de l'Ukraine a ouvert le feu lundi soir dans un café du centre de la ville, blessant adjoint au maire Bogdan Dubas et deux membres des unités d'autodéfense nationales du pays.

L'attaque s'est produite près de Dniepr Hôtel de Kiev, le siège administratif du secteur de droit. Les unités d'autodéfense sont une force de sécurité auxiliaire composée d'anciens combattants de la Maidan pris en charge par le gouvernement ukrainien.

"Le tireur fait irruption dans le café et a ouvert le feu avant de se barricader dans une des salles du restaurant. Il s'est évadé de l'Hôtel Dniepr avant d'être placé en détention par la police, "agissant ministre de l'Intérieur Arsen Avakov dit dans une déclaration officielle.

Avakov plus tard ordonné l'hôtel pour être étanche et les bureaux du groupe libéré. Un bras de fer entre le secteur droit et troupes du ministère de l'intérieur, soutenus par les unités nationales d'autodéfense, a continué jusqu'à mardi matin.

Le ministère de l'Intérieur a rapporté plus tard que plusieurs armes à feu ont été confisquées à partir des bureaux de l'hôtel de la droite du secteur.

Les tensions entre le gouvernement intérimaire de l'Ukraine et le secteur droit ont augmenté au cours des dernières semaines que le groupe accuse le gouvernement pour son inaction dans la crise Crimée, qui a abouti à la région étant annexé unilatéralement par la Russie.

Le secteur droit étaient des participants de premier plan dans les manifestations Euromaidan qui ont conduit à l'éviction de l'ancien fugitif le président Viktor Ianoukovitch en Février. 

Le chef du mouvement, Dmitry Yarosh, a déclaré sa candidature à la présidence à la fin de Mars.  

Yarosh a demandé à plusieurs reprises la démission de Avakov après que le leader extrémiste de premier plan du secteur Droit Oleksandr Muzychko a été tué par la police le 24 Mars. Muzychko avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international pour son rôle présumé dans la torture et le meurtre de prisonniers russes pendant la première guerre de Tchétchénie de 1994 à 1996. 

Les responsables de la sécurité de l'Ukraine a laissé entendre la semaine dernière que tous les groupes armés dans la place Maidan, y compris le secteur de droit, doivent se dissoudre. Le groupe a répondu en entourant le parlement ukrainien - la Verkhovna Rada - et a menacé de prendre d'assaut le bâtiment si l'ordre a été mis en vigueur.

La Russie a lié l'idéologie et le respect de Stepan Bandera, un collaborateur nazi et leader anti-soviétique ultra-nationaliste de la droite du secteur, comme une justification pour envahir la Crimée» pour protéger la population d'origine russe de fascistes ukrainiens.

Kiev shooting wounds 3, including deputy mayor Anadolu Agency

News2Night | Latest News | Ashton, a condamné l'action "secteur de Droit"

Les Merdias Ont l'ORDRE De Pousser Le FN et Discréditer le Front De Gauche:La Preuve des Municipales!

la seule promesse qu'il a tenu!



La nomination d'Olivier Schrameck Par Hollande à la tète du CSA Rend Cette Fausseté Possible!

Comme le fait remarquer Jean Louis Charpal dans un commentaire publié dans les colonnes de « Marianne  » : le Front de Gauche a fait beaucoup mieux que le Front National à plusieurs titres. lien
Alors que le FN s’est flatté d’avoir déposé un nombre record de listes (594), le FdG en a proposé plus de 600lien
Alors que le FN s’est félicité d’avoir un nombre record d’élus au premier tour (473), le FdG en revendique plus de 2000lien
Alors que tout le monde s’extasie que le FN ait gagné une ville au 1er tour (Hénin-Beaumont), le FdG en a gagné 67 au premier tour, et il faut citer le cas de Grabels, ou le FdG avec 49,97% de voix, est passé à un cheveux de l’élection dès le premier tour. lien
On peut aller plus loin dans l’analyse, car le résultat moyen des scores du FdG est de 11,42%, 308 candidats de leur liste dépassent les 10 %…alors que le FN ne dépasse le seuil de ces 10 % que dans 316 villes.
Encore mieux, le FdG, lorsqu’il s’est allié avec EELV, soit dans 82 communes, a recueilli en moyenne 15,32%, bien plus que les résultats obtenus par le FN.
Ces scores étonnants ont été rarement évoqués dans la soirée électorale, ni le lendemain, ni les jours qui ont suivi, et on peut légitimement s’étonner du silence des médias traditionnels sur ce succès incontestable.

Erdogan Vient-Il De Prouver La Théorie Du Complot (sous fausse bannière)?



C'est Devenu l'affaire "Erdogan Leaks" ou "Erdogate"



Une conversation entre les dirigeants politiques et militaires turcs clés afin de planufier de ce qui semble être une attaque sous fausse bannière en ordonnant une attaque de missiles sur la Turquie ) pour justifier une guerre ouverte contre la Syrie. 

Toute ressemblance avec le 11 septembre ne serait que du complotisme négationniste haineux!


Il a été révélé que l’OTAN a plannifié une attaque fausse-bannière contre la Turquie afin de justifier une invasion turque du nord de la Syrie, a rapporté dans son article l’International Business Times:
Il a publié le transcript complet d’une converstaion fuitée entre le patron des renseignements turcs Hakan Fidan et le ministre turc des affaires étrangères Ahmet Davutoglu. Le Times a quant à lui rapporté que l’interdiction de YouTube par le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan s’est produite après que la conversation entre Fidan et Davutoglu n’ait été fuitée et qu’il voulait qu’elle soit enlevée du site de partage vidéo en ligne.
L’appel fuité détaille les pensées d’Erdogan qu’une attaque sur la Syrie “doit être vue comme une opportunité pour nous (La Turquie)”. Dans la conversation, le chef du renseignement Fidan dit qu’il allait envoyer quatre hommes en Syrie pour attaquer la Turquie “afin d’avoir un casus belli (une cause de guerre)”.
L’adjoint du chef d’État-Major le Lieutenant Général Yasar Güller répond que les actions projetées de Fidan sont “une cause directe de guerre… Ce que vous allez faire est une cause directe de guerre.”
Le ministère turc des AE a dit que l’enregistrement fuité de ces officiels du gouvernement de haut niveau discutant de l’opération en Syrie a été “partiellement manipulé” et est une “pauvre tentative d’attaque” sur notre sécurité nationale. Dans la vidéo fuitée, Fidan discute avec Davutoglu, Güler et autres officiels d’une opération possible en Syrie afin de sécuriser la tombe de Souleiman Shah, le grand-père du fondateur de l’empire Ottoman.
Les médias occidentaux ont été obsédés par myopie volontaire au sujet de la Turquie interdisant Twitter et Facebook et des fuites en ce qui concerne la “corruption”, dans une tentative de faire diversion sur les conversations révélant que la Turquie, un membre de l’OTAN depuis des décennies (NdT: Rappelons toujours que l’OTAN est l’Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord), planifiait une attaque fausse-bannière qui aurait mené à une guerre intentionnellement provoquée avec son voisin syrien.
Ceci survient alors que la Turquie fournit un support aérien, logistique et une couverture d’artillerie pour les membres d’un groupe que le ministère des AE des Etats-Unis désigne lui-même comme terroriste: le Front Al-Nosra, qui a mené une offensive sans relâche depuis le territoire turc, dans la province nord-ouest de la Syrie de Lattaquié.
Depuis que l’opération a commencé il y a plusieurs jours, la Turquie a abattu un avion de guerre syrien qui ciblait des militants d’Al-Nosra  en territoire syrien. Bien que la Turquie affirme que l’avion syrien ait violé l’espace aérien turc, l’appareil s’est écrasé en territoire syrien et le pilote qui s’était éjecté a été récupéré en Syrie. L’incident a été utilisé par la Turquie pour établir une base rhétorique pour pouvoir escalader plus avant les tensions entre Ankara et Damas, certainement pour essayer d’obtenir une raison de guerre au lieu de l’opération fausse-bannière plus risquée de l’OTAN.
La posture guerrière de la Turquie au nord est renforcée par une offensive conjointe américano-saoudienne dans le sud, près de la frontière jordano-syrienne dans la ville de Daraa et ses environs. Appelé le “front sud”, l’offensive apparaît avoir déjà été neutralisée par les forces de sécurité syriennes.
En ce qui concerne la création du “front sud”, le think-tank politique financé par les entreprises américaines, Carnegie Endowment for International Peace a même dit dans sa publication “Does the “Southern Front” Exist?,”que:
Plutôt qu’une initiative des rebelles eux-mêmes, ce furent des officiels étrangers qui ont demandés aux commandants rebelles de signer une déclaration montrant leur opposition à l’extrémisme, disant que cela était une pré-condition pour recevoir plus d’armes et d’argent.  Comme les mendiants peuvent devenir ceux qui choisissent, les commandants ont alors collectivement haussés les épaules et ont signé, mais pas tant pour déclarer une nouvelle alliance que pour aider les officiels américains à cocher toutes les bonnes cases dans leurs rapports envoyés au bercail, espérant que tout cela débloquerait des caisses d’armes supplémentaires.
Avec le “front sud” devenant un champ de bataille mort-né et l’OTAN devant se compromettre dans des attaques fausses-bannières en soutien évident aux organisations terroristes affiliées à Al Qaïda, l’énergie du désespoir occidental dans ce qui apparaît être la “stratégie de la dernière chance” est particulièrement palpable.
Tony Cartalucci
Article original en anglais : NATO’s Plans for False Flag Attack on Turkey?
Traduction : Résistance 71

Rage Tristesse et Colère Des Maires Socialistes Battus:"Des milliers d'élus locaux ont perdu car ils avaient l'étiquette PS!"


Patrick Mennucci : « Le mariage pour tous nous a coûté des voix »

Marseille - Samia Ghali : "J'ai l'impression d'avoir fait campagne contre le FN !" - Le Point

« J’ai déjà un Arabe sur ma liste » : plainte contre la ministre Carlotti

Mennucci à un élu UMP : "ça sera bien la première fois que tu seras gentil avec une Arabe" - SudOuest.fr

Bravo "Minnucci", après avoir copieusement rejeté les "arabes de la diversité" des quartiers nord (les articles à ce sujet sont éloquents), il pensait se "rattraper" en draguant le vote LGBT, ça n'a pas suffit et aurait même été contre-productif....donc retournement de veste! 
C'est triste un parti qui meurt...



Municipales : la colère sourde des «gueules cassées» du second tour


source : la France - Actualités

Pour certains, c'est de la «tristesse» , pour d'autres de la «colère», voire de la «rage» . Le sentiment amer, pour ces maires socialistes battus aux municipales, dimanche 30 mars, d'avoir été emportés et submergés par la vague du contexte national.


« L'une des erreurs de ce scrutin a été de penser que nous ferions 36 000 campagnes », reconnaît Daniel Goldberg, député PS de Seine-Saint-Denis . Numéro trois sur la liste socialiste à Aulnay-sous-Bois, il a essuyé une lourde défaite contre l'UMP dans une ville où François Hollande avait réuni 62 % des voix à la présidentielle. «Sur 155 maires qui tombent, il n'y a pas 155 maires qui ont fait des erreurs localement», veut aussi croire Laurent Baumel (PS), dont la liste, sortante, a également perdu la mairie de Ballan-Miré (Indre-et-Loire).

A Argenteuil (Val-d'Oise), le maire sortant, Philippe Doucet, assure avoir dû subir la «double peine» au second tour : «Surmobilisation de la droite et surabstention des électeurs du Front de gauche» . En théorie, les reports de voix du Front de gauche du premier tour auraient pu l'avantager , mais le député a été battu de 187 voix contre l'UMP.

«C'est rageant parce que nous avons bien travaillé à Argenteuil, mais le sujet n'était plus là, c'était la revanche de la présidentielle» , celle d'une ville qui avait voté à 64,64 % pour François Hollande. En deux ans, selon lui, «toute la base socialiste patiemment construite et conquise a été balayée. Même les survivants, comme Martine Aubry à Lille , sont amoindris. Nous sommes durablement atteints dans ce qui fait notre socle.»

Le maire sortant PS de Carcassonne, Jean-Claude Pérez, battu de 236 voix, s'est senti «comme un “poilu” de 14» après le second tour. «On était dans les tranchées, les généraux donnaient ordres et contre-ordres, ne se préoccupaient pas des militaires du rang et nous prenaient pour de la chair à canon. Alors, après la défaite, on est des gueules cassées » , dit-il.


Si certains avaient vu venir la vague, ils ne l'avaient pas envisagé à ce point. Laurent Baumel, au sein du courant de la Gauche populaire, avertissait en novembre 2012 sur le risque d'un «21 avril bis» aux municipales si le PS abandonnait les classes populaires. Pourtant, ce n'est que tardivement qu'il a pris conscience de la vague. «Les langues se sont déliées entre les deux tours . Avant le premier, ils nous disaient qu'ils nous aimaient bien, et on était plutôt confiants. Puis, ils nous ont dit qu'ils n'avaient rien à nous reprocher mais que c'était pour eux la première occasion d'envoyer un message depuis la présidentielle» , raconte le député.

Jean-Claude Pérez a eu le même sentiment : «Les électeurs ne nous engueulaient pas du tout, ils sont passés à autre chose. On ne mérite même pas de se faire engueuler . Je suis tombé sur des personnes âgées qui me disaient ne pas manger de la viande toutes les semaines parce qu'elles n'ont plus les moyens, et on a une ministre qui trouve la bouffe de l'Elysée “dégueulasse”. On ne vit plus dans le même monde» , conclut le député socialiste.

Dans toutes les campagnes locales, ce sont les mêmes questions de pouvoir d'achat et d'emploi qui s'expriment. A Aulnay, Daniel Goldberg a dû faire face à des «jeunes diplômés qui n'ont pas vu de grande évolution en deux ans, qui sont dans une vraie désespérance et à qui l'on propose des outils qui ne marchent pas bien comme les emplois d'avenir».

Sébastien Pietrasanta veut aussi croire que ce n'est pas qu'à cause de son bilan qu'il n'a pas été reconduit à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine). «Dans ma ville, nous avons fait de mauvais résultats dans les quartiers où nous avions, il y a quelques années, une partie de notre électorat. Le vote de la loi pour le mariage pour tous puis l'instrumentalisation de la polémique sur la théorie du genre a pesé en alimentant les conservatismes. Malheureusement, dans les quartiers populaires, nous assistons à une montée du radicalisme, du fondamentalisme, qui s'est nourri de ces sujets», analyse l'ex-maire, battu de 70 voix par l'UMP Manuel Aeschlimann.


«Il ne faut pas se cacher derrière le petit doigt : le premier responsable, c'est le président », poursuit Jean-Claude Pérez, quand Philippe Doucet, lui, n'en finit plus de dénoncer les «technocrates de Bercy qui n'ont jamais vu un ouvrier et qui prennent toutes les décisions » . «Des milliers d'élus locaux ont perdu car ils avaient l'étiquette PS, résume Laurent Baumel. Ils l'ont payé, j'espère pas pour rien. Sinon, la démocratie ne sert à rien.»

Municipales : la colère sourde des « gueules cassées » du second tour