mercredi 19 février 2014

Affaire Thomas Fabius : Plus Que 8 Mois à Tenir Jusqu'à la Prescription fiscale!




Un sacré jouer de poker!


Huit mois à attendre pour la prescription fiscale (31/12/2014). Pourvu que les journalistes continuent à garder le silence. 

Si l'administration fiscale ne se réveille pas au 15 décembre 2014, ça devrait être bon car les inspecteurs partent généralement en congés à Noël. Donc, en pratique, 7,5 mois à attendre...


Ca va être dur mais ça peut passer avec un peu de chance. Soyez discret...


Cahuzac en pire!


Aucun grand média n’a évoqué l’affaire qui semble pourtant encore plus gênante que l’affaire Cahuzac pour le pouvoir en place, entre soupçons de blanchiment d’argent et d’exil fiscal. Mais cette fois, les socialistes ont réussi à museler leurs camarades journalistes.



Résumé de la situation du fils d’un ministre régalien 


Voilà un beau gouvernement moralisateur qui se pose en défenseur de la justice fiscale, à l’image de son ancien ministre du budget.

En 2012, une plainte est déposée contre Thomas Fabius pour « tentative d’escroquerie et faux ». C’est lors de l’enquête préliminaire pour cette plainte, à laquelle s’ajoute un signalement de la cellule anti-blanchiment de Bercy, Tracfin, que les manœuvres financières de Thomas Fabius sont mises à jour par les brigades financières. C’est notamment le rapatriement depuis Macao d’un million d’euros, qui met la puce à l’oreille des enquêteurs. Pour se défendre, le fils de l’ex de Carla Bruni na rien trouvé de mieux que d’évoquer un « gain exceptionnel d’une partie de poker ».

Selon l’enquête publiée cette semaine par le Parisien, les policiers de l’Office central de la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF) parlent du dossier Fabius comme d’un dossier « très sensible », car il s’agirait de blanchiment d’argent (un socialiste ? non !) et d’exil fiscal, sur des sommes très importantes (plusieurs millions d’euros), qui concernent le fils d’un ministre de premier plan.

En effet, les enquêteurs ont découvert l’existence d’une société civile immobilière (SCI), Poopie Woopie, appartenant à une certain Irma S., et à un dénommé Thomas Fabius. Thomas Fabius aurait acheté via cette entreprise, un appartement énorme dans les beaux quartiers de Paris, pour un montant de 7,4 millions d’euros.

Mais il y a plusieurs problèmes : Thomas Fabius aurait apporté lui même 3,4 millions d’euros, alors qu’il n’avait déclaré aucun revenu l’année précédente (sans payer d’impôts, donc) et qu’aucune dotation familiale n’avait été déclarée. Pire, on apprend ensuite que pour sortir cette somme faramineuse, le fils socialiste a bénéficié d’un prêt de 4 millions de la part d’une banque italienne, la banque Monte dei Paschi, et ce sans avoir à payer de mensualité jusqu’en 2022, ce qui laisse à penser aux journalistes du Parisien et aux enquêteurs de Tracfin, que la gentillesse magique de la banque cacherait d’autres actifs appartenant à Thomas Fabius « y compris à l’étranger ».

De plus, l’appartement aurait été acheté bien trop cher (7,4 millions d’euros, alors qu’il avait été acheté deux ans plus tôt pour 4,4 millions). « A moins que cette transaction ne cache une opération de blanchiment. C’est en tout cas une des hypothèses sur lesquelles planchent aujourd’hui les policiers de l’Office central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF) », selon François Labrouillère et David Le Bailly.


Elle est pas belle la gauche française ? 

Elle prend pas les Français pour des cons avec ses pseudos lois de «transparence»?

News ! Affaire Thomas Fabius plus que 8 mois!

Blanchiment, exil fiscal : silence sur l'affaire Thomas Fabius | 24heuresactu.com


Kiev : Des Manifestants Massacrent un Employé du Bureau du Parti des Régions



Premier sang sur les mains des dirigeants de l'opposition - mise à jour (vidéo)  

source : Google Traduction


Nombre de victimes de l'attentat contre le bureau de PR atteint deux. Au cours de l'assaut sur ​​le bureau du Parti des régions à Kiev Lipskaya militants de l'opposition massacrés ingénieur Vladimir Zakharov. 
Pénétrer dans les premiers attaquants de sol défoncé la porte de la chambre où les serveurs et les ordinateurs. Zakharov essayé de les arrêter. Il a été poussé sur le sol et a commencé à battre des jambes de tuyaux bits de déchets. De battre 57 années vieil homme est mort.

En outre, après les sauveteurs éliminés feu a été découvert le corps de l'homme, qui, selon les données préliminaires, un PR de bureau des employés, le service de l'Etat GSCHS Ukraine à Kiev de presse.

Unités employés d'incendie et de secours ont également évacué 15 personnes qui étaient sur le toit de l'immeuble.

Selon le service de presse, les informations sur le feu est venu après 12. En place immédiatement vérifié 7 bureaux sauveteurs de différentes parties de l'incendie et de sauvetage capital.

La première branche, qui s'est mis en place, a constaté que sous-sol éclairé, premier et deuxième étage du bâtiment de 4 étages.

Deux unités feu de sauvetage ont été enfermés participants d'actions de masse sur Ul.Shelkovichnaya soulignent dans PG GSCHS. Ils ont réussi à obtenir le feu seulement après des négociations avec les manifestants.

«En Clovsky pente de service d'incendie et également réalisé son mouvement a également été inhibée et les sauveteurs menacés de violences physiques et incendie de deux camions-citernes. Par conséquent, l'unité a été forcé de retourner à la partie. Malgré les obstacles, les pompiers sont arrivés à la scène, secouru 15 les personnes qui étaient sur le toit de l'immeuble, "- a déclaré dans un communiqué.

A 13.39 le feu sur une superficie de 150 mètres carrés. m a été éliminé.

Pendant ce temps, le député du peuple du Parti des régions Oleg Tsarev allègue que deux employés de bureau du Parti des Régions tué lors de l'assaut sur les lieux.

"Machines cassées qui se dressent sur le garage, qui se tiennent sur les documents de la rue dispersés Bureau écrasés Deux personnes ont été tuées Exactement ce personnel de bureau, les employés du Parti des régions, des employés de bureau,...." - Il dit aux journalistes.

Rappeler qu'aujourd'hui des hommes armés ont fait irruption dans la porte d'entrée au bureau du Parti des régions et ul.Lipskoy sont entrés dans la cour de l'immeuble. Ils ont échoué une clôture métallique, brûlé dans la cour de l'un des véhicules ont été pris de dossiers des employés avec des documents, les battre. Environ 20 employés de bureau ont quitté le bâtiment, certains d'entre eux ont également été battus. 

La Centrafrique Et Bangui En Plein Chaos : Après Les Musulmans Sangaris Se Fait Détester Par Les Chrétiens




19 fevrier: Bangui s'enflamme


De violents combats opposent présentement les éléments tchadiens en mission de sécurité en Centrafrique aux milices d’autodéfenses Anti Balaka. Le bilan provisoire fait état de 10 morts et de nombreux blessés. La tension est vive entre les éléments tchadiens mandatés par N’Djamena pour escorter le convoi de leurs ressortissants aux Anti Balaka. Des armes lourdes et des armes automatiques se font entendre sans arrêt dans les 4e, 5e et 8e arrondissements de Bangui.


Les habitants de ces secteurs sont présentement terrés chez eux à cause de l’intensification des combats. « Nous sommes bloqués dans la maison depuis ce matin », explique une habitante du quartier Combattant (8e arrondissement) que Kangbi-Ndara vient de joindre par téléphone. La Croix Rouge ne peut accéder à ces arrondissements pour secourir les personnes en dangers. Selon une source proche de l’Hôpital Communautaire de Bangui, le bilan provisoire fait état de 10 morts et de nombreux du coté des civiles. 

A l'origine, des milicens Anti-balaka ont attaqué une escorte de soldats tchadiens dans le 8e arrondissement. Ces derniers ont riposté. 



Situation génocidaire en Centrafrique


De nombreux musulmans ont choisi de s’exiler en prenant les routes en groupes depuis a chute des SELEKA et de leur président éphémère Michel Djokotia. 

Les  anti-balakas assoiffés de revanche, lynchent, massacrent, brûlent et parfois même mangent (si si vous avez bien lu) tous ce qui ressemble de près ou de loin à des musulmans.

D’autres civils attendent dans des camps aux abords de l’aéroport de la capitale que des avions  soient affrétés afin de fuir. L’aéroport est plus ou moins protégé par des soldats Français, ainsi que des soldats de la force africaine.

C’est ainsi que des milices chrétiennes ont retourné leur armes contre les soldats français et africains qui gardent l’entrée principale de la zone aéroportuaire.

Selon des sources militaires, ces tirs opposaient aux départ des soldats de la force africaine Misca à des miliciens anti-balaka retranchés dans des quartiers proches de l’aéroport.

Ces milices au départ favorisées par l’armée française à qui ont avait expliqué que les SELEKA tuaient tout ce qui était chrétien, se retournent aujourd’hui contre eux en les attaquant. 

En effet, l’armée française d'abord accusée de désarmer uniquement les musulmans a changé son fusil d'épaule en s'attaquant aux milices chrétiennes que LeDrian, ministre français de la défense a même récemment qualifié de bandits sous la pression du tollé international. 

Le résultat de cette politique dont les objectifs changent chaque jour au gré des massacres, les armes stockées servent désormais à attaquer les soldats français.

Déclarer la guerre aux anti-balaka, c’est déclarer la guerre à la population centrafricaine


La présidente centrafricaine de transition, Catherine Samba Panza, qui a succédé à Michel Djotodia, porté au pouvoir par la coalition rebelle de la Séléka, a tenu des propos très durs, le 12 février, aux côtés de Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, au sujet des milices anti-balakas, lesquelles se livrent à de nombreux exactions visant en particulier les populations musulmanes du pays.

«Les anti-balaka, on va aller en guerre contre eux. (Ils) pensent que parce que je suis une femme je suis faible. Mais maintenant les anti-balaka qui voudront tuer seront traqués», a-t-elle ainsi affirmé. La veille, M. Le Drian avait évoqué la nécessité de faire respecter les résolutions des Nations unies, “au besoin par la force”. Et le chef de l’opération Sangaris, le général Soriano, n’avait pas mâché ses mots, quelques heures plus tôt, en qualifitant les miliciens de “hors-la-loi et de bandits”, devenus “les principaux ennemis de la paix en Centrafrique”.

Ces propos n’ont pas manqué de faire réagir les chefs autoproclamés des milices anti-balaka, dont on ignore exactement l’organisation mais dont on suppose qu’elles sont infiltrées par d’anciens partisans de l’ex-président Bozizé (renversé en mars 2013 par la Séléka, ndlr). Rassemblés, le 13 février, dans leur fief du quartier de Boy-Rabe, au nord de Bangui, ils ont défié la présidente Samba Panza.

“Déclarer la guerre aux anti-balaka, c’est déclarer la guerre à la population centrafricaine”, a ainsi lancé Richard Bejouane, qui prétend être leur chef auto-proclamé, devant une centaine de miliciens.


Mais que faisons nous dans ce bourbier ?


 Cela va coûter très cher à notre pays . A court terme, on dépense des fortunes sur le dos des Français et à moyen terme, les peuples du Centrafrique nous considérerons (si ce n'est déjà le cas) comme des usurpateurs d'une politique post-coloniale !


Aujourd’hui nous sommes, paraît-il, les gendarmes « bénévoles » des ex-colonies françaises d’Afrique (AOF-AEF), sans doute au nom de la repentance ! N’est-ce pas Monsieur le Président de la République ?


Ne négligeons tout de même pas le fait que nous sommes les quatrièmes fabricants d’armes de la planète !


Et qu’il y a d’importants enjeux économiques.



DEMAIN ce sera peut-être le Cameroun et pourquoi pas un jour l’Algérie…


Mad Dog "le cannibale photo mange DEUXIÈME musulmane en République centrafricaine - YouTube (Christian le Cannibal appelé "MAD DOG" mange la jambe d'un musulman!)

Centrafrique : Des soldats tchadiens affrontent des hommes armés dans Bangui

RCA. Le chef militaire autoproclamé des anti-balaka défie Catherine Samba Panza | Levraicontact

Violentes Émeutes En Ukraine : Kiev En État De Guerre!



Vers la guerre civile!



Les émeutes ont éclaté à Kiev avec une telle violence que les événements s’assimilent déjà à une guerre civile. Les activistes radicaux de l'Euromaïdan ont avancé en colonne vers le bâtiment du parlement et ont commencé à démonter les pavés.

De véritables combats ont éclaté dans la capitale ukrainienne mardi, au lendemain de la rencontre entre les leaders de l'opposition Vitali Klitchko et Arseni Iatseniouk avec la chancelière allemande Angela Merkel.




les manifestants ont pour la première fois utilisé des armes à feu


Les policiers ont été attaqués avec des pierres et des cocktails Molotov, les activistes ont mis le feu à deux camions KamAZ qui bloquaient la chaussée de la rue Chelkovitchnaïa. La police a riposté avec des grenades assourdissantes et des balles en caoutchouc - mais la situation se dirige à grands pas vers l'utilisation des balles réelles. Les rebelles appellent sur les réseaux sociaux tous ceux qui ont des armes à rejoindre les barricades. Voilà donc à quoi ressemblent vraiment les manifestations pacifiques en Ukraine, dont parlent constamment les politiciens américains et européens!

Le corps de l'informaticien Vladimir Zakharov, 60 ans, a été sorti du bureau du Parti des régions au pouvoir. Il se trouvait dans la salle des serveurs quand les "manifestants" ont pénétré dans le bâtiment. Ils ont d'abord détruit les caméras et les serveurs. Quand Vladimir Zakharov a tenté de résister, il a été tué à coup de barres de fer.




Une vision faussée par les médias pro US



Les médias occidentaux mainstream et les politiciens établis décrivent l’actuelle situation en Ukraine comme un conflit entre, d’un côté, une alliance d’opposants pro-européens, démocrates et libéraux, et de l’autre, un régime autoritaire dirigé par un président-dictateur.

Or, ces analyses sont totalement erronées. Il n’est plus possible, aujourd’hui, de diviser le monde comme à l’époque de la Guerre froide. Il n’y a pas, contrairement à ce que beaucoup de médias occidentaux affirment, un « monde démocratique » qui s’oppose à un « monde antidémocratique ».

Le monde qui se déploie sous nos yeux, est beaucoup plus complexe, avec des oligarchies transnationales ou non, qui se heurtent sur la vaste scène planétaire. En Ukraine, cette fois-ci, la partie la plus consciente du peuple ukrainien, son avant-garde, s’est levée face à un pouvoir oligarchique kleptocrate, prédateur et corrompu, qui a longtemps oscillé au gré de ses intérêts, entre Bruxelles et Moscou, dans une fragile logique multivectorielle, établie depuis la fin des années 90.

Les émeutes touchent tout le centre-ville de Kiev. Les casseurs vandalisent les bureaux, les magasins et les établissements, fracassent les voitures avec des masses. Les écoles nationales et les établissements pour enfants ferment leurs portes.
Les masques sont tombés. Les combats de rue sont dirigés par les opposants Klitchko et Iatseniouk, qui viennent de discuter avec Merkel du choix européen et de l'engagement pour la démocratie.
Les combats violents se propagent rapidement dans les rues de la capitale ukrainienne. 

Le gouvernement, pour une raison qu'on ignore, garde le silence, bien qu'il ait toutes les raisons d'instaurer l'état d'urgence. Par ailleurs, beaucoup d'Ukrainiens se demandent encore s'il existe encore un gouvernement. N'obtenant pas de réponse claire, la police anti-émeute est contrainte pour l'instant de repousser les attaquants avec des grenades assourdissantes et des balles en caoutchouc.


Entre temps, une unité de rebelles a défilé sous l'étendard de la division SS Galicie dans les rues pendant les attaques. Le conseil de Lvov vient d'annoncer une mobilisation de tous les hommes "aptes à se battre" pour partir à Kiev.


Deux pays en un


 L’Ukraine n’a quasiment jamais existé dans l’histoire. C’est une entité qui a été créée récemment et qui se compose au moins de deux parties complètement différentes tant par leur identité que par leur culture. Il y a une Ukraine de l’Ouest qui participe de l’identité de l’Europe orientale. Les Ukrainiens occidentaux se considèrent en grande partie comme des Européens et leur identité est basée sur le rejet total du panslavisme et de la Russie. Les Russes sont considérés comme les ennemis absolus. On peut dire qu’ils haïssent les Russes, la culture russe et la politique russe. Cette haine est une composante importante de leur identité.

La population qui vit dans la partie orientale de l’Ukraine partage une identité commune avec le peuple Russe – historiquement, civilisationnellement et géopolitiquement. L’Ukraine orientale est une terre russe et eurasienne. En réalité, il existe deux Ukraine. Nous voyons cela très clairement lors des élections. La population est partagée sur toutes les questions politiques importantes. Et quand elles ont trait aux relations avec la Russie, nous constatons à quel point ce problème devient dramatique : une partie de l’Ukraine est absolument pro-Russe, l’autre est rabiquement anti-Russe. Deux sociétés différentes, deux pays différents et deux identités nationales et historiques coexistent dans une seule entité.


La solution, la partition?


Nombre de ceux qui vivent en Ukraine occidentale se considèrent comme des Russes. Nombre de ceux qui vivent en Ukraine orientale se considèrent comme des Ukrainiens uniquement. Une simple partition du pays ne résoudrait pas le problème mais en créerait de nouveaux. Seule la séparation de la Crimée est envisageable car elle est entièrement peuplée de Russes.