dimanche 16 février 2014

Municipales : Des Élus PS Acceuillis Au Slogan De “Socialistes Dehors !”


MUNICIPALES: L’ABSTENTION FAIT PEUR AUX SOCIALISTES


Mediapart.fr


14 février 2014 | Par Lénaïg Bredoux et Mathieu Magnaudeix -

Ministres, députés et candidats locaux du PS s’inquiètent d’une flambée de l’abstention aux municipales. Elle pourrait transformer le scrutin des 23 et 30 mars en défaite sévère.

Le ton a changé. Ces dernières semaines, les socialistes étaient encore nombreux à croire à un miracle aux municipales et à parier sur des pertes de villes limitées et compensées par quelques gains symboliques, comme Marseille. Mais depuis dix jours, la panique monte. Après les critiques du « pacte de responsabilité » de François Hollande, les derniers bugs au sommet de l’État, avec l’abandon de la loi famille et l’imbroglio sur le gel de l’avancement des fonctionnaires, leur font craindre une abstention massive le jour du vote.

Les témoignages recueillis (voir notre boîte noire) dans différentes régions et dans des villes de tailles diverses sont quasiment unanimes : l’image des maires et des équipes sortantes est souvent positive, les réunions publiques font le plein, mais de nombreux socialistes craignent que cela ne suffise plus à éviter une lourde défaite. La faute à l’abstention qui pourrait être massive et rebattre les cartes dans bien des villes. « Il y aura de l’abstention à gauche, c’est évident, assure le ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll, proche de François Hollande. Mais pour le reste, je suis bien incapable de dire ce qui va se passer. »

« Depuis une dizaine de jours, il y a une inflexion nette, constate le député PS Philippe Baumel, candidat en septième place à Breuil (Saône-et-Loire), la ville de 4 000 habitants dont il a été maire avant d’être élu député en juin 2012. Un poids critique est tombé dans cette campagne municipale : les bégaiements sur la loi famille ont atteint le cœur de l’électorat de gauche, qui doute fortement de la volonté du gouvernement d’aller au bout des choses. Les paparazzades de l’affaire Gayet ont atteint l’image du président. »

« Au-delà de l’image souvent très bonne des équipes municipales sortantes, la gauche risque d’être pénalisée par la désillusion de l’électorat populaire sur les attentes de résultats économiques et sociaux. Mais on a aussi troublé notre électorat de classe moyenne et de classe supérieure qui considère que la gauche est aussi là pour faire avancer la société », en référence à la loi famille, abonde Bernard Roman, député du Nord.



Une candidate socialiste aux municipales: Anne-Laure Jaumouillié (La Rochelle)Une candidate socialiste aux municipales: Anne-Laure Jaumouillié (La Rochelle) © DR

Thierry Mandon, porte-parole du groupe PS à l’Assemblée, élu de l’Essonne, fait le même constat « Depuis des mois, notre électorat est déstructuré sociologiquement. Et entre la loi famille et le débat sur le gel de l’avancement des fonctionnaires, on ne l’a pas vraiment brossé dans le sens du poil ces derniers temps. On lui donne même des contre-gages ! Dans les réseaux militants, associatifs, bénévoles autour du PS, cela pèse. Et comme l’électorat populaire est déjà parti… »

« Les questions locales continuent de prédominer, mais depuis quelques semaines, les interpellations sur la politique nationale sont un peu plus régulières. Dans l’électorat de gauche, l’impatience, voire la déception, s’expriment de plus en plus », témoigne le socialiste Mathieu Klein, en campagne pour ravir la mairie de Nancy (Meurthe-et-Moselle) après trente ans de règne du centriste André Rossinot.

« Je ne sens pas de raidissement, mais c’est vrai que les sujets nationaux émergent dans les conversations, raconte Olivier Dussopt, député et maire PS d’Annonay (Ardèche), candidat à sa réélection. La plupart du temps, les gens font la différence entre le national et le local. Mais je ne sais pas ce que pensent ceux qui ne me parlent pas ! Dans un quartier difficile, j’ai aussi été témoin pour la première fois de quelques violentes réactions antisystème, pro-Dieudonné. »

À Reims, où le PS est en plus mauvaise posture pour garder la mairie prise à la droite en 2008, on s’inquiète. « Le vote sanction se renforce. Le fait que le gouvernement ne soit pas très populaire, cela compte. (…) Je crains qu’une partie de notre électorat ne se déplace pas », a prévenu dans le Journal du dimanche la maire sortante, Adeline Hazan. « En janvier, on ne sentait pas le poids du contexte national. Désormais, c’est bien là, explique Nicolas Marandon, premier fédéral du PS de la Marne et directeur de campagne d’Adeline Hazan. Les gens nous disent ne pas comprendre pourquoi ça tire dans un sens, puis dans l’autre. Sur la fiscalité, on prend cher, de la part des petits patrons comme des habitants des quartiers populaires. Il y a le chômage qui ne baisse pas, la loi famille. Ou récemment les salaires des fonctionnaires, on n’avait pas besoin de ça ! »

Même à Tulle (Corrèze), la ville que François Hollande a dirigée, son successeur Bernard Combes, également conseiller à l’Élysée, s’inquiète : « À ma permanence, j’ai entendu des gens qui sont venus me dire : “Si c’est pour geler nos salaires, alors on va geler le bulletin de vote !” Sur la loi famille, d’autres m’ont dit : “Cette loi nous aurait aidés” ou bien “J’ai du mal à avoir un droit de visite pour mes petits-enfants”. Certains ne comprennent pas que 80 000 manifestants ultra-orthodoxes fassent la politique familiale dans une société en mouvement. » Mais « ils me disent aussi qu’ils aimeraient me réélire », précise Combes, pas franchement menacé par la droite.

La situation est assez similaire à Rennes, une grande ville détenue par la gauche depuis 1977. Le PS, qui présente pour la première fois une jeune députée, Nathalie Appéré, est encore en position de force. Élue dans un quartier populaire de la ville, sa camarade socialiste Marie-Anne Chapdelaine voit surtout des « gens qui se concentrent sur les municipales », et qui veulent voter à gauche. Mais elle aussi a été rattrapée sur le terrain sur le gel de l’avancement des fonctionnaires, annoncé par Vincent Peillon, démenti, puis confirmé, puis démenti par Jean-Marc Ayrault, et par l’abandon de la loi famille. Vendredi, une de ses électrices l’a appelée afin de lui dire qu’elle s’abstiendrait pour ces deux raisons aux municipales. « Il va y avoir de l’abstention. Mais cela sera marginal, croit Chapdelaine. Moi, je vois aussi des gens de gauche qui vont se tourner vers l’extrême gauche. » « Pour l’électorat populaire, il faut aussi qu’on explique mieux notre politique. Par exemple qu’on dise qu’on ne va pas donner un blanc-seing au patronat avec le pacte de responsabilité », ajoute-t-elle.

Des « socialistes, dehors ! » dans les cages d’escalier

À Solférino, le Monsieur élections du PS, le député Christophe Borgel, qui reçoit de nombreux appels des candidats en campagne, confirme : « La fin de semaine dernière n’a pas été bonne. L’ambiance s’est dégradée, dans tous les milieux sociaux. Le pataquès de la loi famille a remis 100 balles dans la machine sur le mode “on est des baltringues”. Malgré les bons retours en porte-à-porte et les sondages locaux parfois excellents, cette ambiance générale peut conduire à une abstention qu’on peut ne pas voir venir. »

Bon connaisseur de la carte électorale et de l’historique des municipales, il fait le raisonnement suivant : depuis 1977, il y a plus de 100 villes de plus de 10 000 habitants qui basculent à gauche ou à droite. La tendance est même plus forte depuis les trois derniers scrutins. En 2001, la gauche en avait perdu 101 et gagné 45. En 2008, elle en avait conquis 112, pour 30 perdues.



Mathieu Klein, candidat PS à NancyMathieu Klein, candidat PS à Nancy © DR


Cette fois, le mouvement risque d’être plus ample. D’abord parce que le PS et ses alliés détiennent un nombre impressionnant de villes moyennes et de grandes villes. Ensuite parce qu’ils sont au pouvoir. Enfin parce que l’électorat de François Hollande est déboussolé, voire déstructuré, entre les ouvriers qui souffrent massivement du chômage, les classes moyennes agacées par les impôts et déçues par les reculs sociétaux, les quartiers populaires, qui se sentent toujours abandonnés, et les jeunes de gauche qui étaient très attachés au droit de vote des étrangers et aux mesures contre le contrôle au faciès.


Dans le meilleur des scénarios (lire notre article), la gauche obtiendrait un « 2001 réduit », soit 150 villes de plus de 10 000 habitants qui basculent, dont 80 vers la droite et 30 vers la gauche. Si Marseille en fait partie, « on pourra dire qu’on a bien travaillé », sourit Christophe Borgel. Le pire cauchemar du PS serait 150 villes perdues, pour 50 villes gagnées, 4 villes pour le FN et Marseille qui reste à droite. Une débâcle qui rappellerait celle de 1983.
Élus et candidats interrogés estiment qu’une partie de leurs sympathisants peut aller glisser un bulletin Front de gauche ou extrême gauche dans l’urne, mais dans des proportions limitées. Ils ne croient pas tellement à une « vague bleue » pour l’UMP. La droite, disent-ils, ne fait pas franchement rêver les électeurs. L’image donnée par le principal parti d’opposition ces derniers mois ne peut que les conforter. « La vague bleue, je n’y ai jamais cru. Et je n’ai toujours pas l’impression que l’UMP soit en position d’être l’incarnation de l’alternative locale », analyse Stéphane Le Foll.

« Je ne sens nulle part un appétit féroce pour la droite républicaine. Il y a même une certaine démobilisation de leur côté : dans certaines villes de Saône-et-Loire, la droite n’arrive pas à boucler des listes », témoigne le député Philippe Baumel. D’autant que l’UMP est concurrencée parfois localement par des listes « très à droite, pas étiquetées FN mais qui en sont très proches ».« Dans les quartiers populaires d’Annonay, l’ancien maire de droite est bien plus mal reçu que moi », explique Olivier Dussopt.
Les socialistes cauchemardent encore de leur débâcle législative de 1993. Ils ne sentent pas encore le même climat : leur électorat est fatigué, déçu, parfois consterné, mais pas dans cet état de colère violente qui pourrait profiter à la droite.

À l’époque, se souvient le ministre du travail Michel Sapin, les sympathisants changeaient de trottoir ou les insultaient. « Jean Glavany (député, ancien ministre) raconte que quand il montait dans l’avion, les gens le sifflaient ! Là, ce n’est pas comme ça, ils sont sympas », témoigne Christophe Borgel.

« Quand ils parlent du national, en fait, ils me plaignent », souffle, sous couvert d’anonymat, une députée socialiste. Olivier Dussopt rapporte tout de même que « certains élus de grandes villes ont entendu des “socialistes dehors !” dans les cages d’escalier le week-end dernier ».
Les socialistes craignent d’autant plus une démobilisation de leur électorat qu’ils se méfient de l’effet déformant des sondages. Pour l’instant, dans des villes que la droite espérait accrocher comme Toulouse ou Quimper, ils sont favorables aux maires sortants. Mais les instituts mesurent très mal l’abstention. Des dernières enquêtes, ressort un taux qui va de 10 à 20 %. Aux municipales de 2008 et de 2001, 38 % des électeurs s’étaient abstenus dans les villes de plus de 3 500 habitants.

« Il faut dire que le national ne donne pas très envie à un électeur de gauche d’aller voter et qu’il donne très envie à un électeur de droite d’y aller », résume Borgel. Au PS, c’est l’heure de la mobilisation générale : les candidats sont priés d’investir massivement le terrain et de multiplier le porte-à-porte pour aller chercher leurs électeurs.

Face à leurs électeurs, certains n’hésitent pas à dire leurs gros doutes sur la politique du gouvernement, afin d’enrayer la machine à perdre et de se déconnecter le plus possible de la politique nationale. « Moi, je ne manie pas la langue de bois, explique Philippe Doucet, député et maire sortant d’Argenteuil (Val-d’Oise), ouvertement critique à l’égard du gouvernement. Quand on me parle des rythmes scolaires, je ne cache pas que pour nous c’est la galère ! » Des aveux de sincérité peut-être utiles en temps de campagne municipale, mais qui risquent de nourrir le vote sanction aux européennes de mai.

La boîte noire :Nous avons interrogé une dizaine de socialistes pour cet article, de sensibilités différentes au PS. Leurs témoignages reflètent leur état d’esprit et leurs retours de terrain du moment. Tout peut encore changer – il ne s’agit bien entendu pas d’une prédiction de résultat.


URLsource: http://www.mediapart.fr/journal/france/140214/municipales-l-abstention-fait-peur-aux-socialistes

La Chine Capable De Frapper N'importe Où Sur Terre En Moins de 2 Heures Grâce À Son Missile Qui Atteint MACH 10!



Après nous avoir asservi économiquement, voici que la Chine va le faire bientôt militairement et tout cela grâce aux technologies développées par l'Europe, celle la même qui sera asservie. Nous offrons aux chinois le couteau pour qu'ils puissent nous trancher la gorge. Bravo les exportateur sans-frontières et autre stratèges francais.

«L’armée doit se préparer à combattre et à gagner des guerres» (président chinois dec 2012)

Missile chinois vau-dessus de Mach 10 capable de passer tous les boucliers antimissiles










La Chine teste un missile tout-puissant 


Pékin talonne les Etats-Unis avec un engin hypersonique capable de déjouer les tentatives d’interception

La Chine a confirmé ce mois-ci son ambition de devenir une superpuissance militaire. Le 9 janvier, à la grande surprise de tous les experts, l’Armée populaire de libération (APL) a réalisé le test grandeur nature d’un missile de croisière hypersonique volant à Mach 10 – soit dix fois la vitesse du son. Seuls les Etats-Unis y étaient jusqu’alors arrivés. Cette arme encore expérimentale, dite «hyper-véloce», sera si rapide qu’aucun système de défense antimissile existant ne sera capable de l’intercepter, conférant une supériorité stratégique considérable au pays qui parviendra à la déployer. Elle est supposée permettre de frapper n’importe quel point du globe dans un délai très court, avec une tête conventionnelle ou nucléaire. La Russie, l’Inde et la France s’y intéressent également.


L’exploit chinois a été révélé cette semaine par des officiels du Pentagone. Pékin, qui avait gardé l’affaire secrète jusqu’alors, a confirmé mercredi que ce test avait bel et bien eu lieu. Les forces armées chinoises, qui paraissent déterminées à se doter de fortes capacités stratégiques à longue portée, modernisent leur arsenal à marche forcée. Après la pulvérisation réussie en 2007 d’un de ses satellites situé à 800 km de la terre à l’aide d’un missile orbital, la Chine a mis à flot un porte-avions, s’est lancée dans la construction d’un second porte-aéronefs ultramoderne, a déployé des sous-marins ultra-silencieux, et des prototypes de drones et d’avions furtifs.


«Rêve chinois»


Le budget chinois de la Défense est en augmentation constante de plus de 10% par an depuis vingt ans. Qui plus est, selon le centre de recherche indépendant IHS Jane’s, il passera de 91 milliards d’euros en 2010 à 183 milliards en 2015 – soit quatre fois celui du Japon. «Notre rêve est celui d’une nation puissante, ce qui signifie que notre armée doit être puissante», lançait en décembre 2012 Xi Jinping, qui cumule les fonctions de président, de chef du Parti communiste et de l’armée. «L’armée doit se préparer à combattre et à gagner des guerres», exhortait-il dernièrement.

LeTemps.ch | La Chine teste un missile tout-puissant

Les Liens Sulfureux Entre Holande Gayet Et Cahuzac (et les autres)


Compte en Suisse, Chirurgie et politique



On a parfois entendu que François Hollande était au courant du compte suisse de Cahuzac dès décembre 2012 et n'aurait pas pris de sanctions sévères contre Cahuzac.

Cela lui aurait été difficile, Cahuzac avait des biscuits; c'est lui qui a présenté Julie Gayet à Hollande, les familles Gayet et Cahuzac sont amies. Julie Gayet est une fille "normale", comme les aime Hollande (qui a horreur des riches). 

Papa Gayet est un chirurgien mondialement reconnu (maman est antiquaire), ancien membre du cabinet Kouchner et possédant un chateau à Berrac dans le Gers (chateau que Martine Aubry, autre socialiste, donc pauvre, avait cherché à acheter). 


Cahuzac était donc au courant de la relation de Hollande. 


Le dit Cahuzac avait trainé les pieds pour mettre en place la taxe à 75% car son frère Antoine Cahuzac dissimulait un paquet de virement de gens riches vers la suisse via la banque HSBC dont il était le président. (source Médiapart)

Bref personne n'avait intérêt à ce que tout ces gens pauvres soient mis en lumière.

Comme il y a une justice (très dure pour ces gens "normaux"): Jérôme Cahuzac a été interdit d'exercer la médecine par le conseil de l'ordre .... pendant 3 mois !

Antoine Cahuzac a démissionné de son poste chez HSBC ... il est maintenant directeur général d'EDF. ( ... Ben voyons !! )


Heureusement que l'on a appliqué la loi et des sanctions ...

"Corruptissma republica plurimae leges" Plus l'État est corrompu, plus les lois se multiplient... (Tacite)

L'Euro va t Il Fêter Les Cent Ans De La Fin Des Emprunts Russes en 2017 En Faisant Faillite?

Comme les régimes soviétiques, depuis maastrich , l’Europe s’est volontairement mis un carcan , des barbelés. Trop de "politicards" ne pensent qu’à leur avenir politique et nous ont abandonné. 


Un parfum d'emprunts russes ?

source : L'Echo
    
Ce qui me rend de plus en plus perplexe, c'est que, malgré les évidences statistiques, injonctions du FMI et recommandations des meilleurs économistes anglo-saxons, la politique des autorités européennes et de la BCE reste d'une inflexibilité inébranlable.

L'histoire économique est dense d'exemples de politiques d'austérités mortifères (déflations de Hoover, de Laval et Brüning) et de politiques monétaires restrictives récessionnaires (Union Monétaire Latine du 19ème siècle, bloc-or des années trente).

Or, il est évident que la variable d'ajustement des déséquilibres doit être la monnaie, qu'on doit dévoyer par une inflation raisonnable.

Il est impossible – je dis bien strictement impossible – de financer les dettes publiques existantes et différées (pensions, soins de santé) avec des politiques d'austérité et une monnaie forte.

Bien sûr, l'inflation n'est, en tant que telle, pas souhaitable, mais l'érosion de la monnaie devrait pourtant être le revers de l'endettement public que nous laissons aux futures générations.

Pour parler simplement, nos patrimoines individuels ne pourront pas être protégés par une monnaie désinflatée et forte alors que nos dettes collectives sont impayables.

Ceux qui continent à croire à ces fictions doivent relire Marx.

Pas le Marx politique, mais le Marx économiste qui rappelle que si la dette ne s'ajuste pas aux réalités de l'économie réelle, l'implosion sociale est inévitable.

Je crois qu'il avait raison.

Et finalement, c'est peut-être ce que nos instances européennes attendent : l'urgence d'un choc social qui les force à l'action par résignation.

Un peu comme pour les emprunts russes …?



Le blog de Bruno Colmant : Un parfum d'emprunts russes ?

Découverte d'un Charnier En Centrafrique : l'Opération Sangaris Totalement Impuissante

Bangui: un charnier dans un camp militaire occupé par les ex-Séléka



Par rjdhrca - 13/02/2014

Il a été découvert dans le camp de bataillon de soutien et des services (BSS), une caserne militaire occupée par quelques éléments de l’ex- Séléka en attente de désarmement


Les corps en décomposition seraient d’environ une dizaine, a fait savoir l’un des volontaires de la Croix-Rouge qui n’ont pas pu fait sortir les corps, car ceux-ci se trouvent dans une fosse bétonnée. Ces corps ont été découverts par une unité de la MISCA qui assure la sécurité aux alentours de ces casernes. Les officiers de police judiciaire, le Procureur de la République, Ghislain Grésenguet étaient présents et ont constaté les faits. Ce dernier a affirmé avoir perçu quatre corps «mais le nombre exacte de ces corps n’est encore connus parce qu’ils se trouvent dans le cuve d’essence d’une ancienne station qui n’a pas été ouvert», a-t-il précisé.

Selon lui, une enquête est ouverte automatique ce jour et le premier élément de l’enquête, il s’agit de déterminer avec exactitude le nombre exact des corps, qui est un travail difficile, parce qu’il faut ouvrir le trou, identifier si possible les corps et la partie judiciaire va s’en suivre avec des auditions pour regrouper les témoignages afin d’établir la vérité. Il faut signaler que des cas exactions contre les passants aux avirons de ce camps ont été signalés la semaine passée et un corps vu dans la fausse, dont les bras ont été ligotés daterait d’environ trois à quatre jours. La découverte de ce charnier fait suite à celui de la colline de la panthère à proximité du camp De Roux, l’ancienne résidence de Michel Djotodia où 31 corps ont été ramassés.

JournalDeBangui.com: Bangui: un charnier dans un camp militaire occupé par les ex-Séléka

Le Crédit Agricole En Faillite? L'Ultime Tabou Qui Tétanise Le Systême


Vers Une Faillite Monstre Des Banques Françaises : Crédit Agricole S.A Endettée pour 67 fois Son Bilan!  (on vous en parle depuis le vendredi 29 novembre 2013!)


31 Milliards! (minimum)


Un rapport de l’OCDE vient de faire état d’un manque de fonds propres des banques européennes de 84 milliards d’euros. Sur ce montant le Crédit Agricole représente un montant de 31,5 milliards, soit un peu moins de 40% de toute l’Europe. Cette situation fragilise à la fois le système bancaire français et l’union bancaire européenne. La nouvelle a fait le tour  du monde, de l'Arabie Saoudite à la Chine.

Le Crédit Agricole a toujours mené une guerre féroce contre tous ceux qui le soupçonnaient d’être en difficulté. Mais cette fois, les informateurs sont un peu trop puissants pour être intimidés, même si la banque continue à agiter le spectre de la poursuite judiciaire à tout crin.

"Le plus dramatique est la situation de la banque française Crédit Agricole, où le sous-financement s'élève 31,5 milliards d'euros. Mais à la deuxième place suit déjà la banque allemande avec un déficit de fonds propres de 19,0 milliards d'euros. En troisième place vient la Commerzbank avec 7,7 milliards de capitalisation."


Dictature banquière


C’est bien la manie des banquiers de croire que, parce qu’ils ont l’argent, ils ont le pouvoir de communiquer ou d’interdire la liberté d’expression.

Les banques françaises sont à la peine, tout particulièrement le Crédit Agricole et la Société Générale. Il leur manque, à tous deux, des fonds propres. Le problème est qu’on voit mal comment sortir de l’impasse...

De façon assez curieuse, plus personne dans la classe politique française ne semble ni s’en soucier, ni y comprendre un traître mot. Alors que, partout, on parle du retour des risques systémiques, les élus français s’occupent comme d’habitude des micro-problèmes qu’ils imaginent maîtriser, comme les lois sur la famille, et demeurent désespérément muets sur les questions économiques qui déterminent l’avenir du pays.

Étude de l'OCDE: les banques européennes sous-capitalisées 84 milliards euros 

Le Crédit Agricole réagit aux attaques mais refuse de polémiquer avec Marine Le Pen 

Duel Moscovici / Le Pen : Quand la faillite des banques est publiquement exposée | Olivier Demeulenaere – Regards sur l'économie

Encore Une Rumeur : Jeu de changement de sexe à la maternelle

Jeu des trois rôles : Un Garçon peut être une fille et une fille un garçon!


Au canada pas besoin d'avoir l'âge de raison ou être en puberté pour changer de sexe, c'est encouragé!



Le monde est plein d'adultes, ou qui croient l'être, et qui en sont venus à penser que nous pouvons déjouer et réparer toutes les erreurs de la nature sans conséquences fâcheuse aucune. Il s'agit là d'une initiative qui sera trop lourde de conséquences plus tard pour qu'on ne se demande pas quel en sera l'impact réel sur la vie et le mieux de nos jeunes. 

Il y a des gens qui sont mal dans leur peau et qui ont peut-être des chances de le rester toute leur vie durant, qu'importe si un changement illusoire de sexe se réalise, on fait quoi dans ces cas là même si certains pensent que la science, c'est comme de la sorcellerie. 

C'est quoi la normalité en matière d'attirance sexuelle? 

Et puis après, ça serait désormais une tare d'être un hétéro? Certains trans genre croient qu'ils ont des leçons à donner à tout le monde ce sujet, excuse-moi, c'est faux. Vivez votre vie d'adulte en adultes responsable mais laissez la jeunesse aux jeunes et à des gens qui sont suffisamment prudents pour ne pas intervenir agressivement à toutes les fois qu'en enfant a des problèmes.

Matignon : Le Cabinet De Ayrault Menace Au Téléphone À 23h Un Citoyen Déplaisant

MENACES DE L'EXECUTIF !


LE CABINET DE JEAN MARC AYRAULT PIÉGÉ AU TELEPHONE, EN FLAGRANT DELIT DE MENACES ENVERS UN CITOYEN QUI DEPLAIT ECOUTEZ BIEN CECI. C'EST PROPREMENT STUPEFIANT !
23 h 15... LE CABINET DU PREMIER MINISTRE APPELLE GUILLAUME DE THOMAS, DU MOUVEMENT LES TONDUS



Ça ne dure que 3 minutes, ce sera sans doute censuré dans les prochaines heures. 
C'est une illustration supplémentaire de la fascisation tranquille du régime de Hollande qui, sous ses allures de goujat débonnaire, cache plus sérieusement des instincts de dictateur. Faites attention, ça n'arrive pas qu'aux autres ! 
Cet homme et ce régime deviennent dangereux ! 

Dîner De "Néo-cons" : Barack Obama A Humilié et Dominé François Hollande

Hollande va ré-enchanter le rêve vichyste, il a fait son "chemin de Montoire"

François Hollande : Un "Young Leader" Made In USA


Barack Obama a profité de cette drôle de visite d’État pour humilier et dominer son invité à plusieurs reprises :



L'Europe est une femme!


En comparant publiquement le Royaume-Uni et la France à ses deux propres filles, entre lesquelles il refuserait de dire qui est la préférée, le président des États-Unis a confirmé, avec un paternalisme
odieux, qu’il s’estime être le « père » de l’Europe.

 Le fait d'employer le mot "fille" n'est pas très agréable pour la France, ni pour le Royaume-Uni car ce qui est mis en avant, c'est le rapport d'infériorité de ces deux pays vis-à-vis de leur "père" ou "mère" américain(e).



En Iran : America's first!


En menaçant les entreprises françaises commerçant avec l’Iran, il a exhibé son mépris des règles de l’OMC et s’est ingéré grossièrement dans les affaires bilatérales franco-iraniennes.
 Un diplomate américain, Peter Harrel, avait convié une partie de la délégation à l'ambassade, à Paris pour leur rappeler les sanctions en vigueur. Le Medef avait d'ailleurs entouré le voyage d'une certaine discrétion et les représentants de Renault, PSA, GDF Suez, Total, Alstom, l'Oréal ou encore Lafarge avaient pris soin de souligner que le voyage était «exploratoire», et qu'aucun contrat ne serait signé.

Les commentateurs français, qui savent marier les délices de la dépendance nationale avec les devoirs de la souveraineté partagée, apprécieront sans aucun doute que la France, la “Grande Nation”, ait été la première à laquelle un si chaleureux président US ait dit son fait d’une façon si naturelle et si réaliste qu’on finirait par croire que l’arrogance est une vertu. Là-dessus, Obama a renchéri en précisant que la sollicitude internationale de la “seule superpuissance” s’étendait également à la surveillance des grandes sociétés non-US, et particulièrement françaises, pour ce qui est de l’étique de leur comportement dans les relations avec l’Iran. La réponse du président-poire fut héroïque. (AFP via Spacewar, du 11 février 2014


Marché transatlantique


- En exigeant de François Hollande qu’il manifeste son soutien au «grand marché transatlantique », il a voulu le faire consentir publiquement à la destruction des intérêts vitaux de la France. Ce traité qui fait peser de lourdes craintes sur la sécurité sanitaire et sur l’environnement  inquiète, paraît-il, la gauche du PS.

Le squatteur de l’Elysée a montré ce qu’il était vraiment: le caniche atlantiste des USA mondialistes et leur porte parole européiste, en matière « économique » notamment.

Qu’on en juge…

A l’issue de ces contacts, le locataire temporaire de l’Elysée s’est engagé à accélérer les négociations entre l’Europe de Bruxelles et les USA à propos du « grand marché transatlantique » ou, si vous préférez, du TAFTA ( Transatlantic Free Trad Area)…


Le diner de "néo-cons"


- En multipliant les allusions à la vie privée agitée de François Hollande, il s’est ouvertement payé la tête de son « allié ». À aucun moment, François Hollande n’a su réagir en homme d’État. Il n’a su répondre à ces perfidies de Barack Obama que par du cabotinage, des sourires niais, de piteux faux-fuyants – comme sur l’Iran –, ou le silence.


La NSA? Rien à signaler!


Une interrogation persistait : les deux chefs d'Etat aborderaient-ils les écoutes de la NSA qui avaient suscité des crispations outre-Atlantique après les révélations d'Edward Snowden ? Barack Obama et François Hollande se sont finalement exprimés à ce sujet.

« Nous avons établi une clarification (...) et travaillé à une collaboration » a affirmé M. Hollande. « Nous voulons respecter la vie privée des citoyens du monde », a pour sa part déclaré M. Obama. « La confiance mutuelle a été restaurée », a conclu François Hollande.



En se rendant dans de telles conditions aux États-Unis, François Hollande a donc confirmé, aux yeux du monde entier, qu’il n’a pas l’étoffe d’un président de la République française mais les réflexes
d’un subordonné. Cette servitude volontaire du locataire de l’Élysée est désormais insupportable à la grande majorité des Français.

L'éditorial : "La braderie américaine de M. Hollande" 

La France est la vassale des États-Unis, voilà la seule chose à retenir de la visite de François Hollande outre-Atlantique