mardi 4 février 2014

Vers l'Inversion De La Courbe Des Bourses Pleines?


Après 2008 et 2011, Crack40 Saison 3 en HD sur merdiaTV



Les bourses mondiales entrent-elles dans une nouvelle tourmente ? 


Wall-Street a chuté de -2% le 3 février et Tokyo perd -3% à l’ouverture le 4 février.

wall-streetPhoto : saisie d’écran du site Internet de l’Agence Bloomberg le 4 février 2014 à 01h30 heure de Paris. Toutes les bourses asiatiques sont dans le rouge.

Wall Street a été victime, le 3 février 2014, de l’accumulation de signaux préoccupants pour l’économie mondiale et a poursuivi sa dégringolade du mois de janvier. L’indice Dow Jones a décroché de -2,08%, après avoir enregistré en janvier 2014 son pire mois depuis mai 2012, et son pire début d’année depuis 2009.


L’accélération de la chute des indices a été déclenchée :


a)- par le net ralentissement de l’expansion de l’activité des industries manufacturières en janvier aux États-Unis,

b)- par la chute de la production manufacturière en Chine, deuxième économie mondiale, qui a rétrogradé à son plus bas niveau depuis six mois.

c)- par la chute de la Bourse de Tokyo, qui a perdu près de -2% le 3 février, en perdant ainsi plus de 10% depuis fin décembre.

Or, la Bourse de Tokyo vient de rouvrir ce 4 février (01h00 heure de Paris) en affichant une nouvelle perte de -3% par rapport à la veille. L’indice TOPIX perd -3,36% et l’indice Nikkei 225 perd -2,82% à l’ouverture.





Ces signaux sont à suivre de très près car ils sont peut-être avant-coureurs d’une nouvelle crise financière mondiale, due au ralentissement très sensible dans les économies émergentes.

Lequel ralentissement est lui-même dû, au moins pour partie, aux politiques récessives imposées par la Commission européenne et la BCE à tous les pays d’Europe pour tenter de « sauver l’euro ».

D’après mes informations, ces évolutions sont suivies avec inquiétude par les milieux dirigeants français, où l’on observe que la balance des paiements courants de la zone euro est devenue assez nettement positive depuis plusieurs mois, en particulier du fait d’un effondrement des importations des pays du sud de l’Europe saignés à blanc.

Or, cette balance des paiements excédentaire de la zone euro pourrait conduire à une accélération des pressions à la hausse de l’euro sur les marchés des changes. Ce qui aurait pour effet de torpiller encore davantage la compétitivité des industries du sud de l’Europe, et notamment de la France, poussant ainsi le chômage vers de nouveaux sommets et plaçant la zone euro de nouveau dans une situation explosive.

Affaire à suivre, assurément.

François ASSELINEAU  Les bourses mondiales entrent-elles dans une nouvelle tourmente ?

Le PS A T Il Répudié Le Vote Musulman?



source : BV: La liberté guide nos pas

Au lieu d’inculquer autoritairement, d'en haut, aux enfants leur ABCD version LGBT, Vincent Peillon et Najat Vallaud belkacem  feraient mieux de faire en sorte que tous maîtrisent leur alphabet.

Voilà ce qu’il en coûte, de vouloir rééduquer les masses contre leur gré. Depuis lundi, Vincent Peillon s’ingénie à éteindre le feu qu’il a lui-même allumé : lettre aux directeurs d’école, convocation aux parents récalcitrants, et reprise en boucle que l’enseignement de la théorie du genre à l’école n’est qu’une « instrumentalisation qui vient de l’extrême droite négationniste ». À y regarder de plus près, cette « extrême droite » a un drôle de visage : celui de Farida Belghoul, ancienne de la Marche des Beurs, fondatrice d’une association aidant les jeunes de banlieues en difficulté scolaire. Évidemment, vous n’entendrez pas souvent son nom dans la bouche de l’establishment : exemplaire ou non, le Maghrébin est gommé dès lors qu’il ne correspond plus à la bien-pensance de gauche.

Pour ce qui est du « négationniste », cette arlésienne qui nous ramène aux heures les plus sombres de notre histoire, quelques exemples en vrac : le film Tomboy, primé à Berlin en 2011 par un Award LGBT, dans lequel une fillette de 10 ans se fait passer pour un garçon et partage une aventure amoureuse avec une autre, déjà visionné par des dizaines de milliers d’écoliers sans l’accord de leurs parents ; l’expérimentation de crèches neutres, soutenue par Najat Vallaud-Belkacem ; l’intervention dans nombre d’écoles de militants LGBT ; la promotion par Vincent Peillon de la Ligne Azur, site Internet destiné aux collégiens sur lequel on peut lire : « L’identité de genre, c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti. Par exemple, une femme au corps féminin se sentira femme. Pour d’autres, sexe génital et identité de genre ne correspondront pas. » Bref, je vous le demande : qui est le négationniste ?

Alors évidemment, nos duettistes Najat et Vincent ont un peu maquillé les choses. Exit le terme « genre », place à « l’égalité », une manœuvre utilisée naguère lors du mariage pour tous, afin d’endormir tout à fait les consciences qui somnolaient déjà. Car il faut bien comprendre que la loi Taubira est la mère de toutes ces innovations pédagogiques. Dès lors qu’on stipule une égalité pure et parfaite entre un couple formé d’un homme et d’une femme et un couple formé de deux femmes ou de deux hommes, pourquoi le cacher aux enfants ? Najat Belkacem est logique avec elle-même quand elle affirme qu’« il faut que dès le plus jeune âge, chacun comprenne qu’il existe plusieurs types d’orientation sexuelle ».

Logique, mais totalitaire. Plutôt que d’aider le pouième d’adolescents qui se pose la question de l’homosexualité, la ministre instille le doute chez tous les autres dès le plus jeune âge. Beau progrès ! Franchement, quand on voit les livres recommandés par le SNUipp, principal syndicat d’enseignants du primaire, on se pince pour y croire : Papa porte une robe, La nouvelle robe de Bill… J’en suggère un autre, tenez : Comment foutre le bordel là où tout allait bien ? Plutôt que d’inculquer de force aux enfants leur ABCD, Vincent et Najat feraient mieux de faire en sorte que tous maîtrisent leur alphabet. La vraie égalité, c’est celle qui permet à tous de savoir lire, écrire et compter. Pas de parvenir à la parité chez les maçons et les puéricultrices…

Il est en tout cas piquant de voir notre icône de l’égalitarisme indifférencié ― qui, vu comme elle se pomponne, n’a visiblement pas de problème avec sa féminité, merci pour elle ! ― se faire reprendre de volée par une femme de culture musulmane connaissant les écoles de quartier comme sa poche. Piquant et symptomatique. Ce qui se passe sous les yeux des médias lobotomisés est un tremblement de terre politique : la gauche est en train de perdre le vote musulman qui l’a portée au pouvoir.

Oui, Vincent et Najat ont scellé définitivement l’alliance des religions contre leur idéologie. Un peu lents au démarrage, les musulmans perçoivent toutes les implications de la loi Taubira pour leurs enfants. Après leur participation massive au Jour de colère, ils devraient rejoindre en nombre les bataillons de la Manif pour tous, et prendre toute leur part dans les débats sociétaux. Vincent Peillon « aurait pu avoir l’amabilité de nous consulter », a ainsi déclaré le Conseil français du culte musulman (CFCM) au sujet de l’ABCD de l’égalité. Ce même Vincent Peillon qui affirmait il y a quelques mois qu’« on ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique ». Alors avec les musulmans, pensez !

Le pouvoir a donc réussi à fâcher tout le monde. Y compris ses derniers soutiens : les médias ! Un article de la loi sur l’égalité femmes-hommes prévoit en effet une formation obligatoire à l’égalité des sexes dans la formation des journalistes. La conférence des écoles de journalisme (Sciences Po, CFJ, CUEJ, CELSA…) a dénoncé une « ingérence du pouvoir », et ironisé ainsi : « Il nous manque juste le nombre d’heures et les intervenants. » Ils commencent à comprendre.

La gauche est en train de perdre le vote musulman qui l’a portée au pouvoir ! » 

Rumeur? François Hollande Ne Serait Pas Louis XVI Mais Ceausescu !


Hollande, Président de quelques-uns...


source : Regards sur L'actualité économique et financière sans concession ni langue de bois

"De mémoire de sondeur, de journaliste, d’historien, de tout ce qu’on veut, on avait rarement vu chef d’État aussi vilipendé en France. Avec des lambeaux de popularité se promenant quelque part entre 15 et 20 % (le plancher des aveugles), François Hollande est devenu en quelques mois le Président des quelques-uns. Pas étonnant, puisqu’il sert depuis son élection les intérêts de lobbies microscopiques, auxquels il vend des lois sur commande.

N’ayant rien à offrir pour sortir la France de l’ornière, le Président a ouvert en grand la boîte de Pandore des lois sociétales, et jette tous les jours des morceaux d’IVG, d’euthanasie, de PMA, de déconstruction de la complémentarité des sexes aux coteries qui lui mordent les mollets. LGBT, Act Up, le Planning familial ou même les Femen, qui ont donné leur portrait à la Marianne des timbres-poste, sont devenus les principales sources d’inspiration du pouvoir. Tandis que l’affaire Dieudonné montrait l’influence de la LICRA et du CRIF sur le ministre de l’Intérieur.

Selon une récente enquête autocensurée par le Centre de recherches politiques de Sciences Po, mais déterrée par Valeurs actuelles, 50 % des Français souhaitent à leur tête « un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du Parlement ni des élections ». La traduction est limpide : un homme à poigne, qui ne soit pas à la merci des intérêts partisans et communautaristes. L’exact opposé de François Hollande.



Evidemment, tout cela fait une écrasante majorité de mécontents. Divisant pour mieux régner, le régime désigne donc à la vindicte médiatique les ennemis à abattre les uns après les autres : La Manif pour tous ? Tous des homophobes ! Les bonnets rouges ? Tous des factieux ! Les fans de Dieudonné ? Tous des antisémites ! Naguère érigée, par une gauche caviar draguant ses votes, en victime d’une société discriminante, la gauche kebab s’est soudain réveillée bourreau.

Tous ces Français, à leur façon, ont été confrontés au même ennemi : le mensonge d’État. Mensonge de lois niant la filiation humaine, niant la complémentarité des sexes, niant la détresse de la femme avortant, niant la dignité humaine. Mensonge d’un discours niant la réalité du chômage, de la surfiscalité ou de la croissance. Mensonge d’une justice politique niant la liberté d’expression.


hollande-quelle-crise


Et puis, par un Jour de colère, toutes les composantes du peuple ont décidé d’unir leurs forces. Las d’être battus en détails, ceux que la gauche avait toujours montés les uns contre les autres se sont rassemblés spontanément contre ce pouvoir oppresseur, et on a vu des Français de tous horizons se serrer sous le même drapeau, gueuler d’une seule voix la Marseillaise, comme au temps où le pays réunissait dans un même creuset tous ses enfants pour œuvrer à sa libération.

Banlieues et bourgeois, Français de la première et de la onzième heure, ouvriers, artisans, paysans, croyants et athées, républicains et monarchistes, petits patrons à deux pas d’un drapeau de la CGT… Tous se sont retrouvés autour d’un vœu commun : Hollande démission. Il faut remonter à des temps immémoriaux pour trouver trace d’une manifestation demandant expressément le départ du chef de l’État. Au plus fort de Mai 68, la jeunesse bourgeoise et désœuvrée n’aspirait qu’à jouir sans entrave.

Opposants au libéralisme sociétal ou au libéralisme économique, ils ont commencé à prendre conscience qu’ils combattent les deux faces d’un même mal. Que c’est précisément ce libéralisme sociétal, fondé sur l’individualisme, qui offre au marché des proies isolées, des consommateurs égocentrés manipulables à loisir. Et que la mère de toutes les crises est celle des valeurs. Si l’échec économique de François Hollande est patent, l’Histoire retiendra qu’il a incarné l’absence de morale au sommet de l’État.

Nombreux sont ceux qui veulent en finir avec ce président qui a fraudé l’ISF en refusant de déclarer ses revenus avec sa concubine notoire. Avec ce président qui camoufle ses frasques sexuelles derrière le paravent fallacieux de la vie privée, financée à grand renfort d’argent public. Avec ce président qui a jugé bon de préciser, dans un communiqué digne d’un adolescent prépubère, que c’était lui qui avait largué sa copine, et non l’inverse. Avec ce président qui fait tomber des blagounettes de sa bouche incontinente comme autant de marques de mépris pour ceux qui souffrent.

On compare souvent Hollande à Louis XVI réparant ses serrures pendant que le peuple gronde ; écrivant dans son carnet, à la date du 14 juillet 1789 : aujourd’hui, rien ; confondant révolte et révolution. Tout les sépare pourtant : placé sur le trône par naissance, Louis XVI a notamment payé une trop grande compassion pour ses sujets. Hissé par sa vanité à l’Élysée, Hollande n’est au contraire qu’absence d’affect pour le peuple. Il le pourfend et, étonné de le voir se défendre, le traite avec tout l’autoritarisme de ceux qui sont sans autorité. C’est à Ceauşescu qu’il faut le comparer".


Hollande, le Président des quelques-uns | Olivier Demeulenaere – Regards sur l'économie

François Hollande Met La Gauche À La Rue Et La France Dans La Rue


C’est une révolte, sire ?


Non, c'est une contre-révolution …

À force de démoraliser sa base et de s'aliéner ses opposants, le pouvoir vacille et la rue se charge d'un flot tumultueux de mécontentements polymorphes. Tout est désormais prétexte à tirer sur un gouvernement qui cristallise toute l'impuissance à modifier le réel. Faute de pouvoir agir sur une économie en capilotade, notre pauvre président agite des réformettes sociales qui non seulement, sont fort mal amenées mais qui ont, de plus, le don d'ulcérer la frange la plus réactionnaire du pays.


Voilà ce qu'il en coûte de proclamer pour maintenant un changement qu'on renvoie indéfiniment aux calendes grecques. Se faire élire par des voix de gauche pour se proclamer ensuite social-démocrate et appliquer une politique de droite sans conviction, c'est se mettre à dos toutes les composantes de la population. Ce n'était d'ailleurs pas suffisant et l'homme a réussi le tour de force de réveiller la vieille calotte tout en ouvrant les portes aux forces du mal.


Le capitaine du pédalo à trois roues symbolise toute l'impuissance d'un pouvoir qui a cessé de nous amuser. Les pirouettes du cirque ne peuvent sauver la faillite colossale de cette présidence qui ne devait son existence qu'au seul rejet d'un prédécesseur odieux qui va bientôt finir par espérer être rappelé comme un sauveur incontournable. C'est le premier miracle de ce triste sire que d'avoir ressuscité le véritable chanoine de Latran.


Le second miracle est d'avoir définitivement démontré l'inanité du pouvoir et l'iniquité structurelle de cette société. C'est maintenant clair pour tous les citoyens : il n'y a plus rien à faire pour échapper à la décadence et à la récession. La France va faire une entrée fracassante dans les nations en faillite ; merci le Parti socialiste et l'UMP. ! Tandis que les citoyens sont assommés d'impôts et de taxes, chacun sait que les grandes entreprises échappent à la fiscalité et que les paradis fiscaux ne se sont jamais portés aussi bien.


Pour souffler sur les braises, la gauche bourgeoise a sorti de son chapeau des réformes qui n'avaient d'autre objet que de déplacer le problème. Puisqu'il était impuissant à changer l'économie, ce brave gouvernement voulut transformer la surface des choses à l'aide de quelques réformettes d'opérette sans réelles conséquences.


Et c'est là que les déçus du camp d'en face se sont soulevés, ulcérés qu'ils étaient de constater que non seulement le pays continuait d'aller dans le mur où nous avaient guidés leurs favoris, mais que de surcroît, le nouveau pouvoir remettait en cause les valeurs ancestrales qui avaient structuré cette société patriarcale.


Ils ont porté le bonnet rouge, la calotte et la croix, le drapeau et la famille pour déplacer un désespoir qui n'est pas que de leur seul fait. La rue n'en peut plus, tout est prétexte à mouvements irrationnels, à rumeurs folles, à phantasmes délirants. Ce n'est plus la raison qui agite ces foules revanchardes et sincères, c'est la passion la plus exacerbée, la colère la plus exaspérée.


Ces manifestants sont issus de toutes les chapelles et de tous clans. Ils défendent la famille, Dieudonné, leur emploi, leurs entreprises, leurs valeurs, sans logique ni mouvement fédérateur car ils sont divers et sans doute impossibles à fédérer. Ils ont pourtant bien des points communs : le rejet d'une République qui n'est plus qu'une enveloppe vide, la colère face à un système qui ne donne pas la primauté au travail et à l'individu, le besoin de retrouver un vivre ensemble dans ce pays.


Alors, oui, ce n'est pas une simple révolte, c'est une contre-révolution parce qu'elle conduira inévitablement cette nation dans les bras de la frange la plus extrémiste de ces soubresauts irréfrénables, faute de trouver en dehors des partis, condamnés définitivement par leurs échecs passés, un nouveau dessein national.


La raison voudrait qu'il y ait immédiatement la dissolution de l'UMP et du PS, la convocation de nouveaux états généraux, issus vraiment du pays réel, pour échapper à la tentation de plus en plus légitime hélas, et parfaitement inévitable désormais de l'aventure « FN ». Comment obtenir un tel sacrifice de la part de ceux qui ne sont en place que pour leur seul confort, leurs petits intérêts mesquins ? Nos élites préfèrent risquer le pire plutôt que de cesser d'en croquer. Nous allons payer douloureusement cet incroyable aveuglement d'une classe aux abois dans un pays qu'on étrangle.

Révolutionnairement vôtre.

source : C’est une révolte, sire ? 

Conséquence Répudiation Trierweiler : Une Pension, Un Muffle Et...Julien Dray



La Pension Compensatrice Disgrace


Les termes de la rupture de François Hollande et Valérie Trierweiler auraient été conclus peu de temps avant l'annonce officielle du chef de l'Etat à l'AFP.

François Hollande, à l'initiative du licenciement de Valérie Trierweiler, devra financièrement répondre au "préjudice moral". En échange de ces gestes pécuniers, Valérie Trierweiler s’est engagé à ne rien révéler de sa vie commune avec le président de la République ni des petits secrets dont elle a forcément eu connaissance. 
Les conséquences du "gayetgate" sur son image publique ont été considérables. La presse, en France comme à l'étranger, a parlé d'"humiliation" et d'"affront public". Elle était en droit d'intenter un procès qu'elle aurait gagné haut la main... 

 Mais attention, l’ancienne journaliste, trompée, quittée, reste une grenade dégoupillée. Tous ceux qui l’ont approchée la disent «impulsive», elle a le tweet facile (ce n’est pas Ségolène Royal qui dira le contraire), et les bureaux de l’Elysée ont souvent été le théâtre de ses colères. 

 François Hollande aurait confié à des conseillers que « les femmes lui ont coûté cher» 
"Pépère" va donc devoir mettre la main à la (notre?) poche pour acheter son silence (elle en sait tellement!).




Un Muffle Ultra Macho


François Hollande s'est comporté comme un "mufle" à l'encontre de Valérie Trierweiler en annonçant unilatéralement leur rupture dans un communiqué glacial à l'AFP. En coulisses, le chef de l'Etat est, en plus, l'auteur de moqueries envers son ex-compagne. 

C'est le Canard Enchainé qui a révélé cette pépite dans sa dernière livraison. François Hollande s'est bien moqué du tweet publié le 25 janvier par Valérie Trierweiler, remerciant le personnel de l'Elysée. "Je n'oublierai jamais son dévouement ni l'émotion au moment du départ", écrivait l'ancienne Première dame...

François Hollande a alors lâché à des proches une petite phrase dont il a le secret. 

"S'il y a des gens qui souhaitent quitter l'Elysée, pris par l'émotion, ils doivent me le dire dans les prochains jours", aurait-il plaisanté avec une pointe d'ironie (cruelle?) selon le Canard enchainé, qui ajoute que le président de la République n'éprouverait plus aucune " tendresse particulière" pour "valoche". Et ce depuis 2011!

Une telle muflerie, ça sent le Président tellement heureux...
La présence de "sa Julie" ne doit pas compenser sa vexation de se savoir impuissant face à la situation économique dantesque...tout le monde s'en rend compte, non seulement le peuple français mais aussi le monde entier. 
Frustré le prétentieux imbu de lui-même s'effondre dans l'opinion semaine après semaine....il fallait bien que quelqu'un(e) paye pour ça!



Dray Sort Du purgatoire


 "Oui Valérie Trierweiler m'avait mis dehors"..."Je préfère qu'on commence mal pour finir bien, plutôt que l'inverse", a-t-il ensuite ajouté.

Valérie Trierweiler éjectée du premier cercle, Julien Dray se prépare à faire son retour dans l'entourage de François Hollande.

.Julien Dray et Valérie Trierweiler étaient devenus ennemis car la concubine de François Hollande lui avait en effet interdit en mai 2012 l’entrée du QG de François Hollande, pour une affaire de restaurant cochon liée à Dominique Strauss Kahn en pleine campagne électorale. 


Humiliée par la hollandie elle devient populaire!


La cote de popularité de Valérie Trierweiler a été considérablement boostée depuis la révélation par le magazine Closer de la liaison entre François Hollande et Julie Gayet. Aujourd'hui, l'ex première dame est une femme célibataire mais elle peut se vanter d'avoir des mots qui portent sur Twitter. 

En effet, en quelques semaines, "la disgraciée" a gagné des centaines de followers...qui se feront un plaisir de propulser ses tweet en forme de tacles révélateurs...à suivre!


S'ils étaient mariés, il n'aurait pas pu la répudier comme ça

François ne s'en est pas rendu compte, a t il jamais d'ailleurs anticipé quoi que ce soit, mais il vient de prouver à la France entière que le mariage traditionnel protège la femme et sa dignité.

Depuis que le monde est monde, les souverains et les hommes de pouvoir ont toujours eu des favorites. Ils les fréquentaient néanmoins avec discrétion, dans l'ombre, sans rompre l'équilibre conjugal. Personne ne se serait conduit de manière aussi puérile que le président français. Le verbe devient saumâtre quand il s'agit d'évoquer le triste sort de Valérie Trierweiler. S'ils étaient mariés, il n'aurait pas pu la liquider ainsi.

La France et son président, ce sont les autres pays qui en parlent le mieux, jamais homme ni fonction n'ont été autant maltraités et salis, moqués et ridiculisés.
Et ce n'est pas fini...