lundi 27 janvier 2014

Gayetgate : Trierweiler Devient Une Grenade Dégoupillée Pour Hollande

Son Communiqué à l' AFP est une erreur magistrale qui à fait passer sa vie privée dans le domaine public

Valérie Trierweiler, bombe à retardement pour Hollande ? 
Y a t-il eu ou y aura t-il une indemnisation ?
 C’est fort possible… sur les finances de la France et de ses "pauvres con-tribuables", bien sûr...





Il était une fois un Prince en son château 
Arrivé par hasard, peut-être un peu trop tôt. Cet homme aimait les femmes et les aimait beaucoup,
 Lesquelles, nombreuses, appréciaient ses bisous. 


Cet homme les aima, d’abord successivement 
Mais il voulu ensuite aimer en même temps. 
On vit ainsi le Prince délaisser au château Sa première concubine, ce qui n’est pas très beau. 

En grand amateur, comme le Prince en veut plus 
C’est donc une maîtresse qu’il met dans son Airbus. 
Enfin presque, puisqu’en fait, ce très grand séducteur 
Visite sa maîtresse… au guidon d’un scooter. 

La journée terminée, le voilà chaque soir 
Partant sur son deux roues, rejoindre son perchoir
Où l’attend sa danseuse, son aimée comédienne 
Qui lui joue tous les soirs « La belle corrézienne ». 

La concubine l’apprit, et lui en fit reproche 
Mais il n’en avait cure : c’était fini Valoche ! 
Malheureusement pour lui, rien n’est jamais secret 
Et le bruit s’échappa en dehors du Palais. 

Il y eut des marauds, sérieusement informés 
Qui allèrent jusqu’à suivre le Prince enflammé. 
Le peuple comme toujours, à la fin, sut l’affaire. 
Difficile à ce stade de faire machine arrière… 

Fallait-il essayer de garder le secret ?
Mais pour un Prince, c’est sûr, même s’il est discret. 
Pas de secret qui tienne : tout se sait, tout se voit,
 Surtout quand Prince et gardes se déplacent en convoi. 

Cette maîtresse-là, publiquement dévoilée, fit de la concubine, une femme délaissée. 
Laquelle ne pouvait, même la mort dans l’âme, que reconnaître la chose : son prince est polygame !

Que faut-il retenir de cette fable « normale » ? 
Qu’un Prince même élu est avant tout un mâle, Volant de femme en femme, sans jamais épouser, 
Car le mariage, pour lui, n’est jamais imposé. 

Faut-il donc pardonner au Prince noctambule ou plutôt l’inviter à repartir à Tulle ? 
La question, en effet, pourrait être posée 
Pour que règne le calme Faubourg Saint Honoré. 

Valérie, Ségolène, Anne et maintenant Julie : 
Vous êtes pour le Prince le plus grand stimuli. 
Mais gourmand de femmes, de gâteaux ou volailles 
Il n’en est pas moins Prince : on l’attend au travail… 

Julie Gayet Mon Amour: La Tentation de François Hollande en photo Sexy




Les anglo-saxons ont peut-être raison de ne pas dissocier vie privée et vie publique de leurs dirigeants... 
Parce que l'on constate amèrement que François Hollande se comporte tel que nous le connaissions déjà dans sa vie officielle : Velléitaire, fuyant, menteur et dissimulateur. 

Et le voilà qui se révèle d'une parfaite goujaterie en répudiant brutalement sa concubine qu'il avait préalablement trompée et humiliée devant la France entière. Quoiqu'on fasse semblant d'en dire (respect de la vie privée, etc...) cet épisode pitoyable restera à charge quand les électeurs se décideront à donner son congé à ce personnage...




Une actrice pratiquement inconnue du grand public a joué son premier grand rôle !.
 Espérons que celà s'arrétera là, car certains parle déjà de nouvelle 1ère dame (sic!)

Il serait vraiment insupportable que l'Elysée voit se succéder les différentes favorites de François "prostator" Hollande...



Pour le moment Julie Gayet est la première, mais elle devrait se préparer au changement, car François le normal ne solde jamais ses aventures par une union, même avec 4 enfants en 25 ans d'union. François le libertin entend  pouvoir cavaler comme il l'entend...



Ni miel , ni fiel .
Le génie des sables mouvants , tout simplement .
Le hollandisme en majesté .
L'engloutissement .
Tu bouges pas : tu t'enfonces quand même .
Tu bouges un peu : tu t'enfonces encore davantage.

Hollande Et Le Pacte De Responsabilité : C'Était ça Ou La Dégradation Par Moody's

cliquez sur l'image pour agrandir

C'est qui le clown?

François m'bala m'bala...


Quand le "renommé" M’bala M’bala (n'est-ce pas?) quitte l’humour pour la politique, Hollande s’applique à faire l’inverse : la France est devenu un cabaret qui fait rigoler la terre entière, sauf nous, hélas. Jugez-en: Il est très fort cet expert du déballage emphatique d’expressions incompréhensibles, professionnel de la juxtaposition pompeuse et absconse, champion du galimatias amphigourique, grand maitre du charabia inintelligible, qui dicte sa loi à l’Académie française avec une éblouissante suffisance, doctement, il nous abreuve ad libitum d’une piquette de son cru logorrhéique. 

Des expressions obscures et clownesques dont lui seul a le secret et qui jalonnent des discours pitoyablement efficaces pour faire tomber encore plus bas la France bien déglinguée: CHOC DE SIMPLIFICATION, CHOC DE MORALISATION, (Nous n’avons rien vu parce que c’’est creux mais ça en jette quand même !) CHOC DE COMPETITIVITE, CHOC BUDGETAIRE, CHOC FISCAL (Si on remplace CHOC par PACTE ou PAQUET, ça ne veut toujours rien dire non plus mais c’est aussi joli) PACTE DE COMPETITIVITE, PACTE BUDGETAIRE, PACTE FISCAL, PAQUET ENERGETIQUE. Et pourquoi éteindre l’enfumoir puisque les abeilles bruissent :voilà le PACTE REPUBLICAIN. 

Il sait faire du vertigineux, repris sérieusement par des medias qui s’échinent à décoder des trucs dignes du Sapeur Camembert et de la famille Bidochon, ou il n’y a rien à comprendre ! PACTE POUR L’EGALITE, PACTE POUR LA CROISSANCE, PACTE PRODUCTIF, PACTE REDISTRIBUTIF, PACTE EDUCATIF, PACTE SOCIAL, PACTE GENERATIONNEL, PACTE D’AVENIR, PACTE DE STABILITE, PACTE DE CROISSANCE, PACTE DE CONFIANCE, PACTE DE RESPONSABILITE. 


Comme Zavatta sortant à l’infini des instruments de musique de ses poches en psalmodiant « j’en ai un autre », Hollande est intarissable. Et la liste n’est pas exhaustive : CONSEIL STRATEGIQUE DE LA DEPENSE PUBLIQUE, CONSEIL DE L’ATTRACTIVITE, REDRESSEMENT PRODUCTIF, EMPLOI D’AVENIR, PAUSE FISCALE, BOITE A OUTILS, CONTRAT DE GENERATION, OBSERVATOIRE DES CONTREPARTIES … Mais désormais on est fatigué : l’effet de surprise anesthésiant du début a disparu. Pathétique, puis risible, puis hilarant, aujourd’hui, il nous saoule. 

Bientot le PACTE A QUATRE: moi-président, ségolène, valèrie et julie et anne…( ça fait 5) qui sont toutes mes œuvres de bienfaisance! 

En matières de grimaces De Funès aurait encore à apprendre.

Manuel Valls : Repression Sélective Du Caudillo de Fête Foraine

Répression sélective !!

VIEILLE GARDE


Manuel Valls qui s'offusque en dénonçant la brutalité des manifestants d'hier contre SA police, alors qu'il serait oportun de l'envoyer dans les ZSP (Zones de sécurité prioritaire) qu'il vient de créer, gagnerait à se remémorer la bavure passée sous silence qui concerne la brutalité de SA police, cette fois contre "les soldats du feu" qui eux de déméritent pas de la nation.

Voici donc un "fait divers" passé pour pertes et profits par "les merdias télévisés et les journaleux de papier" et relaté dans un article publié dans "Boulevard Voltaire.fr" que je vous livre pour vous habituer à subir la répression policière "sélective" de la nouvelle mouture gouvernementale.

Quelque chose me dit que ce pauvre Quentin n'est que le premier d'une longue liste de bavures...


Dans la France des années Valls, il est une catégorie de la population à part : les sapeurs-pompiers. Les êtres les plus serviables qui soient, risquant souvent leur vie pour sauver celles des autres, souvent bénévolement. Néanmoins, ces bons Français sont de plus en plus souvent accueillis à coups de pierres dans les zones dites sensibles, et maintenant, c’est l’État qui s’y met de la plus ignoble des façons. En voici un triste exemple.
En décembre dernier, les pompiers manifestent à Grenoble pour protester contre une réunion qui devait augmenter leur temps de travail sans compensation salariale. Avec eux, pas grand risque pour les braves gens, rien à voir avec ces barbares qui défoncent tout sur leur passage mais qu’on doit surtout ne pas stigmatiser. Devant la préfecture, quelques manifestants tentent d’enlever les barrières métalliques censées bloquer le passage. C’est alors que, face à eux, les forces de l’ordre, en l’occurrence des CRS, réagissent avec vigueur, balançant des gaz lacrymo. Les pompiers répliquent à coup de lance à incendie puis, cette fois, les flics arrosent au Flash-Ball les dangereux délinquants ! D’ordinaire – des officiers me l’ont maintes fois raconté en off –, les CRS ont ordre de « ne pas intervenir » face aux émeutiers de banlieue. Ont ordre ferme de « ne pas provoquer, ne pas pénétrer dans certains quartiers ». Mais là, visiblement, face à des pompiers, on peut se faire plaisir. Qui va les défendre ? Aucun lobby, aucun média. Alors le fils Bedos ne versera pas une larme, Libé n’appellera pas à la résistance. Rien à foutre.
Il n’y a qu’un malheur, et un gros : c’est que ce jour-là, un des pompiers, Quentin Charron, touché par un tir de Flash-Ball, a perdu un œil. Dégueulasse punition quand on sait que les pires voyous peuvent se la couler douce grâce à Taubira.


Dans Le Dauphiné libéré, la mère du jeune homme pousse un cri de révolte contre cette injustice : « Monsieur le Ministre, pourquoi envoyer, ce 27 décembre, 90 CRS avec un arsenal de guerre contre 150 pompiers ? Si la porte de la préfecture s’était ouverte, il n’y aurait pas eu toute cette répression, cet acharnement de violence, presque un état de guerre. » Elle ajoute : « Pour une mère, c’est très difficile à vivre, ce qui est arrivé à Quentin […] Aucun élu n’a condamné ces faits […] Je n’ai jamais supporté l’injustice, je me suis toujours battue pour les autres, et je ne pensais pas vivre ça sous un gouvernement de gauche… »
Madame, voyez-vous, le ministre Valls – ce caudillo de fête foraine – est dans le rôle que lui a confié son gouvernement : tant pis si les chiffres de la délinquance explosent, tant pis si les cambriolages sont en augmentation exponentielle. C’est sur le peuple français qu’il faut taper, très fort. Ce peuple encore récalcitrant qui, bien souvent, ne vote pas bien. Quelque chose me dit que ce pauvre Quentin n’est que le premier d’une longue liste de bavures…
Répression sélective !!

Pourquoi le Front de gauche perd son bras de fer face au Front National ?



Il est des livres qui ont le mérite de tomber juste, de se situer au point exact où les choses se jouent. Comme un centre de gravité, où le moindre mouvement d’un côté ou de l’autre permet de faire basculer le précaire équilibre. Le dernier livre d’Aurélien Bernier, « La gauche radicale et ses tabous », est de ceux-là. Il s’efforce de répondre à la question majeure de la présidentielle de 2012 : pourquoi le Front de gauche a-t-il perdu son bras de fer face au Front National ?
Certes le constat peut apparaître sévère au regard des efforts produits par Jean-Luc Mélenchon et ses partisans. Le simple fait d’être parvenu à unir les forces de la gauche radicale est déjà un exploit, qui n’avait pas pu être réalisé en 2007. Et pourtant, la formidable campagne menée par le leader du Front de Gauche avait laissé un goût d’inachevé, sans doute proportionnel au formidable espoir créé par une campagne magnifique. L’effervescence provoquée par les discours de Marseille, de Toulouse ou de la Bastille semblait rendre possible le formidable défi de devancer le Front National.

On connaît la suite. Marine Le Pen a recueilli 17,90 % des suffrages contre 11,10 % pour Jean-Luc Mélenchon. Les intellectuels de la gauche radicale ont eu beau noter que le premier parti des classes populaires était l’abstention, personne ne pouvait masquer la domination du Front National sur cet électorat grâce auquel la gauche (la vraie) a historiquement basé ses plus grands succès.


Le constat est terrible pour les classes moyennes qui ont été séduites par les envolées lyriques de Jean-Luc Mélenchon et ses références à Jules Vallès, Robespierre ou Jean Jaurès. La réalité est que la majorité des classes populaires ne considère pas le Front de Gauche comme le parti le plus susceptible de représenter ses intérêts. Elle lui préfère désormais le Front National.
« La réalité est que la majorité des classes populaires ne considère pas le Front de Gauche comme le parti le plus susceptible de représenter ses intérêts. Elle lui préfère désormais le Front National. »
Afin de comprendre comment les classes populaires en sont arrivées là, Aurélien Bernier établit un historique des discours du Front National et de la gauche radicale. Ce rappel est très instructif puisqu’il montre l’évolution de la pensée de la gauche radicale qui, de peur de dire les mêmes choses que le Front National, abandonne des concepts tels que la souveraineté nationale ou le protectionnisme. L’auteur cite notamment un livre écrit par Alain Lipietz en 1984, « L’audace ou l’enlisement », dont les idées sont très proches de celles défendues actuellement par un économiste comme Jacques Sapir.

Aurélien Bernier montre donc que la gauche radicale abandonne ces idées de protectionnisme ou de souveraineté nationale au Front National de peur de lui être assimilé. Les classes populaires ne lui pardonneront jamais vraiment cet abandon au moment même où la mondialisation redouble de violence. Ce divorce sera d’autant plus violent que dans le même temps, le Front National socialise son discours. Aux propositions néolibérales d’inspiration reaganienne des années 80, le Front National commence au cours des années 90 à proposer un discours de défense des classes populaires.



Lors de la campagne en faveur du traité de Maastricht, Jean-Marie Le Pen se met à pourfendre le régime anti-démocratique de Bruxelles ainsi que l’influence des banques qui visent à soustraire la souveraineté des peuples. Il se pose en défenseur de la Nation, qui est le seul étage où l’intérêt des peuples est susceptible d’être défendu. La suite n’est qu’une longue décrépitude. En 1997 afin de rejoindre la gauche plurielle, le PCF accepte l’idée de changer l’Europe de l’intérieur au lieu de condamner l’idée même d’une UE ralliée aux idées néolibérales.

Javier Bardem dans Biutiful
Javier Bardem dans Biutiful
L’influence des idées trotskistes est également mise en avant pour favoriser l’idée d’altermondialisme qui ne lie le changement de système qu’à un accord des peuples au niveau mondial. Inutile de préciser qu’un tel accord rend le changement beaucoup plus incertain surtout à court terme. En face l’anti-mondialisme du Front National apparait nettement plus efficace.

Afin d’inverser la tendance et de remporter son bras de fer face au Front National, Aurélien Bernier conseille à la gauche radicale de briser les 3 tabous qui sclérosent sa pensée. Il s’agit du protectionnisme, de l’Europe et de la souveraineté nationale. Sans ces outils, mener une politique de gauche s’apparente à une chimère.

En effet comment conserver les emplois en France sans déflation salariale, si les firmes transnationalesmettent en concurrence les salaires, les systèmes de protection sociale et le taux d’imposition des pays du monde entier ? Le protectionnisme apparaît comme la meilleure solution. En face les autres propositions de la gauche radicale ne donnent que peu de garanties, notamment à court terme, car cela supposerait soit une victoire électorale globale des partis de la gauche radicale au sein des différents pays de l’UE (et qu’ils se mettent d’accord) soit une révolution européenne globale renversant les gouvernements en place. Convenons qu’il ne s’agit pas des hypothèses les plus crédibles.
Karine Viard et Gilles Lellouche dans Ma Part du gâteau
« Afin d’inverser la tendance et de remporter son bras de fer face au Front National, Aurélien Bernier conseille à la gauche radicale de briser les 3 tabous qui sclérosent sa pensée. Il s’agit du protectionnisme, de l’Europe et de la souveraineté nationale. Sans ces outils, mener une politique de gauche s’apparente à une chimère. »
Les mêmes questions se posent également sur la possibilité de mener des politiques de gauche au sein de l’Union Européenne actuelle. L’analyse de l’auteur montre l’évolution du PCF qui passe d’une posture d’opposition à l’UE à celle d’un alter-européisme, où le PCF envisage de changer l’UE de l’intérieur. Comme dans l’exemple précédent, cela semble extrêmement hypothétique dans la mesure où cela nécessiterait une majorité de gauche radicale au sein de l’Union Européenne. Heureusement, Aurélien Bernier montre que le Front de Gauche semble évoluer sur ce point notamment lorsque Jean-Luc Mélenchon a affirmé lors de l’épisode de la crise à Chypre : « S’il faut désormais choisir entre la souveraineté du peuple et celle de l’euro, la France doit choisir le peuple ». Le progrès avait été notable mais la question est de savoir si l’actuelle crise qui intervient au sein du Front de Gauche entre le PCF et le PG à l’occasion des municipales n’est pas de nature à remettre en cause cette évolution. Cela serait fort dommageable dans la mesure où les lignes commençaient à bouger avec Europe avec notamment la proposition d’Oskar Lafontaine (Die Linke) de passer d’une monnaie unique (l’euro) à une monnaie commune (Système monétaire européen).
« S’il faut désormais choisir entre la souveraineté du peuple et celle de l’euro, la France doit choisir le peuple » Jean-Luc Mélenchon
Enfin le dernier tabou est également lié aux deux précédents dans la mesure où il est lié à la souveraineté nationale. Aurélien Bernier indique que les trotskistes et les écologistes voyaient plutôt d’un bon œil la mise à bas de l’Etat nation au profit d’une structure supra-nationale. Le problème est qu’ils n’ont pas perçu la perte de souveraineté du peuple que cela engendrait. Une forme de haine de la nation a fait oublier la perte démocratique que cela constituait. Cette opposition se matérialise au travers les deux courants de pensée que sont l’altermondialisme et la démondialisation. Le second semble beaucoup plus en phase avec la possibilité d’une mise en pratique rapide d’une politique de gauche. Aurélien Bernier montre dans son livre qu’un nombre croissant d’altermondialistes se laissent convaincre par la pertinence du concept de démondialisation. Afin de convaincre les plus sceptiques, l’auteur met en évidence la différence entre une démondialisation de droite, qui a pour seul but de valoriser les intérêts de la France dans le monde, et une démondialisation de gauche, qui a pour objectif de refonder l’ordre économique mondial.

Partie de Hurling dans le film Le vent se lève de Ken Loach
L’argument est parfaitement convaincant et la gauche radicale devrait finir par comprendre qu’il s’agit de la meilleure voie à suivre afin de parvenir aux tentatives avortées de refonte de l’économie mondiale qu’avaient été la charte de la Havane de 1948 et la déclaration de Cocoyoc de 1974. Dans tous les cas, Aurélien Bernier ne pourra pas avoir de regret. Son livre vise juste à un moment stratégique.

Theux