lundi 6 janvier 2014

Le scénario du pire qui se réalise à Fukushima Daïchi



Inavouable!


A l'heure qu'il est, toute la côte Est de l'île japonaise de Honshū devrait être évacuée en raison des vents dominants. Cela implique bien entendu de vider, méthodiquement, mais sans tarder, toute l'agglomération de Tokyo. Vaut-il mieux pour les habitants, qu'ils soient contraints de s'expatrier, ou qu'ils soient condamnés à décéder dans les années qui viennent ? A moins que les responsables n'aient conclu que de toute façon, ces millions de personnes sont déjà condamnées ? On peut admettre que ce genre de révélation soit difficile à avouer.

Une chose est certaine : la rétention d'informations est immense. On peut aussi s'interroger : les gens préfèrent peut-être, au moins pour certains, ne pas savoir.

N°3...


Tepco comme les politiques ou les associations ont un point commun, ils ne sont pas très loquaces dès qu’il s’agit de tenir informé de la situation réelle à Fukushima, d’ailleurs, récemment, une loi permettant de garder le secret sur ce point est passée. Pourtant, annonce qui risque de ne pas être reprise dans les médias classiques, le fait que le réacteur N°3 entrerait actuellement en fusion, le scénario du pire qui se réalise donc… Thcernobyl fut une calamité qui dure encore, et ce n’était que de l’uranium, Fukushima est chargée au mox, un mélange d’uranium et de plutonium, et là, c’est autrement plus grâce. De plus, pour rappel, toute l’Amérique du nord va être touchée par les radiations qui vont forcément aller en augmentant, reste à savoir si l’Europe va être touchée, et si oui, quand!


Le site Turner Radio Network (TRN) a publié un rapport concernant la centrale nucléaire de Fukushima Diachi qui devrait affecter tout l’hémisphère Nord.

Selon le rapport: «Les personnes résidant sur la côte ouest de l’Amérique du Nord devraient immédiatement commencer à se préparer pour une autre arrivée possible de rayonnement atmosphérique dangereux issu du site de la catastrophe nucléaire de Fukushima au Japon. »

TEPCO a confirmé que, via une caméra de surveillance, de la vapeur a commencé à sortir du réacteur N°3, même si elles ont « pas été identifiés dans des conditions anormales de la centrale. »

La société n’est pas claire sur les détails de ce changement soudain au réacteur 3 en raison de « niveaux de radiation mortelles dans ce bâtiment. »

Des experts concluent que cela peut « être le début d’une« criticité de la piscine de combustible (une fusion) »impliquant jusqu’à 89 tonnes de combustible nucléaire qui brûle dans l’atmosphère et se dirigeant vers l’Amérique du Nord. »

Vapeur a été vue en provenance du réacteur 3.

Des suppositions éclairées suggèrent que la vapeur est issue « de ce qu’il reste au cinquième étage de l’immeuble principalement détruit. »

TEPCO a admis qu ‘«ils ne savent pas pourquoi cette vapeur est générée, mais avec un ton neutre, il a été  révélé aujourd’hui (28 Décembre) que la vapeur a été repéré le 19 Décembre sur une courte période de temps, puis de nouveau le 24 Décembre et encore le 25 Décembre «

Fukushima: Tepco admet que le réacteur N°3 est peut être actuellement en train d’entrer en fusion (Rectificatif) | Les moutons enragés

Dieudonné Antisémite Ou Valls Dangereux? Cette Jeunesse Qui Refuse La Propagande...

Pas sur que vos merdias relayent ça...


Francois, la sens-tu ?
Qui se glisse dans ton cul
La quenelle, La quenelle !







Dieudonné est le révélateur de la déliquescence de notre société politique et démocratique. Toutes les corporations médiatico-politiques et leurs associations ou leurs sous-marins de la « bien pensance subventionnée » ne peuvent admettre un tel trublion. 

Maintenant que Flamby 1er dit "Le Bon" a redressé la courbe du chômage , on tape dans le dur , la quenelle à la sauce antisémite de sinistre mémoire (qui suinte la haine et glace le sang...).

Un flan nappé de caramel liquide ordonnant une offensive contre une préparation molle à base de farine nageant dans la sauce , c’est vraiment un sujet de premier plan!

Fukushima Devrait Inquièter Les Poissonniers...Et Leurs Clients!



• Du thon en boîte provenant des Philippines et acheté en Suisse a été analysé au laboratoire cantonal de Bâle et du césium 137 et 134 ont été découverts.  La contamination est faible, 0,4 Bq/kg pour le césium 137, mais doit probablement venir de Fukushima car ces poissons sont des grands migrateurs. 

Et comme la contamination des sédiments marins au large de Fukushima ne baisse pas, voire augmente par endroit, la chaîne alimentaire marine va continuer à être contaminée pendant longtemps (voir ces mêmes résultats sur une carte).



• Un chalutiers parti pêcher a pris, outre des débris du tsunami, 2,5 tonnes d'animaux marins. Après avoir trié les seules espèces éligibles, il ne restait que 250 kg. Le reste a été rejeté à la mer. C'est dur pour un pêcheur. Mais, le pêcheur interrogé par l'Asahi, comprend la réaction des consommateurs : il ne donnerait pas lui-même du poisson contaminé à ses petits enfants.
Site des coopératives de pêche de Fukushima.



• Selon un sondage effectué auprès de 521 personnes, 77,5% des Coréens ont réduit leur consommation de poissons et autres produits de la mer par crainte des conséquences des fuites radioactives dans l'océan. Les autorités japonaises n'arrivent toujours pas à convaincre les autorités coréennes à lever l'embargo sur les produits marins.

• TEPCo a mis en ligne des résultats de mesure sur des poissons pêchés à 20 km de la centrale de Fukushima où un spécimen dépasse les 100 Bq/kg en césium total et dans le port devant la centrale où la contamination est beaucoup plus forte, allant jusqu'à 110 000 Bq/kg.


Selon l'Agence de la pêche, seulement 3 spécimens sur 472 prélèvements entre le 1er et 19 septembre, avaient une contamination qui dépassait la limite gouvernementale de mise sur le marché de 100 Bq/kg. Cela fait 0,6%. C'était 2,3% en juillet août 2013.

Sur les 472 échantillons de septembre 2013, 86% avaient une contamination inférieure à 10 Bq/kg.


En dehors de la province de Fukushima, aucun des 407 échantillons ne dépassaient 50 Bq/kg en septembre 2013. 0,4% des échantillons de juillet-août 2013 dépassaient les 100 Bq/kg.
Ces statistiques ne concernent que quelques espèces sélectionnées, dont certaines très contaminées par le passé. 


En revanche, certaines espèces qui vivent dans de l'eau peu profonde (moins de 100 m) sont encore contaminées au-delà de la limite. C'est particulièrement le cas le long de la côte (Nom en anglais des poissons contaminés : marbled flounder, stone flounder, olive flounder, sea bass, Japanese rockfish et Japanese black porg).


Certaines de ces espèces sont toujours interdites de pêche à Miyagi, Ibaraki ou Iwaté. 


Toutes ces données concernent le césium 137 et 134. Le strontium, difficile à mesurer, n'est presque pas contrôlé. Seulement 40 mesures ont été effectuées et l'agence de la pêche estime le niveau moyen en strontium à 12% de celui en césium. Il est, en revanche, beaucoup plus toxique. 


http://www.acro.eu.org/chronoFukushima.html

Polémique Dieudonné Quenelle : Quand Le Ministre De l'Intérieur Apelle À Troubler l'Ordre Public

"Ce qu'il leur faudrait, c'est une bonne guerre civile!"


Le chômage explose, l’insécurité augmente, la diplomatie française se ridiculise, la zone euro s'approche manifestement d’un nouveau passage à la caisse du con-tribuable. 

Il est logique que ce pouvoir honni, désormais durablement dans l’impasse, soit tenté de créer des diversions et des écrans de fumée.Ou comment passer d’un régime de manipulation des masses à un système d’oppression ouverte!



L'affaire de la quenelle pourrait être le prélude à une violence d'État totalitaire


Nous ne sonderons pas les cœurs et les reins. Quand un humoriste utilise la technique de la provocation, il n’est jamais possible de déterminer le fond de sa pensée en fonction de ses propos.

Pierre Desproges était-il antisémite quand il entamait un sketch par ces mots : « On m’a dit que des juifs se sont glissés dans la salle » ? Dieudonné l’est-il quand il lance, avec un sourire malicieux : « Des juifs ou des nazis, je ne sais pas qui a commencé » ? Allez savoir. Mais là n’est de toute façon pas notre propos. En elle-même, la risible « affaire de la quenelle » n’a aucune importance. Tout au plus peut-on la voir comme la mise en évidence d’un ras-le-bol des jeunes générations, ras-le-bol qui menace de dégénérer en une vaste crise de nerfs collective.

Le danger représenté par les « quenellistes » pour nos compatriotes juifs nous paraît tout à fait insignifiant. Pourquoi nous préoccuper de telles questions, à l’heure où la France va épouvantablement mal ? Nous avons autre chose à faire. En revanche, ce qui mérite d’être analysé, c’est le véritable délire qui semble avoir saisi la classe médiatico-politique.

Le comique fait normalement partie du politique, mais comme une fonction annexe et secondaire et cathartique. Aristophane était certes un personnage politique à Athènes, mais il ne déterminait pas l’agenda d’Alcibiade ; c’est lui qui commentait l’action d’Alcibiade, et non l’inverse. Chez nous, au contraire, c’est désormais le « premier flic de France » qui se pose en s’opposant à… un trublion. Plus grave, la dérive en question laisse en tout cas penser que les classes dirigeantes entrent actuellement dans les logiques de la violence d’État.

Quelques constats très simples suffisent à tirer le signal d’alarme : il se pourrait que la grotesque affaire de la quenelle, venant après les arrestations arbitraires des opposants au mariage pour tous, après la détention de Nicolas Bernard-Buss, après la rocambolesque affaire Varg Vikernes, soit, aussi, un ballon d’essai en vue de faire basculer la vie politique de notre pays vers le modèle peu enviable des États totalitaires. On pense tout de suite, dans la situation actuelle, à la dictature hypocrite des années Brejnev-Honecker. Ainsi, dans une des premières scènes du film La Vie des autres, qui se déroule en RDA peu avant la chute du Mur, le scénario incluait un bref résumé de la condition de l’artiste dans un système oppressif. Où l’on voyait un auteur demander à un ponte du Parti que l’on lève l’interdiction professionnelle (« Berufsverbot ») infligée à un metteur en scène accusé de dissidence.

À quoi l’homme du Parti répondait que de telles méthodes n’existaient pas au paradis du socialisme réel, et qu’il fallait donc « choisir ses mots avec plus de prudence ». Simple constat : quand Manuel Valls annonce qu’il cherche par tous les moyens d’interdire Dieudonné de se produire, il revendique une attitude discriminatoire que même les apparatchiks de la RDA n’osaient pas assumer. C’est-à-dire que l’injonction non discutable de « lutte contre l’antisémitisme » permet en France aujourd’hui non seulement d’entrer dans les logiques de la Stasi, mais en outre de le faire avec une impudence que le subtil Markus Wolf aurait désapprouvée.

Toujours Manuel Valls : nous avons désormais un ministre de l’Intérieur qui appelle à déclencher des troubles à l’ordre public pour pouvoir justifier une mesure sécuritaire. À l’origine de cette démarche provocatrice, il y a le garde-frontière Arno Klarsfeld, qui dans une remarquable prise de position tout à fait révélatrice à tous points de vue, a constaté benoîtement que si personne ne manifestait devant le théâtre de la Main d’Or, il n’y aurait pas de trouble à l’ordre public et le ministre de l’Intérieur ne pourrait donc pas sévir. Que maître Klarsfeld appelle à susciter des troubles mérite d’être relevé, mais qu’un ministre de l’Intérieur en exercice lui emboîte le pas, voilà qui doit sans doute encore davantage être souligné. Simple constat : pour enclencher le processus de « mise au pas » qu’ils appelaient de leurs vœux en 1933, les dirigeants du parti nazi organisèrent l’incendie du Reichstag. Cette technique du pompier pyromane est exactement celle proposée par le brillant Arno Klarsfeld, et apparemment validée par le locataire de la place Beauvau.

Passons à autre chose. L’article 58 du code pénal soviétique de 1926 incluait plusieurs dispositions fascinantes. Cet article assimilait au banditisme toutes les activités réputées « contre-révolutionnaires », ce qui permit d’une part de ne pas mentionner l’existence de délits politiques en URSS, d’autre part d’y inclure des faits que dans n’importe quel autre pays, on n’aurait même pas osé qualifier de simples contraventions. Soljenitsyne mentionne, dans L’Archipel du Goulag, un certain nombre de cas où des individus, voire des segments entiers de la population, furent condamnés au nom de leur participation fantasmagorique a posteriori à des activités antisoviétiques. Exemple parmi d’autres, dans la foulée de la conquête de l’Europe de l’Est par l’Armée rouge en 1945, le NKVD arrêta des personnes n’ayant jamais vécu en Russie, au motif qu’elles auraient participé à la guerre civile russe en tant que Russes.

C’est que dans le système d’interprétation indéfiniment extensible propre au code pénal soviétique de 1926, et particulièrement dans le cadre de l’article 58, d’une part « toute action tendant à l’affaiblissement du pouvoir » était réputée « contre-révolutionnaire », donc assimilable au banditisme, et d’autre part il était admis que dans les territoires devenus soviétiques en 1945, la loi soviétique s’appliquerait intégralement de façon rétroactive. Encore plus fort, il suffisait qu’un des nouveaux citoyens de l’URSS soit jugé comme ayant eu potentiellement l’intention de prendre jadis les armes contre sa nouvelle patrie pour qu’on l’assimilât automatiquement aux « brigands antisoviétiques » de la guerre civile. Pour rappel, Christiane Taubira, dans l’affaire de la quenelle, a soutenu que l’on pouvait se rendre « complice après coup de crime contre l’humanité ». Ce qui, manifestement, dans son esprit, impliquait la complicité de Dieudonné dans les méfaits nazis des années 40, et plus particulièrement dans la déportation des juifs d’Europe. On voit bien que la logique indéfiniment extensible du code pénal soviétique de 1926 est ici à l’œuvre, au nom il est vrai d’une autre idéologie et dans un cadre politique différent.

Quant à Christophe Barbier, nous lui saurons gré de nous éviter d’avoir à chercher des références passées, puisqu’il a publiquement soutenu qu’au nom de la défense de la démocratie, il fallait « réguler » Internet pour que Dieudonné n’y sévisse pas, et que, dixit, « les Chinois y arrivent bien ». Ici, il n’est même pas nécessaire de commenter.

En conclusion, et encore une fois sans entrer dans un débat sur l’antisémitisme supposé de monsieur Dieudonné M’Bala M’Bala, nous ne pouvons que dresser les quelques constats que nous venons d’énoncer, et en déduire qu’il faut aujourd’hui que tous les citoyens lucides et raisonnables soutiennent cet artiste sans tergiverser.

Non qu’il faille nécessairement sacraliser la parole d’un comique, non qu’il faille obligatoirement apprécier un humour qu’on pourra éventuellement juger de mauvais goût, mais parce qu’il s’agit de refuser des logiques tyranniques. Le pouvoir est actuellement dans l’impasse. Le chômage explose alors que le contexte macro-économique menace de se dégrader encore, l’insécurité augmente, la diplomatie française se ridiculise, et la crise de l’Union européenne et de la zone euro approche manifestement d’un point de rupture. Dans ces conditions, il est logique que ce pouvoir dans l’impasse soit tenté de créer des diversions et des écrans de fumée, voire de passer d’un régime de manipulation des masses à un système d’oppression ouverte.

Alors pour bien faire comprendre que nous ne nous laisserons pas faire : QUENELLE !

Par Michel Drac et Maurice Gendre

http://www.scriptoblog.com/index.php/component/content/article/83-billets-dauteur/1237-quenelle-gratinee