samedi 4 janvier 2014

L'UNICEF Dénonce la Décapitation d'Enfants En Centrafrique Malgré La Présence De La France!


Noël "gore" à Bangui


Le jour de Noël, trois hommes armés sont entrés dans un hôpital tenu par des humanitaires, menaçant et tuant certains patients dont deux enfants.

Avant, les enfants étaient des victimes collatérales, maintenant, certains sont directement visés lors d'actions de représailles.


De plus en plus d’enfants recrutés par des groupes armés


Le degré de violence contre des enfants en Centrafrique atteint de nouveaux niveaux de cruauté, selon l’UNICEF, avec au moins deux enfants retrouvés décapités en décembre, et un autre mutilé.

L’agence de l’ONU pour l’enfance appelle à une action immédiate pour protéger les enfants en Centrafrique, où la violence entre Chrétiens et Musulmans a fait des milliers de morts en un mois.

Selon l’UNICEF, des enfants sont délibérément visés dans des attaques de rétorsions.
Des enfants sont également recrutés pour les combats.

“De plus en plus d’enfants sont recrutés par des groupes armés, et sont aussi visés directement dans d’atroces attaques de rétorsion”, a déclaré Souleymane Diabate, représentant de UNICEF en RCA.
"Avant, les enfants étaient des victimes collatérales, maintenant, certains sont directement visés", constate Ombretta Pasotti, coordinatrice de l'ONG Emergency à l'hôpital pédiatrique de Bangui, qui reçoit les premières victimes de la crise centrafricaine, les enfants.

"Ces enfants sont victimes de balles perdues, d'éclats... certains ont été blessés ‘par hasard’, mais nous avons ici des enfants qui se sont fait tirer dessus parce qu'ils étaient musulmans", explique Ombretta.
Depuis la prise de pouvoir en mars par l'ex-rébellion Séléka, de majorité musulmane, et la création de milices chrétiennes d'auto-défense qui s'en prennent majoritairement aux populations civiles musulmanes, les victimes sont nombreuses chaque jour à Bangui comme en province.


Un hôpital envahi


"Nous faisons de notre mieux, mais à cause de l'insécurité, il est difficile pour nous de travailler, sans compter le manque de matériel qui a du mal a nous parvenir, et surtout le manque de sang...", souligne la coordinatrice.

Selon l’ONG Médecins Sans Frontières, le nombre de blessés admis à son hôpital communautaire a augmenté au rythme de 15 à 20 par jour, souvent avec des blessures de machettes.

“C’est totalement inacceptable que des lieux médicaux ne sont pas respectés et sont envahis par des hommes armés”, a dénoncé Thomas Curbillon, chef de la mission de MSF à Bangui.

L'ancien Premier ministre Martin Ziguélé, figure de l'opposition, a demandé la création d'une commission nationale pour enquêter sur les crimes commis dans le pays.

"Il ne peut y avoir de véritable réconciliation sans justice et pardon", a-t-il souligné.


Centrafrique: des enfants décapités - BBC Afrique - Afrique

Après la Centrafrique le Cameroun : Hollande Idiot Utile De l'Islamisation Radicale De La Françafrique



Centrafrique en voie d'Islamisation


Idriss Déby du Tchad et Omar El-Béchir du Soudan avaient pour intention dès le début 2013 de renverser François Bozizé qui était alors au pouvoir dans le but de faire de la République Centrafricaine une terre d'Islam.

le Tchad a joué un rôle central dans le coup d’état qui a vu le renversement de Francois Bozizé avec l'accord tacite de la nouvelle majorité à l'Elysée. Sur que Paris n'interviendra pas, le gouvernement d'Idriss Déby est venu en soutien à la milice « Seleka » qui a participé activement au coup d’état de Bangui de Mars 2013. 

Cette idée d'islamisation est pilotée par Idriss  Déby (président du Tchad), Omar el-Béchir (président du Soudan), le président sénégalais Macky Sall et certains pays arabes, comme l'Arabie saoudite et le Qatar. L'idée est de faire de la RCA un État islamique et maintenir Djotodia comme Président. 

Hollande recadré!


François Hollande qui avait semblé exiger son départ comme conséquence inéluctable de l' opération Sangaris semble avoir été "recadré" lors de sa visite à Bangui.

On ne sait pas vraiment qui a fait plier le Président français, Michel Djotodia ou ses généreux donateurs du Qatar ou d'Arabie Saoudite.

Toujours est-il que François Hollande ne demande plus rien...

La Seleka et Boko Haram Menacent le Cameroun


Le Cameroun s'est retrouvé exposé à ses frontières aux dérives du groupe terroriste "Boko Haram" au Nord et à la redoutable milice centrafricaine "Seleka", soutenue et financée par les pétro monarchies du Golfe, à l'Est. De plus, dans le golfe de Guinée à l’ouest, des rebelles affrontent fréquemment les forces camerounaises dans la péninsule de la presqu’ile Bakassi.

Dans tous les cas Paul Biya devrait coopérer ou alors se battre contre l'éventualité d'une rébellion qui pourrait venir du Nord Cameroun et encouragée par le Tchad. En effet, Déby, n'aurait pas trop de difficultés à déstabiliser le Cameroun qui présente une administration perméable et facilement corruptible selon les derniers chiffres de Transparency International. Un manque de vigilance des autorités camerounaises pourrait être propice à une infiltration d'étrangers dans son système sécuritaire.

Le « Boko Haram », groupe terroriste islamiste, domicilié au Nigéria État voisin est un danger permanent pour les populations du Nord et de la partie anglophone du Cameroun. Ce groupe s’attaque aux populations en commettant des exactions, des enlèvements de nationaux et d'étrangers en dépit du combat mené simultanément par l’armée Camerounaise et Nigériane.

Ils ont cru en François Hollande et ils sont morts!


Les manifestants qui se reconnaissent dans la dynamique des valeurs, de la république et de la démocratie en France, scandaient dès les débuts de l'opération SANGARIS « Libérez la Centrafrique », « François HOLLANDE au secours », « Michel Djotodia démission ». 

C’est dans ce contexte qu’est survenue une fois de plus la repression d’Etat inouïe caractéristique de la dictature militaro-politique de Bangui. 


Ces exactions ont été mysterieusement sous-relayées en France.

François Hollande Devient Encore la Risée des Médias Internationaux Pour Le Début 2014

Le monde rit des poignées de main de François Hollande






Le président français est devenu la risée des médias internationaux depuis qu'un journal hollandais s'est amusé à recenser en images les poignées de main soi-disant manquées de François Hollande

Pauvre François Hollande, serait-on tenté de dire en surfant sur les sites des grands journaux internationaux. Après avoir été la risée du web avec sa photo «benête» pour la rentrée scolaire ou encore pour ses cravates de travers, voilà que la presse se moque une nouvelle fois de lui.

Tant le Spiegel, que la BBC, le Daily Mail, le Business Insider et des sites satiriques s'amusent du président français!

Au final, une galerie de photos cocasses, où François Hollande n'est pas franchement à son avantage, tant les images montrent qu'aucun de ses homologues n'est particulièrement pressé de lui serrer la main!

Une chose est sûre: ces clichés sont en train de faire le buzz et s'échangent à toute allure sur les réseaux sociaux. On ne résiste pas, nous non plus, à vous les faire partager.

Moqueries: Le monde rit des poignées de main de François Hollande - News Monde: Europe - tdg.ch

Centrafrique : Sangaris Ne Contrôle Même Plus Les Abords De L'Aéroport De Bangui!

Bilan de Sangaris : Plus de morts plus de réfugiés plus de combats!


De Pire En Pire!


Le gouvernement nous dit que tout va bien en Centrafrique, circulez il n'y a rien à voir. C'est faux, et toutes les informations venant de différents journalistes présents dans ce pays, nous affirment le contraire. 

La haine recuite depuis Mars 2013 entre musulmans et chrétiens fait suite à l' effondrement de l' état centrafricain, un futur bourbier à la somalienne! 

Et toujours pas l'ombre d'un soldat européen à l'horizon, quant aux armées africaines, elles se trucident entre elles !


Dans l'enfer du Pk10 de Bangui


Yvonne Mété, présidente de l’association bisontine « Centrafrique sans frontières », a vécu des journées « comme en enfer » dans le quartier Pk10 de Bangui. « J’étais arrivée en Centrafrique le 15 novembre et j’ai rejoint Sibut, à 200 kilomètres au nord, pour le travail de mon association. Là-bas, tout était calme. Le 13 décembre, je suis retournée à Bangui pour chercher des médicaments. J’y suis allée parce que nous avions entendu à la radio que l’armée française était arrivée, qu’elle désarmait. J’ai donc cru que tout serait sécurisé. »

La réalité fut toute autre. « J’ai été accueillie chez des religieuses dans un quartier où les anti-Balaka se cachaient et subissaient le harcèlement de la Seleka. Nous étions au milieu et visiblement ces forces n’avaient pas été désarmées. Si elles avaient remis leur petit matériel, elles avaient conservé des armes lourdes. »

Yvonne Mété et tous les réfugiés ont donc vécu au centre des tirs. Boucliers pour les uns, obstacles pour les autres. « De temps en temps, un hélicoptère français survolait notre secteur. Cela nous soulageait quelque peu. »

Yvonne Mété est formelle : les journées des 24 et 25 décembre ont été les pires de sa vie. « Nous passions notre temps sous les lits pour nous protéger. Un jeune responsable de l’armée française est venu nous rassurer. Mais très vite, la peur est revenue avec cette rumeur : si les anti-Balaka continuaient, la Seleka n’hésiterait pas à tuer les civils, femmes et enfants. »

« Les violences sont multiples. Il y a la lapidation qui est pratiquée et qui frappe les vieilles femmes que l’on accuse de sorcellerie. Il y a l’excision qui revient en force dans les campagnes. Il y a les viols. Il y a les violences conjugales. Il y a enfin la prostitution que l’on impose aux jeunes filles. »





Violences à proximité du dispensaire MSF de l'aéroport de Bangui


MSF france réduit ses activités à Bangui. L'ONG a annoncé jeudi avoir décidé de "considérablement réduire ses activités médicales d'urgence" dans le camp de déplacés de l'aéroport de Bangui, après deux jours consécutifs de violence. 

Les violences qui depuis deux jours ont eu lieu à proximité du dispensaire MSF de l'aéroport de Bangui ont provoqué la mort de deux enfants dans le camp de déplacés de l'aéroport.


Avant les événements de ces derniers jours, MSF dispensait en moyenne 500 consultations, réalisait une centaine de pansements et sept accouchements par jour.


L'organisation ajoute que "tant que la sécurité ne sera pas restaurée à l'aéroport", elle "ne pourra pas y reprendre pleinement ses activités.

MSF précise être la seule organisation médicale présente dans ce camp où se sont réfugiées plus de 100.000 personnes fuyant les violences dans la capitale centrafricaine.


Les populations s'opposent de plus en plus à "Sangaris"


Sur les murs près de l'aéroport, les inscriptions "non à la France" succèdent aux "Sangaris assassins". Depuis deux jours, les tentatives françaises d'installer des points fixes ont abouti à des manifestations sauvages de riverains, installant des barricades enflammées.

"L'interposition c'est la pire des postures : on est attaqué et critiqué des deux côtés" soulignent  beaucoup d'officiers français: "Nous sommes là pour tous les Centrafricains", martèlent régulièrement les chargés de communication, en vain!

Le problème, c'est qu'il s'agit d'une opération de maintien de l'ordre urbaine, de police et de gendarmerie. Ce n'est pas avec des chars et des hélicoptères qu'on règle ça, aussi bien entraînée que soit l'armée.

Un mois après son lancement, son issue militaire comme politique reste problématique, et l'implication de la communauté internationale incertaine. 

Les mots «enlisement» ou «bourbier» commencent à être prononcés.



MSF réduit ses activités sur l'aéroport de Bangui


Région Franche-Comté | Une Bisontine raconte l'horreur vécue en centrafrique - L'Est Républicain